Leslie Su13
Leslie SU13 Sumalee, le bonheur sans fin, suite
Plus tard je vis Laure se lever, sentant mon regard sur son dos, elle se retourna et
me montra, impudique, son sexe lisse.
Elle se recoiffa et caressa légèrement ses seins en me disant :
- Tu sais que depuis que tu es partie, je navais pas fait lamour.
- Et pourquoi ? Lui demandais-je.
- Pour te rester fidèle !
Je suis restée un instant sans voix, jaurais voulu lui dire de vivre et ne se priver
de rien, car il nétait pas sûr que je revienne un jour vers elle, mais rien ne sortit
de ma gorge, sinon que :
- Laure, je dois partir, dis-je.
- Je sais, je veux juste un baiser, un dernier
Nous échangeâmes un baiser passionné, tellement passionné que jai senti lexcitation
nous reprendre. Il était temps que je parte, sinon
- Je dois vraiment y aller.
- Tant pis, je me contenterai toute seule ce soir en pensant à toi.
Une fois rhabillée, je suis parti en vitesse, me détestant presque déjà de ne pas
pouvoir choisir entre mes deux amantes.
Une fois à la maison, je poussais un grand soupir de plaisir, Sumalee nétais pas
encore rentrée et allais illico dans notre chambre. Jenlevais mes habits et me
regardais dans la glace.
Oui, jétais vraiment belle, tout comme Sumalee et Laure, avec juste cette différence
entre mes jambes. Mes amantes, Laure et Sumalee occupaient toutes mes pensées pendant
que je me mettais à laise.
Jimaginais mille choses pour me donner des envies, je mallongeais sur le lit et
imaginais les beaux seins de Laure, son sexe lisse, ses lèvres intimes et son odeur
enivrante, puis limage de Sumalee vint à mon esprit, je poussais un premier
gémissement en faisant entrer un doigt dans mon illet et en me branlant.
Je mimaginais tour à tour avec Laure, puis avec Sumalee, Laure sur moi, moi en
Sumalee, et je jouis de ma main en poussant un cri.
A vingt heures, Sumalee rentra et me trouva très excitante, habillée avec mon jean
moulant et mon petit tee-shirt blanc.
Elle vint membrasser, alors que jétais occupé à préparer des glaçons, elle continua
en membrassant dans le cou et continua sur les épaules, je commençais à durcir dans
mon jean, Sumalee membrassa loreille me faisant frémir.
Je lui demandais, gentiment, darrêter, mais sa main rôdeuse vint caresser mon ventre
et se glissa aussi vite dans mon jean, ses doigts descendant sur ma peau nue à la
recherche de mon sexe.
Sumalee saperçut que je bandais et me fit la remarque dêtre fière de me faire autant
deffet.
Je ne répondis rien et eut un sourire gêné, et me dégageais pour servir lapéritif.
Sumalee passa son temps, entre lapéritif et le repas à me déshabiller du regard, par
plaisir de me voir rougir et baisser un peu les yeux.
Je sentais quelle avait envie de faire lamour, ses regards coquins en disait long
sur ses désirs.
Après le repas, Sumalee se mit nue, et sinstalla sur le canapé, près de moi. Puis
dun air très naturel elle me dit :
- Tu devrais te mettre à laise ma chérie
Pendant que jenlevais mon tee-shirt, je vis Sumalee commencer à caresser lun de ses
seins. Quand mon jean suivit le tee-shirt, jeu bien du mal à cacher mon émoi excitée
par le petit jeu érotique de Sumalee, qui abrégea mes souffrances en disant :
- Viens, ma chérie, viens que je taide.
Elle se rapprocha pour menlever mon string et embrasser mon sexe qui se dressait
devant elle, enfin libéré. Elle lenfourna bien vite dans sa bouche en soupirant et
narrêta ses caresses buccales que lorsque mon sexe lui parut de taille raisonnable et
bien raide.
Elle senfonça dans le canapé et ouvrit largement ses jambes en me disant :
- Viens !
Jentrais en elle, doucement et elle poussa de petits cris à lintensité sans cesse
croissante en accompagnant ses mouvements de bassin avec toute la souplesse de ses
hanches, la tête sur le côté.
Puis elle se retourna pour que je menfonce en elle par-derrière. Elle sentit mon sexe
dur quitter, puis retourner dans son intimité, et cette douce sensation la fit
hurler.
Sumalee hurla un orgasme foudroyant lorsque je pénétrais à fond et je pris tellement
de plaisir à lentendre jouir que je nai pas pu me retenir déjaculer dans son corps
parcouru de spasmes
Une heure plus tard, nous nous endormions dans notre grand lit, enlacées.
Lorsque je me réveillais le lendemain, je regardais le réveil et me levais dun bond,
même sil nétait quà peine sept heures. Je laissais Sumalee dormir et allais me
préparer, la journée allait être chargée
Je passais sous la douche, avalais un rapide petit-déjeuner, puis sautais dans mes
sous-vêtements avec le sourire, prenant mon temps pour ceindre à mes reins un porte-
jarretelles noir et gris, lisser mes bas noirs et enfiler un brésilien assorti,
hésitais un moment, puis je rangeais le soutien-gorge et laissais mes seins nus sous
sa robe noire, juste assez longue pour dissimuler le haut de mes bas.
Un moment pour me maquiller avec précision, et me voilà partie pour le cabinet.
Arrivée je me mis au travail et cest vers dix heures que le téléphone sonna.
Cétait Laure.
- Bonjour ma chérie.
- Bonjour ma belle, dis-je.
- Tu sais, je voulais mexcuser pour hier, mais cest que javais terriblement
envie de toi, et moi, je nai pas une amante pour me contenter le soir
- Je sais, excuses-moi mais je suis occupée, je te rappellerais bientôt.
- Promis.
- Oui.
Je tentais de dissimuler mon trouble que cet appel avait provoqué en moi, quand Michel
mon patron entra dans mon bureau.
- Bonjour, ma belle tu as lair chagrin ce matin.
- Oh, Michel ce nest rien, ça va passer.
- Toi, tu as des problèmes de cur.
Michel, pour être mon patron, mon ami et mon confident me connaît bien, surtout quil
a été aussi mon amant et je ne peux rien lui cacher.
- Oui, je suis partagée entre Laure et ma nouvelle relation.
- Ne tinquiètes pas, laisses toi aller et tu verras cela ira rapidement mieux
et surtout profites de tous les instants pour ne rien regretter.
Il avait raison, comme toujours.
- En plus, ajouta-t-il, cela ne sert à rien de se mettre dans tous ses états.
- Oui mais je ne comprends pas ce qui marrive.
- Tu es amoureuse de la nouveauté et tu regrettes déjà Laure, aller on va
déjeuner ensemble ce midi, ça va te changer les idées.
- Merci, Michel
- On se retrouve à midi.
- Ok !
Au restaurant, Michel fut adorable, me faisant rire et me changeant les idées, puis
soudainement il me dit :
- Alors, prends ton temps, et si tu veux je suis là, comme dans le passé !
Je ne sus que répondre et, je rougis en pensant quil me faisait des avances, mais je
lui demandais :
- Puisque tu en parles, et que tu me fais des propositions, tu peux me dire ce
que tu me trouves et quel effet je te fais quand tu penses à moi ?
Il ne changea pas son expression et embraya :
- Tu veux que je te dise, alors écoutes, depuis que tu travailles près de moi je
nai rien à te reprocher sur le plan professionnel, tu es belle et je tavoue que jai
adoré davoir été ton amant, et depuis je ne pense quà cela et aux merveilleux
moments que nous avons passés ensemble et qui ne sont que souvenirs.
- Michel
- Non écoutes-moi, oui je bande pour toi depuis le jour où je tai connu, depuis
je tente doublier dans les bras de mes amantes de passages et parfois dautres femmes
comme toi, toublier et arrêter de penser à toi dans le silence que je me suis imposé
jusqu'à maintenant.
- Et ça marche ? Demandais-je insolemment.
Michel fronça les sourcils, faussement en colère.
- Bien sûr que non que ça ne marche pas, du moins seulement le temps dun
instant mais pas longtemps.
envie de toi. Voilà maintenant tu sais que je suis amoureux de toi.
- Michel, pourquoi ?
- Leslie, tu es incroyable, regardes-toi et tu sauras !
En retournant au cabinet, je ne me sentais pas bien, Michel amoureux de moi, Laure
amoureuse de moi et moi avec Sumalee
Je ne savais plus quoi penser, quoi faire, le choix était impossible, tout tournait
dans ma tête et je narrivais pas à réfléchir.
Après avoir quitté le cabinet, jai trainée avant de rentrer à lappartement.
A suivre
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