Dépucelage Inattendu, Confidences
Nous avons fait la connaissance de Malik un jour comme aujourdhui où nous avions été
à la plage pour faire un câlin tranquillement tous les deux.
- Tu ne vas pas raconter ça à Adèle tout de même ? Cest notre vie privée !
- Oh tu parles maintenant que tu las dépucelée elle peut tout entendre, je disais
donc, nous étions allongés Quentin me caressait les seins quand tout à coup il me dit
:
- Regardes le beau jeune homme qui nous observe je crois bien quil a envie de toi, ça
te dirait ?
- Pourquoi pas ? Si ça ne te fait rien de me voir baisée par lui.
Plus Quentin senhardissait dans les caresses plus le jeune homme se montrait
indifférent à tel point que je lui ai dit : cest à toi quil en veut ma parole.
- Bah tu penses que je suis prêt à me faire un minet ? Et puis regardes-le il a à
peine dix huit ans.
- Tu paries ? Arrêtes de me caresser, mets tes mains sous ta tête je prends le relai.
Je me suis mise à branler Quentin, sa verge pointait vers le ciel, dès cet instant le
jeune sest lui aussi masturbé, et ma foi il en avait une belle.
- Tas vu ? Ta bite lui plait cest bien ce que je pensais, tu sais ce quont va faire
?
- Non mais tu vas me le dire !
- Je vais faire semblant de partir définitivement de la plage et nous verrons qui a
raison
- Tu me vois me faire sucer ou sodomiser ce jeune ?
- Ha ! Qui sait ?
.
Sur ce, je plie ma serviette et part vers le parking, je me suis planquée derrière les
hautes herbes pour observer la suite.
Dès que jai disparu derrière la dune le jeune sest levé, mais cest toi qui va
raconter la suite Quentin tu es le premier concerné.
- Tu ménerves à la fin, bon, effectivement le jeune sest levé et mine de rien est
venu vers moi, ma queue était encore gonflée la sienne à demi-bandée, il ma
timidement adressé la parole.
- Bonjour, vous venez souvent ici ?
- Quelques fois quand il fait beau.
- On ma dit que des hommes se draguaient sur cette plage ?
- Jai entendu dire ça aussi mais aujourdhui cest calme.
- Je peux massoir un instant ?
- Vas-y.
- Cest votre femme qui était là ?
- Oui mais elle est partie.
- Elle est belle.
- Merci.
- Je veux dire elle est belle votre verge.
- HA ! La tienne nest pas mal non plus.
- Vous avez déjà caressé un homme ?
- Non et toi ?
- Non plus.
- Laisses-moi deviner, tu viens ici pour la première fois ? Tu nas jamais caressé
dhomme mais tu en as très envie, tu naimes pas les femmes ?
- A vrai dire je ne sais pas
Je peux toucher votre pénis ? Si vous naimez pas
jarrête.
- Essaies je vais te dire si jaime ou non.
Ce petit salaud sy est bien pris. Ma queue est devenue raide en deux secondes. Je
devais me rendre à lévidence, jaime me faire masturber par un homme, et pire jai
tendu ma main vers sa bite qui était bandée, nous nous sommes masturbés mutuellement
sans prononcer un mot, javais un peu honte car je savais quAnne nous observait.
Soudain sa tête est venu se poser sur mon ventre, je sentais son souffle sur mon
gland, sa langue sest aventurée sur ma hampe puis dun coup il ma avalé et pompé
comme un forcené. Il suçait divinement bien. Anne suce très bien mais cétait le
nirvana avec lui, du coup jai lâché sa bite pour me concentrer sur cette pipe
magistrale. Je nai même pas cherché à me retenir. Je lui ai tout balancé dans la
bouche. Il sest relevé en sessuyant les lèvres dun revers de main.
- Cétait bien ?
- Pour moi impeccable et pour toi ?
- Cest la première fois que je suce un homme et cest super ! Je peux aller chercher
ma serviette ?
- Si tu veux
Il a posé sa serviette et sest allongé tout près de moi.
- Je me sens bien avec vous, cest la première fois que je me laisse aller ainsi
De côté, dos tout contre moi ma queue quasiment entre ses fesses rondes et musclées,
une envie de bander ma repris, jai passé une main par-dessus lui pour saisir sa
queue raide, il a passé la sienne entre nous deux pour guider ma verge entre ses
cuisses quil avait écartées. Il frottait mon gland sous ses couilles, visiblement il
cherchait son anus et je laissais faire, je suis bel et bien bisexuel
Mais il me
manquait la présence de ma femme. Au hasard jai fait des signes de la main en
espérant quelle me voie et quelle vienne.
- Javais tout vu et je venais justement les mater de plus près. Je suis arrivée dans
leur dos. Le cul du jeune se tortillait comme sil cherchait à sempaler. Soudain les
deux ont poussé un râle, la queue de Quentin venait de perforer lanus de Malik qui se
pâmait comme une femme.
- Javais la bite serrée dans son boyau je nosais pas bouger mais la présence dAnne
a tout changé je me suis adressé au jeune homme.
- Si tu veux que je te sodomise tu vas baiser ma femme en même temps sinon je ne suis
pas sûr de bander assez.
- Elle est revenue ?
- Oui, si tu veux cest le moment de vérifier que tu naimes pas la femme, alors ? Que
fait-on ? Tu lui prends le trou que tu veux mais baises-la.
- Bon, cest OK.
- Chéri je préfère quil me prenne la chatte ...
- Allonges-toi devant lui pour commencer.
Le cul contre sa queue jai soulevé une jambe et sans attendre sa décision je me suis
saisie de sa hampe. Ma chatte dégoulinait cest rentré tout seul.
Nous formions un drôle de petit train. Il ne restait plus quà trouver le bon rythme.
Ca na pas été facile mais nos queues, sans nous vanter, sont assez longues pour ne
pas démancher au moindre mouvement ! Je me tenais à ses épaules, lui aux hanches
dAnne.
En tous cas Malik a une bite denfer ! Il ma fait un bien fou, il a apprécié ma
chatoune finalement.
La situation y faisait aussi pour beaucoup ! Si on mavait dit quun jour jenculerai
un homme je ne laurais jamais cru.
Et cest aussi un pucelage de plus à ton actif gros porc ! Cest quand Quentin a joui
que Malik sest épanché dans mon con ce qui ma faite grimper aux rideaux ! Nous avons
gueulé tous ensembles !
Ça aurait pu se terminer là mais jai eu envie de lécher la chatte pleine de foutre
chaud de son amant. Je me suis mis à genoux entre ses cuisses. Elle me guidait par les
oreilles. Soudain des mains écartaient mes fesses, un doigt sest enfoncé dans mon
cul, puis deux. Là aussi jai kiffé ! Je me suis cambré, offert comme une salope,
Malik na pas hésité. Il a pointé son gland sur ma cible, bâillonné par le vagin
ouvert je nai même pas hurlé sous la brûlure occasionnée par la perforation de son
manche. Il ma bien besogné pendant un quart dheure avant de marroser les
entrailles. Au même moment ma queue a tout lâché sur ma serviette !
- Nous étions ravis de cette découverte, mon homme aime les hommes et jaime le voir
se faire prendre !
- A condition que ce soit en ta présence, dailleurs nous nous sommes revus une
semaine plus tard. Un vrai feu dartifice !
- Voilà tu sais tout Adèle, si tu veux faire sa connaissance je suis sûre quil sera
daccord ! Fais-nous, confiance, cest un bon coup !
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