De Julie À Ta Salope Soumise (Histoire Réelle)
VOICI LE PREMIER EPISODE DU RECIT DE LA SOUMISSION DE MA SALOPE SOUMISE, ET DE SA
TRANSFORMATION DE JULIE A MA CHIENNE
Vos commentaires, remarques et témoignages d'excitation sont bienvenues, voire espérés
ici.
Aujourd'hui, ta salope soumise. Ta chienne venue a toi parce que tu l as sifflé, pour
te vider les couilles.
Chemin parsemé de gages, d'ordres, de règles, de pierres blanches.
Julie75, sur le tchat.
Début janvier, je me connecte sur un tchat, un peu au hasard, je suis un peu paumée,
je m'ennuie, je cherche rien de spécial. Fidèle, sérieuse, raisonnable, même si ce
nest pas la joie, pas confiance en moi, je dis ne rien chercher de spécial, ne rien
vouloir en particulier, je papote !
Stéphane92 me parle pour la première fois, me demandant si je suis intéressée par un
CDI d'assistante qu'il propose. La proposition me fait sourire. Je questionne pour en
savoir plus.
On papote de tout, de rien ou même, de pas grand-chose. Je ny prête pas trop
importance.
Les jours passent.
On discute toujours autant, finalement, jy accorde plus dimportance, sans jamais me
douter encore que, bientôt, je serai sa chienne, que je me soumettrai a lui, ces
désirs, ces envies, que docilement, j 'exécuterai ces ordres.
C'est ta proposition qui nous fais aborder la soumission. Je suis tentée. Je ne
connais pas. De la peur, de l inconnu. Tu développes, tu m'expliques, tu as réponses a
mes interrogations, et te montre de plus en plus directif dans nos conversations.
J'ai envie d'entrer ton jeu mais je n'ose pas.
"Vieux crouton".
C'est ce que j ai proféré a ton encontre. Ce qui a été le point de départ.
Premier gage.
Je ne sais rien, sauf qu'il me faut de quoi t'envoyer une photo.
Gage très chaste, et gentil, juste ma main marquée de ton nom.
faudra 3 jours pour y répondre. J'ai du mal a céder, a faire ce gage parce que je
n'admet pas encore que je prend plaisir a t'obéir. Parce que je ne veux pas admettre
que je joue un jeu, qui bientôt n'en sera plus un avec un homme, sans que mon homme ne
le sache. Finalement, ne main n'est qu'une main, quel mal y a t il ?
Les premières règles apparaissent ... pas de sous entendu, pas d'auto
dévalorisation, pas de réponse courte, je développe. Tu commences a me pousser dans
mes retranchements.
Le second gage ne traîne pas. Aucun délai, , je te sens plus incisif. Je m'exécute. Tu
reçois l'image de mes lèvres, ma bouche qui finalement accueillera ta queue jusqu'à la
gorge.
Troisième gage. Tu me laisse le choix entre deux photos. Je m'inquiète : est ce un
vrai choix ou vas tu m imposer l'inverse de ce que j'aurai choisi ... Tu respectes mon
choix. Je commence a te croire quand tu me dis que tu tiens parole.
Ce sera donc une photo de mes seins, marqués de ton nom. Je m exécute plus rapidement,
même si je joue a ne pas te comprendre, en ne t'envoyant pas ce que tu veux. Tu
insiste. Je dois te donner ce que tu veux. Autant troublée que gênée, autant excitée
qu'apeurée et embarrassée, tant par le jugement que tu porteras sur moi que sur ce que
je suis en train de faire derrière le dos de l'homme.
Les règles, les gages, nos discussions cernent mes envies, mes limites, nous posons le
cadre dans lequel tu commences a avoir une certaine emprise sur moi.
Petit a petit, progressivement, presque insidieusement, tu éveilles et révèles des
envies et désirs dont j'ignorais ou niais l'existence.
La bonne rencontre au bon moment. Mon couple qui part en vrille, l'homme au
comportement pas toujours correct, sexuellement délaissée.
Tu m'excite. Tes idées me tentent.
Je deviens chienne, chienne dont tu seras le maître.
Souvent excitée, au bureau, a la maison. Rassurée par la virtualité, tu es virtuel,
donc tu n'existes pas vraiment, je fantasme donc je ne fais rien de mal.
Et la bulle est née.
La Bulle.
Parenthèse enchantée, excitante et troublante, désirable et stimulante, piquante et
séduisante, gênante et embarrassante parfois aussi ...
Tu assois mon nouveau statut de chienne par ta note de service. Fini les demi-mots,
les jolis mots. Place à plus de crus. Tu me brusques tout en respectant ce qui me
bloque.
Ma bouche devient le gouffre de ta queue. Mes seins, des grosses loches.
Quatrième gage ... Je dois postuler pour mériter mon poste de vide couille de mon
maître. Je t'écris a la main ma lettre de motivation. Elle doit te satisfaire puisque
tu m'engages. Julie75 change. Je deviens ta chienne.
Écrire de ma main a quel point j ai envie de devenir ta chienne, de pomper ta queue me
gêne autant que le vouvoiement a ton égard me trouble.
Contrainte de t'envoyer ma lettre de candidature, et la note de service que j ai du
recopier a la main, je m'exécute plus facilement, trouvant mon plaisir a répondre a
tes exigences.
28 Janvier ... Tu as désormais mon numéro. Je plonge dans le réel, première pierre
blanche sur le chemin qui me conduit a devenir ta salope, ta pompeuse de queue.
Mon bureau devient le terrain de jeux de mon changement. Non. Pas changement. Mon
acception de mes désirs, de mon adoption de mon nouveau statut.
J'exécute presque sans plaintes tes ordres, entre photo de mes loches couvertes ou
non selon tes envies, et doigts enfoncés dans ma chatte mouillée par l'excitation que
me procure tes ordres.
Julie commence a cohabiter avec la salope que je te suis. Tu me guides, m'entraînes.
Ma soumission me force a baisser ma réserve, a aller contre ma nature réservée,
timide, bloquée, contre mes principes.
Étonnée et surprise par toi. Tant par l'excitation que tu me dis ressentir que par le
fait que je puisse te plaire, t'exciter.
Toi, dominant, autoritaire, exigeant, directif, avec respect et considération
principalement cérébral, tes mots renforcent ton emprise sur moi, sur mon excitation,
sur l'abandon de mon contrôle, sur mon lâcher-prise que je te remet.
Moi, sage, pudique, réservée en général, devient excitée souvent, soumise,
obéissante, docile. Malgré tout, je suis toujours sur la réserve. Je ne veux pas le
tromper, je feint même ne pas reconnaître que la simple existence de la bulle, c'est
déjà le tromper.
Les règles d'utilisation de ta soumise se multiplient a mesure que s'accroît ton
contrôle sur moi.
Nouveau gage.
Je dois marquer mes grosses loches de mon nouveau statut. Tous les jours. Et te le
prouver chaque matin.
Rester l'infirmière sérieuse ainsi marquée et t'en rendre compte, les premières
rencontres avec collègues et salariés me sont difficiles, je rougis, je bafouille, j
ai l'impression que tout le monde devine, voit, sait celle que je te suis.
Puis, j en joue, j'y pense quand je suis dans l'usine, ou face a quelqu'un, parce que
je suis excitée, la chatte trempée parce que je viens sur ton ordre, les loches a
l'air de me doigter la chatte, le cul pour toi.
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