Flo
Cest notre dernière fois, je le sais : il narrive jamais à me faire jouir. Jen ai
assez de me masturber après lui pour trouver mon calme. Pourtant je laime ce damné
bonhomme. En le quittant je le lui ai dit, il na pas compris : je simulais toujours.
Jen avais les larmes aux yeux. On a beau dire un de perdu, dix de retrouvés, je sais
que jen ai perdu un, certain. Je passe un weekend affreux.
Lundi je retourne au travail. Mon amie et collègue Flo dès quelle e voit sait que
quelque chose ne va pas.
- Tu es tristouille. Quy a-t-il ?
- Jai rompu avec mon mec.
- Pourquoi il paraissait gentil.
- Il était gentil sans plus, il na jamais su me faire jouir.
- Il y a longtemps que je te lai dit : les hommes sont des salauds ; ils ne pensent
quà leur bite sans se soucier de notre corps.
- Je ne peux pas me passer deux pour baiser.
- Je men passe bien moi.
- Cest pas pareil, tu aime les filles ;
- Et alors, je jouis et fait jouir celles qui sont avec moi dans mon lit.
Jéclate en sanglots, elle me console comme elle peut en me faisant poser ma tête sur
son épaule. Je me sens bien ainsi surtout quand elle me caresse lentement les cheveux.
Elle me fait un baiser sur le front comme à un .
- Oublies tout, maintenant, je te protège. Vas travailler.
- Merci de me consoler. Tu es la seule à le faire.
Direction mon ordinateur pour reprendre mes fonctions qu joubliais un peu depuis ces
soucis. Plongée dans mon boulot joublie un peu mon ex, même si je le vois nu dans mon
cerveau quelques fois. Juste avant de quitter le travail, Flo vient me chercher. Je la
trouve gentille de soccuper de moi ainsi. Il est tôt encore, à peine 17 heures.
- Viens avec moi, je temmène chez moi.
- Chez toi ? Te ne veux personne chez toi.
- Cest pas pareil.
- Tu veux me faire oublier ?
- Oui, tu oublieras vite, je te le dis.
En allant chez elle nous faisons des courses, y compris dans un sexe shop où je
nentre pas. Je me doute de ses achats, la connaissant assez bien ; elle aime se faire
plaisir le soir au lit, elle me la déjà souvent dit.
Elle métonne en rentrant en se mettant nue.
- Fais comme moi, chez moi je vie nue, cest plus commode
- Je nose pas, jai un peu honte.
- Au début jétais comme toit et maintenant je vis nue depuis que je fréquente des
naturistes. Entre nous on noubli de regarder le sexe de lautre et ensuite, même si
je regarde une belle minette, je ne pense à rien de particulier sinon que jai vu un
sexe de femme ;
Donc elle me convainc. Je suis vite toute nue, elle ne jette quun coup dil rapide
sur ma nudité.
Flo court un peu partout dans son appart. Elle ne fait quun peu de ménage, rien de
bien excitant pour moi en tout cas. Nous passons à la cuisine pour manger. Assise en
face de moi, je la regarde avec un autre il : elle ses sexy, même si je ne suis pas
attirée par son corps. Des miettes tombes sur ses seins, elle les fait partir dune
pichenette. Ces petits mouvements font que ses tétons commencent à prendre de la
hauteur. Flo sen caresse un peu les deux seins en même temps. Là, elle commence à
mexciter un peu. Quand elle se lève elle a des miettes sur sa fourrure : elle les
fait partir dun geste qui ressemble plus à une caresse quà une mise au net.
Elle débarrasse avec mon aide. Je ne sais comment elle fait, elle trouve le moyen de
me toucher les fesses, les seins, le pubis sans arrêt. Je comprends sa démarche, elle
cherche à me mettre dans son lit.
Je risque de succomber à ses charmes. Je me souviens de ma première fois avec un
garçon :
Javais tout juste 15 ans quand un voisin très âgé voulait me violer. Jétais
déshabillée par ce vilain vieillard, même sil avait sorti sa queue que je trouvais
parfaitement dégoutante.
secours. Jétais encore les jambes ouvertes, il flanquait une dégelée à mon agresseur.
Je restais immobile ne pensant plus à rien de particulier, je ne voyais que Baptiste
et son corps qui lui me plaisait. Mon seul tord a été de le dire à mon jeune voisin
Il a saisit loccasion de mon sauvetage pour sapprocher de moi et me donner un
baiser. Je me souviens encore du plaisir que jai eu quand sa langue est venue dans ma
bouche. Cétait mon premier baiser, celui que je noublie pas. Il nosait pas me
caresser : il voulait me respecter, mais comment respecter une fille quand on a 17
ans. Je voyais sa bosse sur le pantalon, je savais quil bandait, je savais pourquoi
et je nétais pas contre.
Cest même moi qui ai commencé à lui toucher la bite. Il ma caressé ce quil voyait :
mes seins. Bien sur il était maladroit, mien sur il a mis du temps à me faire bander
les tétons. Mais que cétais excitant. Quand sa main est venue sur ma chatte, jai
écarté les jambes.
Je ne savais pas exactement ce quil devait me faire, il a trouvé ce que je caressais
souvent, mon bouton. Là encore il était maladroit et pourtant il ma donné mon premier
grand orgasme.
Plus tard quand il nen pouvait plus il a voulu me faire lamour. Je savais ce quil
voulait dire, je savais quil allait me faire mal pur que je jouisse encore. Il est
venu sur moi doucement, lentement. Il a posé le bout de sa queue sur lentrée de ma
moule. Il me disait déjà que cétait bon pour lui. Cest vrai que quand il a commencé
à ma la mettre, cétait bon. La suite, quand il a rompu mon hymen, la été beaucoup
moins pour moi. Jai eu un mal de chien qui heureusement na duré quun tout petit
instant. Au fond de mi je me disais que la nature était mal faite ; pourquoi les
filles doivent de faire déchirer pour jouir plus tard.
Je me souviens encore du début de plaisir que jai ressenti quand il est arrivé à me
baiser jusquau fond. Et enfin un plaisir encore plus fort quand il est allé et venu
dans mon ventre. Enfin cette explosion inattendue quand jai senti mon ventre exploser
de ce que je ne connaissais pas encore : lorgasme en me faisant baiser ; suivi dun
second plus fort quand jai senti sa semence gicler au fond de mon trou. Il sest
relevé, ma retourné pour me prendre par derrière. Je me doutais de ce quil voulait.
Là j-ai eu peur. Mon petit trou est fragile : pourquoi il tient tant à mettre sa bite
à cet endroit. Il a pris ma cyprine, la mise sur lanus, a même craché encore :
- Ne ten fait pas, tu nes pas la première je sais bien enculer, tu auras moins mal
que dans ton con.
- Fais doucement quand même.
Il a fait doucement, tellement doucement quil du mettre plus de dix minutes avant que
je la sente tout au fond de mon ventre. Jai eu à peine mal quand il a commencé à
aller et venir dans mes boyaux, pour sentir cet autre plaisir envahir tout mon cul et
au-delà mon con. Jai rapidement jouis : je sens bien sa bite dans mon cul. Cest au
dessus de mes forces : je remue en même temps que lui. Jai crié quand lai joui
ainsi, surtout quil me donnait encore du sperme.
Je nai jamais oublié cette première fois, ce qui explique ma séparation.
Et maintenant je suis prête à céder une fille. Cest sans doute agréable, mais avec
elle il ny aura pas de pénétration, ce que je préfère, même si jaime les cunnilingus
ou une langue sur le cul.
Nous sortons de la cuisine pour aller prendre le café quelle a préparé, dans ce qui
lui sert de salon : une annexe de la chambre : presque contre le lit. Nous sommes
assise moi sur un fauteuil elle sur le bord du lit. Elle écarte ses jambes de telle
façon que je vois sa chatte.
lexhibition. Si elle boit le café à laide de sa main gauche, sa main droite est
maintenant sur la chatte. Elle se caresse sans pudeur, elle ferme les yeux devant le
plaisir quelle ressent.
- Branles toi, cest bon.
Je ne réponds rien et pourtant elle mexcite, jaimerais faire comme elle. Je ne sais
comment faire : elle se lève vient vers moi, se penche à peine pour membrasser. Sa
langue est vite dans ma bouche, je me laisse faire et même y répond. Elle caresse mes
seins, ce que je lui rends. Ca y est jai succombé.
Nous sommes debout maintenant, corps à corps. Cest doux ce corps féminin. Flo me
caresse les cheveux, défait mon chignon pour voir la longueur. Elle est surprise de
les voir descendre à ma taille. Elle menveloppe avec : il ne dépasse que mes seins
quelle lèche maintenant. Elle me fait assoir sur le lit, les jambes écartées. Je
pense et jai envie quelle me suce. Elle ouvre la boite du sexe shop pour sortir un
gode qui lui plait, au moins comme couleur. Un gros machin rouge vif et un autre assez
fin bleu marine. Elle a du bien cherché pour les couleurs. Elle commence par entrer le
plus fin dans ma chatte : je ressens des trucs oubliés. Elle garde dans sa bouche le
gros quelle me met à la place du plus fin. Je pense quelle se le réserve alors
quelle le destine à mon anus. Elle nagit pas en lesbienne, il faut dire que mes
connaissances en la matière sont du genre nul.
Flo me fait une double pénétration. Quand je lui demande pourquoi elle me rappelle
quune fois je lui avais dit que jappréciais cette façon dêtre remplie par les deux
orifices. Elle fait tout pour que je jouisse le plus possible sans homme.
Je ne peux rester assise avec les deux godes : je mallonge sur le lit. Elle continue
tout en me disant des mots tendres : avec elle je serais bien, nous jouirons
ensemble
..
Jai beau forcer pour ne pas jouir, je pars dans un des orgasmes quon noublie
jamais, en plus le premier que me donne une autre fille.
Je reste presque évanouie de plaisir. Il y a longtemps que je nai pas jouis aussi
fort. Elle sallonge à mes coté, membrasse encore sur le bouche, me crasse les seins
et fini par me demander de la branler. Javoue que je suis bien embêtée. Je sais fort
bien me donner du plaisir avec ma main droite, par contre je ne sais si jarriverais à
la faire jouir aussi. Elle me demande de me coucher de coté pour être embrassée
pendant que je peux la peloter. Je prends un sein dans ma main, je le caresse
lentement, comme je ferais pour moi. Je suis attirée par sa chatte, après tout elle
ma baisée avec ses godes. Je trouve sa fourrure facilement, je la caresse comme je
ferais avec le pelage dun animal. Elle ouvre le compas de ses jambes quand ma main
arrive sur son abricot bien mûr. Je pose ma main ouverte sur elle. Je sens bien sa
mouille. Elle remue ses hanches pour que je me décide à la branler. Jessaie avec mon
index seul de lui caresser le bouton déjà bien durci. Je trouve admirable ce petit
bout de chair qui permet aux filles de prendre tant de plaisir. Dès que mon doigt est
sur elle, Flo commence à gémir :
- Oui, branles mi, narrête surtout pas, fais moi jouir.
Plus elle parle plus jaccélère mes mouvements. Tout son bassin est traversé
dondulations causées par mon seul doigt. Pour une première ça a lair pas mal.
- Tu vas me faire jouir, narrête surtout pas, fais moi jouir encore, je nen peux
plus, branles moi.
Pourtant je lai senti jouir plusieurs fois. Elle aime ça, je continue longtemps. Jai
envie de voir sa moule avec mon doigt dessus, je tourne mon corps. Elle pense que je
veux faire un 69. Avec un homme jaime faire des 69, avec une pine dans la bouche et
du sperme à la fin. Là je ne vais trouver quun clitoris et de la cyprine. Ce nest
pas que ce qui mécure, je lèche bien mes doigts quand je me masturbe.
Je ne sais pourquoi brusquement il me semblé déroger à un tabou : lécher le sexe dune
autre fille. Flo prenant ma tête entre ses mains pour me force à descendre mes lèvres
vers sa chattounette. Je prends sans risque le bouton dans mes lèvres, je le relâche
pour le reprendre. La situation de Flo me donne du plaisir ; elle aussi me lèche mes
lèves intimes avant denfoncer sa langue dans mon puits. Je ne savais pas quune
langue de fille fasse autant de bien. Je sens monter dans ma colonne vertébrale le
début dun orgasme bien senti. Cest à mon tour de gémir et de crier à la fin. Je ne
sais pas comment elle a fait, le résultat est là, elle sait bien me faire jouir. Je la
sens elle aussi se tendre quand elle a un orgasme.
Flo veut changer de méthode : elle a acheté un capharnaüm de machins au sexe shop.
Elle veut que nous baisions avec le double gode : long plus que deux bites, avec deux
glands bien faits. Nous sommes sur le dos, les jambes largement ouvertes : nos fesses
sont proches. Elle prend le gode, le lèche aux deux bouts avant de men mettre un dans
le sexe, elle lenfonce au maximum en me donnant déjà du plaisir. Elle enfonce lautre
bout dans son puits, elle garde la maitrise de lengin. Cest elle seule qui fait les
aller et venus : ce gode est si souple quil me donne la même impression quune vrai
bite. Jaccompagne les mouvements comme si cétait un homme qui me la mettait. Leffet
est le même : je jouis encore deux fois avant quelle décide de charger dorifice. Sa
sodomie est agréable sans plus : je ne retrouve pas mon compte de jouissance, même si
elle me fait jouir.
Sans nous en rendre compte nos galipettes durent toute la nuit. Nous partons vite au
bureau sans avoir fermé lil de la nuit. Inutile dinsister sur la qualité du
travail. Le soir elle memmène à nouveau chez elle. Nous sommes vite nues, pourtant
nous ne baisons pas du tout. Cest tant mieux, je naurais pas pu la suivre. Ce nest
que le matin quelle me réveille avec sa main sur mon clitoris. Elle me fait jouir
encore une fois. Je le lui rends avec ma langue.
Pour ce soir elle a demandé à un copain de venir passer un moment avec moi. Flo a
copris que je suis hétéro, que je baise avec elle pour surtout lui faire plaisir. Elle
a mal compris jai pris gout à ses étreintes même si je préfère une bite à une moule.
Vers 20 heures arrive mon étalon. Robert suit la mode de chez Flo : il est nu en deux
temps trois mouvements. Evidemment nous ne regardons quune seule chose : son sexe qui
me semble de bonne taille.
Il sait quil est venu pour moi. Il me regarde avant de me prendre dans ses bras :
Je vais te baiser devant ta copine, après vous baiseraient toutes les deux. Je serais
encore en forme ; je pourrai tenculer. Cest bien la première fois quun type que je
ne connais pas me donne son programme.
Quand il me prend dans ses bras, il membrasse moins bien que Flo. Ses mains
parcourent mon corps en caressant chaque partie, surtout les fesses, ce que jaime
bien. Il me fait mouiller. Flo nous dit de nous coucher, elle restera sur le fauteuil
à nous regarder et se branler sans doute. Je suis presque sous Robert. Il ma caresse
labricot plutôt bien, il me branle dans lintention de me faire jouir. Il frôle mon
clitoris où jaurais bien aimé quil sattarde, pour me mettre deux doigts dans le
puits. Il commence par me baiser avec sa main : cest bon, il me donne mon premier
orgasme avec un homme depuis longtemps. Puis, comme je prends sa bite dans la main, je
le dirige sur mon con. Il entre en loi avec beaucoup de précautions, je le sens à
peine quand il entre, je ne le sens que quand il est tout au fond. Là, il commence
enfin les vas et viens. Je mentends gémir. Je passe mes jambes sur ses fesses pur
être mieux transpercée. Il me donne un début de jouissance absolument formidable. Flo
a bien choisi le mâle.
Je sens son jet de sperme dans mon ventre. Je jouis encore. Il reste immobile un
moment dans mon ventre : cest délicieux de le sentir débander. Quand il sort de moi,
je vois les jambes écartées de Flo avec sa main qui va et vient.
Elle arrête pour venir avec moi me baiser. Robert a pris la, place de flo sur le
fauteuil : il nous regarde. Flo se précipite sur ma chatte pleine certainement de
sperme. Elle nen est pas dégoutée, elle me lèche toute la fente, depuis lanus
jusquau clitoris. Il sy attarde un bon moment le temps de me faire encore partir. Je
lui demande de me donner sa moule : elle se met en place pour un 69. Nos langues font
ce quelles doivent faire, lécher les chattes. Nos doigts aussi se préoccupent du cul
de lautre en y entrant. Flo sait pourtant que je vais me faire enculer tout à lheure
et quil me tarde de lavoir dans le cul. Nous voyons revenir Robert, la bite bien
droite. Flo me fait tourner pour que je donne mon cul pendant quelle continue à me
lécher. Je sens quelle guide la bite avec ses mains vers mon rectum. Elle ma bien
mouillé le cul pur que je nai pas mal pendant quil menculera.
Elle fait bien, la grosseur de la bite, que je supportais plutôt bien dans le puits,
est grosse. Conscient de son avantage, il entre lentement dans mon ventre. Quand la
grosseur de soin gland est passée, je sens encore monter cet orgasme particulier au
cul. Je jouis comme une folle pendant quil me la met et pendant quil lime. Ajoutez à
ça la langue très active de flo, je ne peux mempêcher de jouit pratiquement sans
cesse tout le temps de la sodomie. Le dernier est quand je sens son sperme envahir mes
boyaux ;
Nous nous relevons tous. Il bande encore un peu. Flo métonne quand elle se penche
pour prendre dans la bouche la bite de Robert, simplement pour gouter à son sperme.
Elle membrasse pour que les deux gouts de sperme et de cyprine soient mélangés.
Robert se rhabille, membrasse en me félicitant pour mes capacités en me laissant son
06. Ce qui me permet quelques fois de faire des infidélités à Flo: une vraie sodomie,
il ny a que ça de vrai.
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