Quand Tout Semble Impossible
Le réveil sonne. Il est 7h du matin et, comme à son habitude, je repousse le réveil à
07h20. Pendant ce court laps de temps, je me tourne, je me retourne en songeant à ce
qui pourrait bien m'arriver aujourd'hui. La vérité c'est que cela fait quelques mois
qu'aucun évènement bouleversant n'a croisé sur mon chemin
Il est 7h20 et je me lève sans aucune envie, sans force. Les yeux encore refermés, je
marche vers mon tiroir afin de m'habiller. Je cherche encore une fois une combinaison
qui pourrait attirer son regard, qui ferait que, pour une fois, il se dirait : "Mon
dieu, quel putain de beau gosse". C'est un rituel sans fin, un véritable cercle
vicieux qui me pèse dessus.
Cela fait un an que chaque jour, chaque nuit que je ne cesse de l'avoir en tête, que
je rêve de lui entrain de m'enlacer et, dans une étreinte frénétique, il m'
avec tant de passion, je rêve de lui entrain de m'embrasser avec toute la douceur du
monde et me faire l'amour comme un amant fou. Hélas, chaque matin je quitte
brutalement le monde des songes afin de regagner la réalité, en espérant qu'un jour,
ces deux mondes puissent ne faire qu'un.
Sur le chemin du lycée, je traverse la route, bordée par une sorte de jardin sans
clôture dans lequel l'herbe brille d'un vert éclatant, d'une part, et bordée par des
immeubles universitaires dont les briques grises foncées semblent s'effriter au fur et
à mesure que le temps passe. Ce gazon si bien soigné se couple parfaitement au bleu
océanique de ce resplendissant ciel dégagé. Il y a du soleil, il fait beau et je
marche en savourant ces quelques rayons de soleil qui s'échouent chaleureusement sur
mon visage en réchauffant ce dernier. Pendant ce court temps de marché, je replonge un
instant dans mes rêves dans lesquels je m'imagine à nouveau, à ces cotés, assis sur
l'herbe sous un soleil brûlant tout en s'échangeant des mots tendres.
j'arrive sur petite pente qui donne accès au lycée et reprends conscience lorsque je
suis confronté à celui qui me fait chavirer depuis bientôt un an. Il était là, entouré
de sa bande d'amis, du haut de ses 1m80, des yeux dont les couleurs vacillent entre le
brun et le vert et un corps de sportif, doté d'une paire de fesse à faire fondre un
radiateur. Je ne peux m'empêcher de le regarder, de le fixer, de le mater
Je me
demande d'ailleurs, comment est-ce que ne s'est jamais remarqué. J'ai cette sensation
que mes yeux se métamorphosent en un ciel couvert d'étoiles à chaque fois que je pose
un regard sur lui.
Au moment où je le regarde, j'ai la malchance qu'il détourne lui aussi son regard vers
moi. Ce petit jeu me frustre au plus haut point car je ne sais jamais ce que cela veut
dire. Aime-t-il ce qu'il voit ? Se demande-t-il plutôt : qu'est-ce qu'il me veut
celui-là ?
C'est toujours le même assaut de questions qui me taraude l'esprit et qui ce
dernier à en souffrir de migraines interminables.
Quoiqu'il en soit, suite à ce petit moment d'égarement, j'ai détourné le regard le
plus que possible afin d'éviter le moindre soupçon, surtout venant de sa part.
C'est ainsi que se passe mes journées au quotidien : à chaque pause, il faut que je
croise son regard et lui le mien, sans savoir finalement la moindre significations de
ceux-ci. À la sortie des cours, nous empruntons le même chemin jusqu'à ce qu'il prenne
le métro dans un sens et moi le métro sur le quai juste en face. De nouveau, nos
regards se croisent et là, bien plus souvent car il y a rarement autre chose à faire
en attendant les transports. Ce petit jeu de regard me fatigue de plus en plus,
surtout lorsque cela ne mène à aucune réponse. "C'est peine perdue", me disais-je. En
rentrant, c'est un calvaire des plus déplorables. Ma seule envie est de me coucher,
mettre en marche quelques petites mélodies bien tristes afin de me plonger dans mes
songes, seul endroit où je me sens bien et heureux, finalement.
Le jour suivant, je remercierai ce que l'on appelle "la distraction". En effet, le
lendemain, je me devais absolument d'avancer dans certains de mes travaux de groupe.
Pour ce faire, nous restâmes dans la cafétéria jusqu'à la fermeture du lycée pour
ainsi dire. Curieusement, le destin a voulu que je jette un il sur quelques tables
plus loin. J'y découvris un bouquin qui trainait sur la table. Je me rapprocha de la
table et je vis ce livre vert, légèrement poussiéreux mais tout de même soigné avec
écrit en grand "English Book", ayant une tête l'air de dire : "s'il te plait, rends
moi à son propriétaire". Chose faite. Par chance, une étiquette reluisante dont la
parfaite couleur blanche était sabotée par une jolie calligraphie mentionnant un
prénom : Marco (accompagné du nom de famille, bien sur). Je resta perplexe un instant.
J'observais et analysais ce nom dont les origines slaves semblaient ressurgir. "Peu
importe" pensais-je, maintenant que tu as trouvé ce livre, il faudra le rendre à son
propriétaire, par qui de droit.
Le soir, en rentrant chez moi, je fis un tour sur Internet et plus particulièrement
sur un célèbre réseau social dans le but de trouver ce chanceux propriétaire. En
utilisant le moteur de recherche du réseau, quelle ne fût pas ma surprise lorsque je
découvris que ce livre appartenait à ce bel homme qui m'a toujours rendu ivre de
désire. Je me précipita sur mon clavier pour lui laisser un court message en
l'avertissant que j'étais en possession de son livre. Ce dernier me remerciait et me
donnait un point de rendez-vous au lycée afin que l'échange puisse avoir lieu.
Le lendemain, j'ai eu le plaisir de le trouver afin de lui rendre son livre. On s'est
serré la main, et je n'ai pas pu m'empêcher de me sentir heureux dans mon fort
intérieur. Geste anodin, certes, mais pour la première fois de ma vie, j'ai pu lui
serrer la main et même plus, entretenir une conversation avec lui.
-"Merci beaucoup d'avoir récupéré mon livre. Où l'as-tu trouvé ?", me dit-il avec une
voix assez grave.
-"Oh ben, je travaillais, hier, à la cafet' et je l'ai aperçu au loin sur une table",
lui dis-je.
-"En tout cas, je voudrai te remercier pour ce petit geste", me dit-il avec un petit
sourire malicieux.
-"Je t'en prie. Je suppose que tu aurais fait la même chose pour moi".
-"Oui, probablement".
Ne voulant pas laisser la conversation à ce stade, j'ai décidé de pousser un peu plus
loin.
-"Je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un coup d'il à ton bouquin. J'ai pu comprendre
que c'est un livre d'anglais. Ca m'a l'air d'être d'un niveau plutôt élevé.", lui ai-
je dit.
-"Oui c'est bien cela. Je dois avouer que j'éprouve quelques difficultés en anglais",
m'avoua-t-il.
On a tendance à dire que le malheur des uns fait le bonheur des autres. Ce n'est pas
ici que j'allais contredire le célèbre dicton :
-"Ah bon ? Tu sais, je suis plutôt balaize en langues, sans prétention aucune. Si tu
as besoin d'aide, je n'hésiterais pas à t'aider"
-" Oh pas besoin, tu sais. Je n'ai pas envie de te déranger juste pour ça".
-"Mais ce n'est pas un problème, je suis à ta disposition, si tu le désires", lui dis-
je.
Après cette conversation, quelques semaines se sont écoulées et nous parlions de temps
en temps, de banalités, de tout et de rien, quoi. Au plus j'apprenais à le connaître,
au plus ces sentiments se développaient au plus profond de mes entrailles. À vrai
dire, j'étais plus que comblé de pouvoir partager quelques discussions, quelques
rires, des moments d'amitié avec lui. Cependant, cette relation fut la plus
douloureuse car elle n'a jamais abouti sur quelque chose de concret car je savais que
c'était un hétéro, un vrai macho.
Quelques jours avant les examens, alors que j'étais tranquillement posé sur mon lit
entrain d'étudier, je fus dérangé par ce petit son parasite qu'est le vibreur de mon
portable.
Néanmoins, quelque chose me poussait à aller voir de qui il s'agissait et pour
quelle(s) raison(s). À ma grande surprise, je vis un message de Marco. Il me disait
qu'il était entrain de réviser son anglais et qu'il éprouvait quelques difficultés
avec la conjugaison. Il me demandait gentiment si j'étais disponible afin de passer
chez lui pour l'aider. Je n'eus le temps de finir le message que mon cur sautillait
dans tous le sens. Je sentais une sensation de chaleur, de stress. J'étais surexcité à
l'idée de mettre les pieds chez lui pour l'aider. L'espace d'un instant, je me suis
imaginé mille scénarios, les plus excitants les uns que les autres. M'appelle-t-il
vraiment pour l'aider ? Va-t-il m'annoncer quelque chose ? A-t-il compris ce que je
ressens pour lui ? Bref, des millions de scénarios me traversaient l'esprit.
Je repris mon calme après quelques minutes. La tristesse et la déception
s'esquissaient sur mon visage.
- " Qu'est-ce que tu peux être con, Anthony, quand même !! Il est clair qu'il ne se
passera rien
"
C'est ainsi que je me suis vite calmé et préparé à partir chez Marco. Je suis parti
avec un peu d'appréhension mais au final, ce n'était que pour l'aider.
Une vingtaine de minutes plus tard j'étais arrivé en face de chez lui. Je sonna et il
m'ouvrit la porte. Pendant mon ascension dans ces escaliers d'un marbre gris glacé,
mon cur palpita dans tous les sens. Je voulais me cacher ou bien m'enfuir tellement
je ne voulais me trouver seul avec lui, uniquement lui.
Lorsque je suis arrivé devant sa porte :
-" Ah salut ! Comment ça va ? Merci d'être venu en tout cas"
-"Oui, ça va bien, merci. Et toi ? Je t'en prie, c'est normal", lui dis-je.
-"Oui, ça va ! Allez, rentre !".
Aussitôt dit, aussitôt fait ! En passant le pallier de son appartement, je découvris
un endroit plutôt moderne, des meubles en bois, quelques tableaux et photos de famille
accrochés au mur mais une peinture bleu/grise rendant l'endroit un peu froid.
Nous nous dirigeâmes vers sa chambre afin que l'on puisse commencer à travailler. Je
découvris une belle petite chambre, plutôt ordonnée, un lit spacieux et une grande
garde-robe. Nous nous sommes assis et pendant qu'il cherchait ses affaires, il me
raconta une de ces mésaventures du matin. Il me dit qu'il avait été accosté par un gay
au supermarché du coin. Il me dit que cela l'avait mis en colère :
-"Ces PD me répugnent !!", dit-il avec un (faux) air de dégoût.
En entendant ces quelques mots, je me suis comme effondré dans mon profond intérieur.
Je n'étais pas capable de le voir mais je sentais mon cur abondamment, se
briser en plusieurs minuscules morceaux que l'on piétinait en plus de ça. Je me suis
rendu à l'évidence : jamais rien n'allait se passer entre nous. À force de prendre sur
moi, j'ai réussi à ne rien laisser transparaître et nous nous sommes mis au travail
petit à petit.
Après plusieurs minutes de travail, nous faisions une petit pause et Marco me posa une
question à laquelle je ne m'attendais pas et qui aura eu pour conséquence un
renversement sans précédent au plus profond de mes entrailles :
-"Dis-moi, Anthony"
-"Oui ?!"
-"Bon ok, ça va paraître bizarre et je me fais surement des films mais il y a toujours
quelque chose que j'ai trouvé louche chez toi", me lança-t-il.
-"Ah bon ? Bah vas-y, dis-moi !"
-"Tu sais, parfois, au lycée ou même en attendant les transports, je remarquais que tu
me regardais toujours, et, d'une façon peu spéciale
"
À ce moment-là, je commençai à sentir une chaleur s'emparer violemment de moi. Je ne
sais pas comment il me percevait mais j'avais l'impression de devenir rouge écarlate
face à lui. Mon cur recommençait à palpiter et plus la conversation se prolongeait,
plus mes palpitations se faisaient plus fortes.
-" Ah bon ? Non, je ne pense pas tu dois faire erreur !", lui ai-je dis avec si peu
d'assurance que je me trahissais.
-"Et puis, dis-moi, si tu sais que je te regarde tellement, je suppose que c'est parce
que toi non plus, tu ne me lâches pas du regard", rétorquais-je de sorte à le mettre
mal à l'aise.
Une fois ces paroles sorties de ma bouche, un long silence se fit entendre. Avais-je
fini de découvrir quelque chose que je n'avais jamais soupçonné ? Avais-je touché un
point sensible ? Non, pensais-je.
Mais il me regarda, les yeux écarquillés au possible, ne bougeait pas comme si la
paralysie s'était emparée de lui. Le silence était si bruyant que même nos
respirations ne semblaient pas briser ce cycle inaudible. À vrai dire, je ne sentais
même plus une respiration, comme si la détresse fit en sorte que l'oxygène de ses
poumons s'évapore. Je suppliais le Ciel pour que ce martyr s'achève.
Nos visages étaient près l'un de l'autre, et là, je remarquai que son visage
s'approchait tout doucement. Plus la distance se réduisait, plus mon cur sautait dans
tous les sens. À force de se rapprocher, il finit par m'embrasser. Ce fut un baiser
d'une douceur inexplicable et cela s'est suivi par un baiser fougueux, interminable.
Au même moment, une sensation de picotement me titillait le ventre. Ce picotement
s'apparentait plus à une sorte de douleur, une douleur qui en fait, me faisait un bien
fou, une sensation d'extase. Au fur et à mesure que ce baiser se prolongeait, je
sentais mon cur qui allait exploser. Je posa mes mains doucement sur ses joues pour
continuer ce baiser magique. Il posa les siennes sur ma nuque. Rien que le contact de
sa peau sur ma nuque fit en sorte que des frissons me parcouru le corps. Ce simple et
interminable baiser s'est poursuivi avec la langue. Il embrassait tellement bien. Tout
à coup, nous nous sommes levés, toujours en s'embrassant et il me bouscula jusqu'à son
lit. Je me suis couché et il s'est posé sur moi. J'enroulais mes bras autour de sa
tête et mes jambes autour du bas du dos. Il arrêta de m'embrasser un instant et me
fixa longuement avec ses yeux si étincelants :
-"La vérité c'est que
j'ai toujours ressenti quelque chose pour toi"
-"Tais-toi et embrasse-moi", lui ai-je répondu à voix basse.
Ainsi, nous avons continué nos bisous et jamais je ne m'étais senti aussi bien. Tout
doucement, une de mes mains quitta sa nuque pour se balader un peu plus bas. Je
caressais délicatement le tissu de son pantalon et j'ai constaté que ces baisers
l'avaient mis dans un état bien particulier. Il fit de même et a également du
remarquer que mon érection était déjà bien forte. Petit à petit, je lui retirais ses
vêtements et lui les miens afin de se retrouver uniquement en slip l'un sur l'autre.
Je découvris de belles formes, des muscles plutôt bien dessinés qui ont eu le don de
m'exciter encore plus.
J'ai décidé de me mettre sur lui à mon tour et progressivement ma bouche quittait la
sienne et commença son périple sur sa peau douce et imberbe. Je lui embrassais et
léchais tout doucement son cou, ce qui avait l'air de lui plaire. Je me suis ensuite
déplacé vers ses pectoraux que j'embrassais tout en lui caressant les abdominaux. Ma
bouche descendit jusqu'à son bas ventre et je décidai de lui enlever son slip. Je
découvris un beau sexe, plutôt long et d'une épaisseur d'environ 5cm. Je lui fis
quelques petits baisers avant qu'il ne disparaisse entièrement dans la bouche.
J'entrepris ma toute première fellation et il n'avait pas l'air de s'en plaindre. Il
poussa quelques gémissements qui témoignaient du plaisir que j'étais entrain de lui
procurer.
-"C'est la première fois qu'un homme me fait ça. Qu'est-ce que tu fais ça bien
", me
disait-il d'une voix assommée par le plaisir.
Au bout de quelques minutes, il me demanda d'arrêté avant d'atteindre le point de
non retour. Il ne voulait pas que cela s'arrête comme ça, m'a-t-il dit, qu'il voulait
partager ce moment avec moi sans merder. J'en étais presque ému et ainsi nous nous
sommes replongés dans des baisers fougueux. On s'arrêta à nouveau et il décida de me
rendre la pareille en entamant une fellation également. J'ai senti sa bouche
l'engloutir d'une traite. Je pouvais sentir la chaleur et l'humidité de sa bouche
entreprendre des va-et-vient sur mon sexe. Qu'est-ce que c'était bon, tellement bon
que mes gémissement s'apparentaient à des orgasmes :
-"Tu fais ça tellement bien toi aussi. Oh P*TAIN, vas-y continue
"
Au bout de quelques minutes, je me sentais venir petit à petit et je lui suppliai donc
d'arrêter pour qu'on puisse faire durer la plaisir pour cette première fois.
Ensuite, il alla chercher un préservatif et l'enfila. Il me souleva les jambes et
utilisa sa salive afin de lubrifier mon petit trou bien serré. Il commença par y
enfiler un doigt, et puis deux. J'ai lâché quelques cris tellement c'était bon.
C'était la première fois qu'on me faisait cela, et j'adorais. Il prit ensuite son sexe
en main et le poussa très doucement dans ma cavité. Il y allait vraiment doucement et
pris quelques petites pauses à chaque fois que je ressentais un peu de douleur. Après
quelques instants, il était complètement en moi et débuta ses va-et-vient. Ses coups
de butoir se faisaient vraiment doucement, en même temps que l'on s'embrassait
passionnément. Une fois en moi, je ne voulais plus me séparer de lui, c'était la
première fois que je faisais l'amour et je ne m'étais jamais senti aussi bien, aussi
libre, comme si le temps s'était arrêté. Au fur et à mesure que le temps passait, il y
allait de plus en plus vite. Il me limait de plus en plus fort et je poussais de
terribles gémissements. Je le suppliais d'aller plus vite, plus fort et c'est ce qu'il
fit. Le plaisir était si intense que je m'agrippais aux draps de son lit. Après trente
minutes, je vis l'expression de son visage changé et j'ai compris qu'il était sur le
point d'éjaculer. Son sexe frottait si fort contre ma prostate qu'en même temps nous
avons partagé un orgasme si intense que je ne sais pas si les voisins ont entendu.
Sans me branler, jéjaculai et plusieurs jets se sont échoués sur mon torse tandis que
Marco s'abandonnait en moi. Après cet exercice physique intense, il s'échoua sur moi,
entièrement repu.
Après quelques minutes de silence, il me regarda droit dans les yeux et j'ai vu que
ses yeux brillait, comme s'il allait lâcher une petit larme. Il me dit tout doucement
: Je t'aime.
Ému, ayant une petite larme au coin de l'il je lui répondis que je l'aimais aussi
[À suivre]
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