Il Était D'Accord Pour Que Je Baise Ma Belle Soeur
Je ne vois plus ma belle-sur de la même manière
Ils se sont mariés il y a deux ans. Alexandra a vingt-deux ans comme moi, mon frère
Martin en a deux de plus. Je mappelle Enzo.
Comment vous décrire Alex (pour les intimes) ? Elle est la vie même : pétillante,
simple, très intelligente, ouverte, sans chichis, des yeux pleins de malice, toujours
le sourire. Bref, la femme dont on rêve. Ça, cest pour la généralité.
Voici maintenant pour la silhouette : SUBLIME !
Un petit cul pommelé, une taille de guêpe, des seins en forme de poire. Je les ai vus
!
Des cuisses pleines, des mollets bien galbés, en deux mots, une nana sublime.
Un jour de plage, nous étions tous les quatre, avec ma copine de lépoque. Le soir,
tous les gens partis, nous fîmes les fous. Les filles avaient passé laprès-midi la
poitrine à lair et un bas de maillot trop mini, noués sur les côtés. Elles nous
chauffèrent toute la soirée. Nos érections impromptues les faisant rire, nous
retournâmes dans leau. Là, Alex sauta sur mon dos, écrasant ses seins sur mes
omoplates. Pour la soutenir, je posai mes mains très haut sur ses cuisses, tout près
de sa vulve collée à mes reins
Ma copine en fit autant avec mon frère. Nous jouâmes un moment à nous tirailler.
Martin tira sur le nud qui retenait le maillot de sa femme. Évidemment, je fis de
même avec ma copine, qui ne protesta pas. Les deux femmes glissant de nos dos, se
retrouvèrent quasiment nues, le pubis à moitié découvert. Nous défiant du regard,
elles tirèrent sur lautre ficelle.
- Vous nallez pas rester en rade, vous deux !
Martin surenchérit, en baissant son maillot pour montrer son érection.
Et cest comme cela, que nous nous retrouvâmes tous à poil et continuâmes à chahuter.
La situation devenait de plus en plus trouble. Les rires avaient disparu, remplacés
par des attouchements de plus en plus précis.
en lair et était prêt à lenfiler debout. Alex cria,
- STOP ! Ça va trop loin !
Nous nous rhabillâmes sans un mot. Depuis, aucune allusion fut faite quant à ce
dérapage, ce qui nempêcha pas de continuer les réflexions osées, comme nous le
faisions avant. Pour ma part, je gardais en mémoire, le corps divin de ma belle-sur
contre le mien
- Enzo, tu viens nous retrouver à dîner samedi soir ? Nous avons une surprise pour
toi.
- OK. Mais je viendrai seul. Ma copine nest pas dispo.
- Cest mieux comme ça. Nous resterons entre nous pour cette surprise.
Que pouvait bien être cette surprise ?
Je gambergeai toute la journée. Mais cela ne servit à rien. Je me rendis donc chez
eux, le cur battant et tombai sur une Alex toute en beauté. Robe courte à fines
bretelles, les tétons cherchant à percer le tissu, qui moulait aussi ses fesses bien
rebondies. Entre elles, une raie sombre : slip ou non ? Si oui, il devait être
minuscule !
- Alors ? Cette surprise. Cest quoi ?
- Oh ! Du calme ! Nous te dirons ça au dessert. Pour linstant, trinquons à la santé
dAlex.
- À la vôtre aussi, Messieurs !
Le dîner fut bien réussi et dans lambiance à son comble, les histoires de culs
fusèrent.
De temps à autre, une bretelle tombait sur le bras. La pointe du sein tenait alors
lensemble. Je déglutis difficilement, quand je vis la main de mon frère disparaître
sous la table. Aux yeux expressifs de sa femme, je me doutais bien de ce quil
touchait
- Martin ! Du calme ! Ton frère est là.
- Tu ne perds rien à attendre, ma belle. Ce soir, je vais percer ton slip avec mon
- Oh ! Tu nauras aucun mal. Il est ouvert !
- Cest celui du sex-shop ?
- Chuuuuutttt !
- Faites comme si je nétais pas là, les tourtereaux !
Au fait, cette surprise ?
- Bon.
Telle que tu la vois, elle a un polichinelle fille dans le tiroir.
- Ce nest pas vrai ! Tu as réussi à la féconder avec ton vermicelle ?
- Si Martin a un vermicelle, tu as le même
si je men souviens bien !
- Et tu seras le parrain, mon vieux.
- Depuis combien de temps dure cette gestation ?
-
Depuis la journée de plage
Tu te souviens ?
- Tu parles !
- En rentrant, je lai carrément défoncée !
- MARTIN ! Reste courtois !
Si jai mis fin à nos amusements ce soir-là, cétait parce que jétais en pleine
ovulation.
- Eh bien ! Heureusement ! Sinon ?
- Je laurais gardé quand même. Ce ne serait pas sorti de la famille : vous vous
ressemblez comme deux gouttes deau.
- Je suis troublé
Buvons à la santé de ma filleule !
Soudain le téléphone sonna. Le visage dAlex sassombrit dun coup.
- Oh NON ! Pas ce soir !
Martin se leva et alla décrocher le combiné.
Javais omis de préciser, quoutre son métier, il est aussi pompier volontaire.
Il revint lair déçu.
- Je suis obligé dy aller. Un feu important sest déclaré.
Enzo, tu veux bien rester dormir là ce soir ?
Alex a peur de rester seule.
- Pas de soucis, je vais laider à débarrasser la table et nous ferons un scrabble en
tattendant.
- Je ne serai malheureusement pas là avant demain matin. Je me sauve. À plus !
Visiblement très contrariée, Alex sen alla dans la cuisine.
La rejoignant, je la vis saffairer à lévier, la tête penchée, rentrée dans les
épaules.
- Tu ne te sers pas de ton lave-vaisselle ?
- Jallais simplement laver les verres fragiles.
Un reniflement significatif malerta. Elle pleurait
- Que se passe-t-il ? Il va vite revenir !
- Je sais bien
De trois quarts derrière elle, je posai une main sur son épaule.
robe tombée, le sein était presque découvert. Ma tête vint sur la sienne. Je lui
murmurai à loreille,
- Nabîme pas ces beaux yeux
- Tu ne sais pas tout. Enzo
- Mais quest-ce qui se passe ici à la fin ?
Dun bloc, elle se tourna vers moi et saccrocha à mon cou.
- Je suis malheureuse !
Je crois que Matin me trompe. Ce soir, je ne sais pas si le coup de téléphone venait
réellement de la caserne. Lautre jour, après une de ses sorties, jai fait une
lessive. Un de ses slips était taché de sang.
- Et alors ?
- Ou cette femme avait ses ours, ou elle était vierge pardi !
- Tu lui en as parlé ?
- Non. Serre-moi contre toi Enzo
Tellement abasourdi par cet aveu, jobéis comme un automate. Cétait la première fois
que jétreignais ce corps, qui épousait le mien.
Ses seins sécrasèrent sur moi, ma cuisse semboîta entre les siennes, mon boxer
devint étroit. Mon visage se pencha sur le sien, ma langue lécha la larme qui coulait
vers sa bouche
- Alex
- Enzo
Embrasse-moi
Sans répondre, je posai ma bouche sur la sienne. Nos langues et nos salives se
mélangèrent. Son bassin accentua la pression sur mon érection. Mes mains firent
glisser les bretelles, découvrant la poitrine. Alex uvra pour déboucler ma ceinture
et glissa à terre, entraînant mon pantalon et mon boxer vers le bas. Ma queue raide
fit un bond en lair, aussitôt absorbée par une bouche vorace. Javais trop envie
delle, pour me satisfaire dune pipe.
- Relève-toi Alex. Allons dans la chambre.
- Oui. Vite !
Quand nous refermâmes la porte, nos vêtements volèrent en tous sens, à part ce fameux
string fendu.
- Tu ne lôtes pas ? Ça me rappellera la présence de mon frère.
- Comme tu veux.
Ma belle-sur se coucha nue au beau milieu du lit, exposée comme une fille de joie. Je
me plaçai tête bêche sur elle. Ma queue et mes couilles furent saisies à pleines mains
et attirées à bonne hauteur, pour être léchées. Mon nez et mon menton fouillèrent sont
intimité ruisselante, à la façon dun groin de porc. Mon visage se trouva nappé de
cyprine. En jouant du bassin, elle me fit comprendre que je devais la lécher plus
précisément. Je joignis deux doigts à ma langue et forai sa chatte.
Très vite, elle serra ses cuisses sur ma tête en hurlant. Mon foutre jaillis au même
moment dans sa gorge. Je ne lui laissai pas le temps de reprendre ses esprits. Faisant
un demi-tour en douceur, je me plaçai entre ses cuisses relevées.
- Baise-moi Enzo
- Tu ne le regretteras pas ?
- Sûrement pas ! Enfonce-toi maintenant !
Glissant sur son corps en sueur, ma queue trouva toute seule lentrée de son vagin
étroit. Les yeux dans les yeux, la bouche ouverte, je pénétrai ce corridor en feu.
Nos pubis unis, je marquai une pose. Ses muscles se contractèrent sur ma queue comme
une prière. Quand je pris appui sur mes mains, elle me ceintura de ses longues jambes.
La danse infernale du coït commença. Nos chairs sentrechoquèrent, ses seins
ballottèrent en tous sens. Jamais je nai baisé avec autant de vigueur !
- Cest bon ! Cest bon ! Cest bon ! CEST BOOOOOOOOOONNNNNNNN !
- OH OOOOOOOOUUUUUII ! CEST BOOOOOOOONNNNNNN !
- Je te sens gicler ! ENCORE ! ENCORE ! ENCORE !
Tout mon poids pesa sur elle. Des coulées brûlantes suintèrent de sa vulve éclatée.
Lentement, ma verge se rétrécit. Me soulevant, je roulai sur le côté. Un bruit mouillé
accompagna mon retrait.
- Jinonde les draps.
- Tu ne regrettes toujours rien ?
- Tu es fou ? Quelle fougue !
Je maperçois que ton frère sempâte
Est-il déjà blasé ? Maime-t-il toujours
?
Dès quil rentrera, je lui raconterai notre soirée.
- Pas question ! Je ne me cacherai derrière toi. Cest à moi de lui avouer. Je tirerai
aussi cette histoire de slip taché au clair.
- Je vais me coucher, Enzo. Merci davoir calmé ma soif de toi
Le lendemain matin, Martin revient fourbu après une nuit denfer. Malgré cela, je
voulus immédiatement crever labcès.
- Martin, ça va ?
- Bof, content dêtre rentré ! Alex dort encore ? Tu as lair aussi fatigué que moi.
Quavez-vous fait après mon départ ?
- Alex est aussi fatiguée que moi
Nous avons fait lamour
- Cest tout ?
- Comment ça, cest tout ?
- Figure toi petit frère, que si je navais pas été appelé hier soir, je laurais mise
dans ton lit !
- Tu es sérieux ?
- On ne peut plus !
-
Mais
Et dis-moi, ce slip taché de sang quelle à découvert. Tu as une maîtresse ?
- Tes con ? Une maîtresse ?
aaaaaaaaaaaahhh je vois !
Pourquoi cette andouille ne men a pas parlé ?
Cest simple : lautre jour, jai été appelé sur un accident pas beau à voir. En cour
dintervention, jai été obligé daller vomir derrière un fourgon et en même temps,
jai pissé. Mais je ne métais pas aperçu que javais sur les mains. Cest
tout con et je ne lui ai pas signalé. Voila tout !
- Tu devrais tout de suite aller le lui expliquer. Moi je rentre et pardon frangin de
tavoir trompé.
- Pas question ! Tu ne partiras pas comme ça ! Viens la réveiller avec moi.
Elle peut bien encore supporter deux queues ! Non ?
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