La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°189)
Histoire écrite par Christine (suite de Christine au château de l'épisode N°187)
Tout à coup le Marquis pris mon petit bouton rose érigé en bouche, un cri resta coincé
dans ma bouche tant les sensations étaient fortes. Il se mit à le sucer comme on suce
un bonbon sur le bout de la langue et en arrière des lèvres. Je voyais mon ventre
gonfler et dégonfler de plus en plus vite. Il se concentre sur mon clito avec un art
des plus vicieux passant sa langue pour le décalotter et plonger dans les replis rouge
sang qui le composent. De ses doigts, je sens quil me passe un fluide frais, doux, un
peu épais sur la chatte par de doux mouvements circulaires. Je sens mes jambes
trembler de désirs dêtre emplie dun sexe dressé mais non
le Marquis continue ses
caresses buccales si
hummmm
Il me mâchonne, métire mes parties si gonflées par le
sang et si sensibles. Jen vois blanc, rouge, jaune, des étoiles, je ne sais plus, je
suis
à lui, chatte et cul à Sa disposition
. Jai envie de crier, hurler mon plaisir
par delà ce bâillon-boule qui me frustre
Et il rit
- Non, non tu ne vois rien, tu es à Moi et moi seul, tu jouiras lorsque Je laurai
décidé et pas avant
ha ha ha ha !
Et de reprend son jeu en soufflant sur ma chatte gonflée, et ouverte. Puis dun doigt,
il commence à me pénétrer pour appliquer ce fluide huileux que je ne reconnais pas.
- Tu te demandes ce que çà peut être, nest-ce pas ? Hé bien, je récolte aussi du miel
au Château, Miel dont jaime le goût et qui mélangé à la cyprine est un véritable
délice ! Hum
si tu savais
je raffole de ce mélange. Jai aussi mélangé un peu de
cannelle et de gingembre au miel, ce que tu dois commencer à sentir te chauffer dans
ta chatte
Jespère que tu apprécies !
Monsieur le Marquis me lance alors un regard espiègle puis tout en me fixant enfonce
un second doigt dans ma chatte.
me fouillent sous le déluge de sensations. Il en profite pour glisser entre mes fesses
et me mettre un doigt dans lanus. Automatiquement, je relâche tout.
- Hummmm
Oui, ma belle petite femelle, oui, oui, je noublie pas un de tes trous si
délicieux
Le Marquis se mit à me caresser des deux côtés de la paroi vagin-anus en faisant
glisser ses doigts en moi. Je devenais folle des sensations des mouvements toujours
très lents avec lesquels il procédait. Jaurais voulu pouvoir magripper à la table à
laquelle jétais liée, pouvoir hurler des plaisirs vicieux dont jétais lobjet. Mais
non, jétais contrainte de suivre le rythme de cet artiste des plaisirs sexuels
Plus
loin, toujours plus loin, il entrait sa langue dans ma chatte, la dégustant, tirant
sur mes lèvres, les tournants entre ses doigts comme pour faire goûter cette technique
traditionnelle rwandaise du Gukuna. Et toujours également ce doigt pervers mais si bon
qui ne quitte pas mon cul. Il le retire ensuite en douceur et att quelque chose
derrière lui et je sens lobjet pointer sur ma rondelle et tout doucement y entrer.
- Humm
regarde comme tu vas être bien préparée avec ça
hummmm.. je sens que je vais
adorer te préparer ma petite chienne. » Me murmure le Marquis dun air gourmand.
Je sens mes chairs souvrir tout doucement et aspirer cet objet que je ne connais pas
: frais, rugueux abondamment lubrifié et dont la poussée est lente mais constante
pendant un temps, puis je sens le Marquis sarrêter un moment et le maintenir avec son
genou. Je le sens qui modifie sa position et menfonce le plug (car cest bien de cela
quil sagit) dun coup avec son genou en éclatant de rire :
- Ha, ha, ha hummm, celui là il est à sa place !
Puis, se mettant debout il mempoigne et mon sein gauche en me pinçant brusquement le
téton et dans le même temps me pénètre de trois doigts avec son autre main.
je bombe le torse en prenant appui sur mes épaules. Je vois le visage du Marquis
dEvans serein et me défiant.
- Humm pour la suite, je vais tenlever ce bâillon, jai envie dentendre comment tu
texprimes avec la suite de mon programme
disons
initiatique
humm
A ces mots il
défait mon bâillon. Ce qui me fait haleter très fort. - Chutt, ma toute belle, tout
doux, cétait juste un petit aperçu !
Ah ? arrivais-je à articuler, ma mâchoire un peu raide.
- Oui, oui, oui fait-il en chantonnant. Là, le Marquis fit un pas en arrière, ouvre
son pantalon et le fait tomber. Très calmement, il poursuit : très bien, nous voici
prêts pour létape suivante ! Il sapproche de la table en sort une rallonge de chaque
côté sur la longueur et grimpe sur le meuble à la manière dun félin. Il se place, sa
queue vers ma tête. Son sexe bandant se dresse et approche de ma bouche encore ouverte
sous le coup du bâillon.
- Ma belle, nous allons à présent faire connaissance plus
intimement !.
Je vis lombre du corps du Marquis sabaisser sur moi et sa queue entrer dans ma
bouche et aller butter au fond de ma gorge. Il remarqua que je navais pas lhabitude,
se releva en me regardant sous lui et me dit rudement :
- Maintenant suce moi, je ne veux plus tentendre !
Saisie par le ton de sa voix, jeus le souffle coupé et le sentit reprendre lentement
sa position ; enserrant mon entrecuisses pour étirer les chairs et faire souvrir ma
chatte un peu plus. Deux de mes trous étaient pleins, je savais que le membre qui
remplaçait le bâillon allait encore grossir et ça mexcitait encore un peu plus.
Lorsque le Marquis se remit à sucer mon clito, je voulus crier mais cela ne permit
quà sa queue de senfoncer un peu plus profondément au même moment je sentis le
Marquis semparer de ma chatte à pleine bouche et me limer de sa langue chaude.
et venir de mon bouton rouge à la chatte en y plongeant la langue pour en recueillir
le nectar. Ma bouche enfermait sa queue, dure, chaude, douce et commençait à le
pomper, jouer avec ses reliefs, ses renflements. Je vis son cul se contracter, témoin
de sa capacité à ravaler son plaisir au plus profond de lui et de se laisser gonfler,
tendre, attendre plus. Ce qui nétait pas mon cas. Sous son action, je commençais à
sentir la fureur de lorgasme approcher, à voir cette couleur blanche enveloppante
colorer mon champ de vision. Je contractais à mon tour mon ventre, essayais de
respirer plus lentement, de déplacer ma conscience ailleurs que là où lon me
fouillait toujours plus loin ; sa langue avait été remplacée par ses doigts, qui
entraient, glissaient en moi, parcourant ma cavité vaginale centimètre par centimètre
pour senfoncer toujours plus loin. Caressant le toit de ma grotte rétrécie par le
plug dont javais limpression quil gonflait avec le temps.
(à suivre
)
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