Ma Cousine Monique Sur La Table

Mes parents partent voir mon grand père malade à plus de 30 kilomètres de la maison.
Je suis obligé
d’y rester avec une cousine qui se fout totalement de mon grand père qu’elle ne
connait pas. Nous
restons un bon moment dans la salle à manger à discutailler et nous disputer comme
toujours sur des
détails sans importance.
Ce n’est pas que Nicole soit laide, au contraire, je ne suis pas tellement attiré vers
elle.
Pourtant quand elle me raconte une histoire qui lui est, dit-elle, arrivée elle
commence à
m’intéresser.
Nous finissons de débarrasser la table, elle continue son histoire : un gars, il y a
peu l’a
embrassé. Jusque là rien d’extraordinaire. Par contre il a voulu lui faire l’amour.
Elle
m’expliquait comment il voulait la baiser : il la voulait presque nue, en chaussette,
avec une
chemise d’homme fermée. Comme elle refusait il a voulu la lui mettre comme ça, sans
l’exciter un
peu. Elle s’est mise à crier au viol quand enfin il la lâché.
- Et alors ?
- Alors c’est ma sœur qui est venue. Il lui avait fait le même coup.
- Elle avait baisé.
- Non. J’ai eu envie quand il m’a lâché, je suis allé dans ma chambre pour me branler.
- Parce que tu te branle ?
- Tu veux voir ?
- Chiche.
Elle s’est mise presque nue en ne gardant que son soutien gorge. Montée couchée sur la
table, les
jambes ouvertes vers moi, elle me montrait sa chatte. Une jolie chatte un peu rosé
avec des lèvres
fines, et le clitoris qui déjà été sorti de sa protection. Je voyais sa fente bien
mouillée. Elle me
narguait un peu :
- Tu bande j’espère.
- Tu veux voir ?
- Bien sur tu regarde mon con, je peux bien voir ta pine.
Je me suis levé, j’ai sorti ma queue pour bine lui montré qu’elle me faisait de
l’effet. Je bandais
dur, comme un âne.


- Mets toi nu que je te vois en entier.
J’ai obéi. Ce n’est qu’alors qu’elle a posé sa main sur sa chatte. Je la regardais se
donner du
plaisir. Elle fermait les yeux de temps en temps. Je voyais son ventre se creuser
quand le plaisir
arrivait. En attendant je restais comme un con à la regarder alors que j’avais envie
de jouir. Je
la regarder jouir, elle recommencer encore à se caresser. Je lui proposais de la
sucer, elle me
donnait sa chatte.
J’aime les goûts d’un sexe féminin, j’aime bien la douceur de la chatte partout où ma
langue se
niche. Je commençais à l’inverse de mes habitudes par le plus loin. Je léchais son
petit trou.
Etonnée elle se laissait faire, surtout quand j’ai durci ma langue pour entrer. Elle a
été aussi
étonné de mon action quand j’ai entré mon pouce dans sa gaine et que mes autres doigts
étaient sur
son clitoris. Je buvais son nectar et lui donnais d’autres plaisirs que ceux qu’elle
attendait. Elle
faisait de drôle de bruits avec sa bouche.
Puis enfin elle parlait :
- Je ne sais pas ce que tu me fais, c’est bon, n’arrête pas. Oui, encore…Je vais jouir
encore,
continue…..JE JOUIS.
A mon tour j’allais sur la table, à ses cotés, je l’embrassais sur la bouche pour lui
faire partager
sa cyprine et enfin monter sur elle. Je ne faisais pas de quartier, elle avait voulu
m’éprouver, je
n’allais pas la rater. Elle voulait voir ma pine quand je bandais j’allais la lui
mettre n’importe
où.
Mon n’importe où était maintenant son cul. Elle y avait aimé ma langue elle allait
gouter mon vit.
Je n’avais même pas à le mouiller, la cyprine dégoulinait encore de son con.
Je me suis vengé en entrant directement entre ses fesses sans la préparer. Je ne
savais même pas si
elle avait pratiqué la sodomie. Maintenant c’était trop tard pour le savoir.
Où elle
en jouira ou
elle aurait mal.
Je posais mon gland sur l’anus qui à ma surprise s’ouvrait facilement sous la
pression. J’entrais
presque aussi facilement que dans un sexe. J’avais cet avantage de prendre l’endroit
le plus
resserré, donc le plus jouissif. Pour manifester encore plus son accord, elle mettait
ses jambes
autour de ma taille. J’entrais doucement à fond. Je sentais ses mouvements de
jouissance autour de
ma bite. Je ne sais pas pourquoi je ne jouissais pas comme d’habitude : normalement
mon sperme
aurait du sortir autour de 10 minutes après, là j’ai du attendre une bonne demi heure.
Ca suffisant
largement pour qu’elle jouisse je ne sais combien de fois.
Quand je l’ai lâché elle m’a donné un de ces baisers que rarement une maitresse donne
à son amant
quand elle a été plus que satisfaite.
Le soir il a fallu que je recommence à la baiser normalement. Elle devenait nympho.
Dans la journée
il lui arrive trop souvent d’aller se satisfaire aux toilettes. Le soir elle voulait
que je
recommence plusieurs fois. J’ai poussé un soupir de soulagement quand elle est partie.

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