L'Étalon

L'étalon
Notre séjour parisien devait prendre fin après six ans de séjour et mes occupations
nous amener à déménager vers la côte atlantique, dans la région bordelaise. Notre
départ étant programmé de longue date nous autorisait une reconnaissance préalable de
notre future résidence un an avant d'y déménager. Le séjour, choisi en juillet,
permettait d'allier travail et vacances dans une région fort goûtée des estivants et
de faire connaître à Marie ce qui sera son nouveau pays en vérifiant qu'elle s'y
sentira bien. Les matinées sont, pour moi, réservées au travail. Les après-midi
étaient consacrés à de longs séjours à la plage où nous découvrions l'immensité des
dunes girondines toujours désertes: inutile de dire que le bikini sautait très vite et
que nous faisions l'amour comme des fous sur cette plage toute entière à nous. Nous
faisions aussi quelques photos, parmi les plus belles que je possède encore de ma
splendide compagne. Ma préférée la voit dresser son orgueilleuse poitrine sous une
frimousse décoiffée par le vent sur le fond de fins nuages qui semblent l'auréoler et
accompagner son envol, tandis que sa main rejette un soutien gorge évidemment inutile.
Mais certaines autres où elle offre lascivement sa croupe au regard ne sont pas mal
non plus. Nous avons passé là quelques jours inoubliables qui l'ont convaincue de
l'agrément qu'elle pourrait trouver à cette région.
J'avais déjà recruté la première équipe de ce qui serait mon futur service,
constituée de huit collaborateurs et d'un ingénieur, Henri, pour les encadrer et les
former en se formant lui-même à des techniques peu enseignées à l'Université ou dans
les Écoles. En arrivant sur place, nous sommes logés dans un ancien camp militaire,
dans une chambre voisine de celle d'Henri: c'est une localisation assez pratique
puisque la plage ne se trouve qu'à quelques kilomètres et que nous avons de larges
périodes de loisirs entre mes rendez-vous professionnels.


C'est encore plus pratique pour favoriser les frasques de ma chérie. Marie est
splendide et follement excitante à son habitude, le plus souvent vêtue d'un chemisier
blanc et d'un mini-short de même teinte. Je ne puis manquer de remarquer qu'elle fait
beaucoup d'effet sur Henri et qu'il reste avec plaisir en notre compagnie, alors qu'il
n'est pas particulièrement pressé de discuter trop longtemps de technique seul avec
moi. En principe, je m'en vais, d'assez bonne heure vaquer à mes occupations, laissant
ma chérie à la chambre, je rentre en fin de matinée pour déjeuner avec elle et nous
passons l'après midi à la plage à nous dorer et à nous aimer. Elle profite en général
de la matinée pour se faire bronzer en bikini sur la terrasse.
Je lui fais assez vite remarquer que mon collaborateur la couve des yeux et elle
m'avoue, ingénument, que le matin même, elle a du faire appel à lui pour boucler la
bride du soutien gorge de son maillot qui n'arrivait pas à contenir totalement sa trop
voluptueuse poitrine. En le lui attachant, il a bien un peu laissé traîner ses mains
mais assez peu pour qu'on puisse encore douter de ses intentions. Peut-être, aussi, a-
t-elle cru sentir ses lèvres effleurer sa nuque. J'encourage ma chérie à l'exciter un
peu plus et le lendemain, elle m'avoue s'être laissée embrasser, toujours à peu près
nue, mais sans vouloir aller plus loin. Est ce vrai ou s'est-elle laissée un peu
caresser, ce qui dans une tenue réduite à un petit bikini a du inévitablement conduire
à des conséquences plus approfondies ? Sur le moment, elle ne me le dit pas mais il
est certain que la situation ne pouvait durer longtemps ainsi. Je ne puis donc que lui
conseiller de faire ce qu'il lui plait, mais avec prudence s'agissant d'un garçon avec
qui je vais devoir travailler.
Le lendemain, le programme reste identique avec mon absence toute la matinée.
Quand je
la retrouve pour déjeuner, c'est tout juste si elle ne ronronne pas en m'avouant que
mon collègue a osé lui rendre visite dans notre chambre, et qu'elle n'a pu éviter de
succomber à ses avances pressantes. Il est évident pour moi que s'il a eu cette
soudaine audace, c'est qu'il avait du percevoir la veille des encouragements sans
équivoque. Et ma poupée, ainsi entreprise, n'a pas du pousser de hauts cris ! Mais
comme on va déjeuner avec lui, on en reste là pour le moment, réservant les
confidences plus précises pour l'après-midi.
Drôle de déjeuner au demeurant, où mon sourire narquois ne peut laisser ignorer à
Henri que mon épouse adorée m'a fait des confidences, ce qui fait qu'il ne sait plus
où passer et commence à se demander si sa carrière ne va pas s'achever là avant
d'avoir commencé. Vaine crainte, je ne lui veux aucun mal et il me restera un
collaborateur fidèle pendant vingt ans, tout en étant assez assidûment l'amant de
Marie pendant plus de dix ans.
L'après-midi, nous le laissons travailler et partons à la plage où nous pourrons faire
le point tranquillement, en prenant un bain de soleil avant de faire l'amour.
–Alors, chérie, il baise bien mon nouvel assistant ?
–Pas mal ! Tu te doutais bien qu'hier, j'avais fait exprès de l'allumer et qu'il ne
s'était pas contenté de m'embrasser. J'étais en train de bronzer sur la terrasse quand
je l'ai vu revenir avant le déjeuner. Il ne pouvait pas m'éviter et s'est arrêté pour
échanger quelques mots. Le temps passant je me suis relevée pour aller à la chambre me
changer pour déjeuner, toujours en sa compagnie puisqu'il regagnait la sienne. Nous
étions si proches…je me suis tout à coup retrouvée dans ses bras. C'est la porte de sa
chambre qu'il a ouverte et pas la notre. Il embrassait bien, avant de m'en apercevoir
j'étais sur son lit.
– Il a du te trouver un peu facile, non ?
– Mais non ! Il m'a dit qu'il ne pensait plus qu'à moi depuis qu'il m'avait vue, que
j'étais magnifique et qu'il me désirait… En parlant, il a défait le soutien gorge
qu'il m'avait aidé à remettre la veille et sa bouche s'est emparée de mes pointes.
Tu
sais que j'aime ça et que je ne peux plus résister quand on sait me les mordiller…Je
me suis vite retrouvée couchée sur le lit et nue dans ses bras…enfin, il n'a pas eu
grand mal, j'avais envie qu'il me caresse. Il se sert admirablement de sa bouche, il
m'a léchée de partout et je n'ai pu l'empêcher de poser ses lèvres sur ma minette et
de glisser sa langue sur mon petit bouton. Il fait ça très bien, j'étais follement
excitée, mais je n'ai pas voulu qu'il aille plus loin : il était trop tard et tu
allais revenir. Dommage, c'était bon, tu sais ! J'ai eu du mal à rester aussi sage…
enfin, presque. Je lui ai dit de revenir ce matin vers 10h en lui précisant que nous
aurions près de deux heures à nous puisque tu m'avais donné ton programme et que
j'avais bien compris que c'était pour me laisser libre.
–Comment as-tu pu tenir jusqu'à mon retour sans faire l'amour s'il t'avait tant
excitée ?
– Tu es arrivé presque aussitôt et j'ai déjeuné avec ma petite culotte toute humide.
J'ai attendu que tu me calmes sur la plage dans l'après-midi.
–Et ce matin, je suppose que je n'étais pas plutôt parti qu'il arrivait ?
–Oh, il n'était pas en retard, tu peux t'en douter. Il s'est glissé chez nous dès 9h
et il m'a fait l'amour jusqu'à 11h. Je suis un peu crevée. Il m'a fait terriblement
jouir, je me demande si je n'ai pas ameuté les femmes de ménage ! Il est bon, tu sais!
– Il faudra que tu lui dises que je ne l'ai pas embauché pour ça, surtout pas pendant
ses heures de travail ! Raconte moi ce qu'il t'a fait et comment il s'y est pris.
–Tu es un cochon, mon chéri. N'oublie pas que tu m'avais dit de me laisser faire. Ça
te fait bander, hein, de savoir que je me conduis comme une petite pute. Mais c'est
vrai que j'avais une envie folle de baiser avec lui, il me plaisait bien et je voulais
voir comment il saurait s'y prendre pour me faire exploser.
J'ai préféré que tu ne
sois pas là, j'ai pu mieux apprécier, pour une première fois.
– Mais il n'était pas question que je te regarde baiser avec un collègue, même s'il se
doute que je sais à quoi vous vous occupez. Tu l'as tout laissé faire ?
–Tout ce qu'il a voulu…et il voulait beaucoup. Tu sais, il a une bite magnifique, plus
grosse et plus longue que la tienne et il sait s'en servir aussi bien que de ses mains
et de sa langue.
–Je vais être jaloux s'il est aussi bien monté! Tu as l'air d'avoir passé une bonne
matinée.
–Chéri! C'est toi qui l'a voulu. Mais ne t'inquiète pas: il me plait comme amant,
c'est un véritable étalon, j'aime bien sa façon de me faire l'amour et j'adore me
faire remplir par sa grosse bite, mais je n'éprouve aucune affection pour lui, pas
comme j'ai aimé Jean. Je crois que je l'ai dragué pour te plaire et je suis bien
tombée. Je commence à apprécier ce petit jeu, mais pas encore au point de le faire
devant toi. Je crois que j'ai envie de recommencer avec lui. Tu veux bien, dis ? J'ai
eu du mal à ne pas gueuler sous ses étreintes en alertant le voisinage; Qu'est-ce
qu'il m'a mis !
–Tu l'as tout laissé faire…avec sa grosse bite ?
–Oui, bien sur. Qu'est ce que tu veux dire ? Si je lui ai offert mon cul ? Pas
vraiment mais il l'a pris ! Il a commencé par me caresser, puis m'a mis son manche
dans la chatte en me limant bien à fond. Le salaud, il me remplissait bien. Qu'est ce
que c'était bon ! Quand il s'est vidé au fond de mon con, je suis parti, je crois bien
que j'ai du crier, j'espère qu'il n'y avait personne à côté. Nous sommes retombés dans
les bras l'un de l'autre pour nous reposer un peu mais il avait de la ressource et
cinq minutes plus tard il s'occupait de nouveau de moi. Qu'est ce que tu voulais que
je fasse quand, il m'a entrepris très doucement en me léchant à fond, du clito au
petit trou? Je voyais bien où il voulait en venir mais j'ai laissé faire. Puis j'ai
senti sa langue forcer doucement mon œillet et quand j'ai commencé à me détendre, il
m'a prise sur lui en 69 et pendant qu'il me dévorait, sa main m'élargissait
progressivement avec un puis deux, puis trois doigts. Ma bouche pouvait à peine
contenir son gland et dès qu'il donnait un coup de rein pour s'enfoncer dans ma gorge
pendant qu'il me fouillait la rondelle, je ne savais plus où j'en étais. Quand j'ai eu
joui bien à fond sous sa langue, je n'avais plus la force de résister. Et d'ailleurs
j'avais vraiment envie qu'il aille plus loin, je voulais sentir sa queue au fond de
mon petit trou, même si j'avais un peu peur de sa grosseur après avoir eu du mal à
bouffer tout son gland. Si encore j'avais pu le vider dans ma bouche, mais non, il
était plus résistant que moi ! Je me suis laissée retourner comme une crêpe et il m'a
calée sur l'oreiller en me faisant cambrer les fesses et ouvrir les cuisses. J'avais
joui et j'étais trempée de mouille, je devenais presque hystérique à sentir son gland
me caresser doucement la raie en insistant chaque fois un peu plus sur mon œillet
pendant que sa main me titillait le clito. J'avais un peu peur de son calibre mais
aussi très envie de le sentir en moi et il s'y est pris si doucement que je l'ai à
peine senti passer, guère plus qu'avec toi. Et quand mon cul a aspiré son gros morceau
de toute sa longueur et qu'il est venu m'écraser de tout son corps, je me suis trouvée
si bien remplie que j'ai joui comme une folle une deuxième fois. Qu'est ce que c'était
bon !
–Petite pute ! Il t'a fait partir combien de fois ?
–Quatre, je crois, je ne comptais plus. Une fois en me baisant pour commencer, puis
une fois en me gougnottant comme je viens de te le dire et enfin en m'enculant. Il
s'est vidé dans mon con et dans mon cul, puis il m'a reprise et m'a encore fait partir
sans se vider. Quand j'ai été un peu remise, j'ai eu envie de finir de le pomper pour
le remercier et il s'est rendu dans ma bouche, il n'avait presque plus rien à me
donner ! Mais j'en ai mal aux mâchoires tellement il est large. Tu vois, il m'a eu
aussi complètement qu'il le voulait, par tous mes trous, comme toi ! Au moment où il
partait, je lui ai dit que je ne te cachais rien et que tu saurais comment il m'avait
eue, c'est pour ça qu'il avait l'air si inquiet au déjeuner !
–Je t'adore. Tu peux continuer autant que tu veux, mais je préfère que tu le fasses en
dehors de ma présence. C'est quand même mon subordonné et je ne veux pas de
complications. Il va te prendre pour une belle salope.
– Non, je lui ai dit que nous étions aussi libres qu'amoureux l'un de l'autre et que
tu étais d'accord pour que je m'amuse un peu quand un garçon me plaisait. Et comme il
me plaisait bien…je crois qu'on va recommencer !
Et nous avons passé l'après-midi à faire l'amour sur le sable en pensant à ce pauvre
Henri et à son inquiétude. Nous sommes encore restés deux jours dans le sud-ouest et
ce furent encore deux matinées de pure débauche pour mon amour. Cette aventure, que
nous croyions sans lendemain, devait cependant se prolonger pendant plusieurs années.
L'année suivante, en juin, nous quittions Paris pour nous installer dans le sud-ouest
où nous sommes encore. Marie devait y retrouver Henri et, sans que cette relation
devienne un besoin ou un risque pour notre ménage, elle se poursuivit chaque fois que
Marie avait envie d'une grosse pine ou qu'Henri désirait profiter d'un cul bien
souple. Il est certain que sans l'aimer, elle adorait sa façon de lui faire l'amour et
la puissance avec laquelle il la couvrait. Quant à lui, il était heureux de trouver
une fille assez chaude pour se prêter à tous ses désirs, en particulier pour accepter
d'offrir une voie étroite, qu'il devait trouver délicieuse, au diamètre superbe de son
dard.
Car il faut dire que ce célibataire avait une maîtresse attitrée qui refusait
systématiquement toute intromission postérieure. J'en sais quelque chose car elle
devait également devenir pour moi une maîtresse occasionnelle et je n'ai moi non plus
jamais pu la convaincre des bienfaits de la sodomie. C'était une de nos techniciennes,
prénommée Nicole, nettement plus jeune que nous et un peu nymphomane. Je crois bien
que je l'avais embauchée autant pour son regard de salope que pour ses diplômes. A
vint trois ans, elle ne comptait plus ses amants et, initiée par son frère dont elle
était restée à l'occasion la complice dévouée, elle ne refusait aucune expérience,
hormis sa voie postérieure, et aucun de ses amants n'avait pu la convaincre de se
livrer par ce côté. Pas vraiment belle de visage, elle avait cependant un corps
magnifique, bien qu'assez gracile, avec une poitrine assez petite pour n'avoir aucun
besoin de soutien-gorge: elle n'en mettait donc jamais et, l'été, sous sa blouse,
chacun pouvait admirer à loisir les pointes de ses seins qui voulaient percer le
tissus ou leurs rondeurs bien visibles par l'échancrure du col. Plus discrètement, il
était rare qu'elle porte un slip: c'est d'ailleurs cette habitude qui devait faciliter
mes entreprises sur elle. Un jour où debout à mes côtés et penchée sur mon bureau pour
m'exposer un résultat d'expérience, elle me découvrait ses jambes sous une jupe bien
courte, je n'ai pu résister à y porter la main et, n'ayant pas noté de réaction
violente, à progresser plus haut…sans trouver la moindre barrière: la salope ne
portait pas de slip et se contentait de me sourire lorsque ma main atteignit ses
fesses. Deux minutes plus tard, elle était assise sur mon bureau pour mieux
m'aguicher.
Le soir même je la raccompagnais chez elle et en faisait ma maîtresse. Elle allait le
rester pendant bien des années, avec la complicité active de Marie, puisque nous ne
nous cachions rien. Elle trouvait même un certain piment à savoir que je pouvais
posséder l'amie d'Henri aussi souvent qu'elle même se donnait à lui. Il arrivait même
que je lui suggère d'appeler Henri puisque je rentrerai tard le soir, devant passer un
moment avec Nicole. Celle-ci n'ignorait pas que son amant couchait avec Marie et n'y
voyait pas d'inconvénients. Elle devait m'avouer qu'elle prenait un certain plaisir à
voir son grand chef venir chez elle pour lui faire l'amour sous toutes ses formes et
sur tout ses meubles: la table de son studio ne servait pas qu'à diner !. Elle
adorait, en particulier, se laisser manger le minou, d'autant que d'après elle, je
faisais ça très bien. Couchée sur le dos et les cuisses largement ouvertes, elle
explosait vraiment dans ma bouche. Au sens propre du terme d'ailleurs, car elle avait
une spécialité que je n'ai guère trouvée que chez elle: au plus fort de sa jouissance,
elle ne gémissait pas mais laissait filtrer une sorte de râle continu et, surtout,
elle ne pouvait retenir un délicat jet qui m'avait fortement surpris la première fois
mais que j'avais appris à apprécier.
Après quelques rencontres, elle ne put cependant résister au plaisir de me dire. "
Pendant que tu me baises, tu sais qu'Henri s'envoie ta femme ? " Je l'assurai de mon
accord total et lui révélai que ma chérie ne me cachait rien de ses frasques,
l'obligeant à m'avouer que la même relation la liait à Henri qui l'avait encouragée à
me céder. Nicole n'ignorait donc rien de ces échanges compliqués et n'y trouvait rien
à redire. Nous étions cependant d'accord tous quatre pour ne pas vouloir nous réunir
en partie carrée, et c'est pourquoi nous n'avons jamais pratiqué cette forme d'échange
avec des amis proches. Nous échangions cependant toutes nos expériences et si c'est
moi qui, à l'occasion d'un déplacement à Paris où elle m'accompagnait, ai fait
connaître à Nicole son premier club échangiste, qui lui a ouvert des horizons
merveilleux, à la hauteur de ses appétits, c'est je crois Henri qui a du roder ma
chérie aux plaisirs des pénétrations extrêmes puisque, d'après elle, il avait vraiment
une bite d'une longueur et d'un calibre hors norme et qu'elle en usait sans beaucoup
de modération.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!