La Justiciere....

Divorcée depuis un an a vingt huit ans j’élève seule mes deux s, je viens de
décrocher un job a la boulangerie du quartier, le patron ne se prive pas de mater mes
formes en douce dans le dos de sa femme mais reste néanmoins courtois
En fin d’après midi je suis seule au magasin, quatre lycéens entrent dans la boutique,
je reconnais mon petit voisin mais bizarrement il fait comme s’il ne me connaissait
pas, pour cause, je remarque leur manège tandis que trois occupent mon attention mon
voisin fauche deux poches de bonbons qu’il fourre vite fait dans son blouson, je
préfère passer ça sous silence mais il ne perd rien pour attendre celui là ! Par
chance en rentrant à la maison je le vois à quelques dizaines de mètre devant moi, je
presse le pas et profite d’un endroit isolé pour le coincer sous une porte cochère en
l’attrapant par un bras
- Dit moi Olivier qu’a tu fait cet après midi ?
- Vous êtes folle ? lâchez-moi !
- Je t’ai vue prendre des bonbons ne nie pas !
C’était sans compter sur sa force ! Il me balance je me retrouve les quatre fers en
l’air la jupe portefeuille ouverte jusqu’au ventre, sonnée il se passe un bon moment
avant de réaliser que j’ai les cuisses écartées, le string à moitié mangé par ma
chatte, Olivier me regarde les yeux ronds autant surpris par son geste que par la vue
que je lui offre
- Tu es dingue ? je me suis fait mal, aide moi s’il te plait au lieu de te
rincer l’œil
- Excusez moi je ne l’ai pas fais exprès
Il me tend la main je me relève péniblement
- Ouh je me suis fait vraiment mal aux fesses regarde si ça ne saigne pas
- Mais …
- Cette fois c’est moi qui te demande de regarder mon cul alors fait-le !
En tremblant de stress le jeune relève ma jupe …
- ……. Ouh là, vous êtes griffée et le slip est déchiré, il faut nettoyer ça et
mettre un pansement
- Pour la peine tu va m’accompagner chez moi et m’aider, les s ne sont pas

- Bien sûr madame je suis désolé
En marchant je le questionne sur le vol
- C’est les autres qui m’ont poussé à faire ça sinon ils veulent s’en prendre a
ma petite sœur de quinze ans
- Ils te font chanter ?
- Oui c’est exactement ça
- Il faut déposer plainte
- Tant qu’ils ne font rien on ne peut pas les inculper
- Nous voilà arrivés entre, je vais tenir ma jupe relevée pendant que tu va
passer de la Bétadine sur la plaie
- Il faut ôter votre culotte sinon je vais la tacher
- Boff de toute façon elle est fichue
- Qu’allez-vous en faire ?
- La jeter pardi !
- Jeeeeee… je peux la récupérer ?
- De mieux en mieux ! tu veux t’exciter avec ?
- Non, enfin peut être, mais je vais la monter a mes copains, je n’ai pas tout
dis, ils ont jeté leurs dévolu sur votre boulangerie car ils vous trouvent ‘ bonne ‘
c’est vrai que vous êtes belle pour une vielle
- Une vielle ? !!!! merci beaucoup ! Et que va-t-il se passer ?
- Hé bien ils m’ont mis au défi de vous ‘ pécho ‘
- Me pécho ???
- Ouuiii vous ?? enfin vous voyez quoi ….


- ME BAISER ?
- Oui je suis vierge et ils veulent que je me fasse dépuceler par vous sinon
c’est ma sœur qui y passe
- Tu es vierge ?.......
- J’en suis pas fier, à mon âge c’est rare mais je suis timide
- Tu me fais de la peine, si tu veux ont peux leurs jouer la comédie car je
pense a ta sœur, mais avant tu va payer les bonbons c’est moi qui ai avancé la somme
pour équilibrer la caisse sinon je suis virée
- Je vous donne ça demain promis
- Tien, prend ma culotte
- Ouah ! un slip de femme c’est super !
- Bon ça vient ce pansement ?
- J’aime vos fesses rondes madame
- Puisque nous somment fiancés appelle-moi Lydia ! n’en profite pas pour me
toucher le minou
Néanmoins sa main libre s’incruste entre mes cuisses tout prés de la chatte libérée de
son entrave tandis que l’autre main passe le produit cicatrisant, ses doigts se
crispent sur ma chair tendre
- Tu as déjà vus un sexe de femme olivier ?
- Sur des revues seulement
- Alors regarde ….
Je me mets face a lui qui est resté a genoux, son visage est a vingt centimètre du
bonheur
- C’est beau …..ça sent bon, je vois des gouttelettes dans les poils …
- C’est que tu me fais mouiller petit saligaud
- C’est vrai ? c’est moi qui vous excite ?
- Enfonce un doigt dans ma fente pour t’assurer qu’elle est bien mouillée et
suce-le pour connaitre la saveur d’une chatte de femme
- Comme c’est chaud et doux ….
- Ça suffit, retire-le !
- Hhhuuuummmm c’est bon ….
- Aller rentre chez toi je ferais le maximum pour vous aider ta sœur et toi
- Mais vous avez vus dans quel état je suis ?
- Ha, tu bande ? tu veux te masturber avant de sortir ?
- Oui, laissez votre jupe relevée s’il vous plait y’en a pas pour longtemps
Olivier sort une queue de bonne taille pour son âge, sans quitter des yeux ma moule en
chaleur il se manipule a toute vitesse, en trente secondes des jets gluants fusent
dans le slip que je lui ai offert
- Ça va mieux ?
- Ho oui Lydia !
- Demain tu dis à tes copains que nous allons au ciné tous les deux
- Pourquoi leur dire ?
- Pour qu’ils soient persuadés que tu m’as séduite, ils vont surement nous
suivre
- Chouette, j’aurais le droit de vous toucher ?
- Nous verrons cela, à demain olivier
- A demain Lydia
Le lendemain je tiens ma promesse, finalement ce jeune me fais pitié, la femme en
manque de sexe se manifeste en moi, main dans la main j’entraine le jeune homme dans
une salle de ciné peu fréquentée, nous nous installons dans l’avant dernier rang
persuadée que ses potes seront juste derrière nous
- Lydia j’espère être à la hauteur
- Pour l’instant nous n’échangerons que des caresses pour donner le change
- Vous savez je bande déjà
- Retiens-toi ! assied toi ici
A peine la lumière éteinte derrière nous un remue ménage et des murmures se font
entendre, ses copains viennent se placer en toute discrétion ! Comme le ferait un
homme envers sa nana olivier passe un bras derrière mon cou je pose ma tête sur son
épaule, nos genoux se touchent, une main hésitante remonte sur ma cuisse que j’écarte
en m’avançant au bord du siège, ma chatte mouillée est accessible aux doigts qui
repoussent le string sur un coté, nous somment surveillés de prés, des murmures le
prouve
- Les mecs, il lui passe la main au cul !!
- Quelle salope !
- J’aurais pas cru qu’il arrive à la draguer
Je gémis sans feindre quand les doigts effleurent mon clitoris, pour ne pas être en
reste je baisse le zip de la fermeture éclair de sa braguette pour mettre à l’air la
queue tendue a l’extrême, j’évite de la manipuler car je la sens prête a juter
- Tu me fais du bien Lydia
- Ma chatte apprécie tes doigts
- Dommage qu’ont ne puisse pas baiser ici ….

- Si tu veux je peux te sucer cela va faire enrager tes copains qui nous matent
Je m’arrache presque a regrets des doigts qui me fouillent la moule et je me penche
sur olivier qui fait tout pour me faciliter la tâche, je gobe le gland prêt a
exploser, le jeune ne peut réprimer un cri de surprise mais aussi de jouissance car
mon palais se gorge de sperme, j’avale la semence mais ne recrache pas le membre qui
reste ferme, je pompe avec ardeur , je suis certaine que des têtes émergent au dessus
de nous
Olivier tire sur ma robe afin de me mettre le cul à l’air devant ses copains, il tire
sur le string pour dégager ma raie, des doigts fouillent entre mes cuisses pour
trouver ma vulve, est-ce les doigts d’olivier qui s’enfoncent dans mon vagin ? Je m’en
fous du moment que ça me fait du bien
Dans une ultime tension la queue crache une nouvelle fois, j’en ai plein la bouche, au
moment ou je vais relever la tête les doigts se retirent de mon con des rires fusent…
je remets mon string en place sur ma motte trempée
- Sortons d’ici olivier
- On va ou ?
- Dans les W C, je vais te dépuceler
- Vrai ? je vais vous baiser pour de bon ?
- Oui, dit moi, ce n’est pas toi qui me touchait le minou tout a l’heure ?
- Non, c’est Noé le plus vieux de mes copains
- C’n’est pas grave, je vais m’appuyer des mains sur la cuvette tu va relever ma
robe sur mes reins baisser mon string et je te laisse te débrouiller pour le reste
- Je ferme la porte au verrou ?
- Non ……aller va y je suis prête …
Les doigts tremblants d’olivier jouent un instant avec mes lèvres sa respiration est
oppressée, finalement son bout raide pointe sur ma fente, je me cambre pour résister a
l’impact, comme dans la salle j’entends des murmures, les copains assistent au
dépucelage d’olivier par la porte entrouverte, sa queue me pénètre entièrement, dés
qu’il a touché le fond il explose sans avoir eu le temps de limer ,sa verge mollie
très vite , dommage mais après tout le fait est là, il vient de baiser une femme , je
suis quand même déçue de ne pas avoir pus jouir ….
La queue glisse et sort
définitivement de mon vagin qui laisse fuir le sperme, j’attends qu’il se recule pour
me relever, mais des mains puissantes me maintiennent dans la position obscène ou je
suis
- Reste comme ça salope ont va tous te passer tous dessus, entre parenthèse
c’est gentil d’avoir dépucelé olivier à l’ avenir nous lui foutrons la paix ainsi qu’a
sa sœur, et a toi aussi évidement si tu nous laisse te baiser
- Allez qu’ont en finisse…baisez moi
- Elle est plus docile que je ne l’aurais cru la salope, j’y vais les gars
branlez vous en attendant, olivier tu fais le guet !
Il me plante une bitte de bonne dimension qui m’arrache un cri de satisfaction, ce
doit être Noé qui me ramone la chatte en poussant des ‘han’ de bucheron, enfin une
queue a la hauteur de mon désir ! ma chatte se lâche en mouillant l’intérieur des mes
cuisses, le garçon surexcité me plaque contre lui tandis que sa verge se cabre dans un
ultime sursaut et me fait dont de sa crème chaude et épaisse, j’étais sur le point de
jouir, j’espère que le deuxième va me faire exploser
La bitte est moins longue mais plus large exactement ce qu’il faut a mon vagin élargi
et saturé de foutre, surement plus petit en taille sa position le fait cogner
directement sur mon point G, mes cuisse tremblent, ma vulve expulse un jet abondant
qui lui tapisse le pubis
- Haaaaaa la conne elle me pisse dessus !
- Ce n’est pas de la pisse ducon c’est sa mouille ont la fait grimper aux
rideaux la femelle ! balance lui ta purée il ne faut pas trainer ici
- Ça vient ……. Ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii je
jouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
Quatre giclées puissantes frappent mon utérus je gueule comme une chèvre qu’on égorge
dans ces chiottes pourries
- Tu es prêt Kamel ? c’est ton tour
- Regarde ma teub ! je vais la faire hurler cette pouffiasse
Mon dieu le dernier serait le mieux membré de la bande ? Sans ménagements il fouille
mon entre jambe avec cette gaule que je ne vois pas mais qui me semble épaisse, j’en
ai la confirmation quand ma gaine vaginale se déploie à n’en plus finir, j’ai le
souffle coupé par la stupéfaction, le foutre qui tapisse les parois aide a la
pénétration, les couilles pèsent enfin sur mon clitoris
- Et voilà ! tu la sens ma grosse biroute ?
- Ho oui baise moi, ma chatte aime les gros calibres, fait moi péter de plaisir
- Quelle salope ! si j’avais le temps je lui ramonerais le fion, ça fait huit
jours que n’ai pas vidées mes burnes je vais te repeindre l’intérieur !
Soudain une ombre surgit a ma droite, une queue que je reconnais comme être celle
d’olivier s’offre a ma bouche, sans hésiter je la gobe autant par plaisir que pour le
fait qu’elle va me bâillonner car mon baiseur ne fait pas dans la dentelle, il me
secoue comme un prunier, sa queue échauffe mes sens, l’orgasme se précise, violent,
dévastateur, je m’écroule sur la cuvette il vient de me lâcher après avoir évacué son
foutre dans mon ventre , olivier n’a pas eu le temps de décharger ….
des rires et des
pas s’éloignent, je traverse le hall mon allure titubante et mon apparence décoiffée
et a moitié démaquillée font penser a une s d f que la guichetière dévisage avec des
yeux réprobateurs, heureusement qu’elle ne voit pas l’état de mon string et de mon
entre- cuisses, sur la route du retour les coulées amalgamées glissent lentement
jusqu'à mes chevilles, je suis satisfaite d’avoir mis un terme aux tracas du jeune
voisin et satisfaite d’avoir été baissée au delà de mes espérances dans un endroit
insolite …. J’espère revoir ces vauriens en culotte courtes finalement !

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