Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (9)

Un plaisir partagé est un plaisir double (9)

Nous passons toujours la saint Valentin au restaurant en amoureux, sauf une fois que nous l’avons passé avec Jean Claude mon amant de l’époque qui était pharmacien. Il avait insisté pour nous accompagner. Cela ne nous plaisait pas beaucoup mais nous avons fini par céder tellement il insistait trouvant le prétexte qu’il voulait remercier mon chéri de me prêter et de me mettre à sa disposition.

« - Je m’occupe de tout, ne vous inquiétez pas. »

Nous lui avons donné notre accord pour le restaurant en lui précisant bien que nous désirions finir la soirée tous les deux, je dois vous dire qu’il a déjà passé quelques nuits avec moi au lit. J’aime bien accorder cette journée à mon amour pour le remercier de tous les merveilleux moments que nous vivons ensemble, c’est lui qui m’a libéré de tous les aprioris que j’avais en matière de sexe en m’entraînant doucement vers le libertinage.

Nous étions tous les trois en tenue de soirée. Jean Claude avait bien fait les choses tout était parfait jusqu’au dessert lorsque le serveur nous apporta le gâteau en forme de cœur qu’il avait commandé. Mon amant se tourna vers moi, sorti un écrin de sa poche avec une jolie bague montée d’un merveilleux rubis. Et me la passa au doigt. Les convives du restaurant se sont levés pour nous applaudir en pensant qu’il me faisait sa demande en mariage. Je suis devenue toute rouge. S’approchant de moi, il m’embrassa sur la bouche. Je me suis sentie piégé et mal à l’aise devant mon mari qui assistait à cette scène. Je n’ai pas osé me tourner vers lui pour le prendre dans mes bras et l’embrasser, étant en compagnie de deux hommes pour fêter la saint Valentin. Mon pauvre chéri était passé au second rang et il n’avait pas osé m’offrir la bague qu’il avait dans sa poche comme tous les ans. Heureusement que j’ai un mari formidable et que tout s’est arrangé sur l’oreiller. Tous les ans je lui réserve des nouveaux dessous, plus coquins que sexy qu’il a le plaisir de découvrir le soir en me déshabillant.


Nous nous sommes promis de ne plus passer cette journée que tous les deux.

Mais cette année c’est différent, tous les restaurants étant fermés, nous avons décidé d’inviter nos amis Annie et André pour faire la fête des amoureux ensemble en se faisant un petit repas convivial. Comme depuis quelques mois, nos relations ont progressé et que nos rencontres se terminent toujours en sauterie il nous fallait trouver une intrigue digne pour ce jour.
D’abord nous avons pensé au décor qui devait être intime dans une ambiance douce et feutrée. Nous avons fait disparaître toutes les lampes pour les remplacer par des bougies, mais c’est dans la chambre que nous avons concentré notre effort en installant un couvre lit en fourrure et des pétales de rose partout. Un éclairage tamisé, et à disposition du gel de massage au guarana, du lubrifiant anal, de l’huile vaginale et toute ma collection de godes. De la musique et un parfum d’ambiance pour finir le tout.
C’est Bob qui a eu l’idée de nous réunir en trio. Deux femmes, un homme ou deux hommes, une femme. Nous allons faire des petits papiers qui seront tirés au sort pour établir l’ordre de passage dans la chambre, réparti comme cela :

- 1 Annie, toi et moi
- 2 Annie, toi et André
- 3 Annie, André et moi
- 4 Toi, André et moi

« - Et que fait le quatrième pendant ce temps, il se masturbe en regardant les autres ? »

« - Il fait la vaisselle, non, je plaisante chaque trio n’a le droit qu’à une demi-heure dans la chambre, ce sera vite passé et chaque participant ne sera absent qu’une seule fois pendant les ébats des trois autres. »

Nos amis sont arrivés juste avant le couvre-feu, comme de coutume Annie était resplendissante, légèrement maquillée avec une petite jupe parapluie noire et un corsage blanc, déboutonné à la limite de ses seins et des nouveaux talons aiguilles. Après s’être embrassés pour se dire bonjour. André m’a félicité pour l’ambiance intime que nous avons réalisé avec les bougies.
Puis nous sommes rapidement passés à table pour prendre l’apéro.

J’ai posé un grand plateau de fruits de mer au centre de la table pour que chacun puisse déguster les coquillages et crustacés qu’il aime. (Un avant goût de nos huîtres que chacun de nous pourra déguster, sauf peut être André qui n’aime toujours pas cela.) Pendant le repas nous expliquons à nos hôtes le déroulement de la soirée que nous avons imaginé pour passer la saint Valentin.

Si je ne m’étais pas trop cassé la tête pour le repas par contre j’ai passé beaucoup de temps à réaliser le gâteau, une génoise surmontée d’un phallus en érection rose et de ses orphelines réalisé en pâte à sucre. Soucieuse des détails, j’avais coulé du sucre glace à la sortie du méat. J’étais assez contente de ma création. D’ailleurs mes convives m’ont félicité pour la ressemblance. Annie m’a même demandé qui avait été le modèle ?

« - C’est une pure invention de mon imagination ma chérie, j’ai voulu faire cette jolie bite noire mais la structure s’affaissait du fait de la longueur de la queue. » ( Faisant allusion au sexe de Doan.)
Ma copine avait bien compris, je venais de recevoir un coup de pied sous la table pour me prévenir d’arrêter de parler de cela, son mari n’étant pas au courant qu’elle s’était faîte baisé par ce jeune noir.

André offrit à sa femme un joli coffret dans lequel il y avait une bague montée d’une émeraude et des boucles d’oreilles assorties. Elle l’embrassa pour le remercier et j’étais également très contente de voir que leur couple fonctionnait mieux. Bob quant à lui m’offrit un petit coffret dans lequel il y avait un anneau en or blanc avec un petit diamant.

« - Sur quelle partie de ton corps vas-tu placer cette petite pierre précieuse, tu ne vas pas me dire que c’est pour te faire percer… »

« - Puisque tu veux savoir eh ! Bien oui, c’est pour placer cette petite boucle où tu penses. Depuis que nous allons à Agde au centre naturiste, il y a de plus en plus de femmes qui portent des bijoux intimes sur leur sexe ou des tatouages pour attirer les regards des hommes sur leur intimité aussi mon chéri a très envie que je fasse comme elles en portant un piercing sur les lèvres de ma choupinette.
»

« - Il serait peut être temps de passer aux choses sérieuses, André, tu veux bien tirer au sort les trios qui vont se succéder dans la chambre. N’oubliez pas que vous n’avez qu’une demi-heure pour vous envoyer en l’air. »

« - L’ordre de passage est le 2-4-3- et 1. Le premier trio est donc Annie, André et moi. »

Nous sommes rapidement montés dans la chambre. En moins de temps qu’il ne faille pour le dire, nous nous sommes mis tous les trois à poil sans s’occuper de nos partenaires. André s’est installé le premier sur le lit en se pignolant pour faire dresser sa queue en nous regardant nous déshabiller. Je suis la première à m’allonger à ses côtés tandis qu’Annie regardait la chambre pour laquelle nous avons essayé de donner une ambiance cocooning pour nos liaisons coquines avant de nous rejoindre.
André me pris dans ses bras et me bascula sur le dos au-dessus de lui. Mes jambes écartées de chaque côté des siennes je lui ouvrais ma craquelure pour qu’il puisse placer son sexe le long de ma fissure. Il attrapa mes deux seins à pleines mains en me les triturant, ma tête reposait dans le creux de son épaule et son gland glissait sur mes parties génitales en donnant des petites impulsions avec ses reins. Sa verge au contact de mes petites lèvres perlait et ce frottement humidifiait ma chatte. Je pris son bâton de berger en main pour le diriger vers l’entrée de mon vagin. Je me suis cambrée sur lui pour qu’il s’enfonce dans mon vagin. Il avait saisi mes bouts de seins en les comprimant entre ses doigts pour me les faire durcir. ( Comme vous les voyez sur mon avatar ?) ! Annie s’était installée entre nos cuisses et malaxait la paire de couilles de son mari comme une balle anti-stress. J’étais arc-boutée sur le corps d’André cherchant à enfoncer sa bite plus profondément dans mon cratère. Ma tendre amie avait sa tête enfouie entre nos jambes, sa bouche et sa langue œuvraient sur l’accouplement de nos deux sexes. Elle se délectait de ma mouille que nous sécrétons issue de la communion de nos deux sexes.
Puis elle attrapa un godmichet sur la table de nuit pour me le placer sur le clitotis. Je devenais incontrôlable, m’agitant comme une folle, j’embrassais André sur la bouche en lui tenant la tête, ma langue flirtait avec la sienne, jusqu'à une ultime secousse, il venait de me déverser sa liqueur de corps d’homme dans mon sanctuaire.

Après avoir reprise mes esprits je me suis adressée à sa femme en m’excusant d’avoir pris sa place dans les bras de son mari et que nous allons maintenant s’occuper d’elle pour qu’elle jouisse à son tour.

« - Ne t’inquiètes pas ma chérie, mon tour viendra, nous n’avons plus le temps cela fait quarante cinq minutes que nous baisons ensemble, ton mari va commencer à trouver le temps long. Je vais aller le chercher car le prochain trio c’est encore toi avec nos hommes. »

J’ai juste le temps de passer à la salle de bain pour faire une petite toilette intime avant de me retrouver au lit pour la seconde fois.

Mon chéri était en train de se déshabiller lorsque je suis revenue tandis qu’André était toujours à la même place nu sur le lit, se tripotant pour garder son sexe en érection. Une fois de plus je l’ai rejoins en me jetant dans ses bras. Cette fois dans la position du missionnaire, je n’ai pas eu besoin de lui diriger son sexe vers mon antre, il trouva tout de suite mon trou. Mon amour s’installa à mes côtés, ouvrit de ses mains mes fesses pour me caressa ma petite rondelle brune. Il prit ensuite du gel intime et m’en barbouilla le trou du cul, il fit pareil en s’enduisant sa verge. Je savais déjà ce qui m’attendait. André était entré par la grande porte et mon chéri allait passer par l’entrée de service. Il s’allongea sur moi après m’avoir caressé le dos et les fesses et pénétra son engin par la porte qui était occupée par André. Un petit cri de douleur s’échappa de ma gorge. Mon chéri après avoir faufilé son gland dans mon terrier déjà occupé coulissa doucement sa bite avec celle d’André pour éviter de me faire mal. Je serrais pourtant les dents en m’agrippant au cou de mon premier partenaire. C’était la première fois que je me faisais dilater la chatte de cette façon par une double pénétration. Malgré la douleur, je mouillais comme une salope en chaleur. Bientôt la souffrance s’estompa et mes muscles du fessier se relâchèrent. Je commençais même à prendre du plaisir d’être fistée de la sorte. Mes compagnons se mouvaient dans mon vagin en faisant des vas et vient. J’étais euphorique et le désir charnel m’envahissait jusqu’au bienfait final lorsqu’un jet de sperme chaud venait enduire mes muqueuses. J’ai crié avant de resserrer mes cuisses emprisonnant les deux sexes dans mon vagin. Ce n’est que lorsque leurs bites sont redevenues flasques que mes complices se sont sortis de ma tanière. J’étais complètement amorphe allongée sur le lit.

Annie qui m’avait entendu crier est venue voir ce qui se passait, elle était à côté de moi et me caressait le visage en me demandant si j’allais bien. Elle fut rassurée lorsque après avoir reprise mes esprits, je lui ai souris.

J’ai laissé la place au troisième trio et j’étais heureuse de ne pas participer cette fois pour pouvoir me reposer un peu de mes deux orgasmes successifs. Je suis passée une nouvelle fois par la salle de bain pour me rafraîchir la nénette. Puis, je suis descendue en robe de chambre pour mettre un peu d’ordre dans la maison. Mon chéri avait débarrassé la table et fait la vaisselle. Comme je ne suis pas présente et que je n’assiste pas aux ébats amoureux qui se passe dans la chambre, je ne peux pas vous conter ce qui s’y passe. J’espère simplement que les deux hommes vont donner du plaisir à ma copine. Ce n’est qu’un bon moment après j’ai vu descendre Annie nue comme un ver, en souriante et en dansant que j’ai compris qu’elle avait pris son pied.

« - J’espère que tu n’es pas jalouse ? » Me dit-elle.

« - Pourquoi me dis-tu cela ? »

« - Parce que ton mari m’a offert un diamant bien plus gros que le tien. »

Devant mon étonnement et mon air surpris, elle se baissa en m’offrant une vue imprenable de son intimité. Mon homme lui avait introduit un plug anal dans le fion et le diamant dont elle parlait avait sur la partie visible une grosse pierre à facettes ressemblant à un diamant.

« - Montes au lieu de dire des bêtises, (en lui tapant sur les fesses en montant les escaliers) nous allons te passer à la casserole mon chéri et moi. En tout cas ce bijou intime te va à ravir, nous allons faire des ravages sur la plage des cochons à Agde toi avec ton rosebud dans l’anus et moi avec mon petit diamant sur la chatte. »

« - Ce n’est pas prévu que nous allons en vacances avec vous à Agde chez les nudistes ? »

« - Chut ! C’est n’est qu’un projet que nous avons parlé Bob et moi. » Je venais de vendre la mèche.

Au lit, nous nous serrons l’une contre l’autre en se bécotant et en se caressant. Mon chéri profita de ce qu’Annie soit sur moi pour lui retirer son plug anal. Son sphincter ne s’étant pas resserré totalement. Il mit directement le bout du tube de lubrifiant dans son petit trou pour lui pommader le rectum. Ils adoptent la position de la cuillère Annie se coucha sur le flanc en remontant le genou supérieur pour être bien stable quant à mon chéri il colle son torse contre son dos et passe sa jambe supérieure par-dessus sa taille pour une pénétration plus profonde en prenant ses seins à pleine main avant de l’introduire. Je me suis mise en position du 69 qui nous permet de nous donner et de recevoir du plaisir ensemble. Nous sommes allongées l’une contre l’autre, tête bêche. De façon à ce que chacune de nous prodigue des caresses avec sa bouche sur les parties intimes de l’autre. Annie enroulait ses fesses contre le ventre de mon mari pour qu’il puisse lui enfoncer sa bite plus profondément. J’ai fais le grand V avec mes jambes pour qu’elle puisse accéder facilement au spadice à l’intérieur de ma fleur d’arum.
Elle engouffra sa tête entre mes cuisses et aspira rapidement mon clitoris avec ses lèvres en passant sa langue sous le capuchon de ma petite perle rose. De mon côté, je lui léchais les chairs de son mollusque, il suintait un mélange de sperme et de cyprine. Chaque coup de rein que mon mari donnait pour la prendre avec vigueur, je me prenais ses testicules sur le visage. Des gémissements de plaisir mirent fin à ses vas et viens, mon homme venait de décharger dans son oignon. Lorsqu’il se retira, je pus enfin donner du plaisir à ma copine Elle s’est mise à quatre pattes, le dos incliné relevant son bassin, je me suis installée derrière elle, au niveau de son entrejambes. J’ai pu ainsi lui livrer ainsi un cunnilingus digne de ce nom en lui écartant les fesses de mes deux mains, et en y mettant tout mon cœur pour faire jouir mon amante. Bientôt elle s’étala de tout son long sur le lit en me bafouillant des mots d’amour.

Puis André est entré dans la pièce en disant :

« - Vous savez Mesdames qu’il est minuit dix et que la saint Valentin c’est fini, aujourd’hui c’est la saint Claude, le saint patron des pipiers alors si le cœur vous en dit ? » Nous dit-il en nous présentant son sexe. »

« - Il faudra que tu attendes, ta femme et moi allons prendre notre bain ensemble, si tu veux, tu peux prendre ta douche, je pense que Bob en est sorti. »

Mon chéri est venu avec quatre coupes et une bouteille de champagne qu’il nous a servi dans le bain pour trinquer et fêter notre complicité et notre liaison qui nous unis et que nous apprécions tous les quatre.
C’est vrai que nous avons plus pensé toutes les deux à prendre notre plaisir sans s’occuper de nos hommes.

« - Approchez-vous de nous, nous allons vous faire une petite gâterie. »

Un bain moussant, une coupe de champagne, un bon et gros cigare avant d’aller au lit, c’était le top, mais nous n’avons pas avalé la fumée.

On s’est allongés sur le dessus de lit, pour la douceur de la fourrure en se drapant d’une couette. Nous nous sommes endormis serrés l’un contre l’autre avec des mains baladeuses qui caressaient nos corps nus, en ne sachant pas très bien à qui elles appartenaient.

Le lendemain matin nous avons pris le petit déjeuner ensemble avant de prendre congé de nos hôtes en leur rappelant que nous serons de nouveau en leur compagnie mardi pour le carnaval. Et en leur rappelant venir déguiser.

« - Non, cette fois c’est vous qui venez à la maison. » me dit Annie

« - Impossible, ma chérie, j’ai déjà tout ce qu’il faut pour notre soirée crêpe, alors nous vous attendons. »







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