Mon Élève Est Une Géante De 2m Et 160kg Nymphomane !(1)

Synopsis : J’avais 20 ans. J’étais étudiant et souhaitais me faire un peu d’argent en
donnant des cours de math pendant les vacances d’été. Ma première élève fut une jeune
fille de 18 ans qui culminait à plus de 2m et pesait 160kg. Elle joua avec moi
(1m60/40kg) comme avec une poupée...






Je venais de réussir mes examens de fin d’année et l’été arrivait. Afin de
m’occuper et de gagner un peu d’argent, j’avais décidé de donner des cours de math
niveau lycée pendant les vacances. J’avais mis plusieurs annonces chez les commerçants
du coin et j’avais notamment été contacté par une dame qui souhaitait faire travailler
sa fille qui venait de rater son bac. C’était le premier jour où je me rendais chez
elle. C’était un bel et chaud après midi de juin, voire même un peu étouffant. Je me
regardais une dernière fois dans la glace avant de partir. J’avais fini par m’habi
à ma petite taille et à ma silhouette chétive. J’avais atteint ma taille définitive
d’1m60 il y avait 2 ans. Je n’avais pas un gros appétit et mon poids atteignait
difficilement les 40kg. J’étais donc petit et très mince, ce qui me valait souvent
d’être appelé “gringalet”, ou “petit bonhomme”. J’avais un visage presque imberbe et
des traits extrêmement fins qui me donnaient un aspect androgyne. Plus d’une fois, on
m’avait pris pour une fille. Je n’avais aucune conviction sur mon orientation
sexuelle. Homme ou femme, je ne savais pas ce qui m’attirait le plus. Ma libido était
plutôt en sommeil. Je m’étais habillé léger pour résister à la chaleur: un pantalon en
lin et un T-shirt blanc. Le pantalon était légèrement translucide et on pouvait
deviner mes sous-vêtements à travers. J’avais rasé de près le peu de barbe que j’avais
et je paraissais plus féminin que jamais. Je quittais mon appartement le coeur léger,
mais un peu anxieux face au travail qui m’attendait.




Mon élève habitait à 10 mn à pied dans une immense maison avec un grand jardin. Une
fois devant la porte, je sonnai pour me faire ouvrir. Une belle et grande femme
m’ouvrit la porte. C’était la maman qui m’avait contacté. Elle devait avoir la
cinquantaine mais était cependant très bien conservée. Elle devait faire pas loin
d’1m80 et me dominait d’une bonne tête. Elle avait aussi une belle carrure et une
poitrine très opulente. Surpris par sa taille, je jetais rapidement un coup d’oeil à
ses pieds et fus d’autant plus surpris de voir qu’elle ne portait pas de talon. Je
tendis la main pour lui dire bonjour. Elle l’a saisie fermement et je vis ma petite
main disparaître dans sa battoir. Sa poigne était si puissante que j’esquissais un
rictus de douleur. Elle s’en rendit compte et me dit :”Pardon, j’oublie toujours que
je suis costaud ! Enchantée de faire votre connaissance. Entrez”. Un peu gêné d’avoir
mal encaissé sa poignée de main, je transportai ma frêle personne à l’intérieur. Elle
me dit : “Attendez ici, je vais chercher ma fille”. Elle partit en faisant de grandes
enjambées. Je pris plaisir à voir sa silhouette à la fois élégante et plantureuse
s’éloigner. Beaucoup de grâce et de puissance se dégageait de cette matrone. Je me
disais que j’adorerais être déniaisé par une femme comme elle...


Quelques seconds plus tard, elle revint accompagnée de sa fille. Je me crus victime
d’une illusion d’optique quand je vis que cette dame qui était si grande paraissait
aussi minuscule à coté de sa progéniture ! Au fur et à mesure qu’elles s’approchaient,
je me rendis compte qu’elle n’avait pas diminué de taille, mais que sa fille était une
vraie géante qui la dépassait d’une tête, et qui avait bien 20 cm en plus de largeur
d’épaule ! Je n’en croyais pas mes yeux. Une fois devant moi, la mère prit la parole :
“Je vous présente Gloria.
Tachez de bien la faire travailler”. S’adressant à sa
fille, elle dit : “Et toi, écoute bien ce que le petit jeune homme te dit et sois plus
sage que tu ne l’as été avec ton précédent professeur”. Je fus interpellé par cette
phrase..que s’était il passé ? Gloria me faisait face. Elle portait une robe sans
manche qui la couvrait des épaules jusqu’aux genoux. Mes yeux tombaient pile en face
de sa généreuse poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge, et malgré ça, ses
seins se dressaient fièrement. Ses tétons qui mettaient le mince tissu à l’épreuve
étaient visibles par transparence. J’étais troublé ! J’avais l’impression de faire
face à une montagne. Je levai la tête pour regarder son visage. Elle était très belle,
brune avec des cheveux qui lui arrivaient aux épaules, de très beaux yeux bleus
claires et un sourire ravageur. Elle me toisait de toute sa hauteur. Elle tendit sa
main pour me saluer. Je tendis la mienne mais je ne pus saisir que trois de ses doigts
tellement sa paluche était large ! En souriant elle me dit : “Enchantée, je suis
Gloria”. Voyant ma surprise devant sa carrure, elle me dit : “Et oui ! Je fais 2m et
160 kg. Je sais que ça impressionne toujours”. Se tournant vers sa mère, elle lui dit
: “Comme il est mignon, on dirait une poupée ! Et il est beaucoup plus petit que
l’autre”. Sa mère lui répondit : “C’est bien ce qui m’inquiète. Déjà que le précédent
n’a pas pu se défendre, celui-ci en sera encore moins capable ! C’est pour cela que je
te demande d’être très sage et de contrôler tes pulsions comme le psy te l’a appris”.
Mais de quelles pulsions parlait elle ? En quoi le fait que j’étais petit me rendait
plus vulnérable pour donner des cours de math ? Je continuais d’admirer le corps
immense de Gloria. Sa robe sans manche mettait en valeur ses épaules larges et
musclées, ainsi que ses bras ronds et puissants.
Sa silhouette me faisait penser à une
immense guitare dont seul un musicien géant aurait pu jouer. Elle me demanda : “Et
toi, combien tu pèses et tu mesures mon petit ?”. Je répondis timidement: “1m60 et 40
kg”. Elle s’exclama :” 40 kg seulement ! C’est pile le quart de mon poids. Tu vois, je
ne suis pas si mauvaise que ça en math”. En effet, il y avait de l’espoir. Je tournais
la tête de coté et me vis dans le miroir du hall d’entrée. J’avais l’habitude de me
sentir petit mais jamais à ce point. Je paraissais totalement insignifiant à coté de
cette brute de 2m. Sa mère prit la parole et nous dit :” C’est le moment de vous
mettre au travail”.


Gloria me proposa de la suivre jusqu’à sa chambre. Elle partit à vive allure et je
lui emboîtais le pas en trottinant. Je la suivis dans les escaliers où la vue de ses
énormes mollets qui se gonflaient et se dégonflaient me fascina. Elle déplaçait ses
160kg avec tellement de facilité que c’en était presque terrifiant. Je n’osais même
pas imaginer quelle puissance avait ses jambes. Arrivés dans la chambre, elle me fit
entrer et referma la porte derrière moi. Tout y était à sa dimension : Un lit immense,
des chaises hautes, un bureau gigantesque. M’indiquant le direction de ce dernier,
elle m’invita à m’y asseoir. Le siège était constitué d’un banc sur lequel nous
pouvions nous asseoir tous les deux. Je m’y assis et constatais que bien que mes pieds
ne touchaient plus le sol, je pouvais difficilement accéder au bureau tellement il
était haut. Je vis Gloria qui n’était pas encore assise disposer un énorme coussin sur
le coté libre du banc. Sans que j’ai eu le temps de réagir, elle me saisit sous les
aisselles et me souleva comme un plume pour me poser dessus. Elle fit cela avec une
facilité déconcertante, comme si je ne pesais rien. Elle lut la surprise dans mes yeux
et me dit : ”Le coussin était tellement haut que tu n’aurais pas pus t’y asseoir
facilement.
Il valait mieux que je te soulève. Je fais souvent ça avec mes amis,
filles ou garçons d’ailleurs. Mais cette fois, je n’en reviens pas à quel point tu es
léger ! Même la plus légère de mes amis qui a 14 ans est plus lourde que toi ! C’est à
peine si j’ai senti ton poids”. J’étais tout rouge. Je venais de me faire porter comme
un bébé par cette jeune géante. Je n’avais jamais eu cette sensation d’être aussi
léger et à la merci d’une fille aussi forte. Je trouvais ça finalement très excitant.
Gloria s’assit alors à coté de moi. Même perché sur un coussin, mes yeux n’arrivaient
qu’à hauteur de ses puissantes épaules. Nos cuisses se touchaient et les miennes
ressemblaient à des cure-dent à coté des siennes. Je commençais donc la leçon que
j’avais préparée. Il faisait de plus en plus lourd et le temps tournait à l’orage.
Nous transpirions tous les deux et l’atmosphère était torride. La robe de Gloria
cachait à peine ses formes généreuses et épanouies, dont se dégageaient une sensation
de force physique exceptionnelle. Le fin morceau de tissu collait à sa peau que la
chaleur rendait moite. Ses seins lourds et fermes étaient de plus en plus visibles.
L’envie de les pétrir et de les lécher me tenaillait, et mon regard plongeait
régulièrement dans le décolleté bien rempli de l’amazone. Gloria s’en rendit compte et
me dit avec un sourire coquin: “Mmm, je vois que ma poitrine te plaît.” Je rougis
comme une tomate et détournai immédiatement le regard pour me concentrer sur mon
cours. Gloria me dit alors: “Que tes mains sont petites ! Si on les mesuraient”. Elle
saisit mon mince avant bras dans sa grosse main droite qui en faisait largement le
tour et le couvrait presque en totalité. Elle saisit un double décimètre et me força à
plaquer ma main contre celui ci. Du poignet jusqu’au bout du majeur, elle atteignait
difficilement les 15 cm. Gloria me relâcha et entreprit de mesurer son immense battoir
qu’elle plaqua contre la règle qui était bien trop petite ! Elle atteignait déjà les
20cm rien qu’à hauteur de la première phalange. Son majeur s’étendait bien au delà des
27 cm à vue de nez. Gloria semblait satisfaite. Elle me dit alors : “C’est bien, elles
ont encore grandi depuis le mois dernier”. Elle me montra alors le plat de sa main et
me proposa de plaquer la mienne contre. Ma pauvre petite mimine ne dépassait pas de sa
paume ! De plus, mes doigt étaient hyper fins, alors que les siens étaient larges et
puissants. Elle saisit alors ma menotte et même tout mon poignet dans sa main. Elle la
serra avec un force contrôlée qui me fit saisir qu’elle pourrait la broyer presque
sans effort de sa part. Elle me dit alors :”Tu as des mains de poupée mon petit prof
et qu’est ce que j’ai envie de toi !”. Ses seins s’étaient dressées d’excitations, ils
vibraient sous sa robe humide de sueur. Elle saisit ma taille de guêpe avec ses mains
de géante et elle se leva tout en me maintenant fermement. Je gigotais et agitais mes
pieds qui se balançaient à plus d’un mètre du sol. Elle me coucha alors violemment sur
le bureau. Je crus que mes os n’allaient pas résister au choc. Pour m’empêcher de
bouger, elle maintenait sa grosse main sur ma poitrine. Elle passa alors sa main libre
sous mon pantalon et mon slip qu’elle fit glisser brutalement jusqu’à mes pieds pour
me les arracher. Je me retrouvais alors à moitié nu face à cette géante qui voulait me
violer. Je venais de comprendre ce qu’était les pulsions dont parlaient la mère de
Gloria...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!