La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°190)
Histoire écrite par esclaveCyrilliaMDE (suite de l'épisode N°188)-
La Comtesse
Je baigne dans le bain dans lequel mes muscles se reposent et se dénouent après avoir
retiré le harnais de pouliche qui m'enserrait la peau. La liberté est devenue plus
supportable alors que l'eau chaude et la vapeur nous enveloppent. Aucune pudeur
n'existe en ce lieu. Il faut dire que, depuis une semaine nous sommes habitués à vivre
nus, toute intimité nous étant interdite. Cependant, si nous n'avons pas peur de nous
regarder, je note une certaine timidité entre nous. Certes nous n'avons cessé de nous
croiser au long des soirées, certains ont même eu le droit de jouir avec certains
autres esclaves. Toutefois nous avons jamais communiqué ou encore croisé leur regard
plus que de raison. Cela ne rendait pas le repos moins reposant pour autant. Dans
l'état où nous étions tous, après la soirée de la veille, je pense je pourrais rester
dans l'eau pendant des heures sans me lasser à me délasser.
- Allez les petites salopes !
On se dépêche !
On a un programme à respecter et on
a peu de temps pour se reposer, dit Monsieur Walter
Nous avons la chance d'être dans les dernières pouliches à être entrées dans la salle
de bain, cela nous offrait le droit de profiter un peu plus longtemps de l'eau alors
que les autres passait déjà à la finition. Du moins, profiter n'était pas vraiment le
terme adéquat. Car l'entrée de Walter n'était pas sans une certaine arrière pensée. Il
se rapprocha du bord de l'immense baignoire en carrelage avant de me faire signe de
m'approcher. Glissant dans l'eau habilement, j'ai toujours aimé l'eau il faut dire, je
me retrouve juste devant lui et son pénis déjà dressé. Il m'avait dit que j'aurais
droit à une petite gâterie. Il est donc mal venu de refuser, cela serait à mes dépens,
le voyant un fouet à la main.
de le prendre en bouche délicatement mais sûrement. On pourrait croire qu'après la
soirée d'hier j'aurais eu une indigestion de Vît, de spermes mais je l'avoue, mon
appétit en liqueur d'homme et nectar de femmes semble insatiable depuis quelques
temps. Alors usant de ma langue agile, j'enrobe au mieux le volumineux membre viril du
Majordome, je m'applique alors que je le sens se tendre et durcir encore plus dans ma
bouche. J'ai une certaine fierté à donner du plaisir et surtout que l'on m'en réclame.
Le Maître ne m'a-t-il pas formé pour cela ? Le servir et servir ses Invités. Je tente
de mettre tout mon talent dans la fellation et cela semble payer. Il ne faut guère
longtemps pour que le Majordome de mon Maître Vénéré m'offre l'honneur de déguster sa
semence. Je ne laisse rien échapper de mes lèvres alors que j'entends les râles de
plaisir de Monsieur Walter.
- Tu aimes ça, n'est ce pas petite pute, me demanda-t-il alors que je nettoyais son
Vît.
- Oui Monsieur Walter. J'aime être un vide couilles et boire votre semence ainsi que
celle de mon Maître Vénéré et de Ses Invités.
- Tu récites bien ta leçon, sale traînée, comme une belle petite salope, allez sortez
toutes de l'eau. Il est temps de vous préparer à votre tour
Une leçon que Walter me donnait presque tout les matins ou presque. A y réfléchir, je
me demande si le Maître ne lui aurait pas demandé de m'offrir ce sexe à faire jouir
après que je lui ai parlé de certaines envies ou de trouble dans le fait d'avaler. Si
c'est le cas, j'avoue être touché par l'intention. Mais je nai pas le temps d'y
réfléchir pour le moment car la détente dans l'eau laisse place à l'attention des
serviteurs qui nous rasent de près sur tout le corps avant de nous enduire de crèmes
et huiles parfumées. Etonnant de croire que, une heure plus tôt, nous étions encore
souillées de spermes, de cyprines et d'urines alors que nous sommes toutes fringantes,
à la fragrance délicate et à la peau douce.
alors que je dois rester droite devant une glace. On me demande de me lever, on me met
un nouveau corset et un nouveau harnais, cette fois avec les couleurs de chacun de nos
propriétaires. Pour eEmeline, e6934 et moi même, nous avons l'honneur de porter le
bleu, Sa couleur préférée ce qui est un petit instant d'émotion. Un mords s'installe
entre mes dents, lui aussi aux couleurs de nos habits mais surtout avec, sur le sommet
de notre front, une plume, un panache, comme sur les montures des chevaliers ou les
chevaux de traits des carrosses royaux. Sur nos fesses, on peint alors les initiales
et les blasons de nos Seigneurs et Maîtres respectifs à l'aide d'une peinture spéciale
et dun pochoir. Je la sens durcir cette peinture sur ma peau tout en suivant les
mouvements de mon corps, je sens la fierté de Lui appartenir monter en moi. Quand ce
fut terminé, je pus voir dans la glace, le symbole de mon Maître, ce noble blason
jaune avec ces 2 lions blancs se faisant face les pattes avant levées et aux gueules
rugissant comme mon cur en cette journée. Les deux félins portent la couronne et le
lys de la royauté, symbole de la supériorité de Monsieur le Marquis. Un travail
d'artiste, pour une course qui allait déterminer qui avait sélectionnés et élevés les
meilleures pouliches. Cette sensation d'être habillée et surtout mise en valeur sans
pour autant tenir compte de notre avis, d'être un simple objet, une poupée que l'on
habille, m'excite terriblement. La transformation se fait juste devant mes yeux. Je
retrouvais alors la sensation que m'avait fait découvrir la Comtesse ce matin là. Une
journée que je ne pouvais oublier à bien des égards.
Flashback :
Encore une matinée au château. C'était le 4eme jour et déjà j'avais réussi à prendre
le rythme de la maisonnée. La veille, nous avions terminé la soirée vers 2h ou 3h du
matin.
ensuite aller faire nos taches ménagères. Mais celles ci n'étaient pas celle
d'habitude. Aujourd'hui, les concurrents n'appartenaient plus à leur propriétaire, ils
étaient totalement à la disposition de ceux qui les avaient acheté. Après le petit
déjeuner, nous étions alors conduit à la salle de bain pour être parfait lorsque nous
toquions à la porte des Maîtres et Maîtresses. Pour ne pas être totalement inutile,
Madame Marie m'avait demandé d'amener le petit déjeuner de ma Maîtresse pour la
journée, celle qu'on appelait la Comtesse. Après avoir signalé ma présence,
j'entendais la voix invective traverser le lourd bois de la porte pour me donner
l'ordre, pas la permission, d'entrer. J'obéissais pour la découvrir adossée au montant
de son lit. Là, impérieuse, elle semblait être levé depuis presque aussi longtemps que
moi. Ses jambes toujours sous la couverture, je voyais le haut de son corps, paré
d'une nuisette mauves en soie et en dentelle. Ses cheveux étaient maintenus ensemble
par une unique natte qui passait sur son épaule pour descendre sur son sein gauche.
D'un mouvement de doigt, elle me fit signe d'installer le plateau sur la table, ce que
je fis prestement.
- A genoux et attend, le chien, me dit elle
J'obéissais, servilement, comme à mon habitude, baissant la tête quand soudainement sa
voix m'interpella
- Qui t'a dit de baisser les yeux ? Look ...
Pris à contre-pied, je mis quelques secondes à remonter le regard pour tomber sur une
scène étrange. La couverture avait été retirée, découvrant le bas de la nuisette. Je
vis alors le galbe de son corps, se dévoiler, à peine troublé par le tissu fin de sa
tenue. Ses jambes sont légèrement relevées et surtout une chose bouge entre ses
cuisses. Une personne était en train de laper le miel de la ravissante Domina alors
que celle ci semblait de marbre et flegmatique.
- Cyrilia, Je suis la Comtesse Deirdre Adkins, mais pour toi, ce sera Comtesse
Deirdre. Je te présente Elisabeth. J'ai hésité à la faire concourir mais j'aime avoir
mon confort quand je me déplace. Il est 8h, cela nous reste donc 9 heures pour faire
de toi quelque chose d'acceptable
heureusement que Elisabeth sera là. Lord D'Evans
m'a dit que tu étais quelqu'un qui apprenait vite. We'll see !
Elle me racontait cela sans sourciller alors que, entre ses jambes, une ravissante
femme en tenue de domestique sortie tout droit des années 1800 tentait de lui procurer
du plaisir avec application. Son contrôle semblait absolu, lui donnant une apparence
de créature supérieure comparée au pauvre animal servile, mais en chaleur, que j'étais
en cet instant. Ma cage toujours en place j'étais torturée par cette image si proche
et pourtant si loin de moi. La parfaite maîtrise de la personne recevant ses caresses
me montrait ce qu'était une dominante, je me sentais si avilie, si esclave, que cela
m'excitait terriblement. Je sentais alors son regard défiant sur moi alors que je
sentais mon sexe de plus en plus comprimé. Mon trouble était visible et j'avais du mal
à continuer de regarder. Cependant, chaque regard que je ne posais pas sur elle était
alors réprimé par sa voix impérieuse et une promesse de coups sur mes fesses. Le
moindre de mes gestes l'amusait car signe de mon excitation grandissante et donc de
l'efficacité de sa parade. C'est là que moi-même, je vis ses premiers signes de
jouissance, des petits spasmes, une veine qui ressortait un peu plus, sa respiration
qui tremblait légèrement, la tête relevée, elle lâcha en silence son orgasme qui
semblait lemmener au septième ciel avec ses yeux grands ouverts de plaisirs. Si je ne
m'étais pas concentré dessus je ne l'aurais jamais vu.
Je ne sais si c'est parce qu'elle avait vu mon regard devenir plus intrigué ou
simplement parce qu'elle ne pouvait plus tenir ce masque, je vis sa main se poser
délicatement sur la tête disposée entre ses cuisses et lui caressa la chevelure avec
tendresse avant que ses doigts ne se crispe, que sa respiration ne se coupe. Sans
cesser de me regarder moi, qui n'arrivait plus à baisser le regard, elle ouvrit
délicatement sa bouche pulpeuse pour gémir encore avec style et contrôle. Son visage
ne renvoyait que l'expression d'une personne appréciant un mets délicieux, une
gourmet du plaisir. Son corps, loin des orgasmes violent et animaux, bougeait
lentement comme lorsqu'on s'étire en sortant du lit. Une classe qui hypnotisait
presque. Au paroxysme du plaisir, elle soupira avant de sourire, satisfaite de son
habitude matinale et surtout de l'état dans lequel j'étais. Mon visage était rouge, je
ne savais pas où me mettre alors que ma cage affichait clairement mon sexe presque en
train de fusionner avec son carcan.
- Good Elisabeth. Share with our new sissy, will you ? Dit elle alors à sa servante
qui se retirait de ses bas
Je comprenais l'anglais mais la situation ne m'avait pas préparé à une traduction
immédiate. Une traduction qui fut aussi ralentie par ma vision d'Elisabeth. Une jeune
femme aux cheveux blonds coiffés d'un chiffon sobre duquel quelques mèches rebelles
s'étaient échappées par l'intervention de la Comtesse. Un maquillage tout aussi sobre
que sa coiffure, à peine visible, là uniquement pour souligner ses yeux bleus qui me
fixent et sa bouche ravissante. Je détourne, je baisse alors les yeux, ne voulait pas
manquer de respect à cette soumise qui était, en cet instant, plus élevée
hiérarchiquement parlant. Elle s'était cependant avancée devant moi pour que de sa
main ganté de soie blanche, me relever le menton. Là je la vis accroupie, me regarder
droit dans les yeux et m'embrasser langoureusement. Sa langue douce entra délicatement
entre mes lèvres pour me faire goûter non seulement sa salive mais aussi le nectar de
sa Maîtresse. J'acceptais le cadeau, fermant les yeux, profitant de l'instant et
surtout de l'honneur qui m'était fait.
- Enough, résonna alors à nos oreilles
Avec un contrôle presque surnaturel, la servante se retira alors que j'étais encore
totalement sur mon nuage à tenter de reprendre mes esprits. Mais le temps était bien
trop précieux pour que je le gâche à rêvasser. C'est d'ailleurs ce que la Comtesse me
fit comprendre d'un claquement de cravache dans l'air. J'avais détourné les yeux 3
fois pendant sa ''collation'' du matin, j'allais donc recevoir 15 coups de badines.
- Approche près du lit, petit chien et pose tes mains sur la couverture. Tu vas rester
comme cela et surtout bien écouter. Tu comprends, Cyrilia ?
- Oui Maîtresse Deir... »
Je recevais subitement un coup de cravache qui montrait très bien qu'elle était une
experte avec cet instrument. Mon visage s'était crispé, ma mâchoire s'était serrée.
J'arrivais cependant à rester stoïque car ce n'était pas le début de ma punition mais
une réprimande à cause d'une erreur.
- Je n'aime pas le Français lorsque tu me réponds. Say ''Yes Mistress Deirdre'' or
''Yes Countess Deirdre'', compris sale chien ?
- Yes Mistress Deirdre.
- Good
Maintenant tu vas compter jusqu'à 15. Si tu te trompes on recommencera tout
depuis le début
Un soupçon de vice se glissa dans sa voix alors que le premier coup s'abattait sur ma
croupe. Je m'évertuais à ressortir mon meilleur accent pour compter dans la langue de
Shakespeare mais la Comtesse trouvait toujours à redire pour recommencer le compte.
Oublie de nombre, accent qui ne lui convenait pas, manque d'attention de sa part, je
dus recevoir près de cinquante coups sur mes fesses, devenues cuisantes. Mais la
technique de ma Maîtresse était parfaite. Quand je croisai mon reflet dans un miroir,
je voyais que j'étais marqué sans être meurtri. De magnifiques striures sur ma peau
devenue rose. La punition terminée, on m'ordonna de me tenir à quatre pattes, en
laisse, alors que la Lady me promenait comme un petit chien-chien. La promenade ne fut
pas longue car elle installa finalement à la table où j'avais déposé le petit plateau
du déjeuner. Passant d'une punition à un thé et des croissants, je restais surprise
par tant de maîtrise de soi. Elle se mit à lire le journal alors quElisabeth était
déjà en train de préparer les vêtements de sa Maîtresse. Une présence d'esprit
étonnante et surtout un dévouement sans faille, je remerciais intérieurement la Lady
de ne pas avoir à concourir contre sa servante.
- Aujourd'hui, ton Maître va venir me tenir compagnie pour l'heure du thé. Je me suis
dis que, étant donné ma spécialité, je lui ferai honneur en te transformant, corps et
âme pour cette occasion.
- Pardonnez moi, Mistress Deirdre, mais votre spécialité ? Demandai je
En effet, j'avais pu goûter à la maîtrise de la badine de cette ravissante Domina et
son talent pour pousser les esclaves à leur limite physique et mentale. J'étais
effrayé mais aussi fascinée par la découverte de ce nouveau talent qui allait m'être
introduit. Un petit rictus amusé pointa sur le bord de ses lèvres alors qu'elle
lançait un regard à Elisabeth.
- Show him, dit elle à sa domestique.
- Yes Countess Deirdre »
J'entendais sa voix pour la première fois, mais ce n'était pas le plus troublant.
Devant moi, la jeune femme s'avança, remonta sa robe et dévoila des bottines, des bas,
des portes jarretelles et aussi un pénis encagé entouré d'un magnifique ruban blanc.
Je restais interloquée. Le visage d'Elisabeth ne laissait rien présager d'aussi
surprenant. Javais limpression davoir devant moi une superbe transsexuelle. Sa
posture, sa carrure, ses déplacements, sa voix même, tout était d'une féminité subtile
mais plaisante. Les traits masculins semblaient avoir littéralement disparus. Après la
démonstration, la servante se retira pour continuer son travail. J'allais être
féminisée comme Elisabeth et je serais présentée à mon Maître Vénéré. Peut être
aurais-je même le droit de le servir ? Mais un autre souci vint à mon esprit. L'heure
du thé est à 17h. Cela ne me laissait que peu de temps pour, à la fois paraître
féminine mais aussi pour paraître aussi disciplinée. La Comtesse avait raison, nous ne
pouvons nous permettre de gâcher du temps. Alors son chien, je me mettait assis devant
Elle sans la toiser. Je fis d'abord mine de baisser la tête mais un coup de laisse
léger m'en dissuada. Elle voulait que je la regarde de bas, à ses pieds. Ce que je fis
en restant le plus obéissant et immobile possible. Chose qu'elle apprécia étant donné
les caresses et le morceau de croissant que j'eus pour récompense. Lorsqu'elle
termina, la Domina me fit me déplacer dans la chambre pour revenir au lit d'ébène et
de satin pour remarquer quElisabeth avait bien travaillé et que le programme allait
être serré au vu de tous les accessoires qui allaient être utilisés.
- Now
let begin your new life, Sissy Cyrilia
(à suivre
)
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