En Déplacement Avec Nathalie Partie 1
Mon travail mamène à partir régulièrement en déplacement, variant entre un et cinq à six jours en général, rarement plus.
Il est déjà arrivé que lorsque ça dépassait la semaine et que je sois obligé de rester sur place le week-end, Nathalie vienne me rejoindre en train ou en avion.
Elle arrivait en général le Vendredi soir ou le samedi matin et repartait le Dimanche soir.
Cette fois-ci je ne partais que du Lundi au vendredi dans le sud-est de la France.
Jai demandé à ma femme, sachant quelle avait encore plusieurs jours de congés à prendre, si elle voulait maccompagner en ainsi profiter un peu de la douceur climatique de cette région, nous étions en Avril et les beaux jours commençaient à pointer.
Elle a accepté et nous avons donc pris la route de très bonne heure ce Lundi matin.
Départ trois heures trente, arrivée un peu avant midi.
Cétait il y a une vingtaine dannée, il y avait moins de radar et on roulait beaucoup plus vite.
Je me suis garé dans le parking de lhôtel où javais réservé une chambre pour la semaine.
Cétait un hôtel assez sympa, la chambre était spacieuse, la salle de bain aussi et il y avait une piscine chauffée.
Laprès-midi je suis allé chez mon client et Nathalie est resté à lhôtel pour défaire les valises et se prélasser au bord de la piscine.
Tenue correcte obligé, elle avait troqué son string de bain contre un slip de bain avec un plus grand espace couvrant.
Lorsquelle allait au bar pour commander une consommation, elle enfilait un paréo la couvrant des épaules jusquà mi-cuisse afin de ne pas choquer car ayant une poitrine très opulente, le haut de son maillot ne cachait quun tiers de ses seins.
Le barman venait ensuite lui apportait sa boisson au bord de la piscine, Nathalie étant débarrassé de son paréo, il pouvait alors mieux apprécier les formes de son corps tout en restant très discret.
Il y avait peu de monde ce jour-là dans lhôtel, elle a engagé la conversation avec lui, mais il nosait pas rester trop longtemps avec elle de peur que sa hiérarchie crois quil draguait une cliente.
Il avait vingt-cinq ans et venait de décrocher un CDD ici.
Un peu plus tard ma femme a décidé de commander et consommer sa boisson au bar, elle sest installée sur un tabouret face au barman.
Il était plus facile pour lui de discuter avec les clients quand il était derrière son bar, aucun reproche ne pouvait lui être fait ainsi puisque cétait le client qui venait à lui et non linverse.
Quelques personnes allaient et venaient dans lhôtel, parfois prenaient un verre puis repartaient.
Nathalie et resté un bon moment à parler avec Denis (le barman), lui demandant ce quil y avait à visiter dans le secteur, les bars ou pubs sympa, les restaurants où lon mangeait bien.
Il lui a donné quelques bonnes adresses, mais pour les balades cétait moins évident quand on ne connaissait pas la région.
« Ça te dirait de me servir de guide si tu as des moments de libre dans la semaine ? » lui demanda Nathalie.
« Normalement je nai pas le droit, si la direction le sait je peux dire adieu à mon futur CDI »
Jouant un peu de son charme et avec une voix plus sensuelle, elle lui dit alors :
« On peut se retrouver quelque part en ville comme ça personne ne le saura et tu pourras me faire visiter le secteur »
« Ok si vous voulez, mais surtout nen parlait pas ici »
« Non ne tinquiète pas » « Tu es libre quand alors ? »
« Je suis de repos demain toute la journée et après-demain jusquà dix-huit heure »
« Ok, on se donne rendez-vous vers quatorze heures demain, dit-moi où je dois passer te prendre »
Il lui a donné une adresse à quelques rues de lhôtel ou ils se sont retrouvés le lendemain.
Le soir quand je suis rentré du boulot, ma femme ma mise au courant quelle avait demandé au barman de lui servir de guide.
« Tu le trouve mignon je suppose »
« Bien sûr, sinon je ne lui aurais pas demandé »
« Et tu naurais pas une idée derrière la tête par hasard ? »
« Moi ? Nonnnnnnn, bon javoue que sil me fait des avances je ne les refuserais certainement pas »
Le lendemain comme prévu, Nathalie a pris la voiture pour passer chercher Denis.
Elle était vêtue dun short assez court et dun tee-shirt très moulant.
Il faisait beau et il y avait une température fort agréable, ils roulaient tranquillement les fenêtres ouvertes.
Parfois ils sarrêtaient ici ou là pour visiter, puis reprenaient la route vers un autre endroit et ainsi de suite une bonne partie de laprès-midi.
Denis jetait souvent des coups dil discret vers les seins de ma femme dont le frottement du tissu et de lair faisait ériger ses tétons.
Ils étaient revenus dans le centre-ville quand Nathalie lui dit :
« On sarrête boire un verre quelques part ? »
« Si tu veux. » « Gare-toi dans le parking sous terrain là-bas ce sera mieux. » « Il y a la rue piétonne juste au-dessus »
Ils sétaient tutoyés très vite car le feeling était bien passé.
Une fois garé, ils ont pris lescalator pour rejoindre la rue et sont allées dans un pub boire un verre.
Ils se sont assis lun à côté de lautre sur une banquette au fond de la salle.
Elle avait bien remarqué quelle lui plaisait, mais il était trop timide pour tenter quoique ce soit.
Ne voulant pas non plus trop le brusquer, elle sest dit quelle tenterait de le séduire et le faire craquer lorsquils seront dans la voiture au sous-sol.
« Mince » dit-il
« Quest-ce quil tarrive ? »
« Là-bas à lentrée du bar il y a trois de mes potes »
« Et ? »
« Eh bien, depuis un certain temps, vu quils ne me voient jamais avec une fille, ils ont décidé de faire croire à tout le monde que je suis pédé. Mais je ne le suis pas jte jure »
Nathalie lui répondit en riant : « Tinquiète, même si tu les ça ne me dérange pas »
« Non non cest vrai je ne le suis pas » répéta-t-il.
« Mais là, je suis une femme tu es daccord, tu es en ma compagnie donc en compagnie dune femme, donc ils vont voir que nest pas homo puisque tu es avec une femme à boire un verre »
« Oui, cest vrai mais ça ne veut rien dire, parfois les homos se promènent avec des femmes » répondit-il en ajoutant :
« Depuis un certain temps jessaye de les éviter car même si ce sont des potes, cest soulant leur truc à force »
Voyant les trois mecs arrivaient vers eux, elle sest tournée légèrement vers Denis en lui disant :
« Ça te dit de les scotcher ? »
Ne lui laissant pas le temps de répondre, elle sest approchée de lui pour aller lui rouler une grosse pelle.
Leurs langues se sont entremêlées pendant une bonne dizaine de seconde jusquà ce que ses copains les aient rejoints.
« Eh bein Denis tu nous avait caché ça, elle est charmante ta copine » « Bonjour mademoiselle »
« Bonjour » répondit Nathalie
Denis dun coup avait repris de lassurance et dun ton pas peu fier et légèrement désinvolte leur dit alors :
« Je vous présente Nathalie, cest une copine, on se voit de temps en temps quand elle descend ici quelques jours, elle habite là-haut vers la capitale »
Lun des trois dit alors à ma femme :
« Si vous voulez vous pouvait venir nous voir aussi la prochaine fois, on sera heureux de vous accueillir, bon allez on vous laisse les amoureux, à bientôt Nathalie jespère »
Une fois repartis, elle dit à Denis :
« Tu ne manques pas daplomb toi, tu leur as carrément fait sous-entendre que jétais un plan cul »
« Heuuu
cest-à-dire que
il fallait que ce soit crédible
et puis cest quand même toi qui mas embrassé »
« Oui cest vrai mais cétait pour te sauver la face » répondit-elle en riant.
« En tout cas merci » dit-il
« Merci pour quoi ? »
« Bein pour être rentré dans le jeu sans démentir et surtout pour le baiser, jai adoré »
Maintenant quil est chaud, je ne vais pas lui laisser le temps de refroidir se dit-elle.
« On retourne à la voiture ? »
« Allez, on y va »
La laissant passer devant lui, elle sentait son regard sur ses fesses quand elle marchait.
Arrivé à la voiture, Nathalie a ouvert la porte arrière pour sinstaller sur la banquette en lui faisant signe de la rejoindre.
Il se sont assis, elle a fermé les portes puis se sont approchés comme des aimants pour sembrasser à nouveau.
Cette fois-ci le baiser était plus passionné, plus long et les mains de chacun se baladaient sur le corps de lautre.
Leurs langues se sont mélangées pendant de longues minutes, Denis avait passé ses mains sous le tee-shirt de ma femme pour lui caresser les seins et elle, avait posé une main sur la bosse de son short quelle a ouvert pour faire jaillir une bite bien raide.
Elle a commencé à le masturber puis, a quitté la bouche de Denis pour venir engloutir son membre.
Sa langue jouait sur son gland puis redescendait le long de sa hampe tout en continuant de le branlait doucement, elle retournait ensuite entourer ses lèvres pulpeuses sur ce barreau tendu à rompre.
Denis était aux anges, il regardait la bouche de ma femme faire des merveilles sur sa queue, elle le léchait, laspirait, le mordillait même parfois.
Son autre main était passé sous ses couilles quelle caressait et malaxait en même temps quelle lui aspirait le gland.
Une dizaine de minute de ce traitement ont eu raison de lui.
« Je vais jouir, je vais jouir ahhhhhhhhh
ouiiiiiii
ahhhhhh
»
Elle na pas eu le temps de se retirer quune première giclée est arrivé dans sa bouche, une autre sur ses joues et ses lèvres puis deux autres dans ses mains alors quelle continuait de le branler.
Quelques lingettes pour nettoyer tout ça, il se sont rhabillés puis sont monter à lavant de la voiture.
Il était dix-neuf heures, je nallais pas tarder à rentrer à lhôtel.
Nathalie a proposé à Denis de le raccompagner chez lui avant de me rejoindre.
Sur le chemin elle lui dit :
« Cest dommage jai une chambre à lhôtel et on ne peut même pas en profiter, on aurait pu passer du bon temps demain »
« Si tu veux, tu peux me rejoindre chez moi, jhabite avec mon père mais il bosse la journée, il revient vers dix-sept heures trente, ça nous laisse un peu de temps si tu viens de bonne heure »
« Ok, on se dit treize heures chez toi demain »
« Super, jai hâte dêtre à demain » dit-il.
Nathalie ma raconté sa journée en arrivant et en me disant quelle risquait fortement de se faire baiser une bonne partie de laprès-midi du lendemain.
Un peu intrigué je lui ai demandé :
« Tu es sûr que lhistoire avec ses potes ce nest pas un coup monté ? »
« Oui je me suis posé la question, mais en même temps je pense quil ne sattendait pas à ce que je lemballe dans le bar » « En tout cas si cétait prévu, cétait bien joué et de toute façon je voulais aussi en arriver à ça donc ce nest pas grave »
« Oui tu as raison, je pense quil na pas été obligé de te forcer pour que tu lui fasses une pipe »
« Cest clair et je pense que je devrais bien méclater avec lui demain »
Nous sommes allés en ville au restaurant le soir et ensuite boire un dernier verre dans un pub, le même que celui où ils sont allés laprès-midi.
Nathalie a reconnu les trois copains de Denis à une table un peu plus loin, eux aussi lont vu mais certainement à cause du fait quelle était avec un autre homme que leur copain, ils ne sont pas venus lui parler.
La nuit fût agitée car la situation nous avait excité tous les deux.
Le lendemain je suis parti bosser comme tous les jours de la semaine alors que Nathalie a profité le matin de la piscine puis sest préparé pour aller rejoindre Denis vers treize heures.
Elle a trouvé une place proche de chez lui puis est rentré dans limmeuble pour monter au deuxième étage et aller frapper à sa porte.
Le quartier était tranquille, elle avait donc opté pour une tenue plus sexy, des hauts talons, une mini-jupe rose au raz des fesses, un mini string, un corsage blanc transparent sans soutien-gorge et juste une petite veste sur lépaule au cas où.
« Salut, comment tu vas » il lui a ouvert torse nu et juste avec un caleçon.
« Bien et toi ? »
« Jai pensé à toi toute la nuit, javais trop hâte que tu viennes »
« Jespère que tu ne tes pas trop branlé, il va falloir assumer cette aprem » se dit-elle.
« Entre vite, tu veux un café ? »
« Non merci, je viens den boire un »
« Suis-moi alors » lui dit-il en la prenant par la main pour lemmener dans sa chambre.
Il la assise sur le lit puis est venu la chevaucher pour lembrasser et lallonger complètement.
Un gros baiser fougueux avec sa langue qui tournait dans tous les sens autour de celle de ma femme.
Ses mains se sont attelées à déboutonner son corsage pour venir caresser ses seins et titiller ses tétons sur lesquelles il est très vite venu poser sa bouche et sa langue.
Il est ensuite descendu sur son ventre en la léchant partout le long du trajet, puis a continué sa route en baissant la mini-jupe et le string.
Elle était maintenant complètement nue devant lui, sa langue continuait sa progression en passant par son ticket de métro avant datteindre ses lèvres intimes entre lesquelles elle sest insinuée.
Un grand soupir de plaisir.
Ma femme se laissait aller aux caresses buccales quil lui prodiguait.
Elle sentait bien cette langue lécher ses lèvres puis se diriger vers son clitoris pour enfin entrer profondément dans son intimité et la fouiller ardument.
Elle mouillait énormément, puis sest laisser envahir par un orgasme pendant que la langue de Denis continuait la découverte de son sexe et quelle explosait en lui bloquant la tête avec ses mains.
Le visage trempé de la jouissance de ma femme, il est remonté lembrasser toujours aussi goulument.
A son tour elle a basculé Denis pour quil se retrouve allongé, elle est descendue jusquà son sexe pour lui enlever son caleçon déformé par un pieu hyper tendu.
Sa bouche est venue lengloutir avec passion, sa langue virevolté partout sur sa bite trempée elle aussi dexcitation.
« Jai envie de toi »
Qui avait parlé ?
Elle ? Lui ? Les deux sans doute, du moins sils ne lavaient pas dit, ils en avaient tous les deux envie.
Il a attrapé un préservatif pour lenfiler, Nathalie est venue le chevaucher pour sempaler sur cette bite bien raide et bien gonflée.
Nouveau grand soupir de plaisir.
Cette bite qui la pénétrait lui procurait une sensation quelle connaissait bien et annonciatrice dun orgasme imminent.
Elle montait et descendait doucement sur ce pieu pour retarder son plaisir en gémissant à chaque fois quelle le sentait bien au fond delle.
Il avait les mains sur ses seins, il les caressait et les embrassait avec excitation.
Ils étaient tous les deux dans un état second et ont libérés leur jouissance simultanément dans un mélange de cris et de râles.
Elle sest affalée sur lui en lembrassant goulument.
Denis promenait ses mains sur les fesses de ma femme alors quil était toujours planté en elle sans avoir débandé.
Elle avait entouré ses bras autour de son cou et lui les siens autour de son torse tout en ayant leurs bouches soudées et leurs langues entremêlées.
Lexcitation nétait pas retombée et il a recommencé ses va et viens en elle.
Réalisant quil venait de jouir il a changé de préservatif et a très vite repris ses assauts mais cette fois-ci en levrette.
A quatre pattes, les fesses bien tendue en arrière, elle se donnait complètement à lui, allant à a rencontre de chaque coup de rein.
La vue de ses fesses a décuplé son excitation et il sest mis à la défoncer sauvagement et bien profondément en lui agrippant les hanches pour bien la pénétrer au maximum.
Il la prise dans de multiples positions pendant plusieurs heures entrecoupées de quelques pauses, la faisant jouir à maintes reprises.
Lui-même sest vidé plusieurs fois dont une au fond de sa gorge.
Cest de nouveau emboité lun dans lautre dans une levrette effrénée et tout proche dune énième jouissance quun bruit de clé dans la porte dentrée leur a tout de suite remis les pieds sur terre.
« M
.. cest mon père, putain quel heure il est ? » « Six heures moins le quart, putain je suis à la bourre » « Je vais être en retard au boulot »
Dun coup il sétait relevé, complètement paniqué darriver en retard à son travail, il sest habillé très vite disant à son père qui venait de refermer la porte dentrée sans trop comprendre ce quil se passait.
« Coucou Papa, je te présente Nathalie, cest une copine, je te laisse, offre-lui un verre faut que je me sauve je suis à la bourre »
Puis il est parti.
Nathalie de son côté tentant tant bien que mal de se rhabiller est sortie de la chambre.
« Bonjour Monsieur, je
je suis une copine de Denis, je
heu
»
« Ça va jai compris ne vous en faites pas, vous êtes sa petite amie »
« Heu
enfin
pas vraiment
cest juste une relation éphémère entre adultes consentant »
« Daccord, un plan cul en fait »
« Heu
oui, on peut dire ça comme ça »
A moitié habillée, décoiffée et encore en sueur, elle se sentait mal à laise.
« Vous voulez peut-être prendre une douche avant de rentrer, je vois que vous êtes marié à votre alliance et je pense que vous ne voulez pas rentrer chez vous retrouver votre mari comme ça sentant la sueur »
Observateur le monsieur se dit-elle.
Dune voix frêle elle lui répondit :
« Oui merci je veux bien »
« Cest la porte là, il y a tout ce quil faut, allez-y ne vous gênait pas »
Une bonne douche lui a fait reprendre ses esprit et calmer aussi létat de semi-panique dans lequel elle se trouvait aussi.
Toute fraiche et enfin habillé correctement, elle est sortie de la salle de bain.
Face à elle assis à table une bière à la main le père de Denis était là.
Malgré quil soit assis, il était grand, baraqué, musclé, cinquante-cinq ans environ, en short, la chemise largement ouverte sur une torse abondamment poilu, débordant de virilité avec en plus un certain charisme, une gueule de baroudeur avec des lèvres bien charnues et un air autoritaire mais quelle trouvait craquant.
Son physique lintimidait et la faisait fondre, elle avait perdu son assurance et ses moyens face à lui.
« Jean Louis enchanté » dit-il en lui tendant la main.
« Nathalie de même »
« Tu veux une bière Nathalie ? On peut se tutoyer ? ça ne te gêne pas »
« Oui bien sûr on peut et oui je veux bien une bière aussi »
« Assieds-toi, nai pas peur je ne vais pas te manger » lui dit-il la sentant troublée.
« Tu es du coin ? »
Essayant de tirer un peu sur sa jupe qui une fois assise remontait très haut, elle lui expliqua ce quelle faisait dans la région et comment elle avait connu Denis.
« En fait après tavoir fait visiter les alentours, il ta fait visiter son lit » dit-il en riant.
Un peu gênée elle fît signe que oui.
« Il a bon goût mon fiston » « Mais il est con, il maurait prévenu, je serais rentré plus tard »
« On na pas vu lheure, on ne pensait pas quil était si tard »
« Tu dois être un sacré bon coup pour quil en oubli dêtre à lheure au boulot »
Elle sest sentie rougir, ce mec la troublait, un mélange dexcitation et de soumission envers lui, elle avait presque envie quil la prenne dans ses bras ou tout simplement quil la prenne tout court peut-être.
Voyant quil la troublait il a posé sa main sur les cuisses de Nathalie en lui disant :
« Jespère au moins que vous aviez fini, dans le cas contraire je peux me proposer pour terminer ce que vous aviez entamé »
Puis lui prenant les mains, il lui dit de sapprocher jusquà la faire mettre à genou devant lui.
Complètement soumise elle sest laissé faire comme hypnotisé par cet homme.
Elle a détaché son pantalon puis lui a ôté complètement faisant émerger un sexe déjà en érection dune belle taille.
« Hummm tu es doué » lui dit-il alors quelle sactivait sur son sexe avec sa bouche.
Sentant que sa langue magique risquait de le faire jouir trop vite, il a fait se relever pour la faire sassoir face à lui sur ses cuisses.
Il la attiré contre lui pour lembrasser ce qui eut pour effet que sa bite était collée à ses lèvres intimes.
Perturbée, elle en avait oublié de remettre son string qui devait trainer près du lit de Denis.
Sentir le sexe de cet homme bien raide frotter contre le sien a mis Nathalie dans un état second.
Elle avançait son bassin pour le sentir encore plus contre elle.
Elle ne le connaissait que depuis quelques dizaines de minutes et déjà elle avait envie de le sentir la prendre.
Alors quils sembrassaient toujours, elle se frottait encore plus fort contre son gros membre, elle était tellement excitée quelle était presque prête à sempaler dessus.
Sa queue était au bord de ses lèvres, un seul coup de rein aurait suffi à la faire rentrer en elle.
Dans un ultime effort elle sest détachée de lui pour aller chercher un préservatif dans la chambre où Denis lavait baisé.
Une fois le sexe de Jean Louis emballé, elle a repris sa position pour cette fois-ci sempaler sur son gourdin bien dur.
Elle la entouré de ses bras pour lembrasser à nouveau alors que lui avait ses mains sur ses fesses pour laider dans ses mouvements de va et viens.
La position nétait pas la meilleure pour quelle le sente bien à fond en elle, mais suffisamment excitante pour quelle ait un orgasme.
Toujours planté en elle, il sest ensuite levé pour lallongé sur la table et la pénétrer plus profondément en entamant de grands va et viens.
Après quelques minutes elle a de nouveau joui.
Il la retourné face contre la table le cul bien proéminent vers lui et la empalé à fond presque sauvagement tripotant ses fesses et sattaquant à son anus du bout des doigts.
Alors quil la baisait copieusement, ses doigts sinsinuaient tout doucement dans son cul.
Soumise aux envies de Jean Louis, elle le laissait investir ses fesses de ses doigts persuadé que sa bite allait bientôt les remplacer.
Le fait de se sentir complètement dominée et à la merci de cet homme lui a de nouveau déclenché un orgasme bruyant.
Il est sorti delle pour présenter sa queue devant son cul et senfoncer doucement dans son anus.
Elle le sentait bien investir ses fesses et curieusement elle y prenait beaucoup de plaisir alors quelle nétait pas vraiment adepte de la sodomie.
Sa main sest glissée vers son clitoris pour le caresser pendant quil lenculait bien fort.
Pendant un bon moment il lui a pris les fesses allant bien loin dans son cul et de plus en plus fort.
Ne tenant plus il a explosé dans ses entrailles dans un dernier coup de rein en lui procurant un dernier orgasme.
Remis de leurs émotions et après être passé par la salle de bain il lui dit :
« Dommage que tu doives rentrer jaurais bien passé la nuit à batifoler avec toi »
« Oui, javoue que lidée me plais bien aussi mais je dois retourner à lhôtel rejoindre mon mari avant quil ne sinquiète »
Lui était toujours nu et sapprochant de Nathalie il lui dit :
« Regarde leffet que tu me fais, je bande encore »
Elle sest agenouillée devant lui en prenant sa bite pour la porter à ses lèvres en lui disant :
« Je veux bien te faire jouir avec ma bouche si tu me promets de ne pas être long à venir »
« Promis, je ne vais pas me retenir »
Elle sest alors activée à le sucer goulument en jouant merveilleusement avec sa langue.
Une quinzaine de minute plus tard il se déversait au fond de sa gorge les mains posées sur sa tête pour la maintenir contre son pubis jusquà ce quelle avale tout.
Je commençais à être inquiet et légèrement en colère car je venais de rentrer et javais vu Denis à son poste alors que Nathalie nétait pas encore revenue et quelle ne mavait pas appelé ou envoyé un message.
Cinq minutes après, elle rentait dans la chambre, radieuse, le sourire aux lèvres, en se jetant sur moi pour membrasser goulument.
Ma colère est aussitôt retombée surtout après avoir senti ce goût de sperme dans sa bouche et sur sa langue.
« Tu memmène au resto ? Je meurs de faim » me dit-elle « Et après je te raconte tout »
On était Mercredi soir, nous avions prévu de repartir tranquillement le Samedi matin, je pensais que Nathalie allait rester tranquillement à bronzer devant la piscine pendant les deux jours restant, mais cétait sans compter sur sa soif de sexe
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