La Saint-Michel, Ça Se Fête
Ce fut à la Saint-Michel de l'an passé que je vis Marie-Jeanne malade pour la première
fois. Habituellement solide comme un roc, elle était alitée pour de bon, emmitouflée
dans sa chemise de nuit et une grosse robe de chambre. Le docteur était passé la
veille, elle avait ses médicaments, et n'avait plus qu'à rester bien au chaud, en
attendant que çà aille mieux, malgré un temps magnifique au dehors. Comme je me
proposais de rentrer chez moi, pour la laisser au repos, elle insista pour que
j'emmène son fils passer la journée à la plage, "Tu comprends, c'est sa fête
aujourd'hui, mais ses copains ne sont pas là, et il risque plutôt de me fatiguer
qu'autre chose", me dit-elle. L'idée ne m'emballait pas mais il m'était difficile de
lui refuser cela, et puis, après tout, le Michel n'était pas mauvais compagnon, même
s'il ne se comportait pas toujours comme tout le monde. Faisant contre mauvaise
fortune bon cur, je l'emmenai avec moi, et bientôt, après un détour à la maison pour
prendre mes affaires de bain, nous voilà en route vers la plage lointaine.
Tour en roulant, nous engageâmes un peu plus que de coutume la conversation,
sur des sujets ordinaires tout d'abord, puis j'en profitai pour lui tirer les vers du
nez sur sa vie et ses habitudes. "J'espère que tu n'as pas oublié de prendre une
couche de rechange", lui demandai-je en préambule, et il se mit à rire, un peu
fortement à mon goût, mais je compris vite pourquoi. "En fait", répondit-il, "je n'ai
jamais eu de problèmes de pipi-culote, mais j'aimais çà déjà étant gamin, et comme
elle aimait bien me changer, j'ai continué à faire croire à Marie-Jeanne (il ne
l'appelait jamais autrement que par son prénom), que je pissais au lit, et parfois
dans ma couche. J'aime bien sentir quand elle me nettoie ma queue, qu'elle me tripote
tout çà, çà m'excite".
auxquels je ne m'attendais pas. Je poussai l'interrogatoire discrètement, voulant en
savoir plus, et lui indiquai que, tout de même, sa mère avait bien du mérite de s'en
occuper ainsi, et qu'il était un fieffé coquin. "Pense-tu, çà lui plait bien au
contraire, elle aime bien me toucher et des fois, elle m'excite tellement que çà coule
tout seul".
La mer apparaissait déjà, d'un bleu lumineux, et je n'eus pas trop de
difficultés à trouver un endroit tranquille et discret, en ce jeudi, pour nous baigner
et pique-niquer. Déjà la nappe était disposée, sur une table de camping aménagée à cet
usage et les draps de bains étendus à même le sable. Nous décidâmes que nous irions
nous baigner avant de manger, puis de nouveau vers le milieu d'après-midi, et déjà il
se changeait, se montrant tout nu devant moi sans aucune retenue. Je ne me privai pas
de le contempler, faisant semblant d'être un peu surpris, et tout ce qu'il trouva à
dire fut "N'aie pas peur, personne ne va te voir tout nu, ici". Argument imparable,
qui me laissa pantois, avant de le féliciter sur son anatomie. Il avait une belle
gaule, c'est le cas de le dire, bien tendue, d'environ 20cm, couronnant des bourses
bien pleines, le tout garni de nombreux et beaux poils noirs bien soyeux.
Du coup, mon regard restait fixé sur ce superbe engin, quand il me proposa:
"T'en as jamais vu comme çà? tu peux toucher, tu sais, elle mord pas". Je lui répondis
que si, naturellement, mais pas très souvent quand même, tout en commençant à caresser
ses bourses du bout des doigts, les effleurant tout d'abord, avant de monter jusque
vers son gland, que je pris dans la main. Je le malaxai, doucement, faisant encore
avancer celle-ci le long de sa hampe, la soupesant, et puis d'un coup, m'enhardissant,
je commençais à l'astiquer, à petits coups, en murmurant: "Elle est vraiment belle, un
beau bijou que tu as là, et on peut y goûter aussi"? En guise de réponse, il prit mon
chibre en main, commençant furieusement à me branler.
maîtrisait aucunement la technique, et je lui demandai de se laisser faire, et de se
coucher sur un drap de bain, ce qu'il fit aussitôt.
Je me mis sur lui, en position de 69, et ce furent quelques merveilleuses
minutes, pendant lesquelles ma langue s'en donna à cur-joie, et je sentais vibrer en
bouche son gros morceau, au point que je dus arrêter mon travail, de peur qu'il ne
jute trop vite dans ma bouche. Ce n'est pas là que je voulais son nectar. Sans le
faire exprès, sa bouche excitait mon pénis par des va et vient rapides et désordonnés,
preuve qu'il n'était pas trop habitué, mais je ne ressentais pas encore ce plaisir
particulier que me procurent d'habitude ces pratiques homosexuelles. Alors changeant
de position, je le fis mettre contre moi, lui derrière, toujours à se branler, en lui
demandant s'il avait déjà fait l'amour avec un homme. "Oui, avec Stéphane", m'indiqua
t'il, "c'est toujours lui qui rentre sa queue, et des fois, c'est agréable, mais
souvent, il me fait un peu mal quand même". Je découvris ainsi que son copain n'avait
jamais voulu être sodomisé, mais aimait bien le faire aux autres, et après tout, si
Michel ne s'en plaignait pas...
J'avais une furieuse envie de me faire prendre par son bel appareil, et lui
demandai si des fois, il aimerait me faire l'amour, rentrer sa queue dans mes fesses,
pour être précis. Bien sûr qu'il en avait envie, car il ne l'avait jamais fait. Alors,
je pris dans mon sac de sport le tube de vaseline que j'ai toujours, en enduisis mes
fesses, ma rosette surtout, puis son pénis, que je masturbais en même temps, car il
était redevenu flaccide, puis, me positionnant bien devant lui, je l'aidais de ma main
à me pénétrer, avant de la retirer, et de lui laisser libre accès. Aussitôt, il entama
des tentatives de pénétration, avant que je sente tout à coup qu'il était en moi.
S'il ne l'avait jamais fait, il se rappelait bien comment il se faisait prendre, car
je n'eus plus rien à lui expliquer. Il allait et venait, son gland gorgé de sang
excitant bougrement ma paroi anale, déjà bien dilatée, et sa main gauche branlant ma
queue, puis tout à coup, la masturbation cessa, je sentis son nud commencer à vibrer
au fond de moi, avant de relâcher tout son foutre à longues saccades, tapissant
complètement mon conduit, et me faisant parvenir à un orgasme inespéré. En définitive,
il pouvait être un bon coup, entre des mains expertes, si j'ose dire, mais il ne le
savait pas. "C'était bon", me dit-il simplement, en se retirant un peu vite de mon
cul, pour s'allonger à plat dos, bite à l'air, sans même s'essuyer. Tu parles,
Charles, que c'était bon, c'était aussi ce que je pensais.
Après un peu de repos, suivi du pique-nique, et d'un bon bain qui nous
détendit, je lui proposai de recommencer, en changeant de position, ce qu'il accepta
bien sûr, et je le pris sur le rebord du siège arrière de la voiture, maintenant ses
jambes en l'air et ses fesses hors du véhicule, en un assaut bref et déchaîné. Il
était aussi profond que sa mère, et j'eus mon plaisir rapidement, un long jet de
sperme épais, dans lequel mon pénis baignait maintenant, restant en lui au maximum, de
ce que je pouvais, pendant qu'il se branlait, ce qui lui donna le temps de juter sur
mon ventre et ma poitrine. Il n'avait pas du se masturber depuis quelque temps, car
cette deuxième semence fut presqu'aussi copieuse que la première, presqu'aussi épaisse
également, et décidément, oui, il était un bon coup. On se promit de se retrouver tous
les deux, de temps à autres, et je lui demandai de surtout n'en rien dire à sa mère,
car après tout, çà ne la regardait pas. "Tu sais", me répondit-il, "c'est pas grave,
parce que, elle aussi, des fois, elle me fait jouer avec elle.
bon pour moi et pour mon équilibre aussi". Je ne lui dis rien de plus, mais déjà des
idées nouvelles me traversaient l'esprit.
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