Enzo Se Plait À M'Offir À 3 Jeunes Des Cités Dans Une Arrière-Salle De Bistro

J’étais à demi nue dans la cabine d’essayage quand je reçu le sms :
Dans une heure, café des sports, suivi de l’adresse. Pas de sous-vêtements.
Cela venait d’Enzo, il n’y avait pas à discuter. J’étais sa petite amie, son amante et
sa salope soumise. Tel était le deal.
5 minutes avant l’heure dite, je me faisais déposer par un taxi devant un bar glauque.
Les habituels alcolos au bar, une télé sur le mur qui passait des courses de chevaux.
Avec mes talons de 12 cm, mon jean Prada et mon pardessus Burberry, je ne suis pas
dans le ton. Le patron me dit directement :
- Salle du fond.
Je poussais la porte de la salle du fond et fus soulagée de voir Enzo assis à une
table sirotant un café. Il se lève, écarte les pants de mon pardessus et observe ma
tenue. Je porte un jean slim et un caraco en soie. Il m’embrasse longuement et me
plaque contre lui. Je le sens durcir contre mon ventre.
- je t’ai fait venir ici pour une séance bien particulière. Tu veux obéir à tout ce
que je te demanderai ? Absolument tout ? Puis, se penchant à mon oreille :
- Tu es bien ma petite salope ? Dis-le-moi.
- Oui, je suis une salope et te suis entièrement soumise. Je t’appartiens et tu peux
faire de moi ce que tu voudras.
Je vois dans ses yeux le désir. M’entendre lui dire ces mots l’excite beaucoup.
J’avoue que moi aussi non seulement ça m’excite de le dire tout haut mais ça m’aide
aussi à vaincre ma timidité.
- Bien, aujourd’hui, je vais te montrer à quel point tu es une salope. Tu vas
découvrir que tu aimes te comporter en pute et tu vas me prouver que tu m’appartiens.
J’en mouille déjà même si mon pouls s’accélère sous le stress de l’inconnu. Il défait
mon foulard et me bande les yeux avec.
- Bouge-pas, m’ordonne-t-il sur un ton froid. Il est entré dans son rôle de
dominateur.
Le bruite de la porte qu’on ouvre puis referme.

Dans le noir de mon bandeau, mes
autres sens se décuplent. J’écoute des pas, apparemment plusieurs personnes, mais
aucun mot n’est prononcé. Ma peau est en alerte en attente d’être touchée. Ma chatte
est déjà tendue de désir.
Enzo m’ordonne de me mettre à poil.
Je retire mon imper puis mes chaussures lentement. Je vais leur en donner de la pute
s’ils en veulent. Je veux les exciter, surtout Enzo, je le veux fier de sa salope. Je
descends la braguette de mon pantalon et y glisse une main en soupirant puis j’écarte
les pans, pour bien montrer que je ne porte rien dessous. Je le fais glisser à mes
pieds d’une main en tortillant mon cul et me doigte de la seconde main. Lorsqu’il
tombe sur mes chevilles, je me penche en avant bien cambrée, les fesses en l’air pour
lentement lever un pied puis l’autre pour l’enlever complètement. Ils ont une vue
imprenable sur ma croupe. Je me relève ensuite et les bras en l’air je retire mon
caraco pour dévoiler ma poitrine déjà gonflée d’excitation. Je sens la chaleur de ma
jute me couler entre les cuisses. Dire que je suis chaude est un euphémisme ! À cet
instant-là, je sens des mains sur moi, Enzo ? Non, ils sont plusieurs à me caresser et
glisser leurs doigts dans ma fente et sur mon petit trou serré. On me malaxe et
m’empoigne les seins, on me pince les tétons, on me les lèche et les embrasse. Je sens
des doigts écarter ma vulve et s’insinuer dans mon trou sans ménagement. J’ai au moins
deux doigts dans le cul et trois dans ma chatte ruisselante. Je les encourage de mes
gémissements et roule du bassin pour mieux les sentir en moi. Enfin, je sens une queue
dans mon dos puis on m’en glisse une dans ma main droite et je sens enfin celle de
celui qui me doigte la chatte contre ma cuisse. Elles sont toutes les trois tendues et
bien dures. Je branle celle de droite et celle contre ma cuisse.
Celle de droite est
énorme, j’ai du mal à la prendre en main. Celui dans mon dos se frotte contre mes
fesses tout en faisant tourner ses doigts dans mon anus à présent bien dilaté.
-Enzo ? Je n’ai pas reconnu son toucher et suis inquiète…
- Je suis là, je profite du spectacle, que tu m’offres salope chérie. Détends-toi. Il
est apparemment à plusieurs mètres de moi.
Les doigts sortent de ma vulve
- Chérie ? Recule d’un pas veux-tu, la table est juste derrière toi. Appuie-toi
dessus. Je lâche à contrecœur les queues que je branlais.
-Putain de salope. Tu mouilles bien ! C’est une voix que je ne connais pas qui vient
de parler. Il me pousse sur la table, m’allonge sur le dos, me tire les fesses au ras
du bord. J’entends que l’on tire une chaise devant. Il m’écarte les cuisses avant de
basculer mes jambes sur ses épaules.
- Karim, se propose de goûter ton con ma salope chérie. C’est Enzo qui fait les
présentations.
- Ooooh ! Kariiim ! OUI !!! Il vient de me rouler sa langue sur le clito, j’en ai
presque un orgasme !
Je sens sa langue me lécher copieusement la vulve pendant qu’il titille mon clito de
ses doigts. De temps en temps il me pénètre la chatte avec trois doigts et me lime. Je
gémis.
Pendant ce temps les deux autres bites se rappellent à moi, on m’en a remis une dans
chaque main et je les branle doucement toute absorbée au plaisir que me donne Karim.
Idée de sucer la grosse me passe par la tête mais Karim se relève d’un coup et me
fourre la chatte d’un coup sec et j’oublie tout.
- Putain, t’es bonne ! T’es juste bien serrée comme j’aime. Gémis, salope. J’veux
t’entendre. Dis-moi que j’te fais du bien? T’aime ma queue ?
Je ne réponds que par de nouveaux gémissements, il est bien monté, et il me lime de
toute sa longueur en alternant des petits coups rapides et des plus lents. Il sait y
faire et je sens l’excitation monter en moi.

Karim, baise-moi plus fort ! Oui, ta queue !!!! Ta grosse queue ! Je l’aime Karim ! Tu
me fais jouir, vas-y encore plus fort ! Prends-moi. Je le sens redoubler d’efforts
dans mon con. Je jouis alors vraiment mais j’ai encore envie.
La bite que je tenais dans la main droite m’échappe et je sens alors que l’on
m’enfourche le torse. Il est à genoux sur moi et malaxe mes seins, en mordille les
tétons et entreprend se branler dans ma grosse poitrine.
- La bite entre tes seins c’est celle d’Ahmed, me glisse Enzo à l’oreille. Il est
placé derrière ma tête et me caresse les cheveux. Le gars pousse des soupirs en se
branlant comme un dingue, m’arrachant les pointes des seins en s’agrippant des deux
mains au passage. J’ai mal mais j’aime ça, cela redouble mon plaisir et en plus Enzo à
l’air d’en tirer du plaisir :
- Ma jolie petite salope bandante me susurre-il. Il me passe les bras au-dessus de la
tête et me maintient les poignets avec une main puis me tourne la tête sur le côté. Je
sens le gland pousser sur mes lèvres que j’entrouvre. Une bite énorme me remplit la
bouche et s’introduit jusqu’au fond de ma gorge. Exactement ce que je désirais à cet
instant. Je le suce avec avidité. Son chibre est vraiment énorme. Il me remplit la
bouche jusqu’à la gorge et pourtant je ne sens pas sa garde contre mes lèvres. Il est
tellement long que ma bouche et ma gorge ne suffisent pas à le rentrer en entier ! Que
c’est bon !
- ça c’est la bite de Moussa, ma grosse salope. Tu rêvais de te faire mettre par une
grosse bite de black comme dans les films ? Alors, assume maintenant ! Oui, c’est ça,
suce-le bien, ma salope, on voit que tu aimes les grosses bites.
Moussa se branle et s’enfonce dans ma gorge en mouvements doux et lents. Enzo me
maintien les mains et la tête, c’est très agréable d’être ainsi offerte sans défense.
Je plaque ma langue contre son dard pour lui donner le plus de plaisir possible.
Je
prends vraiment mon pied à me faire baiser la bouche pendant que Karim me pilonne.
Le premier à éjaculer c’est Karim qui a fini de me besogner la chatte.
Ahmed est le suivant, il étale son sperme sur mes seins avec sa bite et descend de la
table.
J’ai beau m’appliquer, Moussa, lui, c’est un endurant. Il continue ses va-et-vient
dans ma bouche.
- J’vais lui préparer le cul ! C’est Karim qui a parlé, j’ai reconnu sa voix.
Je sens qu’avec son doigt il fait couler ma cyprine mêlée de son foutre sur mon trou
serré qu’il doigte gentiment.
Moussa se retire, il n’a toujours pas éjaculé. Dommage, j’aurais aimé qu’il me souille
le visage de sa semence que j’imagine conséquente. On me retourne et je suis allongée
à plat ventre sur la table, les jambes dans le vide et Enzo me glisse :
- Hum, devine qui va t’éclater la rondelle salope chérie ? J’entends à sa voix que ça
l’excite au moins autant que moi : Moussa va me défoncer !
Et là, je sens le gland qui se presse contre mon petit trou (petit il ne va pas le
rester bien longtemps, vu la taille de l’engin !). Je me détends dans l’expectation et
voilà Moussa qui pousse doucement son gland dans mon cul qui cède sous la pression. La
bite énorme a du mal rentrer. Je sens ma rondelle se dilater, cela picote, j’ai peur
qu’il me déchire l’anus. Heureusement pour moi il est doux. Finalement, il passe sa
main autour de mon bassin et me doigte la chatte pour me détendre tout en continuant à
pousser de l’autre main sa queue dans mon trou centimètre par centimètre. Quand il
parvient à la rentrer entière dans mon cul, j’ai un orgasme si fort que j’en crie. Il
commence à faire des va-et-vient et je crois devenir folle de plaisir. Ses doigts dans
ma chatte et son dard qui m’écartèle la rondelle, je suis littéralement au 7ème ciel.
Je ne suis plus capable que de pousser des râles de plaisir à chaque fois que je sens
ses couilles taper contre ma vulve et son dard au plus profond de mon cul. Je ne me
suis jamais fait démonter par une bite aussi grosse, c’est bon ! Je m’abandonne toute
entière à ma jouissance.
On me tire alors par les cheveux et on me relève le torse. Je me retrouve prise tout
debout contre la table par Moussa qui n’en finit plus de me bourrer. Il est vraiment
très endurant ! Karim s’est assis au bord de la table devant moi et me prend une main
pour que je sente sa bite à nouveau gonflée.
- Moussa, fais pas ton chien, partage s’te plait !
Alors Moussa se retire de mon cul et m’empoigne par-dessous les cuisses pour me lever
et m’avance sur le bord de la table où je m’empale à genoux sur la queue de Karim qui
bande décidément bien dur. C’est bon mais je veux encore Moussa.
- Moussa, revient me la mettre.
Et je sens qu’il me remplit à nouveau avec douceur le cul et là, de les sentir tous
les deux bouger en même temps en moi, j’ai plusieurs orgasmes de folie. C’est Moussa
qui imprime les mouvements d’avant en arrière sur mon bassin de façon à ce que tout à
tour ce soit la bite de Karim qui soit entière en moi et ensuite que ce soit la sienne
qui emplisse mon cul jusqu’à la garde. Je suis comblée physiquement et mentalement.
Enfin, Moussa éjacule. Ce qui me semble des litres de sperme me coule du cul quand il
se retire avec délicatesse. Je sens ma rondelle rester ouverte tellement il l’a
distendue. Je me sens alors délicieusement salope. Il me dépose un baiser sur l’épaule
en partant. Ahmed, lui n’est pas aussi romantique et délicat… Alors que Karim bouge
toujours en moi Ahmed lui dit :
- Karim, bouge plus, on va la lui fourrer en double.
J’entends Enzo gémir, je suis sûre qu’il se branle en nous regardant et la double
pénétration semble ajouter à son excitation. On ne m’a jamais fait de double
pénétration. Je ne suis même pas sûre que ce soit possible et pourtant…
Karim interrompt ses mouvements et cale sa bite bien au fond de ma chatte. Je sens la
bite d’Ahmed dressée derrière moi me frôler la rondelle avant d’appuyer sur la bite de
Karim pour glisser le long de ma vulve. Putain ils me déchirent la chatte. Je sens que
ça tire horriblement, ça me fait mal, j’ai un cri de douleur mais eux ne font que
lâcher un soupir de satisfaction. Leurs deux bites bien serrées dans mon vagin
écartelé les fait bander plus dur, ils en tirent visiblement beaucoup de plaisir. Ils
recommencent à me pilonner en se foutant bien de mes cris. Ils soufflent et gémissent
tout à leur plaisir, ils sont durs et leurs deux bites glissent en moi en me râpant à
chaque fois un peu plus à l’entrée du vagin.
- Enzo, ils me font mal !
- À moi ma salope, tu me fais du bien, je bande comme un malade de les voir te
défoncer la chatte. Je ne peux rien pour toi, t’es qu’une pute pour eux et j’aime ça.
Et, sur ce il me prend la main, y met sa bite et se branle avec. Le sentir bander
grâce au spectacle que je lui offre, être sa salope plus que jamais m’excite. Je me
détends et l’afflux de mouille facilite les va-et-vient des deux bites en moi. Je
commence à jouir de la douleur qu’Ahmed et Karim m’infligent. Je lâche un soupir de
plaisir et je les entends crier :
- Putain elle jouit la salope. T’aimes ça qu’on te bourre à deux, hein !
- Il lui faut rien de moins que deux bites pour jouir à c’te pute. On t’les met bien
profond là, hein salope ?
- Huumm ! oui. OOOHHH ! oui, baisez-moi, prenez-moi comme un chienne. Enzo dis-leur de
me prendre plus fort. Je jouïïs !!!!!!
Et là, Ahmed me glisse deux doigts dans l’anus et augmente le rythme de ses coups de
rein. Je suis en train de me faire prendre comme une salope, je suis en transe. Ma
chatte et mon cul sont défoncés et j’aime ça !
Ils me remplissent la chatte à quelques secondes d’intervalle et Enzo jute dans la
main.
Enzo me retire mon bâillon et je vois les deux jeunes lascars se remonter le pantalon.
En partant il me lâchent un :
- Merci grosse salope.
Moussa a déjà disparu. Dommage, j’avais bien aimé ses manières et j’aurais aimé voir à
quoi il ressemblait.
Enzo m’embrasse doucement et alors que je pense que c’est fini, arrive le patron.
Enzo prend une chaise et s’assoit à quelques mètres pour mater. Le patron, un gros
type d’une cinquantaine d’année à l’allure d’ancien alcoolique, me fait m’agenouiller
devant lui et me présente sa petite bite à moitié molle.
- Faut me payer la location de la salle maintenant ma jolie putain !
Il me caresse les seins pendant que je m’applique à le sucer en repensant à la bite de
Moussa. Sa bite a un goût âcre et dégeulasse. Très vite, il se met à bander, il
souffle comme un porc et alors que je pense qu’il va me gicler au visage, il me
retourne contre la table et me prend la chatte. Le pauvre s’il savait qu’ils viennent
de me la défoncer à deux… La sienne je ne la sens même pas après ça ! Il bouge et
s’excite derrière moi, j’ai hâte qu’il en finisse. Souffle comme un goret et commence
à me lancer des trucs comme :
- C’est bon, hein ? Grosse pute ! Mais oui, c’est ça mon gros porc…
- Alice, chérie, dis à Marcel comme tu aimes sa bite. Enzo aime visiblement de me voir
me faire prendre par un homme dont je ne veux pas, par une bite qui ne m’excite pas.
Je me prend au jeu et m’exécute :
- Oh ! Marcel, oui, Marcel. Comme ça, oui, elle est bien grosse, c’est bon, Marcel.
Encore, baise-moi plus fort Marceeeel !!
Le gros porc souffle de plus en plus fort, mes paroles l’on galvanisé et je le sens
qui jouit en moi. Sa jute me coule le long des cuisses déjà bien collantes du sperme
des baises précédentes.
Enfin, je peux me rhabiller et Enzo me conduit à la voiture. Je titube un peu comme
saoule de tant avoir baisé.
- Qu’est-ce que je t’aime ma p’tite salope chérie. Ça me fait bander de te voir te
faire prendre par d’autres et y prendre du plaisir. T’es la salope dont j’ai toujours
rêvé.
Je l’ai satisfait, je suis heureuse. Je suis sienne.

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