Leslie Su20

Leslie SU20 - Sumalee, Rachel, comment cela a commencer, suite et fin

En fait, c’est trop excitant de se rappeler ce soir-là…

« Sa bouche est chaude sur mes seins qui maintenant sont gonflés par le désir et les
caresses de la bouche de Rachel, sa main dans mon string se fait inquisitrice, deux
doigts sont entrés dans ma fente que je sens dégoulinante de plaisir et d’envie.

Son visage s’approche du mien et, une fois de plus, nous partageons un délicieux
baiser, nous mordant légèrement les lèvres, fouillant de nos langues la bouche de
l’autre, puis nos langues se mêlent dans un ballet frénétique, nous faisant gémir.
Puis sa main quitte ma vulve et nos corps se sont rapprochés, ses seins frôlent les
miens, je tends encore plus mon corps vers celui de Rachel, afin que nos mamelons se
frottent avec force et vigueur. Je sens ses tétons dressés, durs et fiers, rouler sur
ma poitrine comme elle doit sentir les miens, prêts à exploser de bonheur.

Sa bouche une fois de plus quitte la mienne et descend, descend toujours. Elle glisse
jusqu’à se retrouver à genoux entre mes cuisses.
Je suis vaincue et me laisse guider par cette experte du plaisir. Sa langue court et
frétille sur l’intérieur de mes cuisses me provoquant des sensations dans mon corps.
Un doigt malin écarte le petit triangle de mon string et sa langue chaude touche
directement mon clito gonflé. C’est comme une décharge électrique que je reçois en
moi.
Mes mains agrippent sa chevelure et poussent son visage vers mon intimité. Je ne me
contrôle plus et ne suis plus que bonheur pur et plaisir intense.
- Oh oui ! Rachel ! Continue !
Les yeux mi-clos, terrassée de plaisir, j’observe malgré tout mon bassin qui ondule
vers la bouche gourmande de mon amante. Elle me fouille avec application, et savoir-
faire.
Je glisse le long du canapé, l’obligeant à se mettre sur le dos au sol, sans que sa
bouche quitte ma vulve, et m’assois sur sa bouche le corps cambré, je pétris mes seins
comme une folle, tête en arrière en poussant des râles de plaisirs.

Mais cela ne me suffit plus, je veux donner aussi. Alors, plus vite que de le dire, je
m’allonge auprès d’elle et plonge moi aussi entre ses cuisses en prenant soin de
relever sa petite jupe rouge qu’elle porte toujours.
La salope ! Elle ne porte rien.
J’écarte ses grandes lèvres de mes doigts. Je vois son intimité humide palpiter au gré
de mes caresses. Je plonge mon visage et tombe très vite en extase en la dégustant.
Nous nous engageons dans un soixante-neuf, où nous frottons nos corps, nos mains
courent et nos doigts fouillent.
C’est ainsi que je ne me suis aperçue qu’après plusieurs minutes qu’elle fouillait mon
anus de son index.

Nous roulons, nous nous cambrons et finalement elle se retrouve sur moi, en
m’embrassant et en frottant sa vulve dégoulinante contre la mienne.
Mon cœur bat la chamade comme jamais. Je suis heureuse.
Je transpire, j’ai très chaud, des gouttes de sueur dégoulinent sur ma peau. Elle,
semble radieuse, détendue, heureuse elle aussi.
Elle se lève, quitte sa jupe qui sans doute la gêne et me propose un verre de
champagne, que j’accepte bien volontiers.

Je reste assise par terre, jambes repliées tenues par mes bras et je pose mon menton
sur mes genoux, rêveuse.
Quelle idiote j’ai été d’attendre si longtemps, de laisser passer tant de temps pour
être l’amante de Rachel et avoir le bonheur de partager nos jeux de sexe.
Je m’interroge. J’ai souvent douté des dires de Rachel concernant ses nombreuses
expériences en tout genre. Exhibition dans la nature, s’offrir à des inconnus au bois
ou dans des cinémas ou encore avoir des aventures dans les saunas.
J’aime l’écouter quand elle m’en parle et parfois j’en ris, mais en fait si cela été
vrai et que les hommes ou les femmes dont Rachel me parlent existaient vraiment, alors
cela prouverait que c’est une sacrée salope, mais une amante hors pair.

- Hello ! Je te dérange ?
- Oh ! Excuse-moi, Rachel, j’étais perdue dans mes pensées.
- Ne pense pas trop ma chérie, vis la vie comme et prend la comme elle vient, au
jour le jour.
À genoux, face à face nous buvons notre coupe de champagne, en se regardant dans les
yeux , j’ai un frisson car je lis dans ses yeux un peu de vice et beaucoup de désirs.
Je n’en ai pas fini avec toi ! Me dit-elle.


Elle se retourne et prend un gode ventouse qu’elle avait ramené en même temps que le
champagne, elle le fixe au sol entre nous deux, puis se soulève et se place au-dessus
du gode, Je suis hypnotisée par Rachel et reste sans réaction à l’observer.
Puis, lentement elle s’empale sur le gode entièrement, entrant en elle les vingt
centimètres de ce gode réaliste aux veines bien dessinées et au gland décalotté.
Elle pose ses mains sur mes épaules pour se servir d’appui, ferme les yeux et remonte
avant de se rasseoir de nouveau sur le gode.

La voir ainsi faire l’amour, m’excite, je me rapproche d’elle et mets mon corps au
contact du sien, elle se frotte à moi au fur et à mesure qu’elle se baise. Ses seins
passent successivement dessous et au-dessus des miens. Son ventre bouillant frotte le
mien transmettant sa chaleur. Je prends sa bouche et l’enlace tendrement pour un doux
et long baiser humide.
Avec habileté, elle se dégage du gode et le penche vers moi et m’appuie sur les
épaules. Je sens le gode bouillant de la jouissance de mon amante pénétrer mon vagin.
D’abord surprise, je me laisse posséder, et à mon tour je me laisse prendre par cet
objet de jouissance crée pour la chose.
Je ferme les yeux et me surprend à enchaîner plusieurs petites jouissances à la suite.
Je suis tellement bien dans mon trip que je ne me suis même pas rendue compte que
Rachel ne me touchait plus.

Quand j’ouvre les yeux, un sexe d’homme énorme est planté devant mon nez.
- Suces-moi !
Rachel est debout et harnachée d’un gode-ceinture.
Amusée et excitée comme une dingue, continuant à me pénétrer par gode, je prends le
sexe de plastique entre mes lèvres et commence à le sucer.
- Ça te plaît, hein, petite salope ?
Sa façon de me parler m’excite encore plus et je m’agite de plus en plus fort sur le
gode qui me pénètre et avale la queue factice.
Rachel m’excite et elle le sait bien. Soudain, elle passe derrière moi et me dit :
- Tu vas voir je vais te baiser comme un mec !
Arrivée derrière moi, elle m’enlève du gode et m’appuie dans le dos pour me faire
mettre à quatre pattes et, avant même que je ne puisse réagir, je suis prise en
levrette par le sexe plastifié de mon amie.
Elle a agrippé mes hanches et donne de longs et puissants coups de reins. Le gode
s’enfonce en moi de toute sa longueur, atteignant l’utérus. Rachel semble transcendée
et me baise à grands coups de reins, je n’ai même pas eu le temps d’être surprise car
le plaisir est immédiat et je pars dans une série d’orgasmes qui me font perdre la
notion du temps.

- Tu aimes te faire baiser petite salope ! Avoue-le !
- Ohhh oui, Rachel j’aime ! Baise-moi, c’est bon !
- T’inquiète mon ange, tu vas hurler ton plaisir avec moi, maintenant et tous
les soirs et tu me feras hurler ensuite.
Je sens alors une ou deux gouttes froides tomber sur mon anus, qu’elle étale et fait
pénétrer aussitôt.
- Tu aimes la sodomie ?
Devant la taille de l’engin je serais plus encline à dire non, mais je ne réponds rien
et respire lentement pour me préparer. Le gland se pose sur ma rondelle brune et plus
doucement que le ferait un homme, Rachel m’encule à fond en deux temps trois
mouvements.

Le gode coulisse en moi, doucement d’abord et prend de la vitesse au gré des coups de
reins de Rachel, je me fais défoncer comme une reine.
Elle varie les plaisirs, où elle quitte mon fondement pour replonger dans ma chatte
bouillante et dégoulinante.
Je perds la tête et pousse des cris de jouissance. Je tremble, j’ai chaud, mon ventre
n’est que jouissance, je ne sais plus si elle est devant ou derrière, je ne suis plus
que plaisir soumis à sa volonté, je perds les pédales et mes muscles se relâchent.
Puis d’un coup, plus rien. C’est le trou noir.

De l’eau fraîche coule sur mon front d’un linge mouillé.
- Là ! Ça va aller mon ange.
Je suis sur le dos, Rachel est penchée sur moi et je ne trouve qu’une chose à dire :
- C’était si bon…
- Oui, j’ai vu ça ! Tu t’es transformée en fontaine et t’es tombée dans les
pommes
Elle s’allonge près de moi, m’enlace et m’embrasse tendrement.
Quand nous sommes allées dans sa chambre, Rachel m’a dit :
- Viens, fait-moi l’amour, j’ai trop envie !

A suivre…