La Vie Sexuelle De Louise, 53 Ans - Un Amant Pour Jouir

Louise a changé en quelques semaines. Quand elle marche dans la rue, elle s’imagine
tous ces hommes qui, si elle leur demandait seraient prêts à la défoncer,
brutalement, sans un mot. Juste un grognement au moment où ils se videraient en elle.
Quand elle pense à cela, elle en tremble, semble ne plus tenir sur ses jambes. Elle se
rend compte de ce qu’est le vice. Elle connait maintenant le plaisir de s’exciter. Et
c’est bon. Et bientôt elle se fera baiser. Car elle ne pense même plus « pénétrer »
mais « baiser », « être défoncée ». Elle espère avoir le courage de dire tous ces mots
crus aux hommes qui la prendront, pour les exciter, pour qu’ils soient encore plus
raides dans son ventre. Son ventre…. Son mari, il y a longtemps, n’a jamais joui
qu’entre ses cuisses. Mais aujourd’hui, Louise est devenue une e aux films
pornos. Tout ce que font les hommes à ces femmes qui se donnent sans retenue, se
laissent souiller, en redemande, elle veut être toutes ces femmes en même temps.
Elle a pris l’habitude de se caresser et aime de plus en plus jouir. Avant de franchir
le pas et de rechercher un amant, elle a fait un achat discret sur Internet. Elle a
commandé un gode. Elle a consulté plusieurs sex-shop en ligne pour faire son choix.
Elle voulait un gode qui représente bien un sexe d’homme, pas trop gros, avec les
couilles, pour bien se l’enfoncer dans le vagin. Quelques jours après, elle a reçu le
colis. Elle a ouvert le paquet en tremblant. Ses premiers gestes ont été de caresser
ce sexe artificiel, de le branler en pensant que peut-être bientôt elle tiendra entre
ses doigts une vraie queue. Puis, pour la première fois de sa vie, elle a mis le sexe
en latex dans sa bouche. Louise n’a jamais sucée un homme. Elle se regarde dans la
glace. La bite artificielle est assez grosse. Elle lui dilate la bouche.

Comme si
c’était un vrai sexe, elle le lèche avec sa langue. Mais hélas, cette fausse bite ne
lui éjaculera as au fond de la gorge. Louise découvre de nouvelles sensations. Sa
respiration est haletante. Elle met une main entre ses cuisses. Elle est trempée,
gluante de mouille.
Elle n’a enfoncé jusque-là que ses doigts dans sa chatte. C’est maintenant le moment.
C’est pour ça qu’elle a acheté le gode. Elle approche le gland en plastique de
l’entrée de sa fente et sans s’en rendre compte, se pénètre. Elle ferme les yeux. Elle
l’a enfoncé jusqu’au bout. Le gode est bien profond au fond de sa chatte. Les
quelques secondes où elle se l’est enfoncé elle a poussé un long gémissement.
Depuis 15 jours maintenant, elle ne cesse de se pénétrer avec son gode. Au bureau,
quand vient la fin de la journée, elle ne cesse de regarder l’heure, et elle se
précipite pour rentrer chez elle et se goder. Elle ne pense qu’à ça. Elle en devient
folle.
Et s’est ainsi qu’un soir elle va s’inscrire sur un site coquin. Il y a très peu
d’annonce de femmes, ou alors des couples échangistes.
Elle écrit son annonce en pesant ses mots. Elle ne veut pas tomber entre les mains de
vicieux. Elle a un peu peur. Alors elle se lance « Femme de 53 ans, désirable, prête à
donner beaucoup de plaisir à un homme ». Et elle joint une photo qu’elle s’est prise
avec son petit appareil numérique : elle s’est maquillé soigneusement, rouge à lèvre
pas trop agressif. Elle pose en tailleurs, jambes croisée pas trop haut, escarpins
discrets. Elle a mis un chemisier de soie et elle a déboutonné les deux premiers
boutons pour que l’on aperçoive le haut de ses seins et de son soutien-gorge noir.
Elle sourit sur la photo.
Elle reçoit bien entendu des réponses ordurières, courtes mais explicite comme « viens
t’empaler sur ma bite quand tu veux, chérie ».
Cela va durer une semaine comme ça.
Elle est prête à abandonner, déçue d’imaginer des hommes laids, grossiers et vicieux
qui ne penseraient qu’à leur propre plaisir. Jusqu’au jour où elle reçoit un message.
« Bonjour Louise. J’ai vu ta photo. Tu es très désirable en effet. J’aimerai que nous
ayons du plaisir ensemble ». Il s’appelle Ludovic, il a 40 ans, cadre supérieur. Il
va lui envoyer sa photo. Il est bel homme. Ils vont parler de sexe peu à peu à
travers leurs échanges. Elle va se prendre en photo nue. La pose n’est pas très
réussie. Presque vulgaire. Elle a comprimé ses seins entre ses mains pour montrer
qu’elle n’a pas une petite poitrine plate. C’est la première fois qu’elle envoie une
photo un peu intime d’elle a un inconnu. Ludovic lui a répondu : « je me suis masturbé
en regardant ta photo et j’ai joui. Rencontrons-nous ». C’était il y a cinq jours.
Elle lui a répondu oui. En retour, il lui a envoyé une photo de son sexe. Il est gros,
il parait bien dur.
Alors Louise va se préparer à s’offrir, à donner son corps à cet homme qui la désire.
« M’habiller pour la rencontre, qu’il me désire, qu’il ne fasse pas demi-tour. Je suis
une femme mûre et j’ai 13 ans de plus que lui. »
Un instant, il lui vient l’idée de s’habiller comme une putain. Une jupe très courte,
des escarpins à très haut talons, des bas résille…. ». Non, mais un jour, elle se
sentira prête à s’offrir dans cette tenue.
Alors Louise va chercher une tenue qui donnera envie à son amant de la baiser. Eh oui,
maintenant elle a du plaisir à penser tous ces mots crus « baiser, me faire défoncer,
être spermée…. ». Elle se lâchera avec son amant, elle en est sûre. Elle ne pense plus
qu’au sexe, qui lui a tellement manqué pendant des années.
Le rendez-vous est à midi, près d’une brasserie de l’Opéra. Ludovic l’emmènera chez
elle, il habite les beaux quartiers.

Louise commence à s’habiller. Elle a choisi une jupe droite, avec une petite fente
sur les côtés, légèrement courte. Assises on voit ses genoux sur huit à dix
centimètres. Et quand elle croisera les jambes on verra bien ses cuisses. Elle a
acheté des bas noirs. C’est la première fois. Elle les a choisis très fins. Elle
trouve qu’ils galbent bien ses jambes. Tout à l’heure elle s’est mise devant la grande
glace de son couloir et a pris des poses.
Elle a bien répétée lorsque s’elle s’allongera sur le lit de Ludovic et écartera les
cuisses, pour s’offrir. Elle a vu des photos où des femmes gainées de bas noirs
s’ouvrent ainsi. Elle fera comme elle, elle écartera les lèvres de sa chatte pour bien
montrer ce qu’elle veut, tout de suite. Louise n’a jamais eu le pubis très poilu,
c’est une chance. Avec précaution elle s’est rasée. Le résultat n’est pas mal. Louise
a repris cette pose devant la glace ? Cela l’excite et elle espère que son futur amant
sera aussi très excité. Devant la glace elle s’est aussi mise ne levrette. Son mari ne
l’avait jamais prise dans cette position. Car Ludovic va la prendre comme ça s’est
sûr. Elle va sentir sa queue s’enfoncer par derrière jusqu’à ce que ses couilles
tapent sur ses fesses. Elle en défaille presque.
Il ne lui reste plus qu’à mettre les chaussures qu’elle s’est achetée. Elle a mis
beaucoup de soin à se maquiller. Elle pense à tous ces films pornos qu’elle a vu où
toutes les femmes se font éjaculer sur le visage. Est-ce que Ludovic le fera le
premier soir ? Elle en a envie aussi. Elle lui demandera, s’il ne le fait pas tout de
suite « Joui sur moi ! », elle osera.
Comme c’est déjà le printemps, elle a fait le choix de sandales, genre escarpins
ouvert. Comme ça, on voit bien le nylon noir, fin, qui moule ses pieds. Elle a mis du
vernis rouge à ses ongles de pieds. Tout comme à ses ongles.
Ce sera plus excitant.
Habillée et maquillé ainsi, elle ne ressemble pas à une pute, mais à une femme
désirable qui a envie de faire l’amour. Il lui reste un quart d’heure avant de partir.
Habillée comme ça, elle a envie de s’enfoncer son gode dans sa fente, mais elle
renonce. Elle ne voudrait pas filer ses bas. Elle se regarde encore dans la glace.
Elle s’est vraiment bien maquillée et elle pense inspirer du désir. Elle a mis du
gloss rouge sur ses lèvres. Il brille, pulpeux, érotique. Un dernier regard, et une
pensée crue lui vient à l’esprit : « je suis une poupée à sperme ». Jamais elle
n’aurait pensé des choses comme cela il y a quelques semaines.
C’est l’heure du rendez-vous. Dans deux heures son futur amant la pénètrera et la
remplira de sperme. Elle en tremble. Dans les escaliers le claquement de ses talons
lui rappellent qu’elle s’est habillée pour faire l’amour (à suivre).

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