Petite Histoire Coquine D'Un Couple Amoureux

Nous étions ce jour la peut être plus joueurs que d’habitude, plus en confiance, ou
tout simplement plus libertins, toujours est-il que tu étais allongée sur cette
banquette nue les jambes écartées devant moi qui te caressais la chatte accroupie
entre tes jambes.
C’était un lundi après midi de ce début d’année, le lundi est souvent le jour ou nous
pouvons nous offrir une petite escapade amoureuse. Les s sont à l’école et nous
ne travaillons ni l’un ni l’autre. Escapade pas ment sexuelle du reste, mais ce
jour-là elle l’était.
Notre sauna fétiche est un terrain de jeu parfait pour donner libre cours à nos
envies, à nos fantasmes. De plus le lundi le programme y est souvent intéressant.
Couples de midi à trois heures puis les hommes seuls arrivent à partir de quinze
heures. Cette mixité peut laisse libre cours à la réalisation de tous les fantasmes,
de toutes les combinaisons, et elles sont innombrables dans le domaine du sexe !
Depuis mon retour d’un séjour à l’étranger nous étions particulièrement amoureux et
sexuellement actifs. Je te sentais chaude, prête à toutes les fantaisies, et bien
entendu cela produit toujours sur moi l’effet complémentaire à savoir que je ne pense
qu’à toi et à ton corps à longueur de journée. Tes seins passent devant mes yeux
lorsque je travaille, l’odeur de ta chatte humidifiée par ton désir me poursuit, et je
passe mon temps en semi-érection.
Nous avions donc décidé de nous offrir ce moment de détente et de sexe. Dans la
voiture nous sommes tous les deux excités et nos pensées vagabondent déjà vers ce que
nous allons faire. Le fait de partir ainsi à l’aventure sans rendez vous ni « plan »
est certainement aussi un facteur important de notre excitation. L’inconnu, la
rencontre fortuite avec quelqu’un que l’on ne reverra certainement jamais, la
possibilité de se lâcher sans crainte d’être jugé de passer pour un pervers ou une
salope , tout ceci contribue à notre plaisir avant, pendant et après.

Mais
curieusement ni l’un ni l’autre n’abordent vraiment le sujet du sexe. Par pudeur, ou
tout simplement pour ne pas être obligé de s’arrêter baiser sur le bord de la route.
Tu n’es pas très exhib, et un plan dans la voiture ou sur un bord de route même s’il
t’excite n’est pas encore à l’ordre du jour.
Nous attendons donc d’être dans ce lieu familier et protecteur qui tel un cocon
libertin nous enferme à l’abri des jugements conventionnels du monde extérieur.
Sur place, nous prenons notre peignoir comme d’habitude et nous dirigeons directement
dans le bain à bulles qui reste notre jeu favori.
En passant devant le bar un rapide coup d’œil nous permet de vérifier s’il y a du
monde, des connaissances (ta hantise !) mais aussi et surtout des partenaires
potentiels. Car nous sommes la avant tout pour ca et la chasse est ouverte.
Je te sens heureuse et « en forme » et de fait je suis moi-même bien et j’envoie aux
oubliettes la vraie vie, les gosses, les soucis et tout ce qui va avec. Je suis ici
avec toi, la femme que j’aime pour nous faire plaisir.
Avant de pénétrer dans l’eau petit passage par la douche, ton corps se dévoile… putain
que tu es bandante. Ton corps est modelé pour baiser. Tes seins lourds et généreux
attirent les regards et ton sexe épile chaud et humide réclame déjà des caresses ;
voire plus.
Nous voici dans l’eau, quelques couples sont là, certains déjà en pleine action
d’autres juste en observateurs. Comme à chaque nouvelle arrivée tous les regards se
tournent vers les nouveaux venus, j’aime ce moment où tout le monde te regarde, je
sens l’envie dans le regard des hommes et ca m’excite de savoir qu’ils te désirent.
Que certains vont peut-être dans un moment te toucher, devant moi, t’embrasser,
caresser tes gros seins que j’aime tant. Puis, peut-être si affinités te prendrent
dans un coin câlin pour notre plus grand plaisir à tous.

J’en profite au passage pour mater les femmes, je me suis rendu compte au fil du temps
que pour ce genre de relations je n’ai pas de femme type. Je cherche surtout des
partenaires ouvertes et chaudes. Ho bien sûr j’ai mes critères, mais l’essentiel reste
un je-ne-sais-quoi dans leur regard, dans leur attitude qui puisse me faire bander et
me donner envie d’aller vers elle.
Mais ce jour-là c’est toi qui restes le centre de mon intérêt j’ai envie de toi, je
veux profiter de ton corps offert et demandeur. Nous nous adossons à une margelle et
nous embrassons profondément j’en profite pour caresser tes seins qui sont à moitie
immergés, tes tétons juste à la ligne de l’eau, je les agace les pince entre mes
doigts et j’en profite pour les sortir de l’eau afin que nos voisins en profitent.
Tu gémis et tu commences également à branler ma bite qui est raide comme la justice.
Cette caresse me comble et rapidement j’ai envie de te prendre, là, tout de suite
devant tout le monde. Cette promiscuité m’excite et, je le sens, toi aussi. A ce
moment je n’ai pas envie de te faire l’amour comme nous le faisons souvent, mais j’ai
envie de te baiser. De faire de toi une salope qui demande du sexe, et qui aime ça.
D’ailleurs je glisse une main sur ta chatte et malgré l’eau je sens sa viscosité qui
indique que tu mouilles grave. Mes doigts pénètrent ton sexe, un, deux, puis trois et
tu gémis sous mes caresses.
Plusieurs couples à coté de nous nous regardent, mais personne ne fait le premier pas,
qu’importe à ce moment là je me moque des autres et du monde entier je veux juste te
baiser. Te baiser et te baiser encore. Ca y est ma queue à trouver le chemin familier
de ton sexe, refuge accueillant et confortable s’il en est. Malgré l’eau la
pénétration est facile et rapide, ton excitation doit être à son comble car tes tétons
sont durs et tendus comme tes seins que se balancent au gré de mes va et vient dans
ton puits d’amour.
Tu as les épaules appuyées contre la margelle et l’eau qui te porte
facilite la position. Je suis debout entre tes jambes qui entourent ma taille et je te
baise avec vigueur ainsi pendant plusieurs minutes.
Le spectacle de tes seins me donne encore plus envie de toi et j’ai l’impression de
sentir ma bite gonfler encore et durcir en toi. A ce moment je me dis que je suis
chanceux d’avoir une femme aussi belle. Mais bien vite mes envies de sexe brut
reprennent le dessus. Je change de rythme, alternant des coups lents jusqu’au fond de
ton vagin avec des coups plus rapides et puissants qui me donnent l’impression de
toucher le fond de ton vagin avec mon gland. Dans cette position ta poitrine portée
par l’eau est magnifique, tes gros seins s’agitent dans tous les sens au rythme de mes
coups de queue. Cette vision est une des plus enivrantes qui soit.
Nous faisons des vagues !!! Tu gémis, … pas assez à mon gout mais tu te lâches et
j’aime ça, j’aimerais que quelqu’un vienne homme ou femme caresser tes nichons pendant
que je te prends ainsi, mais personne ne bouge. Cette pensée m’excite encore plus et
je sens monter en moi les prémices de la jouissance. Toi-même tu gémis de plus en plus
et je sens les parois de ton vagin qui m’aspirent et se contractent. La peau de mes
couilles se tend et finalement c’est l’explosion, mon sperme jailli chaud lui aussi,
et épais. Je l’imagine remplir ta chatte, tapisser ta matrice et cette vision finit de
me faire jouir en tombant dans tes bras.
Premier round terminé !


Nous reprenons nos esprits tranquillement en profitant des bienfaits de l’eau chaude
et des jets massants.
Tu es toujours adossée au mur assise sur la petite marche qui court tout le tour de la
piscine et moi entre tes jambes te regardant, je ne me lasse jamais du spectacle de
tes seins. Et déjà j’ai de nouveau envie de toi.

A côté de nous un couple s’embrasse, la femme sur les genoux de son partenaire me
tourne le dos, elle laisse échapper des gémissements qui ne laissent aucun doute sur
la nature des activités sous- marines des mains de l’homme. Nous les avons croisés en
arrivant lui ne m’a pas attiré l’œil, elle autant que je me souvienne banale, mais ses
gémissements me donnent envie, ma bite est tendue et en plus tu la prends en main. Tu
me branles, délicatement d’abord puis plus vigoureusement, en serrant fort ma bite
entre tes doigts, ce n’est pas une caresse amoureuse mais purement sexuelle, presque
bestiale, une caresse qui veut dire : vas-y salaud bande ! T’aime ça que je te branle,
tu veux juter ? Et bien tu vas me baiser car moi aussi j’ai envie de bite.
J’adore çà et mon excitation monte en flèche, d’une main je caresse un de tes seins de
l’autre j’entame une caresse douce dans de dos de la femme. Pas de réaction, je
continue puis je descends doucement vers son cul. Je caresse doucement ses fesses
rebondies qui sont largement écartées.
Sa tête bouge, ses gémissements s’arrêtent un instant, elle parle à l’oreille de son
partenaire. Sans doute pour lui dire ce qui lui arrive. Instantanément je sens son cul
glisser en arrière et ses jambes s’ouvrir encore plus. Je prends ça comme une
invitation et ma main s’enhardit.
Pendant ce temps tes mains à toi ne restent pas inactives, tu me branles toujours
d’une main tandis que de l’autre tu caresses mes couilles pour peu à peu descendre
vers mes fesses et mon cul. Je ne sais plus d’où vient le plaisir. De ma bite qui est
si bien traitée par tes mains expertes, de ma main qui explore un cul que cinq minutes
avant je ne connaissais pas ou du regard lubrique de l’homme assis à ta gauche qui
louche sur tes seins. Toujours est-il que je suis au paradis.
Ma main droite continue sa descente sur le cul de ma voisine et finit par rencontrer
son œillet, je le caresse délicatement un moment, m’attendant à un éventuel refus de
cette caresse mais rien, au contraire, les fesses se tendent encore plus vers moi et
les gémissements reprennent de plus belle.
Ma partenaire d’un instant est assise jambes largement écartées sur les genoux de son
mari qui lui doigte généreusement la chatte tandis que moi-même j’explore de plus en
plus en détail son anatomie rectale. L’excitation générale commence à atteindre un
niveau assez élevé.
Ma bite est prête à exploser tellement je bande entre tes mains, tes mouvements de
masturbations ont changé de rythme je me tourne vers toi et découvre une main sortie
de nulle part qui caresse ton sein gauche. Tu as la tête rejetée en arrière, les yeux
fermés, t’abandonnant entièrement à cette caresse et à cette situation d’un autre
monde. Je suis hypnotisé par cette main qui fait rouler ton téton entre son pouce et
son index. La main soupèse ton sein semblant apprécier sa grosseur, sa rondeur et la
douceur de ta peau. A ce moment-là il me faut un effort de volonté surhumain pour ne
pas jouir dans tes mains. Cette vue me fait atteindre le paroxysme de l’excitation,
l’homme me regarde, ses yeux cherchant une approbation, je lui fais signe oui de la
tête en souriant, l’invitant d’un geste du menton à s’occuper de toi. Il approche
alors sa bouche de tes nichons et commence à mordiller le gauche du bout des dents,
tandis que sa main droite part à la recherche de l’autre. Ca y est tu gémis pour de
bon cette fois-ci, ta main se resserre sur ma bite et recommence sa branlette en mode
bestial !
Un mouvement sous l’eau, me ramène à la réalité, le cul de ma voisine s’agite sous ma
main, l’excitation de ton spectacle m’avait fait oublier mon exploration que je
reprends en me collant maintenant contre son dos. Tu es dans les bras de cet homme qui
te caresse et t’embrasse tandis que je suis maintenant collé au dos de cette femme,
une main sur son cul et l’autre sur ses seins. Je t’entends prendre du plaisir et tout
à coup je lâche prise, plus rien n’existe tes bruits de femme en chaleur qui joue à la
salope me font monter au ciel je caresse ce corps qui m’est encore inconnu en pensant
au tien qui vibre sous les mains de ton voisin. J’introduis un doigt dans le cul de
ma partenaire qui pousse un cri de plaisir, ouiii dit elle, oui vas y encore c’est bon
! Une de ses mains att ma bite et l’astique comme une dingue ; mon doigt dans son
cul semble lui faire de l’effet, son mari lui caresse les seins d’une main et lui
branle copieusement la chatte de l’autre, nous accélérons de concert et enfin elle
part dans un cri de jouissance qui fait se retourner tout le monde. Mon doigt toujours
dans son cul elle se tourne et m’embrasse à pleine bouche.
En l’embrassant j’ai une vue sur toi ; tu es maintenant de dos, ton partenaire s’est
assis sur le rebord de la margelle et les mouvements de ta tête ne laissent aucun
doute sur l’activité de ta bouche. Tu le suces comme si tu voulais avaler sa bite et
ses couilles en entier. Il est penché légèrement en avant et ses mains pétrissent tes
gros seins, il me regarde les yeux pleins de plaisir et me dit : elle suce bien !!
J’ai envie de lui dire évidemment ducon qu’elle suce bien, c’est la meilleure !!
Profites tu n’en auras pas tous les jours une pareille à baiser.
Ma partenaire continue son baiser, elle avale ma langue et ses mains ne sont pas
inactives, elle me branle de la main gauche tandis que la droite s’égare sur mon cul.
Tu bandes mon salaud, je vais te faire jouir me dit elle avec un air lubrique de
salope expérimentée. Pile le truc qui me fait craquer. Assied toi me dit elle je vais
te pomper.
Je m’installe à coté de ton partenaire, tu continus ta fellation en laissant de temps
à autre échapper des gémissements de bonheur. J’ai une position fantastique. Entre mes
jambes une femme en chaleur me pompe divinement la bite tandis que sous mes yeux tu es
en train de sucer un mec qui vient de te faire jouir en te doigtant. Genre de rêve que
tout homme devrait un jour tester.
Le mari de ma suceuse a bien vite compris de son côté tout le bénéfice qu’il peut
tirer de la situation il se colle au dos de sa femme et tout en lui caressant le cul,
je devine sa main gauche qui discrètement se lance à la découverte de ton corps.
J’en oublie presque la bouche sur ma bite et je commence à me dire que la situation va
devenir intéressante. Je guette ta réaction et à un léger frémissement du grain de ta
peau je devine que tu as senti cette main dans ton dos. Tu lèves la tête et me
regardes, tes yeux me demandent si tu peux laisser faire.
Non pas qu’un deuxième homme sur toi te gênes, ta question est plutôt comment est-il ?
Correspond t’il à tes gouts. Mes yeux te disent que tout va bien, ne sachant pas trop
comment tu vas réagir.
Tu me regardes, et dans ce regard je vois tout l’amour que me porte la femme
amoureuse mélangé à la sexualité débordante de la salope qui sommeille en toi et qui
se réveille dans ces moments là. Ce regard ne dure qu’une seconde mais fait partie de
ceux qu’on n’oublie jamais de par l’intensité qu’il renferme.
Aussitôt ta bouche redescend sur ce sexe tendu tandis que tu tends ton cul en arrière
vers cette main qui te caresse maintenant ouvertement. L’homme dans ton dos se
déplace et glisse vers toi il est collé à toi te caressant les seins lui aussi à
pleines mains, tu abandonnes une minute ta pipe pour te tourner vers lui et
l’embrasser à pleine bouche. Tu gémis, tes nichons sont invisibles maintenant sous les
quatre mains qui les caressent et les pétrissent. Je sais que tu aimes ça et je devine
ton plaisir dans ta façon de bouger ton corps, je vois ton buste bouger et tes jambes
s’agiter je sais que tu as envie d’autre chose maintenant, tu veux avoir la chatte
remplie. Tu as besoin de cela pour faire baisser un peu la tension excessive de tes
sens. J’imagine l’état de ta chatte, brulante et grande ouverte dans l’attente de
recevoir elle aussi son lot d’émotion.
Tu prends au hasard une des mains sur tes seins, et tu la plaques presque brutalement
sur ta chatte. Le baiseur derrière toi comprend enfin ce que tu veux, il entame un
doigtage en règle de ton sexe gonflé de désir. Je devine à la lenteur de ses
mouvements que s’il ne s’active pas plus tu va vite en demander davantage, il n’a pas
senti qu’a ce stade tu ne veux plus de simples caresses érotiques. Tu es au point de
rupture, tu veux, non ; tu as besoin de baise pas de caresses d’adolescent craintif.
Sa femme par contre entre mes jambes est elle une experte en pipe, et elle est comme
toi dans un état très chaud. Toute à sa pipe elle n’en a pas pour autant cessé de
t’observer et tes cris et gémissements l’ont surement elle aussi bien excités.
Tout en me pompant elle m’a fait glisser un peu vers elle et me caresse ouvertement le
cul maintenant, de mon cote je lui malaxe les seins qui bien que plus petits que les
tiens sont très agréables et ses tétons durs trahissent son plaisir.
Son doigt sur mon cul me fait aussi du bien et je m’abandonne à ses caresses expertes
en te regardant. Véritable objet sexuel dédié à la jouissance tu te conduis en vrai
salope demandeuse et donneuse de plaisir. Cette pensée me foudroie et je ne peux plus
retenir ma jouissance. Ma partenaire le sent, elle quitte ma bite et me regarde dans
les yeux en me demandant de lui juter dessus. Vas-y ; me dit-elle, gicle, je veux
sentir ton sperme sur moi !
D’une main elle me branle tandis que de l’autre elle finit par introduire son doigt
dans mon cul. Cette caresse arrivant juste au moment de mon éjaculation décuple mon
plaisir et je me vide sur son visage en longs jets. La jouissance est terrible et j’ai
l’impression de me vider jusqu'à la moelle épinière. Je crie moi aussi ma jouissance
et m’effondre sur elle. Nos langues se mêlent encore et je récupère lentement contre
sa poitrine encore tendue.
C’est alors que je reprends pied dans le monde et j’entends un bruit familier juste à
coté de moi. C’est le cri de ta jouissance que je connais si bien. Toi aussi tu as
pris ton pied semble t’il et tes partenaires semblent eux aussi satisfaits les
bougres. Tu es toujours quasiment à quatre pattes dans l’eau le buste penché en avant
la tête entre les jambes de celui que tu viens de sucer, et le cul en arrière encore
embroché sur les doigts de l’autre.
Les traces de sperme sur ton visage et tes cheveux me disent que tu as fait jouir ton
partenaire avec ta bouche tandis que l’homme dans ton dos a finalement dû trouver ton
mode d’emploi pour t’arracher une jouissance aussi sonore.
Tout le monde est épuisé, repu et heureux semble-t’il. Lentement, les couples se
reforment et l’homme que tu as sucé repart vers d’autres aventures dans un coin de la
piscine.
Tu te loves dans mes bras, je t’embrasse je te caresse tendrement, je te dis que je
t’aime, que tu es belle, nous somme bien.
Fin du round deux !
La baise est terminée c’est l’heure de la tendresse et des petits câlins amoureux, qui
suivent toujours les moments de sexe débridé au cours desquels nous nous lâchons pour
profiter de nos corps et du plaisir pur. Si nous allions boire un verre ?
OK, chérie on y va, nous sortons de l’eau pour récupérer nos peignoirs .
Au bar nous passons un moment sur les banquettes à discuter en nous câlinant.
Tu as aimé chéri ?
Oui j’ai adoré te voir prendre ton pied avec ces hommes.
Non je voulais dire avec cette femme, elle t’a bien sucé ?
Oui très bien elle était très gourmande et m’a super bien pompé. Une chaude comme
j’aime et ne ris pas elle m’a même doigté le cul au moment où j’allais jouir.
Franchement une vraie cochonne, vraiment bonne et elle aussi je pense à bien appréciée
de jouir avec mon doigt dans son cul pendant que son mari lui branlait la chatte.
Si on les recroise, je la baiserai volontiers, et je pense qu’une sodomie profonde ne
lui fera pas peur.
D’ailleurs en parlant d’eux, tu t’es bien amusée toi aussi il me semble non ?
Oui j’ai vraiment pris mon pied je me suis lâchée grave, et j’ai adoré cette sensation
de sucer en me faisant doigter par un autre, c’était trop bon ! D’ailleurs je crois
que j’ai vraiment crié un peu fort lorsque j’ai pris mon pied. J’aurais vraiment aimé
qu’il me prenne avec sa bite mais dans l’eau et sans capote pas possible. Dommage car
oui j’avais envie de sa queue. J’ai un peu honte mon cœur de dire ça mais je me suis
vraiment sentie en chaleur et j’aurais donné cher pour me faire baiser. Comment dis-tu
déjà ? Je me suis sentie salope !! Et bien oui chéri, je suis ta salope à toi , ta
salope d’amour qui aime se faire baiser devant toi car je sais que ça t’excite et que
toi aussi tu es un salaud que j’aime. Un cochon pervers qui aime le cul.
Arrêtes tu me fais bander chérie je vais encore avoir envie de toi !
Ha non, dis-tu ça suffit pour aujourd’hui. Et puis l’heure tourne et on doit y aller.
Nous échangeons un baiser et nous dirigeons vers les vestiaires.
En passant devant le salon commun où de larges banquettes font tout le tour de la
pièce tu hésites une seconde puis tu rentres, te retournes vers moi et tu m’embrasses
en collant tes seins contre moi.
Tu te laisses tomber sur le dos en travers de la large banquette en m’entrainant conte
toi. Nos bouches toujours collées l’une à l’autre tu me dis dans un souffle.
Baise-moi chérie ! Baise moi comme une salope j’ai encore envie, ici devant tout le
monde.
Tu me connais bien et tu sais que ces paroles ne peuvent que me faire monter
instantanément et de fait ma bite se dresse de suite. Tu es allongée sur le dos je
suis à genoux entre tes jambes, j’ouvre ton peignoir et caresse tes seins qui
réagissent de suite. De tes mains tu me débarrasses de mon vêtement et me caresses le
corps et les fesses. Une de tes mains s’empare vite de ma bite et entame une
branlette.
Je veux te lécher, je me laisse donc glisser au sol en attirant ton cul juste au bord
de la banquette et trouve ainsi une position idéale pour lécher ta chatte lisse, et
dégoulinante de cyprine. J’adore son gout et je m’en donne à cœur joie. Ma langue
pénètre ton sexe tandis que d’un doigt je caresse ton bouton d’amour. Ta tête se
balance de droite à gauche, attestant de ton plaisir, tes mains caressent tes gros
seins qui se tendent sous les caresses, à cet instant tu es l’incarnation même de la
beauté féminine et de l’envie sexuelle qu’une femme peut provoquer chez un homme.
J’arrête un instant de te lécher pour te regarder et me branler devant ce spectacle
d’un érotisme à couper le souffle.
C’est alors que je vois ce jeune homme. Debout appuyé contre le mur, à moins de deux
mètres de nous il nous regarde en branlant doucement sa queue qui dépasse de son
peignoir. Il doit avoir peut être vingt cinq ans, ni beau ni laid, ni mince ni gros,
dans la rue nous ne l’aurions pas vu. Ici sa présence prend une tout autre importance.
Il regarde intensément ta lourde poitrine gonflée de désir que tu pétris à pleines
mains. Tu pinces tes petits tétons, tes larges aréoles sont tendues et plissées par
l’excitation, tu es toute à ton plaisir et tu ne l’a même pas vu.
Lui non plus n’a pas vu que je l’observe il est hypnotisé par tes seins et ton plaisir
; il se branle maintenant carrément et je devine que s’il continue il va partir très
vite.
Je ne me pose pas de question et je m’adresse à lui directement, vu ton état je pense
que tu ne seras pas contre.
Elle te plaît ?
Il me regarde surpris de ma question et semble sortir d’un rêve. Putain oui elle me
plaît. Carrément ! Elle me fait bander grave, me dit-il moins timide qu’il n’y
paraissait. Elle a des nichons de rêve j’en ai jamais vu d’aussi beaux !
Tu veux les caresser ?
Il n’ose pas s’approcher de toi, je comprends qu’il est impressionné par ta beauté
sexuelle, une femme comme toi à sa porté. Il n’a dû connaître jusqu’à présent que des
filles de son âge, là en ta personne il a à portée de mains une vraie femme, féminine
à souhait, chaude et ouverte ; prête à tout pour assouvir un besoin de sexe qui te
terrasse et te fait gémir de plus en plus.
Toujours à tes caresses mammaires tu n’as même pas capté notre petite conversation. Il
hésite encore mais peu à peu une main se rapproche de toi et finalement effleure la
tienne. Surprise par ce contact inattendu tu ouvres un œil, le regardes et tourne la
tête vers moi en lui prenant fermement cette main providentielle que tu utilises comme
un objet sexuel pour malaxer ta poitrine en chaleur. Tu me regardes un court instant,
lèches moi encore, vas-y chéri bouffe moi le cul !!
Et toi, dis-tu au nouveau venu, viens-la que je te suce. Tu l’attires vers toi et il
n’a pas le temps de comprendre que tu as déjà sa bite dans ta bouche.
Le garçon est aux anges et du coup se libère et se jette sur tes seins dont il profite
maintenant à fond.
Pour moi c’est l’apothéose d’une après-midi parfaite. Je suis dans un état proche de
l’Ohio chantait Isabelle Adjani, à ce moment-là je peux dire que je suis moi proche du
nirvana.
Ma langue a repris le chemin de ta chatte qui est maintenant une fontaine, tandis que
mes doigts naviguent dans ton jus et vont de ta chatte grande ouverte à ton cul qui se
détent peu à peu sous mes caresses.
De temps à autre je lève un œil pour te voir sucer cette jolie queue et voir ce garçon
embrasser et caresser tes seins en y prenant un plaisir qu’il ne cherche du reste pas
à dissimuler. Il se lâche, se libère et ses commentaires vont bon train et deviennent
plus crus.
Putain qu’elle est bonne ! Quelle bouche ! Et ses nibards ! J’adore, elle en veut en
plus, elle est chaude ! C’est bon oui vas-y suce moi !
Ces mots m’excitent mais je sens qu’il ne va pas tarder à te traiter de bonne salope !
Ce qui est vrai du reste. Mais je sais que venant d’un autre que moi, tu n’apprécies
pas !
Ce serait trop con de gâcher ce bon moment bêtement.
J’ai alors une idée.
Viens lui bouffer la chatte !
Il me regarde et en un instant change de place, visiblement il n’attendait que ça.
Au moins il aura la bouche prise et se taira. Je lui fais une place, nous voilà tous
les deux à genoux entre tes jambes impudiquement ouvertes et levées offrant ainsi une
vue sur ton sexe et ton cul.
Deux hommes sont debout derrière nous et se branlent en regardant. Je m’en fous je
leur fais signe de ne pas s’approcher et je montre à mon complice ton sexe.
Regarde lui dis je elle est belle sa chatte non ? Regarde comment elle est sensible,
et j’effleure du bout des doigts le bord de ton vagin qui est largement ouvert, tu
tressailles et bouges ton cul dans tous les sens.
Tu as repris tes caresses sur tes seins qui ne sont plus à ce moment les jolis seins
dont je suis amoureux, mais les gros nichons de la salope que tu es devenue sous la
pression de tes hormones et ton besoin de jouissance, ta tension monte, tes
gémissements se font de plus en plus pressants. Il avance lentement sa langue comme
impressionné par l’espace qui s’offre à lui et commence délicatement lui aussi à te
lécher la chatte. Je n’en peux plus et je me branle pour libérer un peu de cette
tension sexuelle qui m’étreint la poitrine.
Lui aussi se branle en te léchant. L’effet sur toi est immédiat tu te mets à crier ta
jouissance en pinçant tes tétons, cet orgasme te ravage pendant plusieurs minutes au
cours desquelles il continue son cunni. Je prends son doigt et lui montre le chemin
de ton cul.
Puis n’y tenant plus je viens vers toi et je t’embrasse tandis qu’il continue
maintenant seul à te bouffer littéralement.
Donne ta bite je veux te sucer ! Me dis-tu brutalement, j’ai envie de sucer, et de me
faire baiser encore.
Je te donne ma queue qui elle aussi en redemande et me laisse aller a cette douce
chaleur que je connais si bien. Je t’ai toujours dit que tu suçais mieux que personne
mais aujourd’hui cet particulièrement vrai.
J’ouvre les yeux, le garçon est toujours dans ta chatte à te lécher, je me souviens de
la capote que j’ai dans la poche de mon peignoir, je la trouve et la lui tend, il me
regarde surpris, vas y lui dis je baise là ! Elle en a envie !
Il ne se le fait pas dire deux fois, déchire l’enveloppe de la capote et prestement
s’équipe. Il est debout entre tes jambes que tu relèves encore plus lui offrant ton
sexe et ton cul. Je regarde cette queue s’approcher de ta chatte mais je veux en voir
plus.
Je m’allonge sur toi sans sortir de ta bouche et écarte en grand tes lèvres afin de
lui ouvrir ton sexe le plus possible, je veux profiter du spectacle de ta pénétration
par ce sexe étranger et sentir ton corps frémir sous ses coups de boutoir.
Ca y est il te touche, il commence à rentrer, vas-y, lui dis je vas-y fort ! D’un
coup il rentre jusqu’à la garde et en même temps je sens bouger sous moi ton corps
qui vibre et se tend sous l’effet du plaisir.
J’imagine ton vagin l’aspirer et le serrer comme il le faisait tout à l’heure avec ma
propre bite. Intellectuellement c’est un plaisir incroyable, qui se mélange au plaisir
physique que me procure ta bouche.
Le garçon s’active de plus en plus fort, il te pilonne maintenant à grands coups de
reins faisant bouger tes seins dans tous les sens. A ce rythme je me doute qu’il ne va
pas tenir longtemps.
Un instant tu lâches ma bite pour crier, ouii encore ! Vas-y baises moi fort, encore
vas-y !!
Tu reprends de suite mon sexe en bouche, comme si ta vie en dépendait bien décidé à me
faire jouir.
Du reste nous sommes tous les trois au bord de la jouissance, au point de non-retour
et c’est presque ensemble que nous nous vidons les couilles. Lui dans sa capote bien
calée au fond de ta chatte et moi dans ta bouche.
Tandis que tu te tends également une dernière fois de tout ton corps témoignant du
plaisir que tu viens de prendre.
Je m’écroule sur toi en te prenant dans mes bras, mon Dieu chéri que je t’aime me dis-
tu en m’embrassant. Moi aussi mon amour je t’aime.
Le garçon se relève, tout hébété, il a lui aussi visiblement apprécié ce moment et
nous en remercie en ramassant son peignoir.
Round Trois terminé.

Dix minutes plus tard nous sommes de nouveau en voiture sur le chemin du retour.
Alors mon cœur tu as aimé ?
J’ai adoré me réponds-tu, vraiment une après-midi super, on a été chanceux aujourd’hui
de tomber sur des gens comme ça.
J’ai juste un petit regret.
Ha bon, ???
Ben oui, … j’ose pas trop te le dire …
Vas-y chérie, dis-moi tout,
En fait …. J’aurais bien aimé ……
Oui vas-y,
Et bien voila j’aurais bien aimé qu’il m’encule le garçon, tu sais que j’aime ça chéri
!
J’éclate de rire, mais c’est pas vrai ! Mais t’es vraiment une petite salope, avec
tout ce que t’as pris t’en veux encore ?
Oui chérie je suis ta salope à toi, ta salope qui t’aime.
Et moi aussi je t’adore comme ça et je suis le plus heureux des hommes mon amour.
Continue à me surprendre à m’étonner et à me faire jouir comme tu le fais chérie.
S’il te plaît ne changeons rien tu es la meilleure.

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