La Trilogie D'Anita 2/3

Une fois seuls je crève l’abcès
- Tout va bien chérie ?
- Oui ça va
- Je sens qu’il y a quelque chose qui te tracasse, c’est ton oncle ?
- Non il va bien mais …. Voilà, je vais tout te dire à condition que tu ne te
fâche pas
- Je peux tout entendre tu le sais bien
- Tu te souviens je t’avais avoué avoir couché avec deux garçons ?
- Oui ?
- En vacances chez l’oncle j’ai fais la connaissance du petit voisin, nous
avons joués ensembles jusqu’au moment ou nous nous somment déshabillés dans une grange
et ….vierge tous les deux nous avons baisés, ou plutôt baisouillé ! soudain son grand
frère âgé de plus de dix ans que lui a fait irruption il se marrait en disant :
- C’est comme ça que tu t’y prends pour baiser une nana ? laisse moi la place je
vais te montrer comment on fait
- Il l’a bousculé et sans me laisser le temps de me relever il s’est enfoncé en
moi, j’ai tout de suite sentie la différence aussi bien en grosseur qu’en savoir
faire, j’ai hurlé de joie pendant une heure, pour finir il m’a basculée sur lui pour
que son petit frère mette sa queue dans mes fesses, mon oncle s’est aperçu a ma
démarche bizarre que quelque chose c’était passé, je lui ai tout avoué il n’a jamais
rien dit a mes parents, depuis je crains d’y revenir seule et de le rencontrer pour ne
pas succomber a nouveau tellement j’ai gardé un merveilleux souvenir de cette journée
- C’est bien, mais quelle rapport avec ton air soucieux ?
- He bien aujourd’hui je l’ai revu chez l’oncle il m’a abordée en douce,
heureusement que je n’étais pas seule sinon …..
- Sinon tu baisais avec lui ! j’ai saisis … tu as donc toujours envie de lui ?
- ….. Ce n’est pas de l’amour, juste pour le cul histoire de revivre cet instant
merveilleux, ma chatte garde en mémoire le bien qu’il lui a fait …..
- Et ….

Tu aimerais bien recommencer ?
- Juste une fois …avec toi bien sûr si tu es d’accord !
- Tu as son numéro ? appelle le et fixe lui rencard pour demain
- C’est vrai ? !! tu serais d’accord à me regarder baiser avec lui ? que c’est-
il passé dans ta tête aujourd’hui ? !
- J’ai réfléchis à des tas de chose, pour ton bonheur complet je suis prêt à
tout
Anita se précipite sur son portable toute excitée
- Allo ? Daniel ? c’est Anita ! tu sais pour ce que tu m’as demandé ce matin, hé
bien c’est ok pour demain si tu veux ! …. ……… Oui bien sûr mon mari sera là, ça te
gène ? ………bon c’est bien ……..que je vienne nue sous ma robe ? pas de problème !! alors
demain après midi chez toi ça marche, bisous !
- Bon voilà c’est partit ! en attendant je vais te bouffer le minou pendant que
tu me suceras !
- Baise- moi mon amour !!!!
Le lendemain j’ai parlé a ma belle mère qui avec un grand sourire m’a offert de nous
prêter sa voiture, j’ai profité que nous soyons seuls pour lui passer une main au cul
- Stop ! ça suffit restons sérieux je me suis laissée aller une fois de trop
- Vous avez raison belle maman
La main entre les cuisses d’Anita tout le trajet j’ai pus constater que plus nous
approchions plus elle mouillait, les présentations faites Daniel ne sait pas comment
commencer, nous ne somment pas là pour parler de la pluie et du beau temps, comme j’ai
l’intention de mener les ébats je l’aide en passant derrière ma femme et je relève
lentement sa robe comme le rideau d’un théâtre ou va débuter un acte, personnellement
je bande déjà
- Ça fait combien années que tu n’as pas vu sa chatte ?
- Oooh … elle était encore gamine …presque pas de poils …
- Hé bien regarde la différence...
- Wooouuuaaahhh ! qu’elle est belle
- Vient la toucher …
L’homme plutôt bourru se met a genoux devant le triangle blond il approche son nez et
respire les phéromones qu’elle dégage, je laisse retomber le tissu ample qui recouvre
sa tête et baisse la fermeture éclair de la robe, au léger cri qu’elle pousse et aux
pieds qui se séparent je devine que des doigts ou une langue ont pris possession du
calice
- Lève les bras chérie...
Docile elle obéit, j’ôte définitivement le seul vêtement qu’elle porte, mes mains
emprisonnent les seins tandis que Daniel lèche et doigte le vagin, Anita se laisse
aller sur moi cambrée au maximum afin d’offrir a son amant sa fleur qui regorge de
miel
- Tu n’a pas un endroit plus confortable ?
- Allons dans ma chambre
Anita comme hypnotisée suit comme un automate l’homme qui va la baiser, un matelas a
même le sol, les draps douteux encore en désordres, je regrette un peu d’avoir amené
ma femme dans ce foutoir, ça ne la gène pas et s’allonge de suite en travers du lit
les cuisses outrageusement ouvertes, l’homme se déshabille sans la quitter des yeux,
je fais de même, mes yeux sont rivés sur le slip du mec j’appréhende la différence de
queue… boff ! Pas beaucoup plus grosse que la mienne finalement, il faut relativiser,
ses souvenirs datent de dix ans, elle voyait une bitte pour la première fois, rassuré
je m’approche du couple illégitime
Anita suce Daniel tandis qu’il s’acharne à lui bouffer l’entre cuisses, des bruits de
sucions et des vagissements agrémente le tout, j’attends patiemment que l’un ou
l’autre jouisse, c’est Anita qui se cambre en poussant des exclamations obscènes, elle
se redresse et se met dans sa position favorite : la levrette !
La trique à la main il vient comme un chien derrière ma femme
- J’adore le cul de ta femme …
- Moi aussi baise la comme elle le souhaite, elle est folle de ta queue
- Moi aussi j’aime ma queue !
- Bon, je vois … fait la grimper aux rideaux, je regarde ensuite nous la
prendront ensemble
- Vous voulez mettre votre bitte avec la mienne ?
- Tu ne l’as jamais fait ?
- Ben non ?
- Bon alors tu me baise Daniel ? c’est pour aujourd’hui ou pour demain ?
- Calme toi chérie j’ai l’impression que ton Don Juan a bien changé !
- Alors je vais m’empaler sur lui et tu me sodomiseras chéri ; couche toi Daniel
……
- Comme vous voulez….
Anita s’ouvre la vulve avec deux doigts et descend lentement, je vois le membre
disparaitre dans le ventre aimé, j’ai malgré tout un pincement au cœur….. Je ne vais
pas faire la fine bouche, hier j’ai niqué sa mère ! Ma femme se ‘rode’ un moment en
alternant les mouvements, l’homme reste immobile
- Florent vient a mon secours, ce con ne bouge pas encule moi
- Je crois que nous ferions mieux de partir, il faut regarder les choses en
face, cet homme n’est plus celui qui t’a baisée il y a dix ans en plus il est bourré !
- Tu as raison foutons le camp !
A suivre …