Aminata Et Les Nemrod
Résumé de lépisode précédent : Lhistoire se déroule Togo, au bord dun lac. Dans le
cadre de son travail, Aminata est amenée à passer une soirée dans la maison dhôtes de
Werner. Elle vient de succomber, malgré elle, à ses avances. Elle sapprête à
rejoindre un groupe de chasseurs, clients de Werner, qui poursuive leur soirée.
Après un rapide coup dil dans la penderie, Aminata shabilla dun tee-shirt noir
brodé de fils dargent et dune jupe faite dans un pagne imprimé pour la Journée
internationale de la Femme. En remontant le couloir, elle pensait toujours à ce moment
si fort quelle venait de vivre, à cette jouissance qui lavait transportée aux portes
du paradis !
Une fois parvenue à la salle à manger, elle savança vers la table où discutaient fort
bruyamment les clients de Werner. Ils étaient tous les trois originaires du même
village de Provence. Il y avait Pierre, assureur de son état, lorganisateur de ce
safari de chasse, accompagné de Lucien et de Louis, viticulteurs associés,
propriétaires dun domaine qui produisait un excellent Côtes du Rhône Village. Ce
voyage au Togo était le cadeau que les trois amis denfance sétaient offerts pour
leur 60 ans. Ils lavaient préparé pendant 2 ans et ils comptaient bien en profiter au
maximum.
Aminata retrouva sa place entre les deux vignerons et sétonna de labsence du maître
de maison :
- Savez-vous où est Werner ?
- Oui, il est allé chercher du Champagne, il en manquait paraît-il, par contre
toi, je ne sais pas ce que tu viens de faire mais ça ta réussi, tes encore plus
belle que tout à lheure, souligna Lucien dun ton étrangement perplexe et étonné ...
Aminata ne savait pas comment prendre ce compliment, «Werner aurait-il fait quelques
confidences indiscrètes ? » sinterrogea-t-elle avec inquiétude. Dautant plus quelle
ressentait encore ce plaisir quil lui avait dabord imposé, mais auquel elle sétait
par la suite totalement abandonnée ! « Ca doit se voir sur mon visage » redouta-t-
elle.
le départ de Charly, son chéri. Jusquà aujourdhui, elle avait plus ou moins bien
supporter son abstinence en se caressant chaque fois que son corps avait besoin
dexutoire, mais cest vrai que rien ne pouvait remplacer le contact physique et
charnel dun homme.
« Merci, lui répondit-elle, gênée, vous êtes gentil mais
» elle neut pas fini sa
phrase que dautorité il lui prit la main et linvita à se lever pour danser avec lui.
Très vite, elle dut se rendre à lévidence, Lucien ne se contenterai pas dune simple
danse, les mains posées sur la cambrure de ses reins, il lui imposa demblée la
pression de son bas-ventre contre le sien. Surprise par ce comportement de mâle
dominant, elle neut pas le réflexe de sy opposer immédiatement, de même, elle resta
sans réaction lorsquil lembrassa dans le cou. Aminata nen menait pas large et ne
savait pas trop comment se sortir de ce guêpier. La situation se compliqua davantage
lorsque Louis vint se joindre à eux en se positionnant derrière elle.
- Plus on est de fous, et plus on rit ! lui glissa-il à loreille, en la prenant
par la taille.
- Daccord, mais
mais cest pas facile de danser comme ça
prétexta
timidement Aminata, tout en sachant quelle ne pouvait pas trop, non plus, se
permettre de jouer à leffarouchée et dêtre désagréable avec les clients de Werner.
- Pas de problème, comme on dit chez toi en Afrique, tu te laisses conduire,
cest nous qui dirigeons le bal et tu verras que tout se passera sans soucis !
Joignant le geste à la parole, Louis saventura sous le tee-shirt dAminata qui,
interloquée et pris de court une nouvelle fois, ne sut que le supplier en se
retranchant derrière le retour éventuel de Werner :
- Je vous en prie, tenez-vous tranquille, Werner peut revenir dun moment à
lautre
Louis ne tint pas compte de cette mise en garde et sans se soucier de la
recommandation dAminata, il continua sa progression en remontant les mains vers sa
poitrine.
puis de sen emparer et de les empaumer. Au même moment, Lucien, à son tour, encouragé
par lapparent renoncement de la jeune femme, descendit ses mains vers la croupe
dAminata et il incrusta fermement ses doigts dans le sillon qui séparait les deux
fesses. Prisonnière de ces prédateurs, elle voulut se dégager et repousser leurs
assauts, mais malgré tous ses efforts, elle se rendit vite compte quelle nen
viendrait pas à bout. Apeurée, elle jeta alors un regard affolé vers Pierre, le
troisième comparse, qui lui ne bougeait pas, mieux, il semblait même observer cette
scène avec une certaine jubilation
- Sil vous plaît, arrêtez, vous allez trop loin, implora Aminata complètement
désemparée.
- Mais pourquoi, faut pas avoir peur, on commence à peine à samuser ! répondit
Lucien tout en lui pinçant légèrement le bout des seins.
Surprise à nouveau, Aminata poussa un petit gémissement de douleur que Julien étouffa
en lui plaquant ses lèvres sur la bouche. Puis fort de lemprise quil prenait sur
elle, il réussit à faire tomber le pagne quelle portait enroulé autour de la taille.
Dépassée par les évènements, elle nosa pas réagir, comme elle ne put sopposer à
Lucien quand celui-ci, entreprit de lui retirer également son tee-shirt en lobligeant
à lever les bras. Les deux hommes, enivrés par la troublante sensualité qui se
dégageait de cette belle jeune femme noire pratiquement nue, neurent pas assez de
mains et de bouches pour assouvir leur soif de caresses et apaiser leurs sens
exacerbés. Sa poitrine, son ventre, entre ses jambes, son dos, autour de ses hanches,
ses fesses, aucun endroit de ce corps offert à leur voracité néchappa à leurs
multiples attouchements. La douceur de cette peau, satinée par le beurre de karité, ne
faisait quattiser leur appétit.
à lévidence, elle ne pouvait plus lutter contre eux et surtout contre elle-même,
contre cette douce chaleur humide qui gagnait lintérieur de son pubis, contre ses
reins qui se creusaient davantage à chaque caresse, contre ces frissons quelle
narrivait plus à contrôler. Elle eut une pensée pour Charly, mais son désir était
vraiment devenu trop fort et comme elle était confortée par laccord passé avec lui,
elle se persuada quelle avait toute latitude pour assouvir ses envies. Lheure était
venue de sabandonner, de se soumettre, et enfin daccepter tout ce quon lui
demanderait. Elle est comme ça Aminata, elle sait que maintenant, elle ira jusquau
bout et que plus rien ne larrêtera. Aussi, lorsque lun des deux glissa les mains
vers ses hanches et lui descendit sa culotte le long de ses belles jambes fuselées,
cest elle-même qui, docilement, souleva un pied pour lui faciliter la tâche. Cette
collaboration soudaine et inattendue fit sourire Lucien.
- Enfin, tu sembles avoir compris et être dans de meilleures dispositions
Alors, maintenant on va passer aux choses sérieuses et tu vas me faire voir ce que tu
sais faire.
Il lentraîna sur un canapé et dégrafa sa braguette.
- Tu as déjà sucé un homme ?
Elle le regarda étonnée ne sachant quoi répondre
- Oui
ça mest arrivé de faire ça
avec mon ami !
- Et bien tu verras, avec moi, cest pareil, ricana Lucien.
Il lui prit énergiquement la nuque et la dirigea vers le sexe quil venait de sortir
de son pantalon. Elle ne put faire autrement quouvrir la bouche et engloutir ce gros
membre veineux et décalotté. Décontenancée et ne sachant trop comment sy prendre,
elle commença par le sucer lentement, plongeant son nez dans les poils de Julien, le
front transpirant posé sur les replis de son ventre. Puis tout saccéléra, plus il
appuyait sur sa tête, plus elle aspirait ce gland et plus montait en elle cette
sensation dun plaisir étrange et particulier.
mélangèrent aux gémissements dAminata. Comme un bon petit soldat investi dune
mission, elle sappliquait à bien faire et de sentir vibrer au fond de sa gorge la
queue de ce blanc, elle en était flattée. Cela lui procurait un sentiment du devoir
accompli et même de fierté.
La musique continuait de jouer, mais évidemment plus personne ne lécouter. Même pas
Pierre, trop occupé à mater et à se caresser. Aminata, la tête entre les cuisses de
Lucien, le suçait avec toujours autant dapplication, mais soudain elle se crispa
lorsquelle sentit le pouce de Louis simmiscer entre ses fesses. Il venait décarter
les deux globes de ce beau cul que la position de levrette quelle avait prise,
mettait encore plus en valeur
Peu habituée à cette caresse, elle eut peur quil
veuille la sodomiser et fut soulagée lorsquil retira son doigt, même si aussitôt
après il le remplaça par son sexe quil poussa le long du sillon jusquà lentrée de
son vagin. Elle plongea alors de suite la main vers cette colonne de chair pour
vérifier si un préservatif avait bien été mis. Pleinement rassurée, elle prouva sa
reconnaissance et sa bonne volonté en se cambrant encore plus et Louis put facilement
sintroduire en elle dun puissant coup de rein ! Elle aimait trop cette position qui
permettait à lhomme daffirmer sa domination et de senfoncer profondément dans son
ventre, de sagripper à ses hanches, et de cogner ses fesses à chaque aller-retour.
Ses seins tressautaient et se balançaient de plus en plus vite au rythme imposé par
les sexes de ses deux partenaires. Le premier orgasme se déclencha chez Aminata au
moment même où Lucien explosait dans sa bouche, elle hoqueta et recracha tout le
sperme quelle ne voulait surtout pas avaler.
Lucien, retrouvant son calme, sécarta dAminata et sadressa à Pierre :
- Viens prendre la place, elle est toute chaude, tu verras, elle est vraiment
douée, sa bouche cest un paradis ! Et cest la première fois quune pipe me fais
autant jouir !
Pierre, jusque là plus réservé que ses deux amis, se décida à franchir le pas et se
rapprocha dAminata. Elle subissait toujours les assauts interminables de Louis qui
nen finissait pas de la besogner et cest lorsque survint son deuxième orgasme que
Pierre en profita pour lui enfoncer son membre dans la bouche. Elle leva les yeux vers
lui puis naturellement retrouva les mêmes automatismes et se donna de tout son cur à
cette nouvelle tâche. Le résultat ne se fit pas attendre et les deux hommes, Pierre et
Louis, éjaculèrent plus tard au même moment accompagné dun autre orgasme dAminata.
Elle était épuisée
Par contre, Lucien, reprenant de la vigueur, sallongea sur le canapé et le sexe
dressé vers le ciel, sadressa à Aminata :
- Viens sur moi et assis-toi.
Elle ne se posait plus de question, elle se leva et sagement, elle fit ce quon
exigeait delle.
- Comme ça, demanda-t-elle, en sasseyant à cheval sur lui et en sempalant sur
son gros pieu vibrant dimpatience.
- Oui chérie, tes une bonne cavalière !
- Merci, ne put-elle sempêcher de lui répondre en ébauchant un petit sourire de
remerciement
La prenant par la taille, il la souleva en faisant coulisser sa queue dans une fente
maintenant bien lubrifiée. Elle continua delle-même le mouvement mais Lucien sentant
quil nallait plus pouvoir se retenir longtemps, la stoppa et la coucha sur lui tout
en restant bien ancré en elle. A genoux, sa poitrine sur le torse de Lucien, Aminata
mit de nouveau en évidence sa belle croupe et ses reins bien cambrés.
- Tas vu ce beau cul ? sexclama admiratif Pierre tout en flattant et caressant
les fesses rebondies dAminata.
- Cest sûr, lui répondit Louis, et je crois que jirai bien voir si elle est
aussi accueillante derrière que devant
- On va sen rendre compte de suite !
Il mouilla un doigt et lintroduisit dans ce petit trou en faisant tourner la première
phalange. Aminata se crispa et craignit davoir à se soumettre à de nouvelles
exigences.
- Sil vous plaît, faites pas çà, jai pas lhabitude, jai peur que vous me
fassiez mal
De savoir quelle pratiquait pas ou peu la sodomie les excita encore plus. Ignorant
ses protestations, ils continuèrent dun commun accord et tous les deux réussirent à
forcer en même temps son anneau. Leurs deux doigts jumelés étaient enfoncés jusquà la
troisième phalange. Ils jouèrent avec lélasticité de la paroi en faisant ressortir et
rentrer leurs doigts alternativement. Aminata retenait sa respiration. Plus les doigts
élargissaient le conduit plus la douleur sestompait pour laisser place à une onde de
chaleur puis un léger bien-être quelle naurait pas soupçonné. Lexcitation
grandissant, Pierre retira son doigt pour le remplacer par son sexe tendu comme un
arc. Heureusement, que par rapport à ses amis, il était doté dun sexe aux dimensions
plutôt raisonnables, ce qui lui permit de pénétrer sans difficulté ce fourreau déjà
bien dilaté grâce à laction conjointe des doigts. Surtout que Lucien occupait
toujours le devant ! Seule, une mince membrane séparait les deux membres et lun ne
pouvait ignorer la présence de lautre. Le rythme lent de cette double pénétration,
procura à Aminata un plaisir croissant en intensité et pour la première fois elle
découvrait cette nouvelle sensation de se faire posséder par deux hommes à la fois.
Pierre, grisé par cette expérience quil avait peu souvent loccasion de pratiquer et
par les soupirs haletants dAminata, lui demanda :
- Dis-moi que tu laimes ma ptite bite ?
- Oui
dit-elle faiblement.
- Et bien dis-le plus fort !
- Je laime
- Quoi ?
- Votre petite
bite !!!
- Et celle de mon ami ?
- Aussi
- Quoi aussi ?
- Je laime aussi beaucoup, elle me remplit le ventre et
jaime ça !
Oui, on pouvait compter sur Aminata, elle allait se donner et leur donner tout le
plaisir quils recherchaient. Louis voulut participer au bouquet final avec ses
copains, il avança son sexe vers la bouche dAminata et, sans attendre son avis, le
cala au fond de sa gorge. Elle ne pensait plus à Charly, ni à Werner qui ne revenait
plus. Elle sabandonnait au bon vouloir et aux caprices de ces trois hommes. Entre
celui quelle suçait comme une damnée et les deux qui la prenaient comme des morts de
faim, elle eut le temps de jouir plusieurs fois en cascades. Comme par hasard, Mylène
Farmer chantait «
pourvu quelles soient douces ! »
Aminata reprenait doucement ses esprits, Pierre sétait retiré de son dos, Lucien
avait quitté son ventre et Louis regrettait déjà la douceur de sa bouche
Cest alors que Werner fit son entrée dans la pièce, une coupe de Champagne à la main
et une bouteille de lautre, « Permettez-moi de porter un toast à Aminata, la reine de
la soirée pour saluer sa beauté, sa gentillesse et souligner
son agréable et
généreuse disponibilité ! »
Aminata comprit quil était linstigateur de ce qui venait de se dérouler.
Certainement, que lidée de la proposer et de la partager avec ses amis, lui était
venu en sortant de la chambre. Mais, elle ne regrettait pas le plaisir quelle avait
pris, et quand Werner lui déposa un baiser sur les lèvres, elle répondit naturellement
« Merci pour le compliment ! » en oubliant tout simplement quelle navait été quun
jouet entre leurs mains
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!