La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1448)
Lesclave salope au Château (suite de l'épisode N°1427) -
Quand il finit de parler, cest dun coup de laisse que le Maitre me fait mettre à quatre pattes et me tire vers la sortie du Château
Une semaine plus tard en me réveillant le matin je découvre un mail du Maitre. Comme toujours en ce qui concerne les mails ou messages du Maitre, je mempresse de louvrir. Dedans, jy trouve des instructions.
« Bonjour Mon esclave salope, à partir daujourdhui et jusquà la prochaine fois où tu auras la chance et lhonneur dêtre à Mes pieds, tu as interdiction de porter une culotte, de plus, je veux que chaque jour tu prennes un marqueur et que tu écrives juste au-dessus de ta chatte de salope de chienne, ton matricule desclave : eN69 .Ainsi que le mot putain juste en dessous, et tu le marqueras aussi sur tes seins. Chaque jour, tu devras menvoyer la photo de ton sexe et de tes seins marqués. A très bientôt Ma salope de chienne esclave, Le Maître »
Je réponds si docilement par un « Oui Maitre » à Monsieur le Marquis, lui faisant savoir que Ses exigences ont été reçues et comprises. Je me lève et me prépare donc pour ma journée de travail, tout en respectant à la lettre les consignes du Maitre sans oublier de lui envoyer la photo. Je continue ainsi pendant 4 longs jours et je nai aucune nouvelles du Maitre. Mais je sais que le Châtelain me sollicite quand Il le veut seulement et que même sil ne me sollicite pas ça ne change en rien du fait que je reste à Ses pieds, et à mes devoirs desclave. Cest donc le 5e jour, en rentrant du travail, que je trouve le Noble confortablement assis sur mon canapé. Mon conjoint étant au courant de ma nature soumise et de ma relation D/s avec le Maitre. Ce dernier a décidé que du fait que je suis Son esclave, il était normal quil ait la clé de cher moi.
Ma surprise de trouver le Châtelain ici chez moi est immense, et jen reste juste stupéfaite à lentrée, saisie par la surprise à lobserver pour être sûre que je ne rêve pas.
- Regarde chienne comme tu mouilles, et pourtant je ne tai même pas encore touchée. Rien quà être en Ma présence et prosternée face à Moi, regarde comment tu as souillé Mes chaussures, chienne en chaleur ! Alors commence à nettoyer esclave, pute en chaleur, et applique-toi bien surtout, salope
Cest avec toute ma dévotion que je commence à lécher les chaussures du Châtelain que jai souillée par ma forte excitation de chienne en chaleur.
- Renifle chienne, renifle lodeur de la bite qui va te défoncer, qui va te posséder pas tout tes trous de putain en chaleur
Je commence donc à renifler, au travers du pantalon, le Sexe du Noble telle une chienne à la recherche de sa friandise. Et je sens la verge du Maitre commencer à gonfler et lidée de Lui donner du plaisir, mexcite encore plus et me fait encore plus mouiller. Bien rapidement le Châtelain matt à nouveau par les cheveux et me tire derrière Lui en allant s'assoir sur le canapé, moi à Ses genoux à attendre. Monsieur le marquis tapote Sa cuisse, je comprends donc et jy pose délicatement ma tête, que le Noble commence à caresser quand Il prend la parole.
- Bien, Mon esclave puisque ton compagnon et au courant pour ta vraie Nature servile. Puisquil te sait soumise à un Maitre, et quil accepte cette situation et comprenant, jai donc décidé de faire quelques changements cher toi. Pour adapter ta condition de chienne soumise esclave en tout temps quand je le déciderai, en Ma présence, et même quand je ne serai pas présent
Je ne sais ce que le Noble me réserve, ce que Ses mots veulent dire exactement, mais pourtant jen suis excitée, mentalement comme physiquement.
- Renifle petite chienne, renifle bien lodeur du mâle auquel tu appartiens, renifle lodeur de Ma Bite que tu vénères tant. Je sais que tu en as envie, mais tu as interdiction de la prendre en bouche pour le moment, tu as seulement le droit de renifler et mettre des petits coups de langue sur Mes couilles tout en flairant de ton museau de clebs. Et quand je le déciderai et seulement quand je le déciderais tu seras autorisée à me donner du plaisir avec un de tes trous de pute, de chienne en chaleur. Aller exécution chienne de rues, et applique-toi à bien renifler sans modération..
Je humais donc à plein nez Son odeur si délicieuse. Et je compris vite que le Maître avait parfumé, juste avant de venir, son bas-ventre dun certain parfum peu commun et donc pourquoi Il insistait tant à ce que je renifle Ses parties génitales. Même sIl savait très bien que je navais nullement besoin de renifler Son mystérieux parfum enivrant de sensations sublimes, pour mexciter, je compris alors quIl me faisait sentir un parfum hautement aphrodisiaque
Je me sentais déjà chienne en chaleur, mais les effets rapides de ce que je reniflais à plein nez décuplèrent subitement ma libido à lexcès. Et seule lenvie irrésistible de me faire prendre sauvagement comptait désormais, je devenais une véritable bombe sexuelle, il fallait quon me prenne, quon me baise, quon assouvisse, à grands coups de reins puissants et profonds dune bite dans ma chatte, cet irrésistible besoin de copulation sauvage, animale, bestiale.
Enivrée par le puissant aphrodisiaque, je remuais instinctivement mon cul, faisant des mouvements évocateurs de mon bassin et cela malgré moi. Je gémissais en étant extrêmement en chaleur, ne tenant plus, je coulais littéralement ma mouille sur mes cuisses et même sans y être autorisée, je mis une main sur mon sexe pour me caresser, lenvie étant trop forte, mon cerveau ne pouvant pas réprimer ce geste masturbatoire. Je savais que je pouvais être punie par ce geste initié par moi-même sans que le Maître nexige de me branler, mais impossible de retenir ma main à défaut dune grosse bite pour tenter de soulager lextrême excitation qui maintenant me provoquait des spasmes dans tout mon corps fiévreux dexcitation. Et lenvie de jouissances devenait, de fait, ultra-puissante, je devenais à lévidence sous leffet de ce parfum, une véritable bête de sexe
Monsieur le Marquis observait attentivement mes réactions suite aux effets si évocateurs de laphrodisiaque qui emplissait mes narines et enivrait mon cerveau et activait à outrance mes pulsions sexuelles, quand il me dit clairement :
- Je sais ce que provoque, comme effets foudroyants, ce très puissant parfum aphrodisiaque. Et il serait très injuste de Ma part de te punir parce que tu te branles sans Mon autorisation. Je dirai même que cest exactement ce que je voulais que tu fasses. Et même si tu nas pas besoin dun aphrodisiaque pour te masturber devant Moi, je veux que tu te couches devant Moi sur ton carrelage à même le sol et que tu continues à te branler avec énergie et frénésie comme une folle, te mettant sur le dos en écartant tes cuisses largement et relevant tes genoux. Je tautorise même à jouir sans modération car là aussi, je serai injuste de tinterdire lorgasme, car cest Moi qui tai provoqué cet état de chaleur extrême
Exécution
Il ne fallut pas me le dire deux fois, je fus couchée sur le dos dans la seconde qui suivait, me tortillant comme un ver. Ny tenant plus, jai même joui avant dêtre couchée ! Mais je continuais à me branler frénétiquement devant les yeux satisfait du Maître. Et je lui offrais un spectacle extrêmement lubrique, délicieusement scabreux, soulevant mes fesses du sol, branlant mon clitoris alors que de mon autre main, je me doigtais puissamment la chatte
Javais mes tétons de femelle durs et dressés comme jamais je ne les avais jamais vus autant dressés dexcitation. Je laissais exprimer mes atomiques orgasmes qui senchaînaient sans discontinuité par des cris dune amplitude sonore rarement égalée. Je ne pouvais marrêter, plus je jouissais et plus je me branlais, me tordais dans tous les sens dans les jouissances explosives, avec des spasmes remontant toute mon échine, enchaînant les décharges électriques orgasmiques, me faisant frissonner de milles sensations jouissives
Tellement en chaleur extrême sous leffet de laphrodisiaque, que je maperçus quune fois entre mes jambes, que le Maître était venu sy placer. Mon spectacle de cette femelle en chaleur en train de se branler et de jouir dans des cris hors normes, le faisait à lévidence bander et il ne tarda à investir ma chatte pour me labourer, me prendre, me baisant en écartant de ses puissantes mains encore plus mes jambes à même le sol
Alors que je jouissais encore et encore sous ses coups de boutoirs dune force incroyable, il me baisait avec une virilité impressionnante à grands coups de reins
quand au bout de longues minutes, il lâcha Sa semence dans de longs râles de mâle en rut
(A suivre
)
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