De Julie À Ta Chienne Soumise (2)
Pour asseoir, pour que je ressente bien mon nouveau statut de chienne soumise,
désormais, je signe aussi tous mes messages par "Julie, ta salope soumise.", pour qu'à
chaque fois que je te parle, je sache qui je suis, ce que je suis.
Chienne docile au service de ta satisfaction. Vide-couille avaleuse de ton sperme.
Salope soumise, avec le seul objectif de devenir ta parfaite pompeuse de queue.
Les jours passent.
Je continue à exécuter tes ordres, à respecter les règles, a me découvrir un peu plus
salope chaque jour sous le coup de tes mots, rassurer par la virtualité de cette très
spéciale relation. J'essaie de me convaincre, sans succès, que je ne fais rien de mal,
que je ne trompe pas, puisque tout n'est que virtuel. J'essaie de me convaincre que la
virtualité rends cela irréelle, que je ne suis pas vraiment ta salope.
La confiance entre maître et chienne s'installe, j'apprends a perdre mon contrôle, moi
qui craint de le perdre.
Bulle, parenthèse virtuelle, légère, excitante, attirante, inquiétante, captivant.
Plaisir presque violent qui me surprend.
Que dheures passée dans la Bulle, où tu amplifies ton emprise sur moi, où tu me
diriges vers ce que tu veux, où tu me libères. Ma libération par la soumission à toi.
Serai-je faite pour me soumettre ?
Une nouvelle pierre blanche de plus qui me conduira à me montrer à mon maître, moi,
complexée, peu fière de l'image que je renvoie.
Tard dans la nuit, allongée dans mon lit, mon mari au travail, je me consacre à mon
maitre et à la Bulle. Juste vêtue d'un simple débardeur, je répond à tes ordres.
Photo allongée sur le dos, les loches par dessus mon débardeur, après m'être fait
durcir les tétons.
A quatre pattes sur mon lit, tu m'ordonnes de me baiser moi même, comme une chienne
doit être baisée, de me mettre trois doigts dans chaque orifices.
Mon cul serré n'est pas habitué, ma chatte trempée, mes seins toujours sortis.
Tu m ordonnes de t'envoyer une photo, comme ça en levrette, mes loches pendantes, tu
verras pour la première fois mon visage ainsi, juste après m'être moi même prise en
double pénétration. Ma gueule de chienne, brute sans artifice, au beau milieu de la
nuit, les yeux hagards, le visage fatigué, pas maquillée, pas apprêtée.
Gênée et fébrile, j'attends tes réactions. Etonnée de te plaire, de t'exciter aussi.
Excitée et un peu fière, moi sage, coincée, je montre chienne pour toi.
Et enfin, je te découvre aussi, un regard tout aussi troublant qu'enivrant.
J'ai la preuve qu'il me trompe. C'est la crise a la maison. C'est peut être le
déclencheur qu'il me faut pour ne plus voir l'éventualité de voir mon Maître au
conditionnel mais au futur.
Dans la bulle, je t'exprime ma colère, mes craintes, mes inquiétudes, ma rancur à
l'égard de l'homme.
J'ai besoin de souffler, de voire autre chose. Mais je ne sais pas le faire.
Tu es convaincu que j ai besoin d'un ordre pour venir a toi, quelque part, moi aussi,
tout en étant convaincu que je n'en resterai qu'au réel.
Tu me troubles. Tu m'attires. Tu me plais. Tu m'excites. Tu attises ma curiosité, je
me plaît a t'obéir, tellement loin de ce que je connais. Tu m'offres une parenthèse ou
je me sens plus vivante, plus désirable.
Mais je suis partagée avec la peur. De ne pas te plaire, de ne pas être a la hauteur
de tes envies, de tromper l'homme, d'aller contre ma raison, ma morale, mes principes.
Tu me laisses entre-voire ma potentielle arrivée chez toi, domination de ta chienne a
la fois virile mais tendre. Tu me mets des images plein la tête.
L'ordre tombe.
"Sois ce samedi à mes pieds. Tu porteras un débardeur simple.
shorty mais pas de string pas de couvre loches."
Je dois venir demain.
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