Chapitre 34 : Trio Coquin Dans Les Bois Avec Mon « Amant De Toujours ».

C’est encore Caroline qui prend la « plume » pour vous narrer la suite de notre weekend dans la baie de Somme, nous sommes le vingt-neuf octobre 2006…
Je pense ne plus avoir besoin de me présenter, je suis la seconde épouse d’Éric, qui vous a raconté en détail notre rencontre, nos relations diverses et variées, que vous pourrez retrouver dans les chapitres précédents.
Je suis hypersexuelle, et oui, j’aime et j’ai toujours aimé le cul depuis que j’ai été dépucelé à quatorze ans par un jeune homme de plus de vingt-deux ans, j’ai aimé le faire et depuis, malgré mes quatre mariages, mes nombreux amants, je ne recule devant rien pour tenter des expériences en compagnie d’Éric.
Je vous suggère de faire un petit résumé de la journée du samedi vingt-huit octobre 2006. Donc, nous sommes à une sortie avec le Club Porsche, nous avons répondu favorablement à l’invitation de Noëlle, l’épouse de Jean-Jacques, un ex-amant qu’Éric me demande de rencontrer depuis des années, pour ceux qui n’ont pas lu les chapitres précédents, je vous invite à les lire avant celui-ci au risque de vous perdre.
Non seulement Noëlle a insisté, mais Denis, un partenaire rencontré au mondial de l’automobile, avec lequel nous avons fait un trio plutôt torride m’a également encouragé à participer ce même weekend à un stage de pilotage, animé par son ami ex pilote de Formule 1 Jean-Marc.
Éric et moi avons passé la nuit précédente avec Jean-Marc justement, pour partager un petit moment, une relation trioliste imprévue, une première pour Jean-Marc, et oui encore un partenaire supplémentaire dans ma grande collection, je vous disais précédemment que je ne recule devant rien pour tenter des expériences…
C’est aussi hier, qu’Éric a avoué sa bisexualité, son plaisir de me voir dans les bras d’autres hommes en participant ou non, à Jacques-Jacques, qui n’attendait finalement que ça.
Donc, la soirée est animée et chaude pour nous en compagnie de Jean-Marc, un trio, comme je les aime, fellations, pénétrations vaginales et anales et « ma » double pénétration.

Remplie, un dans ma chatte et l’autre dans mon cul, j’adore, je prends mon pied !!!
C’était une première pour Jean-Marc qui a apprécié et vu l’heure tardive, de notre dernière jouissance, nous avons proposé à Jean-Marc de dormir avec nous, (j’aime être entourée) et de s’éclipser discrètement ce matin…
Jean-Marc avant de partir a encore « abusé » de moi, devant Éric plutôt endormi et passif, mais j’aime beaucoup baiser le matin.
La nuit fut donc courte pour mon chéri et moi, pourtant nous devons nous lever tôt, nous avons une activité avec le groupe, une sortie vélo.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner, nous retrouvons Noëlle et Jean-Jacques à une table, nous les rejoignons à celle-ci, j’avoue que je suis bien fatiguée, pas en forme, la faute au champagne, à l’abus de sexe ? Ou les deux.
Noëlle se plaint d’avoir très mal dormi, l’hôtel est bruyant : « il y en a une qui a dû avoir le droit à sa nuit de noces, ce n’est pas possible…J’aimerai bien lui dire deux mots à celle-là… » Nous dit-elle.
Éric et moi, lui répondons que nous avons dormi comme des bébés, notre chambre étant peut être plus éloignée de celle de la folle hystérique pour reprendre l’expression de Noëlle.
Quand nous remontons dans notre chambre pour nous préparer, cela nous fait bien rire tous les deux…
Nous allons récupérer nos vélos, mis à disposition par l’organisation, petite photo du groupe réalisée par Noëlle qui ne vient pas faire du vélo, pardon nous participons à la « Baiecyclette », en fait nous allons explorer une partie de la baie de Somme, c’est magnifique, surtout ce jour de fin octobre où il fait anormalement chaud…
Nous ne parlions pas encore de réchauffement climatique à cette période.
Noëlle a prévu de passer la matinée à l’Aquaclub, pour une séance de relaxation, ce qui semble réjouir Jean-Jacques, qui dès le départ nous parle de ses projets, enfin de comment nous pourrions nous retrouver discrètement, car depuis hier midi, il ne pense qu’à cela.
Nous sommes une petite vingtaine de cyclistes, c’est parti pour une grande balade dans la baie à la découverte des animaux qui y habitent : phoques gris, Tadornes de Bellon, Sternes…Nous progressons sur des immensités sableuses qui baignent dans des camaïeux de blanc, de bleu, de vert et de gris. J’ai l’impression de marcher sur un tableau qui se renouvelle à chaque marée !!!
La randonnée est ponctuée d’arrêts pour des explications. Difficile de trouver plus local que Raymond…Notre guide. La Baie de Somme, c’est son bout du monde à lui ! Né là-bas, il est devenu guide nature pour partager sa passion : les immenses paysages sauvages du coin et leurs habitants à plumes et à poils.
Raymond nous fait aussi découvrir de nouvelles saveurs en nous faisant goûter les plantes comestibles de la baie. Mention spéciale pour la salicorne, dont nous nous gavons jusqu’à frôler l’indigestion…
Malgré, toutes ces explications intéressantes de Raymond, nous nous arrangeons toujours pour être à la traine du groupe, nous circulons tous les trois, moi au milieu entourée de mes deux « gardes » du corps, nous discutons, plaisantons, avec cette idée fixe de Jean-Jacques : « Quand allons-nous pouvoir passer aux choses sérieuses »…
C’est vrai, que ce jour-là, il fait beau et chaud pour la saison, j’ai enfilé une tenue un peu excitante, un très petit short blanc, un débardeur moulant rose fluo en oubliant bien entendu de mettre un soutien-gorge et des baskets.
Nous sommes partis depuis à peine quarante minutes, et Jean-Jacques m’a déjà déclaré au moins vingt fois :
- Oh, Caroline, qu’est-ce que tu es excitante, tu me fais…
A chaque fois, Éric jubile, car cela doit vraiment l’exciter, surtout que Jean-Jacques fait quelques allusions à nos rencontres passées mais avec beaucoup de classe.
Notamment au grand hôtel d’Enghien-les-Bains, endroit romantique et intime, dans un cadre verdoyant, où nous aimions nous retrouver.
Moi aussi, notre conversation m’excite, malgré la fatigue de la nuit, j’ai de nouveau des sensations, et je ne fais rien pour calmer mes compagnons d’échappée, enfin nous sommes surtout lâchés…
Nous continuons tout de même notre randonnée, toujours aussi passionnante, malgré mon état d’excitation qui ne faiblit pas, puis sur la route du retour à notre hôtel, n’y tenant plus je demande à Jean-Jacques, s’il a envie de m’accompagner dans les bois en compagnie d’Éric.
La réponse est immédiate et franche, il y a pensé cette nuit, il se disait que ce pouvait être une possibilité, il a même emmené un plaid dans son sac à dos…
- Mais pas n’importe quel plaid Éric ? Un 911…Lance Jean-Jacques.
- Eh bien, si c’est un 911, je valide et vous accompagne !!! Lui répond Éric.
Pour les non-initiés je précise que « 911 », c’est en rapport avec la Porsche 911, voiture de sport haut de gamme fabriquée par la firme allemande. Il ne vous a pas échappé que l’un et l’autre sont des purs passionnés de cette voiture.
Nous prévenons Raymond que nous allons rentrer tous les trois tranquillement, celui-ci plaisante de bien faire attention à nous…
Nous sortons du chemin cycliste, nous arrivons sur un petit parking, je vois déjà qu’il y a deux voitures présentes.
Je ne sais pas si c’est bon signe, et si nous n’allons pas tomber tout simplement sur des promeneurs classiques.
Nous avançons dans la forêt, plus ou moins clairsemée, il fait assez chaud, c’est agréable de se promener là, même si ce n’est pas notre but initial.
Le silence n’est stoppé que par les gazouillis des oiseaux, c’est super mignon. Mais rapidement, nous entendons des bruits beaucoup plus sympas.
Gémissements divers et variés et bruit de chairs qui s’entrechoquent.
Cela me rassure, ce doit être les propriétaires des deux voitures, donc l’endroit doit être propices aux ébats de toutes natures.
Par discrétion, nous rebroussons légèrement notre chemin sans faire de bruit, cette vision de cette femme et cet homme a pour effet de m’exciter encore plus…Imaginez dans quel état puis-je être ?
Nous avançons doucement et nous arrivons dans une toute petite clairière, juste assez grande pour nous y installer.
Nous étendons nos deux serviettes de plage d’Éric et moi puis le plaid de Jean-Jacques, pour nous empêcher, un contact avec les herbes et les insectes.
Puis tout va très vite, presque sans un mot, je retire mon débardeur, je suis en chaleur, excitée comme jamais.
Jean-Jacques s’approche de moi, prend ma main et la pose sur son sexe, je sens au travers de son short que son sexe grossit, il me prend par la taille et me dit :
- Deux hommes pour toi toute seule, tu n’imaginais pas ça ce matin ? Ma chérie. Me dit Jean-Jacques.
La déclaration de Jean-Jacques nous fait sourire Éric et moi, le pauvre, Il ne peut s’imaginer l’activité que j’ai pu avoir cette nuit.
Ses mains descendent sur mes fesses, il fait glisser mon minishort, puis délicatement mon string, je suis entièrement nue, simplement chaussée de baskets. Je sens mes fesses se durcir, je suis surprise de voir l’état dans lequel je suis.
Jean-Jacques sort alors sa queue et me la donne à sucer, chose que j’accepte bien volontiers et me voilà à pomper sa bite, je l’avale tout entière, ça m’excite de le sucer ici dans le bois.
Éric qui s’occupe de mes seins, s’est très vite défait de son short et de son polo.
Il me met son sexe très en forme dans la main et commence un va et vient avec celui-ci, il me demande de le branler, ce que je fais sans m’en rendre compte trop occupée à pomper Jean-Jacques.
Puis il me pétrit les fesses, ce qui a pour effet de m’exciter encore plus. Je suis mouillée, tellement excitée par mes retrouvailles avec cette bite que je connais tant.
Je relâche la queue d’Éric et je sens que Jean-Marc s’est levé et a envie de tester ma petite chatte.
Je lui tends une capote qu’il enfile, et tête bêche avec Éric, je me fais prendre en levrette ! Je sens le gland de Jean-Marc me pénétrer, puis il s’enfonce en entier et commence à me besogner, pendant qu’Éric titille mon clito… humm, quelle belle attention et j’en fais de même, excitant sa rondelle avec mes doigts mouillés pendant que je commence à gémir, c’est tellement bon !!!
- Tu aimes toujours autant la bite, « Ma Caro », tu vas en avoir deux ...Me dit Jean-Jacques.
Puis, il entreprend un va et vient plus rapide, plus violent, son sexe me semble gros, je ne me souvenais pas !!!
Je n’en peux plus et je jouis sans me retenir, ce qui contracte mon sexe sur son pénis, il grogne et redouble de violence.
Je n’en peux plus, mais je ne peux lâcher le sexe d’Éric qui grogne à son tour.
Au bout d’un moment, Éric dit Jean-Jacques :
- Nous sommes deux Jean-Jacques, on va pouvoir s’amuser si tu veux ?
- Oooooh, oui c’est bon…Jean-Jacques semble ne pas comprendre, occupé à me besogner comme un malade.
- Une double, ça te dit ? Lui demande Éric.
Jean-Marc qui a enfin compris, se retire de mon sexe et s’allonge à même le sol, sur le plaid.
Éric me demande de l’enfourcher et de m’empaler sur son sexe, il me prend par les épaules, et je commence un va et vient sur sa bite, je la trouve encore plus grosse que dans l’autre position.
Éric m’embrasse les fesses et commence à me lécher la rondelle, la position sur le sol n’est pas confortable, mais je ne souhaite pas m’opposer à ses actions.
Une nouvelle fois, Éric va se faire plaisir à me dilater le « fion », il me chauffe en s’amusant de ses doigts sur ma chatte baveuse, occupée par le sexe de Jean-Marc.
Il prend de la salive et me mouille l’anus et me pénètre un doigt dedans, il commence un va et vient et je sens mon anus se dilater, mais avec le traitement de la nuit, son doigt est très à l’aise…Puis il enfonce un deuxième doigt et continue son va et vient rapidement.
A force de se faire enculer, et oui, « sa salope de nana » a le cul hyper ouvert…Mais quand c’est bon, on y retourne, c’est ce que Éric déclare à Jean-Jacques.
Il se retire et je profite alors du va et vient de Jean-Jacques, ce qui m’excite encore plus, je sens Éric me pousser en avant sur « GiGiBé » et je sens son gland sur ma rondelle, il pénètre un peu et recule, il joue le coquin avec ma rondelle, il refait cette opération plusieurs fois en rentrant un peu plus loin à chaque fois, jusqu’au moment où je sens ses couilles claquer sur mes fesses, J’adore ce moment.
Jean-Jacques est sur une autre planète, il continue de gémir…Mais également surpris :
- T’encaisse la sodomie comme une vraie star du X…Caroline !!! Me dit-il.
Éric fait un va et vient de plus en plus rapide, en cadence avec son « copain » Jean-Jacques, j’adore çà, je veux crier mais j’ai peur d’attirer d’autres personnes dans ce bois… Alors je sers les dents, cela dure quelques minutes, mes deux hommes se relèvent, Jean-Jacques retire son préservatif et les deux éjaculent sur mon visage et mes seins, je suis aux anges.
Que c’est bon de recevoir tout ce foutre en pleine nature. J’en ai sur les yeux, dans le cou et j’éclate de rire. J’ouvre les yeux et derrière mes deux hommes, un mec nous regarde, la queue à la main, en train de se masturber !!! C’est une forêt magique, ou sans le savoir peut être un endroit libertin !!!
Très vite, ils me relèvent, embrassent et caressent mes seins, devant le type qui s’est un peu reculé, puis Éric et Jean-Jacques se rhabillent très vite.
Je suis la seule encore nue dans les bois avec du foutre sur le visage et la poitrine. Je suis souillé mais heureuse.
Pour jouer je m’approche de l’inconnu, qui a toujours sa queue dans sa main, il rougit de la situation complètement paniqué puis très gêné me dit :
- Vous étiez beaux tous les trois…Vos gémissements !!! M’ont excité…Je ne voulais pas vous déranger…J’aime mater les couples en train de baiser, mais vous, avec deux hommes !!!
Je lui souris gentiment, l’excite un peu en me trémoussant devant lui en me rhabillant.
Nous repartons très vite retrouver le reste de notre groupe à l’hôtel et en particulier Noëlle, l’épouse de Jean-Jacques.
Après une bonne douche, nous la retrouvons tous les trois pour le déjeuner, toujours aussi joyeux quand nous sommes tous les quatre…
Noëlle étant vraiment ravie de notre compagnie qui transforme d’après elle, complètement son mari, « vous lui faites un bien fou ». nous dit-elle. Il est redevenu joyeux, gai, c’est un pur bonheur pour elle.
A méditer…