Histoire De Sexe Sans Titre.

Je sentais déjà l’excitation monté en moi après avoir franchi le seuil de la porte de
ma classe de philosophie. Il était là, devant le tableau, en train de parler avec une
élève. À mon entrée dans le local, il me jette un coup d’œil discret avant de
reprendre sa conversation avec l’étudiante. Je vais m’assoir à un bureau au fond de la
classe. Le cours débute et il prend les présences avant d’expliquer le sujet que nous
allons aborder aujourd’hui. Mes pensées sont ailleurs. Je n’arrive pas à me concentrer
sur ses paroles, car mon regard est absorbé par le mouvement de ses lèvres. Je me
délecte en pensée de les voir parcourir mon corps en savourant chaque parcelle de ma
peau.
Le cours tire à sa fin et je termine de peaufiner l’exercice demandé. Je lève la main
pour qu’il vienne corriger mon travail. Quand il aperçoit ma main levée, il se dirige
vers moi. Il se penche sur le bureau et me transperce du regard avant de porter son
attention sur mon cahier. Je sens alors la tension monté à l’intérieur de mon ventre.
Nous échangeons quelques mots, puis il se dirige vers une autre élève.
La cloche sonne. Le cours est terminé. Je mets du temps à ramasser mes effets
personnels, car j’attends de me retrouver seule avec lui dans la classe. Suite au
départ de tous les élèves, je m’approche de son bureau et je fais mine de ne pas avoir
bien saisi les notions enseignées plus tôt. Il est assis sur sa chaise.
-Pouvez-vous m’aider à comprendre le diagramme de venn? Je ne suis pas certaine de
savoir comment m’y prendre.
Il entame ses explications et se lève pour me dessiner un exemple au tableau. Je
m’approche de lui et je dessine un diagramme à côté du sien pour lui faire comprendre
ma façon de voir les choses. Nous sommes désormais si près l’un de l’autre que je peux
inhaler l’odeur de son parfum.

Il sent si bon.
Je m’approche encore de lui. Il me fixe et arrête de parler. J’en profite et
j’empoigne sa ceinture avec ma main gauche et je glisse mon autre main à l’intérieur
de sa chemise. Je me colle contre lui et je sens déjà son sexe en érection à
l’intérieur de ses vêtements. Il me pousse alors brutalement sur le tableau et agrippe
mes cheveux par la nuque avant de joindre ses lèvres aux miennes.
Il poursuit ses baisers le long de mon cou en introduisant sa main dans ma culotte.
Je bouillonne de plaisir lorsqu’il glisse ses doigts à l’intérieur de mon vagin en le
stimulant avec des mouvements de vas et vient. Je ne peux m’empêcher de réprimer les
cris d’excitation qu’il provoque en moi.
Le plaisir devient insupportable et je sens mon ventre imploser. Je décide alors de
prendre le contrôle. Je retire violemment la ceinture de son pantalon et je
m’agenouille devant lui. J’adore être à genou, à la merci d’un homme et sentir sa
virilité me dominer.
Je détache son bouton et descends la fermeture éclair. Je prends fermement son sexe
à l’intérieur de ma main droite et je tiens la base avec l’autre. Je passe doucement
mes lèvres et ma langue autour de son gland en prenant soin de le lubrifier avec ma
salive tout en le caressant. Je le regarde fixement pendant toute l’opération.
J’introduis désormais son sexe dans ma bouche, puis au fond de ma gorge. Il me prend
vigoureusement par les cheveux et me force à l’introduire au plus profond.

Il se retire, me prend par la main pour m’aider à me lever et me force à m’appuyer à
plat ventre sur le bureau pendant qu’il baisse mon jeans. Il se place derrière moi et
plonge brutalement à l’intérieur de ma féminité. Je suis tellement mouillée que je le
sens couler sur mes cuisses. Je pousse des soupirs de jouissance qui le guide à me
pénétrer de plus en plus fort.
-Je t’en supplie, met moi par derrière!
Il s’exécute, me prend par la taille et me force à me mettre à genou sur sa chaise. Il
retire complètement mon jeans et ma culotte. Il met ses doigts dans ma bouche avant de
les faufiler à l’intérieur de mon anus, qui déclenche tout à coup en moi un hurlement
de bonheur.
Il se place de nouveau derrière moi et tante de s’insinuer à l’intérieur de mon cul.
Il entre d’abord son gland puis, peu à peu, il y fait glisser tout son sexe. Je
stimule mon clitoris pendant qu’il s’affaire à trouver le sommet de ma jouissance.
-Plus fort, défonce-moi plus fort!
Il redouble d’ardeur pendant qu’il prend la ceinture laissée sur la table et qu’il la
passe autour de mon cou. Il me prend comme une chienne et serre la ceinture autour de
mon cou de sorte à ce que je puisse à peine respirer. Je pousse des cris de plus en
plus forts et je sens mon corps s’abandonner et exploser sur sa queue.
Il se retire de mon vagin et caresse son sexe avec des mouvements rapides avant de se
décharger sur mon cul. Il gémit de plaisir et il se laisse tomber sur le bureau.
Je me vêtis vitement et sans un mot, je prends mon sac et mon cahier et je quitte la
classe.
Pas si banal le cours de philo finalement.