De Decouvertes En Decouvertes
Il y a longtemps que je voulais écrire cette histoire et libérer ainsi ma conscience
sur qui elle a pesé pendant de nombreuses années. Depuis pratiquement quinze ans, je
la considérais comme une chose taboue. Je nai jamais osé la dévoiler à mon mari, en
onze ans de vie commune. Je me suis toujours sentie mal à laise face à ce sujet, mais
un jour jai pu la raconter à mon meilleur ami.
Tu te fais un monde de choses qui sont naturelles.
Tu en es sûr ?
Si je te le dis, cest que tu nes pas la première à qui cest arrivé ! Mais toi
seule crois que cest mal. Tout le monde ou presque joue à des petits jeux sexuels
étant jeune
Il a su dédramatiser la chose, et aujourdhui je laccepte et regrette même de ne pas
être allée plus loin.
Tout a commencé un été, chez ma marraine. Roland, son fils, ma coincée dans la
chambre où je dormais pour me donner un baiser et glisser sa main dans ma petite
culotte. Le lendemain cétait dans le garage. Là, il a voulu voir le fruit défendu
Je
ne voulais pas mais la menace ma fait changer davis et, à sa guise, il a pu me
caresser et mettre ses doigts curieux dans mon minou. Jaimais ça
Malheureusement,
les vacances étaient toujours trop courtes.
Lété suivant, mes parents décidèrent de partir une semaine en vacances chez des amis
en Auvergne. Cette visite ne me plaisait guère, et je décidai plutôt de me rendre
quelques jours chez ma marraine en Provence. Jétais folle de joie et pour diverses
raisons, comme vous pouvez le deviner. Ils avaient déménagé depuis quelques mois dans
ce petit mas entouré de cigales.
Roland, tu veux bien me faire visiter ? Votre nouvelle maison à lair superbe !
Oui, bien sûr, je vais même te montrer ta chambre.
Nous avons terminé la visite par sa chambre qui se trouvait sous les toits
Pour y
monter, il fallait escalader une échelle droite contre le mur.
Cest une superbe planque ici, ma mère nose pas monter.
Nous avons écouté un peu de musique tout en discutant et en regardant des photos de
notre enfance. Javais envie, comme lannée dernière, quil se passe quelque chose
entre nous et soudain, assis à côté de moi sur le lit, il meffleura la main et me
demanda :
Est-ce que je peux tembrasser ?
Évidemment, je nattendais que ça. Avoir la sensation dun baiser sur mes lèvres
Son
baiser fut tendre et passionné, sa langue rencontra la mienne et je ne pus dire
combien de temps cela avait pu durer. Ses mains caressaient mes seins à travers mon
tee-shirt, nous étions transportés. Mais une voix nous annonça lheure du repas et,
tout en rigolant, nous redescendîmes rejoindre les adultes.
Comme chaque soir, pour mendormir, je me suis imaginé des choses, tout en glissant ma
main dans ma petite culotte et mes doigts dans mon intimité, recherchant le plaisir
Mais cette fois-ci, le héros, cétait Roland ! Je limaginais me déshabiller
délicatement, se pencher sur mes seins pour les baiser du bout des lèvres. Ses mains
me les caressaient, sa bouche glissait doucement sur mon corps, mon entrejambe sentait
des picotements de désir, ma cyprine commençait à couler entre mes lèvres encore
innocentes. Alors, il descendait de plus en plus vers la cité interdite, encore cachée
par mon petit bout de coton blanc
Mais très vite, je me retrouvais nue, allongée sur
son lit, totalement abandonnée à ses caresses et à ses baisers.
Mes doigts jouaient une course folle pour gagner la jouissance qui ne tardait jamais à
venir, ne me laissant pas aller plus loin dans mes songes, tant javais déjà pris du
plaisir, et je pouvais enfin sombrer dans un sommeil profond, espérant pouvoir vivre
la suite dans mes rêves.
Tous les jours, nous profitions de quelques instants pour nous bécoter, cachés dans
chaque recoin de la maison ou du jardin, profitant dune promenade en ville, ou en
allant chercher le pain.
Le dernier jour, les vacances de ses parents se terminant aussi, ils partirent pour le
travail vers huit heures trente. Quant à moi, une fois levée et douchée, je me
prélassais dehors pour bronzer, espérant au plus profond de moi que Roland ferait son
apparition, pour enfin nous embrasser sans devoir nous cacher. Jétais donc allongée
au bord de la piscine. Mises à part les cigales, je me sentais seule au monde,
tellement cétait calme et reposant.
Vers dix heures, je sentis une ombre au-dessus de moi. Curieuse, jouvris les yeux et
vis Roland qui me regardait tout en souriant
Dun coup je fus dans leau. Il my
rejoignit aussitôt et sapprocha de moi, pour me prendre dans ses bras et membrasser.
Serrée très fort contre lui, je sentais son corps frémir.
Roland avait trois ans de plus que moi et jétais fière quun beau garçon comme lui
sintéresse à moi. Étant très réservée, je navais aucun copain garçon. À cet âge, les
garçons préfèrent les filles qui aiment se faire remarquer, elles sont peut-être plus
consentantes à leurs yeux. Notre étreinte se faisait de plus en plus folle
Alors,
prenant conscience quon pourrait être vus, il me prit par la main :
Suis-moi, on va dans ma chambre.
Une fois en haut, il ferma la porte à clef derrière lui et sapprocha de moi pour
reprendre son étreinte. Que cétait bon de se sentir désirée ! Ses mains caressaient
mon corps, quand je sentis mon haut de maillot tomber. Jétais à demi-nue devant lui,
pourtant ce nétait pas la première fois, je lavais déjà été un an auparavant dans le
garage et quelques jours plus tot.
Mon cur battait la chamade, javais envie de sentir sa main glisser dans mon bikini.
Il mentraîna sur son lit, nos deux corps collés lun à lautre. Pourtant, quelque
chose en lui avait changé. Je le trouvais moins tendre.
et je le vis retirer son maillot de bain. Cétait la première fois de ma vie que je
voyais un sexe dhomme et je fus surprise de découvrir son anatomie. Il dut le
remarquer. Il me saisit la main pour la déposer sur sa verge.
Caresse-la !
Ce que je fis très maladroitement, je pense. Cétait chaud, dur. Voyant mon
hésitation, il posa sa main sur la mienne pour me montrer la marche à suivre. Sa verge
se libérait de sa prison de peau pour aller sy recacher et ainsi de suite. Au bout de
quelques minutes, il lâcha ma main pour me saisir la tête et la diriger vers son
pénis.
Suce, vas-y !
Jentrepris donc de mettre son sexe dans ma bouche. Sa main, toujours sur ma tête, me
dérangeait. Jobéis donc à son désir, faisant des va-et-vient de ma bouche sur son
sexe. Par moments, son gland venait tout au fond de ma bouche et je sentais des haut-
le-cur me secouer
Mais Roland ne semblait pas sen soucier. Et dun coup, sans
comprendre ce qui venait de se passer, je me suis retrouvée avec un liquide bizarre
dans la bouche, que je me suis empressée davaler tant il me dégoûtait. Revenu dun
coup à la réalité, Roland sest vite excusé auprès de moi, me demandant de recracher.
Mais cétait trop tard ! Vexée, je me suis sauvée, sans récupérer mes affaires, malgré
ses appels. Ne connaissant rien à lanatomie de lhomme, jai cru quil mavait uriné
dans la bouche.
Après mêtre longuement rincé la bouche pour me retirer ce goût atroce, jai enfilé un
tee-shirt et je me suis réfugiée dans un coin du jardin, assise par terre, la tête
entre les jambes, pleurant sur mon sort. Roland me cherchait. Je ne bougeais pas, pour
quil ne me trouve pas, mais ses pas se rapprochèrent de moi, et son ombre me fit
frissonner. Il saccroupit face à moi, voulut prendre ma main que je lui retirai.
Alors il la posa sur mes genoux. Je frissonnais de peur mais une étrange sensation de
désir me secouait, me disait davoir confiance en lui. Il maida à me relever et me
serra dans ses bras :
Excuse-moi, mais tu mas tellement fait du bien que je nai pu me retenir.
Ne tinquiète pas, ce nest rien. Jai été surprise et vexée, mais je ne ten veux
pas.
Nous avons essayé de passer la journée comme si de rien nétait, et le soir même je
fis mes adieux à mes hôtes, triste de quitter ma marraine et la magnifique région,
mais ravie de méloigner de son fils car, malgré mes paroles je lui en voulais
énormément.
De retour chez moi, je repensais sans cesse aux doux songes que je me faisais avant de
mendormir, et je me rendis compte que ma réalité avait été très différente. Même si
javais été très excitée par la situation, et que jy avais pris du plaisir, jai
préféré ne garder en mémoire que ce qui mavait déplu, car je me sentais coupable.
Aujourdhui, je sais que ce nétait pas de lurine et jai honte de mon ignorance.
Jétais une jeune fille sage sur certains points
Jai eu longtemps du mal à faire une
fellation. Je ne supportais pas les mains sur ma tête, pas même celles de mon mari.
Aujourdhui, je vis une vie nouvelle avec un homme merveilleux qui ma fait découvrir
le sexe que je prenais pour une corvée conjugale. Jen suis même devenue une accro,
avec lui uniquement ! Je me fais un plaisir de lui sucer le sexe et de lemmener
jusquau plaisir final, même si jai encore quelquefois des haut-le-cur quand sa
jouissance me remplit la bouche. Mais le principal est que je lui ai fait prendre son
pied.
Souvent nous parlons de cette époque avec Roland et imaginons ce qui aurait pu se
passer si jétais restée. Je lui aurais certainement permis de prendre ma virginité,
ou simplement de me caresser et de me lécher à son tour pour me donner un intense
plaisir.
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