Leslie Su23

Leslie SU23 – Sumalee, la fin d’une belle relation.

Je vous ai raconté ma relation avec cette petite asiatique, Sumalee, cette petite
asiatique qui m’a tourné la tête et emporté le cœur, mais déjà je sens que je vais la
quitter.
Pourtant, j’étais pleine d’amour pour elle et prête à tout quitter, d’ailleurs je me
suis déjà éloignée de Laure et de toutes mes relations pour elle, la suivant en
Thaïlande pour rencontrer ses parents et vivre notre relation qui s’annonçait si
belle, mais je ne m’attendais pas à ce qui vient d’arriver.

Je pensais que nous allions construire ensemble, avoir une vie commune, mais je me
suis bien trompée, ce dont je suis sure, après ce voyage, c’est que je suis revenue
avec une certitude.
Si je veux une vie de couple, c’est avec Laure que je vivrais et aussi la certitude,
celle de ne pas vouloir vivre avec les parents de ma compagne sur le dos et de rentrer
dans un univers routinier. C’est ce que me réservait Sumalee et ses parents.
Et en plus elle doit me tromper…
Je sais que si nous étions restées seules, cela serait différent, mais Sumalee désire
que nous nous marions et que nous vivions avec ses parents, comme un vieux couple,
alors même si je vais souffrir de cette séparation, il me faut quitter Sumalee.

Depuis notre retour, la tension est palpable, nous ne nous parlons pas beaucoup, et
passons de longs moments dans le silence, et Sumalee sent bien que quelque chose est
cassé dans notre relation, c’est pour cela que Sumalee est partie pour une semaine
chez un couple d’amis, et je vais aller la retrouver pour le week-end.
Elle m’a expliqué qu’ainsi, avec un peu de temps loin l’une de l’autre, il serait plus
facile de se retrouver et de parler de l’avenir…
Moi, j’étais certaine que depuis quelques temps Sumalee avait d’autres relations,
alors pourquoi me présenter à ses parents et me parler de mariage et de vie commune,
je me sentais trahie, et n’avais pas envisagé l’avenir avec elle ainsi.

A cet instant, je n’ai pas osé lui dire que ce serait certainement notre dernier
moment ensemble et que je lui annoncerais à ce moment-là, ma décision de rompre
définitivement.

La semaine est passée très vite et je suis partie dès le vendredi midi pour rejoindre
Sumalee. Je suis arrivée fatiguée en fin d’après-midi.
Sumalee était en maillot de bain deux pièces noir près de la piscine, profitant des
rayons du soleil de ce mois de juin, elle sembla un peu gênée en me voyant, mais je
n’ai rien dit, comme si je n’avais rien remarqué.

Le couple d’amis avait préparé un très bon repas et l’ambiance a été détendue, un ami,
Ludovic, faisait partie de la soirée, passant lui aussi quelques jours de repos chez
ce couple.
Je me suis laissée aller à boire un peu trop. Comme j’étais crevée, je suis allé, me
coucher en m’excusant. Sumalee a poussé la malice jusqu’à me chuchoter :
- Va te reposer ma chérie, je viendrais te rejoindre plus tard.

Je me suis endormie et ce sont des rires qui m’ont réveillé.
La chambre au premier étage, dans laquelle j’étais, avait les volets mi-clos, je me
suis approchée de la fenêtre pour regarder à l’extérieur.
La piscine était éclairée et Sumalee était sur un transat en train de parler avec
Ludovic, rien de bien méchant au premier regard, sauf que regardant plus en détail le
couple près de la piscine, je vis que Ludovic venait de passer la main dans le maillot
de Sumalee.
Et elle ne protestait pas, dans le silence, il la caressait en la regardant dans les
yeux et elle se laissait faire. Même si le monde s’écroulait, je me dis que ce n’était
qu’une occasion pour tout arrêter et rompre sur le champ.
Je n’ai pas bougé pour voir comment cela allait continuer.
Les caresses ont durées quelques minutes avant qu’elle ne lui parle à l’oreille en
désignant la fenêtre de ma chambre.
Ils se sont levés et ont été dans un endroit un peu plus sombre du jardin, il ne se
gênait même pas pour la tenir par la taille, la main sur la fesse dans le maillot,
mais de ma fenêtre je pouvais toujours continuer de les observer là où ils venaient de
s’installer.

Ils échangèrent un long baiser, avant qu’elle ne s’installe face à un arbre, les mains
appuyées contre le tronc, cambrée, jambes écartées et offerte, avec le maillot en bas
de jambes. Le type s’est installé derrière elle et la tenant par les hanches, il la
pénétré.
Le sexe de Ludovic s’est enfoncé dans la vulve de Sumalee, les fesses et les reins
cambrés au maximum comme dans une offrande totale.
Les coups de reins de Ludovic qui la prenait étaient puissants, presque violents.
Je pouvais, à sa bouche grande ouverte, deviner ses soupirs et ses gémissements,
qu’elle pousse quand elle fait l’amour, mais là il y avait un côté sauvage, elle qui
avait toujours été très sensuelle je découvrais qu’elle aimait se faire baiser, se
faire prendre de manière bestiale et que ça la faisait jouir bruyamment.
Elle se redressa, il se colla à elle, dos à lui, elle tourna vers lui un visage
radieux et chercha ses lèvres, c’est certainement à cet instant qu’il jouit au fond
d’elle.

Puis, après qu’elle se soit débarrassée du bas de son maillot, il l’a entraînée nue
vers la piscine, et ils se sont baignés en s’enlaçant puis en s’embrassant dans l’eau.
J’ai compris que Ludovic venait, à nouveau de la pénétrer quand j’ai vu Sumalee ouvrir
la bouche en se cambrant en arrière alors qu’il l’enlaçait dans l’eau.
Après un long moment j’assistais à la sortie de l’eau des deux amants, avec la vision
du sexe de Ludovic dans de très bonnes dispositions, il était de belle taille et je me
suis dit que j’allais assister à une nouvelle partie de jambes en l’air.
Ce fut le cas dans l’herbe près de l’eau à quelques mètres de la piscine, c’est elle
qui l’attira sur elle en se couchant sur le dos et en ouvrant ses cuisses dans une
totale impudeur. Ludovic ne se fit bien sûr pas prier pour honorer à nouveau Sumalee,
qui en redemandait.
Elle jouit sous lui, avant qu’il ne la reprenne en levrette les fesses en l’air, les
épaules presque dans l’herbe, il paraissait infatigable, je pense qu’il voulut la
sodomiser, mais elle refusa et il n’insista pas, ce serait certainement pour plus
tard.
Elle jouit encore et lui aussi et ils retournèrent se baigner.

Mes doutes étaient maintenant confirmés, alors j’ai été me recoucher, demain il serait
temps de lui dire que tout était fini.…

Je me suis réveiller seule dans la chambre, Sumalee n’était pas venue me rejoindre et
avait certainement terminé sa nuit dans le bras de son amant.
Je suis descendue pour déjeuner et les attendis en bas assise sur la terrasse dans un
fauteuil de jardin.
J’étais détendue, la fin arrivait et je me sentais de bonne humeur, reposée.
Quand elle arriva, elle me dit qu’elle s’était levée très tôt pour aller courir et
profiter de la fraicheur matinale, mais je sentis bien son malaise lors de son
explication.
Mais j’avais fait un choix, il j’allais m’y tenir.

Sumalee m’annonça qu’elle allait prendre une douche.
Elle alla donc vers la salle de bain, où elle se mit nue pour la douche, mais je vis
Ludovic sortir discrètement de sa chambre et rejoindre Sumalee dans la salle de bain.
Et là, je la vis, par la porte restée entrouverte, s’offrir sans pudeur à son amant.

Je me suis approché le plus possible de la salle de bains, il l’embrassait debout, nus
tous les deux l’un contre l’autre. Ils faisaient attention, pensant que je pouvais les
entendre.
Sumalee à genoux se mit à le sucer, doucement elle ouvrit la bouche et la positionna
autour du sexe.
Je la voyais à genoux devant lui. Une lueur de satisfaction dans son regard, et lui
debout regardant Sumalee le sucer avec satisfaction.
Puis il lui fit arrêter la fellation et lui demanda de se mettre en position appuyée
sur la baignoire, légèrement penchée et offerte, Puis il la contourna et se positionna
derrière elle. Il la prit doucement, faisant doucement monter son plaisir. Totalement
abandonnée, elle jouit une première fois, cambré et accueillante pour les assauts de
son amant.
Il commença à caresser malgré ses protestations l’endroit intime qu’une femme réserve
aux intimes, acceptant même un doigt en gémissant un peu.
Quelque temps après, il présenta son gland devant la rondelle de Sumalee et d’un coup
de reins arriva à ses fins. Elle étouffa un cri puis, se détendit. Les petits cris de
douleur se transformèrent vite en cris et gémissements de plaisir, je retournais sur
la terrassé pour les attendre et prendre congé.

Sumalee me rejoignit alors que je finissais mon café. Je lui annonçais que je
repartais sur le champ et qu’il était inutile qu’elle cherche à me joindre.
Elle fut surprise et j’en profitais pour ajouter que tout était fini et que nous ne
nous reverrons plus, elle me demanda :
- Mais pourquoi ?
- Je pense que tu le sais, lui répondis-je.
- Mais, mais enfin, je ne comprends pas, dit-elle.
- Tu comprendras quand tu seras seule dans ta maison, car ce n’est plus la
mienne.

Je suis partie sans me retourner.
J’avais fait le choix. Je savais que j’allais souffrir du contrecoup, mais ça aussi
s’était la vie.

A suivre…