Il Voulait Se Taper La Femme Du Patron
Ca faisait quelques temps que je navais pas parlés de mes aventures, la raison est
toute simple, cétait le calme plat.
En plus je suis loin dêtre une nymphomane, même si ma libido se fait plus présente
depuis quelques années, ce qui a eu pour conséquence de me faire franchir la barrière
de ladultère, mais je reste une femme somme toute ordinaire en terme sexuel et
jarrive à compenser toute seule les faibles performances de mon mari (les femmes
comprendront comment).
Il ne faut pas oublier non plus, quen tant que femme mariée, mère de famille et la
quarantaine passée, je me dois de garder une certaine discrétion.
Mais il y a deux semaines, je suis retombé dans mes penchant de « salope », cest dur
à avouer, mais comment le dire autrement. Peut-être que toute femme a cette nature en
elle ? Moi je lais découverte très tard, suis-je normal ? Je me pose de nouveau
beaucoup de questions
Trois de mes amies avaient décidées daller au cinéma ce dimanche après midi, séance
de 17h30. Je ne suis pas une assidue des cinémas, mais le film mintéressait, je les
ai donc accompagnées.
Pour ceux qui auraient les idées mal placées, cétait un cinéma tout à fait ordinaire,
plutôt moderne, avec plusieurs salles comme la plupart des complexes daujourdhui.
Donc rien à voir avec un cinéma glauque et lugubre.
On sétait donné RDV chez lune dentre elle, et comme on avait un peu davance, petit
apéros ente fille, un peu tôt cest vrai mais on avait envie de samuser un peu. Un
seul verre, il nous en fallait pas plus pour être dans la gaieté, de vraie gamine.
Bref, quand on est arrivée au cinéma on rigolait toute comme des petites folles en
faisant la queue au guichet, cest certainement là que lon a du se faire remarquer.
Et le sort est tombé sur moi, hasard de mon emplacement dans le cinéma certainement,
ma tenue navait rien de plus aguichant que les autres, somme toute banale, botte,
jeans et en haut une tunique noire avec, il est vrai, un décolleté assez prononcé
(cest mon péché mignon).
représentais qui était la cible de la convoitise.
On sinstalle toute les quatre dans la salle, au milieu dune rangée sur un rang à peu
près au centre, je me trouvais la dernière des quatre à leur droite. La salle se
remplie doucement pour devenir presque complète.
La lumière sestompe et l’écran sallume, vous connaissez la suite. Mais quelques
minutes plus tard, jai la sensation de sentir un léger attouchement sur mon bras posé
sur laccoudoir, sur le coup je ny fait pas plus attention que ça, la proximité
pouvant involontairement entrainer des gestes malencontreux. Mais la pression de mon
voisin se fait plus assistante jusquà redescendre sur ma main, le doute nest plus
permis, je retire mon bras de cette position. Je me dis que ça doit être un con qui
veut ses aises, maintenant il a les deux accoudoir pour lui tout seul. Sauf quà peine
quelques secondes après, sa main se pose sur ma cuisse, je men reviens pas du culot
de mon voisin ! Je suis tellement surprise que je ne réagis pas immédiatement
Ce con
il continu, cest toute sa paume que je sens, il me caresse la cuisse droite sans
aucune gêne !!!
Je suis estomaqué par ce type, je repousse énergiquement sa main et me retourne vers
lui pour lui montrer sèchement mon opposition. Je navais pas jusque là fait attention
à mon voisin, c'est un homme de 35/40 ans, ni moche ni beau, difficile de juger dans
la pénombre de la salle, il regarde fixement lécran, sans me prêter aucune attention
! Je suis persuadé quil sent mon regard sur lui et quil a compris ma désapprobation.
Je reprends le cours du film, ou plutôt des bandes annonces, certaine davoir mis un
terme aux gestes déplacés de cet obsédé. Je métais trompé, il est revenu
immédiatement à la charge, le geste plus appuyé, il me caresse lintérieur de ma
cuisse, remonte vers laine.
vers mes copines pour massurer quelles ne voient pas le manège !!! Je ne fais aucune
opposition à ces attouchements, ce nest quau bout de 30 secondes que ma main oppose
une faible résistance à la sienne, ses doigts sont déjà sur mon sexe et commence un
doux va et viens à travers mon jeans, je sens la chaleur menvahir, je suis totalement
passive et laisse ses doigts faire monter mon excitation, la main posé sur son bras,
mais sans aucune pression de ma part. Je me crois revivre mon adolescence avec les
garçons qui recherchaient maladroitement le plaisir de leur copine, mais je ne suis
plus une gamine et il est loin dêtre maladroit, je suis complètement trempé, il ne
peut que le savoir.
Mais au moment où je sens la jouissance venir, la main de lhomme se retire, salaud !
Jentends quil me chuchote à loreille :
- Jai envi de te baiser, me taper la femme du patron ça me fait bander, rejoint
moi dans les toilettes handicapées au 1er étage
Sa voix est suave, un peu rauque, est-ce mon excitation ? Je la trouve sensuelle et
virile. Avant de comprendre le sens de sa phrase, linconnu nest déjà plus là,
japerçois sa silhouette passer la porte, assez grand et une belle carrure me semble
t-il, humm.
Je reprends mes esprits, me repasse ses mots dans ma tête, jai le ventre noué en me
remémorant « la femme du patron » !!! Cest un employé de mon mari, mon dieu quai-je
fait ! Il mest bien inconnu, mais pas moi, il sait qui je suis et surtout connait mon
mari !!!
Jusque là mes errances adultérines navaient jamais mis à mal mon couple, sauf le gros
porc du lycée, mais très inoffensif. Mais lui nallait-il pas se vanter davoir baisé
la femme du patron auprès de ses collègues, voir le faire savoir à mon mari !!!
Jusque là, nous navons joué quà un jeu dadolescent, cest décidé ça nira pas plus
loin.
jen avais envie. Il était à deux doigts de son but, ah les mecs et leurs vantardises.
Inutile de vous dire que mon excitation nest quun loin souvenir, je suis même en
colère de mêtre laissé embarquer dans son jeu. Mais intérieurement encore plus vexé
que se soit la femme du patron quil voulait et non moi en tant que femme, cest
blessant.
La soudaineté de la lumière qui se rallume me fait sortir de mes réflexions, cest
lentracte. Mes copines se lèvent, me disent quelques mots et sortent de la salle, je
nai même pas écouté, je suppose quelles vont dans le hall
Je ne bouge pas,
toujours sous le coup de cette phrase.
Sans avoir le temps de décolérer, je vois le type revenir vers sa place, avec
léclairage je vois enfin à quoi il ressemble, brun, cheveux coupés très court, un
visage carré, mâte de peau et effectivement de belle carrure, je dirais plus près des
35 ans que des 40, pas mal, surtout une virilité qui impose, un charme hypnotisant
plutôt quune beauté. Jétais en train de le « mater » ouvertement pendant quil
reprenait sa place, et tout ça sans aucune retenue, le sourire quil affichait en me
regardant démontrait quil navait rien raté de mon attitude de « voyeuse ».
Il ne se démonte pas, sassoit, pose sa main sur ma cuisse, approche son visage du
mien et me dit :
- Ca te plait salope, pourquoi tes pas venu ?
Je cherche à lui répondre sèchement, mais ma voix reste malgré moi, douce et hésitante
en sortant les mots :
- Tu veux
juste .. te taper la femme du
patron.. cest tout
Pourquoi avoir sorti de telles âneries, je lui laisse entendre que je suis daccord en
tant que femme !!!
Il me répond simplement :
- Et alors tu mouillais tout à lheure, tas lair daimer ça, vient au 1er, tu
va prendre ton pied
Son ton est ferme et autoritaire, jai limpression de lui appartenir, ou plutôt je
cherche inconsciemment à me retrouver sous sa coupe.
ébats avec mon mari, voir plus, une situation à contre nature pour moi, même si je my
applique, mon mari semblant y prendre un plaisir certain. Mais le machisme dont ce
type fait preuve, cette assurance mattire, il ne me laisse pas le temps de répondre,
me prend le bras pour mobliger à me lever. Il na pas à me forcer, je me lève sans
difficulté, ne cherchant pas à comprendre et surtout évitant toutes réflexions qui me
freineraient.
Je me connais, je sais très bien quun homme qui me plait et qui se fait insistant
peut tout avoir de moi, lorsque je suis dans cet état desprit, je suis capable de me
retrouver dans des situations extrêmes et contre morale, nattendant que dêtre
lobjet dhommes, voir de femmes qui sait, je me fait honte dans ces moments là et je
suis dans cet état quand je me lève pour le suivre.
On sort de la salle, à droite, puis la cage descalier, je lentends me parler en
montant, je comprends à peine ces paroles ! Je ne suis pas spécialement dans un état
second, mais dans lenvie, dans lexcitation, jai envie de lui, oui envie quil me
prenne, envie de sentir un homme, un vrai en moi.
A létage personne, les horaires dentracte des autres salles étant certainement
différents. On arrive devant les toilettes, il ouvre la porte de la cabine « handicapé
», il entre se retourne vers moi, il ne me tient plus par le bras depuis la cage
descalier, met la main sur son sexe dun geste assez vulgaire et me dit :
- Tu viens salope
Je suis incapable de refuser, sur le moment je nattends que ça, je le suis, il lâche
dun ton directif :
- Verrouille la porte et contre le mur
Jobéi, il sapproche de moi un sourire narquois aux lèvres, content de sa supériorité
sur moi. Il me plote les seins en me fixant dans les yeux, un regard perçant. Il tire
sur ma tunique pour faire sortir ma poitrine, seul mon soutient gorges noir à
balconnet résiste, une nouvelle pression de sa main et mes seins se retrouve nus. Il
recule de quelques pas pour les admirer et sort :
- Putain tes bonne, les autres me lavais dit, mais ouah trop bon, la femme du
boss les seins à lair
Pas encore « la femme du patron », de nouveau lexcitation sévapore, je remets mon
soutient gorges et lui dit :
- Arrête avec ça, cest bon, cest fini
Sa seule réponse :
- Ta gueule
Et il se jette sur moi, membrasse dans le cou, met de nouveau mes seins à lair, il
les prend à pleine main et les mordille, humm jadore ça
Jarrive à peine à sortir
un petit « non ».
Mais ça ne le stoppe pas, dailleurs en ai-je vraiment le désir ? Sa main droite
soulève ma tunique, défait ma ceinture, le bouton de mon jeans et baisse la fermeture
éclaire. Il cesse de me titiller mes seins, opère un léger mouvement de recul, ses
deux mains se posent sur mes hanches et dun coup sec baisse mon jeans jusquaux
genoux, je ne peux mempêcher de lâcher un « ahhhh humm ».
Ca le fait sourire, un rictus sarcastique :
- Taime ça toi, hein ?
Sa main se pose sur mon sexe par-dessus mon string, humm cest bon, je suis toute
mouillée, prête à tout avec lui. Ce type est dune arrogance et fait preuve
dirrespect total envers moi, mais ses doigts son diaboliquement adroits.
Il me regarde tout en me doigtant, fière de ma réaction et de son emprise, tout en
poursuivant ses délicieux mouvements de doigt, il dégrafe son jeans et sort son sexe,
dune taille tout à fait honorable et épais, il tend son sexe vers mon regard sans
relâcher sa main de mon sexe et me dit :
- Elle te plait, tu la veux salope, elle est plus grosse que celle de ton mec,
hein
Je ne veux pas parler de lui, non pas maintenant, je lui lance avec toute la peine
liée à mon excitation :
- Pas lui, parle pas de lui stp
Lui ne semble pas daccord, il sort :
- Je veux tout savoir espèce de garce
Et il lâche sa main, se colle à moi, ses doigts écartent mon string et je sens son
sexe qui cherche à me pénétrer, brutalement son sexe rentre en moi « aaahhhhh », il me
fixe, fière de mon plaisir :
- Ca te change, hein salope, dit-le
Moi :
- Oui
Lui :
- Elle est comment la bite du patron ?
Non il recommence :
- Pas lui stp
Ses mouvement saccélère, une chose est sur, il sait baiser, jen peux plus, je pousse
des petits cris, ça semble décupler sa puissance, il cherche à me faire crier, se
moquant de la discrétion, il réitère sa question :
- Comment elle est sa bite ?
Je suis au bord de la jouissance, impossible de résister ou dévincer ses questions,
plus rien ne compte hormis cette baise sauvage quil me fait et me met dans un état
dexcitation second, jabdique et réponds honteusement :
-
Petite
Lui :
- Il a une petite bite le boss
Moi :
-
O..ui
Ca le fait rigoler, je vois bien quil me baise mécaniquement, son seul but semble
être den savoir plus sur son patron qui est bien évidemment mon mari, je voudrais y
mettre un terme, mais lenvie de jouir sous ses coups est plus forte que la raison.
Il ralenti ses mouvements, puis reprend avec vigueur, il joue avec moi, retient le
moment de ma jouissance, jen peux plus, chaque saccade me fait lâcher un cri de plus
en plus fort. Ce jeu na pour seul but de me tirer des réponses à son interrogatoire
et moi je me retrouve incapable de les esquiver, toutes les questions entrainant une
réponse humiliante pour mon mari semble lexciter encore plus, je le sais, je le vois,
mais quimporte, seul compte mon plaisir, quil me baise comme une garce ce connard,
je lui dirais ce quil veut.
Lui :
- Il te fait jouir
Moi :
- humm
Non
Lui :
- Sa bite est trop petite
Moi :
-
oui
enfin
non
si aussi
cest pas... ça
Lui :
- cest quoi
Moi :
-
haaaa
il
bande mou
Lui :
- avec une belle pute comme toi cest con, tu le fais souvent cocu alors
Moi :
-
plus fort
aahhh
non
pas souvent
Lui :
- Tu las déjà fait cocu
Moi :
-
.oui
continu
Lui :
- Tu las fait cocu ou pas salope, dit le
Moi :
-
oui
je lai fait
cocu
Lui :
- Tes une vrai garce, taime les bites hein, cest ça que tu veux
Moi :
-
oui
baise moi fort
Toutes ces réponses, très intimes pour moi, entrainent un sentiment de honte mêlé à
lexcitation, drôle de sensation, cest nouveau mais tellement bon, je nais jamais
ressenti ça auparavant, humilier mon mari avec un homme qui le connait décuple les
sensations de jouissance, pourquoi, je ne le sais pas, ça semble naturel, je suis
ailleurs, cest bon, oh oui tellement bon.
Ces questions ont pris fin, je vois sur son visage la jouissance venir, il me prend la
bouche, membrasse fougueusement. Ce nest plus la femme du patron quil baise, mais
la femme. Il percute mon sexe de plus en plus violement tout en membrassant, lâchant
un simple « tes bonne ».
Je jouie, je cris de plaisir ne retenant pas ma jouissance. Il stoppe la cadence, son
sexe toujours en moi, il me regarde jouir durant plusieurs secondes. Il na pas joui,
regarde ma jouissance redescendre et me dit :
- Tavale
Mes jambes tremblent toujours, lexcitation redescend tout doucement, mais je reste
toujours dans un état second, ma réponse ne peut quêtre franche :
-
non
je naime pas ça
Il appui sur mes épaules, je suis tremblante et je tombe sans grand effort à genoux,
Lui :
- Tes une pute, alors tavale
Il menfonce sa bite dans la bouche, sa main derrière ma tête pour empêcher tout
mouvement de recule et je sens des saccades, une sensation de chaleur dans la bouche,
je ne peux quavaler pour éviter d. Il reste dans cette position un petit
moment pour mobliger à prendre son jus. Il se retire, me regarde avec une certaine
fierté et me dit :
- Tu vois que tavale salope
Il sessuie son sexe avec un naturel déconcertant et lance :
- Cest le pied de faire cocu ce gros con, quen tu veux je te baise, taime ça
salope
Il se rhabille, déverrouille la porte et me dit une dernière chose :
- Au faite, jai été viré le mois dernier si ça peut te rassurer
Et il part sans refermer la porte.
Je me jette sur la porte pour la pousser, referme le loquet, je tente de me redonner «
bonne figure » après cette baise particulière. Je repense à toutes ces choses intimes
et humiliantes sur mon mari que jai avoué à ce type, sans parler de la sa vulgarité,
mais le sentiment de honte ne vient pas !!! Malgré tout ça, ce plaisir énorme que jai
eu, beaucoup plus intense que toutes mes autres expériences prend le pas sur la honte
et le risque pris par mes aveux !!!!
Je redescends vers la salle, le film semble bien entamé, je reprends discrètement ma
place, mon voisin lui nest pas revenu. Bien évidemment mes trois copines sont
surprises de mon absence, elles me demandent où jétais et me disent mavoir cherché
partout. Je prétexte un mal de tête et le besoin de prendre lair, ma réponse semble
les satisfaire, mais cest surtout quelles souhaitent reprendre le cours du film.
Ma copine à coté, se retourne de nouveau vers moi et me dit :
- Tétais pas au 1er par hasard
Tout létage avait du mentendre, je nai pas su quoi lui répondre, elle a du voir mon
embarras, elle souri et me dit :
- Savait lair dêtre chaud là haut
Et elle a repris elle aussi le cours du film
Cette expérience ma marquée, sétait la première fois que jatteignais une telle
jouissance alors que le contexte était plutôt inquiétant, un type irrespectueux,
vulgaire, mais aussi beau mec et une puissance de virilité quil faut reconnaitre. Un
inconnu pour moi, mais un inconnu qui connais mon mari, qui sait des choses intime sur
notre couple et qui pourrait le faire savoir. Un ex-employé de mon mari qui voulait se
taper sa femme !!! Comme un meuble que lon vole pour se venger, ce meuble sétait
moi. Pourtant, plus j« humiliais » mon mari, plus mon excitation samplifiait ????
Comment lexpliquer, à ce jour je nai pas la réponse.
Seule chose sure et rassurante, hormis ma copine, mon écart ne semble pas sêtre su,
sest lessentiel.
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