La Postière Est Une Coquine
Jétais dans mon lit ce samedi là, après une soirée bien arrosée
La sonnette me
sortit de ma léthargie. Dormant nu, jattrapais mon peignoir et alla ouvrir la porte.
La factrice me présenta un paquet. Malgré ma gueule de bois, je ne pus mempêcher de
tomber sur sa salopette de travail à fermeture éclair qui était bien descendue et lui
faisait un décolleté plongeant. Elle me demanda si javais un stylo car le sien venait
de rendre lâme. Je lui proposais de rentrer le temps que jen cherche un.
Je revins avec le stylo, elle se pencha légèrement pour me montrer où je devais
signer ce qui me permit de voir un de ses seins
Elle ne portait rien sous sa
salopette
Un début dérection apparut sous mon peignoir. Je me penchai pour ne pas
quelle sen rende compte et signai le papier. Au moment de le lui rendre, elle feint
de léchapper. Je me baissai pour le ramasser quand je sentis quelque chose
saccrocher à ma ceinture et je me retrouvai la bite à lair en mi-érection devant la
factrice. Elle me regardait avec un sourire en coin et je compris quelle nétait pas
étrangère à cet incident. Cette situation mexcita et mon sexe se dressa
instantanément.
- Je peux prendre mon paquet moi aussi. me demanda-t-elle ?
- Oui, je vous signerai une décharge
lui répondis-je.
Elle se mit à croupi et commença à me malaxer les boules. Puis de sa main gauche
elle saisit mon membre et fit un mouvement lent de va-et-vient. De mon côté, je
descendis sa fermeture pour libérer ses deux seins lourds. Je lui titillais les tétons
pendant quelle me masturbait avec douceur. Je sentis ensuite sa la langue mentourer
le bout puis sa bouche aspira mon sexe, toujours avec douceur. Je lui saisis les seins
et les malaxai. Mes mains narrivaient pas à les contenir. Sa salopette était
descendue et laissait apparaitre le haut de ses fesses.
et son postérieur semblait généreux. Elle augmenta la cadence et la succion. Je
sentais monter le plaisir. Elle me regarda et me fit un clin dil semblant vouloir
dire que je pouvais tout lâcher. Mon sperme envahit sa bouche et jadorai cette
sensation de chaleur dans la bouche de celle qui il y a quelques minutes métait
complètement inconnue.
Elle sortit ma bite de sa bouche et fit couler le sperme entre ses deux seins. Mon jus
coulait jusquà sa culotte. Elle mit ma bite coulante entre ses seins.
- Cétait une bonne décharge !!!
Ma bite à moitié molle apparaissait et disparaissait dans ses gros seins. Elle se
raidit rapidement. Ma surprise matinale se redressa, sa salopette glissa le long de
ses fesses et de ses jambes et sarrêta sur ses chevilles. Elle était bien en chair et
ses bonnes fesses rondes mexcitaient au plus au point. Je lui caressai sa poitrine
gluante puis ma main descendit et lui titilla son bouton. Pendant ce temps elle me
caressa les boules. Puis, Je mapprochai et je fis glisser ma bite entre ses cuisses.
Mon bout glissait sur son clito puis lui écartait la fente. Je profitais pleinement de
sa bonne chair et elle aussi semblait apprécier ce petit va-et-vient.
Je la retournai, elle posa ses mains sur la table et se pencha pour me présenter sa
chatte. Elle libéra une de ses jambes de son vêtement les écarta pour faciliter la
pénétration. Je me présentai à lentrée de son antre et la pénétra avec lentement,
douceur jusquà ce que mon ventre toucha ses fesses. Je ressortis. Je posai mes mains
sur ses hanches et je menfonçai de nouveau. Son sexe était humide et la cyprine
coulait le long de ses jambes. Jaugmentais la cadence et jentendis ses seins taper
lun contre lautre. Cette accélération du mouvement eut pour conséquence de faire
pousser des petits cris aigus à ma partenaire.
ma bite au plus profond de son con. Je lui saisis les et je les malaxai avec fougues.
Les petits cris de ma factrice étaient de plus en plus longs et de moins en moins
aigus.
Vas-y prends moi fort maintenant
dit-elle
Elle reposa ses mains sur la table et poussa ses fesses contre moi. Mes mouvements
avaient perdu toute délicatesse et mon corps claquait contre ses fesses à chaque
pénétration.
Oh oui continue, fais-moi jouir. Je jouis cest trop bon continue bourre moi à fond.
Soudain je sentis le désir monté et jexplosai au fond de son sexe. Je continuai de la
pénétrer avec force nos jouissances semblaient sans fin.
Elle se redressa se retourna et me dit : « Ton stylo semble coulant, je vais le
nettoyer ».
Elle sagenouilla et me lécha jusquà que mon sexe soit propre comme un sou neuf.
Puis elle remit sa fameuse salopette fermée jusquen haut ce coup-ci, me remercie et
partit
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