Mon Légionnaire....
Cela faisait cinq ans que nous étions brouillés avec ma tante Ginette suite a une
réunion de famille ou une caresse apparemment osée a été échangée avec Thierry son
mari et maman, cest un homme superbe, genre Harison Ford dans la série des diamants,
il a dailleurs bourlingué dans toute lAfrique en tant que légionnaire puis
mercenaire avant de revenir se poser en France et de faire la connaissance de tata
Ginette, papa les a surpris dans la cuisine il avait la main sous la robe de maman, je
ne vous dis pas lesclandre ! Je navais que treize ans mais je comprenais ma mère,
comment ne pas succomber au charme de cet homme, il me prenait souvent sur ses genoux
quand il racontait ses aventures dignes dun James Bond, jaimais son odeur de tabac
blond, de sueur, de mâle quoi !
Le soir de cet événement mes parents réfugiés dans leur chambre contigüe à la mienne
discutaient si fort que jentendais tout :
- Ne me dit pas que Thierry ne ta pas tripotée jai tout vu
- Il a simplement posé sa main sur mon entre jambes !
- Par-dessous la jupe je précise ! et tu as éprouvé le besoin de remettre ta
culotte en place je me trompe ? cest pour ça que ta chatte est aussi mouillée ?
- Ôte tes doigts sil te plait ! bon javoue, il ma mis un doigt ce nest pas
un viol que je sache !
- Il naurait pas eu besoin de te forcer si je nétais pas arrivé salope !
Je crois en fait avec le recul que cela avait excité papa car dans la nuit jai
entendu le bois de lit cogner pendant plus dune heure contre ma cloison
Mais pour
sauver la face nous étions repartis le lendemain matin fâchés a mort
Jamais Thierry ne mavait manqué de respect pourtant il ne se cachait pas davoir
profité de la gentillesse de petites noires, il nous certifiait qua douze ans ces
gamines aussitôt réglées était destinées au mariage et a la grossesse souvent avec un
vieux hideux
Javoue quil mest arrivée en me caressant de me substi mentalement a ces jeune
filles
.
défonçais le minou
Puis un jour le pardon est survenu a loccasion des fêtes de noël, nous avons étés
reçus a nouveau chez eux, cinq ans que nous ne nous étions pas revus, finalement les
retrouvailles se sont bien passées même si maman en thierry évitaient de se regarder,
il navait pas changé a part des petites ridules qui accentuaient davantage son
pouvoir ensorceleur
Au cours du repas jétais placée a son coté, maman était du même coté pour ne pas
quils soient tentés de se dévisager, les places étaient exigües, la chaleur brulante
de sa cuisse musclée se communiquait a la mienne, nos coudes se touchaient souvent,
javais dix huit ans en pleine mutation sexuelle
je perdais souvent le fil des
conversations, mon esprit vagabondait ailleurs surtout lorsque que je voyais son
regard se perdre dans mon décolleté , jaurais bien voulus montrer mes cuisses mais ce
soir là pour une réunion encore fragile de famille javais mis un robe qui marrivait
sagement aux genoux, je finissais par le regretter
.
A un moment nous nous somment retrouvés seuls dans la cuisine, collé à moi dans mon
dos il en a profité pour lorgner à son aise dans mon décolleté et me faire des
compliments
- Hé bien dit donc la petite Adrienne a bien changé ! je me souviens quil ny
avait pas grand-chose à mettre dans ton soutien-gorge trop grand ! si jen crois mes
yeux aujourdhui les bonnets sont bien remplis ! tu es devenue une adorable petite
bonne femme
Je nai su quoi répondre mais des gargouillis se sont manifestés dans mon ventre,
excitée par son propos, cet homme sintéresse a la gamine que je suis ! Peut être a
til la nostalgie de lAfrique et du bon temps quil passait avec les jeunes filles
..
Quelques heures plus tard les cadeaux déballés tout le monde, ou presque sont allés se
coucher moi je suis installée confortablement dans le canapé pour apprendre à me
servir de la tablette électronique que lon ma offert, Thierry est dans la cuisine,
soudain la lumière séteint je nai plus que la lueur de mon écran je distingue une
ombre, cest celle de Thierry
- Ça a lair chouette ton truc tu me montre comment ça marche ?
Il sassied tout prés, sa chaleur se communique a mon flanc et a mes cuisses, il passe
un bras autour de mes épaules et lautre main sur mon genou son visage tout prés du
mien, je suis restée paralysée, il faudrait que je quitte la pièce immédiatement sinon
je sens quil va se passer quelque chose
.
den caresser lentement lintérieur, jai froid ,jai chaud , je tremble comme une
feuille quand la main remonte vers le haut de ma fourche qui sest ouverte malgré moi,
les doigts atteignent mon collant
je regrette amèrement davoir mis ce maudit truc,
mais il ne fallait pas shabiller sexy pour ne pas exciter Thierry selon papa !
Les ongles grattent mon entre jambes mon clitoris électrisé sort de sa cachette,
Thierry grommelle devant lobstacle inattendu
- Quelle manie de porter ces infâme ces machins !
Soudain il glisse à terre, à tête enfouie entre mes jambes sous ma robe il respire
bruyamment, je suis pétrifiée, les deux mains sactivent, il cherche le haut du
collant qui marrive a la taille... Ça y est, il a trouvé ! Il tire sur lignoble
vêtement, au passage il agrippe aussi mon slip, je me tortille, este- ce pour
lempêcher de me déshabiller ou pour lui faciliter la tache ?
Je perds toutes notions de pudeur et lève les jambes pour quitter définitivement mes
sous -vêtements, a nouveau la tête enfouie entre mes cuisses mais cette fois ma robe
est relevée a ma taille, son souffle brulant sur mes lèvres gonflées attise mon
envie, enfin sa langue entre en action, je me laisse couler les fesses au bord du
siège, lappendice grouille dans ma vulve en feu, mon corps se tend comme un arc, ma
chatte dégouline comme jamais ça ne mest arrivé, je réprime difficilement un
hurlement de joie avant de retomber pantelante a moitié sonnée , quand jai ré -ouvert
les yeux Thierry avait baissé son pantalon, dans la pénombre je distingue un gros
manche entre ses cuisses
Telle une dévergondée je me redresse et tend la main vers cette verge qui se redresse
a intervalles réguliers, lhomme tend son bassin vers moi, les mains sur ses hanches
il me laisse me saisir de sa queue, je nhésite pas une seconde à avaler le gland
décalotté qui a un relent durine mais une fois a labri dans mon palais ça devient
une friandise que je tète avec ardeur
Il râle dextase et cherche à enfoncer davantage sa queue dans ma gorge, après deux ou
trois hoquets je mhabitue a la présence de lenvahisseur, ma salive coule abondamment
sur ma robe mais je men moque éperdument, des deux mains je branle Thierry qui ne
grogne plus de la même façon je mapprête à recevoir son sperme dun instant a lautre
dans la bouche
.
Il feule comme un tigre faute de ne pouvoir hurler et bloque ma tête sur lui tant
quil gicle du venin de son serpent magique, comme sur un pis de vache je serre mes
doigts pour en extraire les dernières goutes de son lait de mâle
- Merci petite
cétait super bon, allonge toi je vais faire plaisir a ta
chatte
Les jambes passées sur ses épaules il ma emmanchée sans autre préavis, jétais pliée
en deux sous lui a la merci des coups de boutoirs de son membre entièrement introduit
dans ma chatte éclatée, jamais dans ma courte expérience de jeune femme je navais été
autant remplie, jai glissé une main entre nous deux pour saisir le membre, sa queue
poisseuse coulissait dans ma paume avant dentrer dans ma moule, il murmurait que mon
vagin lui serrait a bitte, que ça lui rappelait le bon vieux temps, quil allait tout
me mettre au fond du ventre, nous ne faisions quun, mes muqueuses sollicitées au
maximum laissaient sourdre une source intarissable de cyprine qui ruisselait dans ma
raie, il varie les coups de reins ,une fois court une fois très profond, lent rapide ,
imprévisible, je nageais en plein ravissement ,il aurait put débarquer nimporte qui
dans la pièce jaurais continué a baiser avec mon amant, je pense quil est dans le
même état desprit a en juger par lintensité de notre étreinte
Soudain il ma littéralement soulevée en me plaquant sur lui, sa queue secouée de
soubresauts envoyais sa purée épaisse sécraser au fond de mon con tout dilaté, nous
sommes restés longtemps emboités, il laissait son gourdin rétrécir dans ma gaine
vaginale puis il a fouillé dans sa poche a la recherche dun mouchoir en papier
- Plaque ça sur ta fente sinon le canapé est niqué !
En un instant le papier a été imbibé, le foutre fuyait entre mes doigts, je me le suis
étalé sur les poils et le ventre comme une crème de jouvence
- Ne parle jamais de ça gamine sinon je nai plus qua reprendre la route , si
tu tiens a ce que nous nous revoyions passe ton permis de conduire
.
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