Leslie Su25

Leslie SU25 – La dépression et la thérapie, suite

Pierre est entré dans la pièce en disant :
- Votre psy me demande de vous administrer un suppositoire.
L’homme, s’est approché du lavabo et a enfilé des gants en latex, il a saisi un tube
de vaseline et m’a fait signe de m’approcher.
- Pourriez-vous vous pencher en avant sur ce lavabo, s’il vous plaît ? Je vais
vous l’enfiler.
L’effet des comprimés était radical, même si je ressentais une énorme gêne, j’étais
incapable d’émettre la moindre objection. J’ai posé mes mains sur le lavabo, il a
appuyé fermement sur mes épaules pour que je me baisse davantage et m’offre un peu
plus.
Ma position était très humiliante. J’avais les fesses relevées. Il a soulevé ma
chemise et a glissé suavement sa main dans ma raie, en disant :
- Parfait, détendez-vous, cela ne sera pas douloureux.
Il a enduit ma rosette de lubrifiant et m’a enfoncé le suppositoire profondément en
laissant son doigt dans mon intimité.
- Bien, bien, ne bougez pas ! Je vais rester ainsi quelques minutes pour être
sûr qu’il ne ressorte pas.
C’est à cet instant que ma psy est entrée dans la pièce.
- Très docile, a dit Pierre en retirant son doigt de mon fondement.
- Merci, Pierre, vous pouvez disposer.
La psychiatre s’est approchée de moi, elle m’a pris par la main pour me guider vers la
chaise d’auscultation, puis elle a saisi délicatement mes jambes l’une après l’autre
pour les glisser dans les harnais. Elle a caressé mon sexe pour entrevoir une réaction
et a dit :
- Écartez bien vos jambes.

Je me sentais offerte et impuissante de réagir, certainement quelque peu indécente,
mais la psy m’a dit :
- Ne soyez pas mal à l’aise, tout ce qui se passe ici va vous permettre
d’assumer le plaisir et de vous libérer de vos blocages.
En même temps qu’elle me parlait, elle enfilait des gants en latex et observait mon
intimité, regardant tour à tour mon sexe, puis mon anus.


- Tu es déjà bien dilatée, ç’est l’effet du suppositoire et cela va vraiment
améliorer la séance.
Soudain, j’ai senti une main s’emparé de mon sexe et j’ai commencé à me faire branler,
tandis qu’une autre main étalait un liquide froid sur mon anus, j’ai sursauté.
- C’est de la vaseline, m’a expliqué la psy, je suis en train d’en étaler sur
ton anus, j’en glisse un peu dans ton boyau et je te branle en même temps. Ainsi, me
dit-elle, je vais provoquer une excitation en toi, respires profondément et laisses
tes pensées émerger.

Elle m’a masturbé, fit dressé mon membre et enfoncé suavement deux doigts dans le cul.
Chaque caresse était choisie et déterminée. Elle était experte en la matière.
Je commençais à remuer sous l’effet des caresses de ma psy et ma s’est ouverte,
laissant voir mes tétons pointer vers le plafond de la pièce. La psychiatre s’en est
rendu compte et m’a dit :
- Je vois que je te fais de l’effet, car tu bandes bien et ton anus s’ouvre,
c’est bon signe.
Les doigts de la psy ont quittés mon anus et je n’ai pas eu le temps de voir la main
de ma psy qui venait de s’emparer d’un objet métallique que j’ai supposé être un gode,
pas le temps d’en mesurer la largeur et la longueur, mais je l’ai senti s’enfoncer
lentement mais fermement dans mon cul.
Je sentais mon rectum s’étirer de manière inhabituelle, subjuguée par ce qui
m’arrivait, je me sentais en confiance alors j’ai accepté cette pénétration.
- Je suis en train de t’introduire un gode de quelque cinq centimètres de
diamètre, c’est large, mais tu es capable de l’accepter. Fermes les yeux et imagines
que c’est un homme où le gode ceinture de Laure, a glissé la psy sur un ton espiègle.

À vrai dire, je n’avais besoin de n’imaginer personne d’autre que Laure, où même ma
psy et ce qu’elle me faisait, la situation était très excitante et je vivais là un
moment fabuleux.

Petit à petit les effets des comprimés et du suppositoire s’atténuaient, et je sentais
que s’était moi, consciente, qui maintenant se faisait masturber et enculer en prenant
du plaisir.
- Voilà, très bien, je sens que ça tu vas déjà beaucoup mieux, encore un peu.
À mesure qu’elle me sodomisait avec le gode métallique, sans cesser de me branler,
j’avais l’impression que tout mon corps réclamait et désirait la pénétration.
- C’est parfait, tu t’ouvres, tes tétons durcissent, ton anus est complètement
dilater et to membre dur se gonfle. Tu vas jouir sous peu.
Effectivement, je ressentais la chaleur se développer dans mon bas-ventre. Égarée dans
mon inconscient, la voix de la psychiatre résonnait.
- Très bien, j’entends ta respiration s’accélérer, laisses-toi aller, ne lutte
plus contre ton plaisir, il fait à nouveau partie de toi et de ta féminité.

Et c’est bel et bien ce qui s’est produit, je me suis sentie chamboulée de l’intérieur
et presque tomber de la table, mon corps convulsé par la jouissance et dans un cri,
j’ai joui, soumise devant ma psychiatre, tout en retirant le gode, m’a félicité en
retirant ses gants.
- Maintenant c’est à vous de jouer, non de jouir, m’a-t-elle dit en partant avec
un sourire complice.

Pendant les deux jours qui suivirent, rien n’était plus comme le jour où je suis
entrée dans cette maison de repos, le premier jour, j’avais un dégout de la vie et une
certaine répulsion pour le sexe, mais maintenant je faisais des rêves érotiques et je
ne pensais plus qu’à me faire enculer par un beau sexe de mâle.
Lors de la séance suivante, j’en ai parlé à ma psy, qui m’a dit, avec un grand
sourire, être très satisfaite de ma guérison et que pour clore nos séances elle allait
m’envoyer son assistant, Pierre, pour voir si lui ne pourrait pas m’aider dans ma
recherche.

Le lendemain matin je fus réveillé par un duce sensation sur le bord de mes lèvres,
comme la caresse d’un doigt qui vous effleure les lèvres.

La sensation était divine et j’en entrouvris les lèvres en ouvrant les yeux.
Pierre se tenait debout au chevet de mon lit, la blouse blanche ouverte et le membre
sortit du pantalon et me l’offrant à mes lèvres, c’est son sexe qui m’effleurait la
bouche pendant que je dormais.
Je n’ai juste eu qu’à entrouvrir mes lèvres un peu plus pour qui me l’enfourne dans la
bouche, en me disant :
- La gentille doctoresse m’a dit que tu avais besoin d’un soin particulier,
alors je suis venu, je ne peux laisser de une telle beauté dans la détresse…

Je n’avais même pas à bouger la tête, Pierre d’un mouvement lent mais continu, faisait
l’amour à ma bouche avec son membre que j’avais vu en ouvrant les yeux.
Un membre circoncis au gland bien dessiné, épais et parcouru de veines qui lui donnait
un côté agressif, et d’une belle longueur, un membre comme qui m’obligeait à ouvrir la
bouche au maximum afin de l’accepter.
Il fut dur en quelques instants, Pierre, en se propulsant entre mes lèvres en avait
profiter pour envoyer le drap au bout du lit et me regardait nue allongée sur le lit.
- Branles-toi, me dit-il, ça m’exciter.
Sans réfléchir je pris mon sexe en main et commençais à me branler.
- Ohhh, gémit Pierre dans un râle, comme tu m’excites, belle et désirable,
j’adore sodomiser des êtres dans ton genre.
Il se retira et ouvrit son pantalon, baissa son slip pour dégager son membre, il était
épilé, il me redressa et me fit mettre debout au bord du lit, puis m’appuyant sur les
épaules il m’obligea à me cambrer en prenant appui de mes mains sur le lit.
Offerte j’étais à sa merci, il prit dans sa poche un tube de vaseline et m’enduisit
copieusement la rondelle de ce lubrifiant qui facilite les pénétrations.

Lorsqu’il posa son gland sur ma rondelle, je fus parcourue de frissons en pensant que
depuis le temps que je n’avais pas été sodomisée, mes muscles avaient dus se rétracter
et que je devais être à cet instant étroite et un peu serré, j’allais certainement
déguster.

Mais Pierre fut d’une douceur extrême, il m’enfonça son membre en douceur, lentement
afin que je m’habitue et que je l’accepte complètement, quand j’ai senti ses couilles
butées contre les miennes j’ai compris qu’il me possédait complètement.
Il est resté ainsi pendant un long moment me faisant sentir au fond de mon cul les
petits soubresauts que faisait son membre, la sensation était divine.
Puis me prenant par les hanches il se mit à me sodomiser avec fougue, ses coups de
reins faisant claquer ses cuisses sur mes fesses à chaque pénétration. Je ne sais
combien de temps il m’a possédé, mais c dont je me rappelle c’est que j’ai jouit trois
fois en hurlant de bonheur.
Puis, il s’est crispé, entrant ses doigts dans la chair de mes hanches et j’ai senti
sa chaude semence me remplir les entrailles en giclées sauvages et puissantes.
Il s’est rajusté après être sorti de mon cul et est parti en disant :
- Au cas où, tu me sonnes et j’arrive, ok !

Copieusement enculée, je me sentais sur la voie de la guérison, j’allais bientôt
sortir et il me tardait à nouveau à gouter aux plaisirs charnels.

A suivre…

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