Mon Collègue Gay (5 Et Fin)
Mon amant et moi étions tombés dans une routine. Tous les soirs, nous nous rejoignions
en salle de pause pour me transformer en Sarah, puis nous allions nous promener en
ville avant de revenir coucher ensemble comme des sauvages. Jaimais cette situation
mais je commençais un peu à mennuyer tant les tenues et les positions pratiquées
après notre balade ne changeaient pas. Jen étais venu à presque le harceler pour
quil y ait du changement, le menaçant même de tout arrêter sil ne faisait pas
deffort. Bien sûr, cétait des menaces en lair car je ne voulais absolument pas me
séparer de lui et il le savait. Malgré tout, un matin, il entra dans mon bureau avec
un sac. Il me dit quil avait une surprise pour moi et que jallais être content car
il allait enfin accéder à ma requête. Jouvris le sac et vis un ensemble tout à fait
exceptionnel. Il y avait un bustier de marque en soie crème transparent, un string
ficelle tellement petit quil ne devait rien cacher, une paire de bas blancs et des
talons aiguilles brillants. Jétais effectivement content mais une nouvelle tenue ne
faisait pas tout. Alors que jallais protester, il me dit que nous nirions pas nous
promener ce soir et que cette fois, ils seraient deux sur mon cul. Il mexpliqua quil
mavait « vendu » et que, pour une fois, je me sentirais comme une vraie pute.
Jaurais du être choqué de savoir que javais été marchandé comme un vulgaire bout de
viande mais, finalement, cela ma plus excité quautre chose. La journée ma paru
extrêmement longue et je navais à lesprit que ce qui devait se passer ce soir. Mais
plusieurs questions me taraudaient : à qui mavait-il vendu ? Que pouvait-il bien y
gagner ? Et surtout, pourquoi a-t-il vendu mon corps plutôt que le sien ? Sur les
ordres de mon chéri, je passais la nouvelle lingerie à la pause de midi.
était parfaitement à ma taille, il ne me resterait plus quà mettre le rembourrage qui
me paraissait plus imposant que dhabitude. Comme je le pensais, le string était
vraiment petit. La ficelle disparaissait complètement entre mes fesses et mon sexe,
qui se gonflait dexcitation, dépassait sur le devant. Je décidais de gagner du temps
en mettant les bas tout de suite car ils ne se verraient pas sous mes chaussures et
chaussettes. Il navait rien mis dautre que des sous vêtements, ce qui voulait dire
que je devrais remettre les mêmes vêtements que dhabitude ce qui ne me plaisait quà
moitié. Une fois fini, je retournais bosser en attendant patiemment la fin de journée.
A 19 heures pile, mon homme entra dans le bureau. Javais déjà ôté mes vêtements et
enfilais les talons. Javais également installé le rembourrage qui donnait lillusion
dun bon 95D (habituellement, on est plus sur du 85-90C). Il ne manquait que la jupe,
le chemisier, la perruque et le maquillage. Il me regarda avec envie et me dit que
jétais parfait. Pas besoin de vêtement ce soir car on ne sortirait pas du bâtiment.
Il me mit une nouvelle perruque : blonde coupée très courte, un peu à la garçonne. Il
mexpliqua que cétait ce que voulait mon « acheteur ». Il me maquilla et jétais
enfin devenu Sarah pour la soirée. A ma surprise, il sortit un collier de chien avec
une laisse quil me passa autour du coup. Il me dit que jallais être traitée et prise
comme une vraie chienne et que mon cul devrait sen souvenir longtemps. Il me tira
donc derrière lui dans les couloirs de la boîte jusquà un bureau à lopposé du
bâtiment. Je connaissais bien ce bureau, cétait celui du DRH. Dans mon souvenir,
cétait un homme grand, costaud, au charisme puissant et au charme certain. Par
contre, jaurais pu parier tout ce que javais quil était cent pour cent hétéro.
amant frappa à la porte et une voix forte nous dit dentrer. A notre arrivée, nous
fûmes surpris de voir et le DRH et le big boss de lentreprise. Ils souriaient tous
les deux quand ils nous ont vus.
Je vis à la tête de mon chéri que la présence dun deuxième homme nétait pas prévue
et, avant de pouvoir protester, le DRH lui expliqua que la participation du chef
ferait avancer plus vite son dossier. Je ne comprenais rien mais lui avait lair
dêtre grandement satisfait. Et cest là que tout commença, finit les paroles et la
discussion, il était temps de passer à laction. Nos deux supérieurs dégrafèrent leur
pantalon et le baissèrent en même temps que leur sous vêtements. On me fit mettre à
genou et je pris les deux bites en bouche avant que lon men donne lordre. Je suçais
ces deux monstres (et oui, elles étaient toutes les deux très impressionnantes) avec
gourmandise et jentendais leurs gémissements satisfaits ce qui mencourageait à y
aller de plus en plus vite et de plus en plus fort. Après quelques minutes de ce
traitement, on me fit mettre à quatre pattes sans ménagement en tirant sur la laisse.
Le DRH se positionna devant moi et menfonça son engin au fond de la gorge et insista
jusquà toucher le fond de mon palais. Jen avais les larmes aux yeux et rien ne
sarrangea quand mon patron me colla sa queue dans le cul à sec et plutôt violemment.
Jai maintenant lhabitude de me faire défoncer à sec mais là, je me faisais
littéralement déchiré par ce monstre beaucoup plus gros que celui de mon amant.
Jaurais voulu crier mais impossible avec la bouche pleine.
Ils mont défoncé comme ça quelques minutes avant déchanger de place. Mon cul fut
tout autant meurtri que précédemment et ma bouche toujours aussi pleine. Ce traitement
dura lui aussi plusieurs minutes. Jais cru que cétait fini quand ils se retirèrent
tous les deux mais cétait pour quils puissent me présenter leur bite devant ma
bouche et éjaculer dedans à grands jets puissants.
nettoyer avec ma langue leur queue du peu de sperme quil restait dessus. Une fois
fini, je tombais sur le sol le souffle court, je navais jamais été démonté de la
sorte et, en effet, je men souviendrais toute ma vie. Jentendis quand même les deux
hommes dire à mon chéri quil leur avait trouvé une belle salope et quil ny aurait
aucun problème pour lobtention de sa promotion et quen plus, ils verraient sil
était possible que la chienne, elle aussi, ait de lavancement. Je compris au ralenti
quils parlaient de moi et je compris que ces deux là nen resteraient pas là avec
moi.
Jétais dans un tel état second que je nai pas pensé que je navais pas joui et que
je suis reparti comme un zombie à mon bureau pour me changer. Jétais secoué par le
traitement infligé à mon corps mais aussi par le fait que mon amant mait réellement
vendu pour avoir une promotion. Je pensais que le terme « vendre » était à prendre au
second degré et quon jouerait avec quelquun dautre à la pute et au client. Mais
non, jétais devenu une vraie pute au sens premier du terme. Jappris plus tard par le
DRH que ce dernier avait demandé à mon amant de lui trouver une salope dans mon genre
pour avoir cette promotion et ceci bien avant quon ait une relation tous les deux ce
qui était devenu pour moi insupportable. Je ne pu lui pardonner et mis fin à notre
relation. Je pensais quil serait dur de le voir tous les jours au bureau mais ça ne
dura car sa promotion était pour un poste à lautre bout de la France. Ce salaud avait
tout calculé depuis le début, il mavait initié puis dressé pour finalement me vendre
pour son propre intérêt. Le bon côté de la chose était que jai eu moi aussi ma
promotion : un meilleur poste, un plus grand bureau et un meilleur salaire. Le seul
fait quil ait fallu me faire baiser (dans tous les sens du terme) pour lavoir me
laisse un goût amer ren par le fait que jai maintenant deux supérieurs qui
profitent de la situation et surtout de mon trou du cul qui sélargit à vue dil.
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