Ma Mature 1et 2 Corrigé Et Pardon Parfois Je Pense Plus Vite Que Je N'Ecris Et Ne Me Relit Pas Touj
Ma mature
Cette histoire commence juste après mon service militaire, javais trouvé une place
dans un restaurant dont la cuisine donnait sur la rue, mon patron avait eu lidée de
faire de la vente à emporter par la fenêtre, fort de mon talent de vendeur, mon
premier métier, jacquis une clientèle dhabitués, une femme en particulier avait
retenu mon attention, elle était de vingt ans mon ainé, elle avait de jolies formes de
femme mure un sourire éclatant, elle avait un quelque chose dune actrice américaine
que lon connaît tous sous le prénom de Marilyne. Tout le monde dans le restaurant
savait que jétais attiré par cette blonde au sein arrondi et les blagues et
calembours fusaient lorsquelle venait acheter des produits à ma fenêtre, ce qui
donnait une ambiance festive et plus facile pour éventuellement lancer des petites
perches que la dite coquine rattrapait aussitôt. Un jour elle arriva avec sa sur qui
était plus âgée et qui était moins classe, par contre plus direct dans son langage.
Elles étaient là, devant moi qui attendais leurs tours, elles me regardaient fixement,
commandât, et lorsque je me suis éloigné pour préparer leurs achats, elles se mirent à
chuchoter comme des gamines, elles partirent, et linstant suivant ma patronne
descendit de létage et me révéla que les deux femmes parlaient de moi, elle avait
tout en entendue de sa fenêtre qui était juste au-dessus de la mienne. Je la
questionnais, elle me dit que la blonde regrettait dêtre marié parce que sinon elle
me mangerait, sa sur avait ajouté quelle était libre et quelle me mangerait. Les
jours suivants les discutions se faisait de plus en plus abrupte, plus piquante, plus
sexy. Je finis par inviter lainé à sortir, elle acceptait sans difficulté, nous nous
retrouvâmes devant le restaurant à la fin de mon service, je lamenai dans un parc de
nuit, nous nous sommes promenés dans les chemins en discutant de tous et de rien, de
retour à la voiture, que javais garé dans un endroit éclairé par un lampadaire, à
notre arrivé il était éteint à cette heure tarif de la nuit, on sinstalle et au lieu
de mettre ma ceinture de sécurité jouvre mon pantalon et laisse sortir mon pénis qui
avait fière allure au garde-à-vous, la mature navait pas remarqué mon audace dans
lobscurité mais lorsque ses yeux se sont habitués, elle aperçut ma bite entrée mes
mains qui montaient et descendaient le long de ma colonne.
disant « il paraît que tu veux me bouffer », je lui prends la tête et la dirigeant
vers ma queue, je lui dis « tu es servis ». La perverse mature me répondit avant
douvrir la bouche quelle attendait ce moment avec impatience, elle se jeta sur ma
bite comme une chienne sur un os, elle lenduisait de bave en lui crachant dessus, ses
mouvements de masturbation et de suçions étaient précis, je navais pas besoin de lui
dire quoi que ce soit, lexperte en pipe était à luvre, je ne mis pas longtemps pour
lui jouir dans la boîte à sucette, mais malgré le foutre elle continuait, avalent tant
que possible, ma bite neut pas le temps de dégonfler quelle suçait encore, en un
geste je linstallais sur la banquette arrière, lui remonte sa minijupe, écarte son
string et la pénètre sans modération, elle fit un cri mélangé de plaisirs et de
souffrance, ajouta « y a longtemps que je ne me suis pas fait mettre », quelques râles
plus tard « baise-moi profond, vas-y baise-moi comme une bête, met moi tous » pour la
satisfaire et pour la calmer je décidais de la lui éclater lanus, la sodomite était
encore plus folle, remuant du cul, faisant des va-et-vient toute seul, se caressant le
clitos, rien ne pouvait larrêter sauf sa propre jouissance, la mature criait et pour
la faire taire je lui mis la main sur la bouche et lautre dans sa chevelure pour mit
agripper, elle me mordit les doigts pour me dire quelle aimait ça, et cest en lui
tirant les cheveux et en lui mettant le majeur dans la bouche quelle se mit à jouir,
je la rejoins par des coups secs, fermes, de toute la longueur de mon sexe, notre
course se ralentit en appréciant maintenant la douceur des aller-retour humide de nos
sexes. Je raccompagne la femme de la soirée, dans la vieille ville de ma région, là où
il y a de vieux immeubles avec des halls immenses des recoins sombres, donc nous
arrivons au pied de lédifice, elle sonne, je reconnais la voix de sa sur, elle
confirme de son arrivé pour que cette dernière lui ouvre la porte, la porte se
déclenche, la mature se retourne me remercie pour la soirée en particulier pour la
baise et ajoute « rien cas en parler je mouille dans ma fente, je vais à nouveau te
bouffer la bite »elle me tire vers lintérieur du bâtiment me pousse sous le vieil
escalier, sagenouille, dégrafe mon pantalon, sort ma queue et lenglouti en une seule
fois jusquaux billes, lorsquelle la ressort un filet de bave laccompagne et la
replonge au fond de sa gorge et continua encore et encore, quand tout à coup un bruit
de porte souvre, jentends une voix qui demande « alors ! Tu montes », la perverse
suceuse retire ma bite de sa bouche en faisant un bruit de siçions énormes, répond «
Jarrive », une réplique se fait entendre « Daccord, jai compris », la porte se
referme, la coquine reprend son uvre de plus belle, joue avec mes couilles quelle
lèche, suce, gobe, elle me branle, me suce, a une vitesse qui fait exploser mon
foutre, elle nen perd pas une goutte, me nettoie avec sa langue, avale tout ce
quelle peut et finit par me dire « voilà toute propre »Nous nous saluons, elle monte
le vieil escalier je la regarde senfoncer dans le virage et sort de limmeuble.
À suivre
Le lendemain, de retour au travail, les questions affluaient, je ne dis mot seulement
que javais passé une bonne soirée, les surs revirent à ma fenêtre passer une
commande, avec laddition ma mature de la veille minvite à passer la chercher chez sa
sur le soir même, dun sourire jacceptai, lheure dite je me présentais devant la
grande porte de chêne, sonnait, pas de réponses, un bruit de clenche, la porte sentre
ouvre, jentre, monte et dans lescalier croise la sur plus belle que jamais, elle
était superbe, toutes ses formes étaient mises en valeur dans sa robe de soirée noire,
bien coiffée, une odeur de parfum doux, un maquillage sobre, la femme fatale, je
sentis mon sexe crié « laisse-moi sortir, je vais la baiser maintenant », sauf que le
mari suivait, un bonsoir fut échangé et un clin dil de la part du bof. Jarrivai à
lappartement, je toquai, la poignée décent lentement, je pousse et entre, la femme
qui était dans le hall dentrée était vêtu dun imperméable sombre, je lui demande si
elle est prête, elle ouvre son manteau pour me dévoiler son corps couvert de lingerie
fine et que de cela, le spectacle fut merveilleux, même si javais préféré la
frangine, mais le cadeau était là pour moi ! Je la prends dans mes bras commence à
lembrasser dans le coup, nous nous dirigeons vers le salon, elle laisse tomber son
manteau se met à genoux et ouvre mon pantalon sort mon pénis et commence une branlette
suivie de coup de langue, ma bite se durcit rapidement, je lui fais comprendre de se
mettre sur le canapé mais elle me dit quelle préfère le fauteuil du bureau, je
massois dans celui-ci la mature retire son string et sembroche sur ma queue et avec
des mouvements précis elle me baise, je ne peux rien faire sous son poids sauf lui
caresser son corps, ses seins, ses fesses, elle jouit, je lui passe les bras sous ses
cuisses la colle à ma place et lui donne des coups de reins pour jouir à ma tour dans
sa chatte bien humide.
sur et son bof au restaurant, nous arrivons, nous nous installons nous passons une
agréable soirée, nous échangeons des blagues sexy, des regards appuyés, lambiance
était chaude, en fin du repas bien arrosé nous décidons dappeler un taxi pour
rentrer. Arrivée à la porte de limmeuble la sur ainée saperçoit quelle a oublié
son sac au restaurant, son beau-frère appuyer par sa femme lui propose de
laccompagner, pour ma part je voulais prendre congé car il se faisait tard et je
travaillais au matin de bonne heure donc je reste jusquà ce que le taxi repart avec
ma maitresse du moment et son bof je salue la sur cadette et prends le chemin du
départ mais une envie folle me traverse lesprit si je faisais demi-tour, je le fais
me dirigeant vers la porte en chêne quelle avait laissé antre ouvert pour son mari et
sa sur, je monte les escaliers en bois, le cur me cogne dans la poitrine je marrête
devant la porte, je nose plus faire un pas je redescends ou jentre, un moment
dhésitation je pose la main sur la poignée, la porte souvre, mon cur va exploser,
je marche dans la direction de la salle de bain ou jentends de leau qui coule, je
pousse la porte et je vois lobjet de mes désirs un pied sur un tabouret retirant ses
bas de satin, elle est à peine surprise, sans dire un mot je la serre contre moi, je
lui dis que jai envie delle, elle ne répond pas je sens quelle nait pas contre, je
lembrasse en lui mettant la langue, une main descend le long de son corps et remonte
avec sa robe sombre elle lève les bras pour que je finisse de lui ôter son vêtement,
elle procède de la même façon pour retirer ma chemise, elle me lèche les tétons en ma
caressent le dos puis elle ouvre ma boucle de ceinture, me déboutonne, écarte le haut
de mon pantalon pour le faire glisser, là elle touche ma bite à travers de mon boxer,
je suis déjà tout dur, à genoux ma bite se retrouve dans sa bouche, elle suce
divinement bien, je lallonge sur le sol frais de la salle de bain, je laisse courir
ma langue sur tous les partis de son corps de déesse, oui elle est magnifique je le
confirme, et enfin je la pénètre, sa chatte humide accueille ma verge et nous
commençons une danse érotique, le plaisir est à son paroxysme, nous finîmes par jouir
mais toujours sans un mot le silence se faisait dor, je me rhabille, elle
maccompagne à la porte et lorsque jallais lui dire quelque chose elle mit son doigt
sur ma bouche et mit dit « Il ne sait rien passé, garde ça pour toi comme un bon
souvenir, cest ce que je ferais.
ne répondit « Jamais, et laisse tomber avec ma sur.» Je proteste, elle membrasse sur
les lèvres et ajoute « A une autre époque, dans un autre monde, sans mari, sans sur,
toi et moi auraient vécu quelque chose dextraordinaire, mais aujourdhui cest
impossible pour nous et pour toi et ma sur aussi, je ne supporte pas de te voir dans
ces bras, alors part sans te retourner et ne moublie pas », une larme coule sur sa
joue, ma gorge se sert, sans insister je men vais en descendant à mon tour une larme
coule sur ma joue. Le lendemain je démissionne de mon job et déménage et aujourdhui
je pense encore parfois à ce couple de surs maintenant que jai leur âge.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!