Jo Et Allan
Je mappelle Allan, jai dix-neuf ans et je suis étudiant rhétoricien, je suis des
études déducateur. Dans ma grille dhoraire, jai des cours danglais avec monsieur
Becker, un prof dont je suis tombé amoureux dès la seconde où il a franchi le pas de
la porte de la salle de cours. Le coup de foudre, même si je ne lui ai jamais montré
mon attirance envers lui.
Voici un an et demi que jai une attirance secrète pour lui.
Javais dénormes difficultés en anglais, cétait une langue que je ne supportais pas.
Mais pour pouvoir obtenir mon diplôme déducateur A2, il fallait que jaie la moyenne
dans toute les matières, y compris dans celle-ci.
Donc javais demandé à monsieur Becker de prendre des cours particuliers avec lui,
afin de me remettre à niveau, car jétais vraiment au plus bas dans cette matière.
Il accepta directement, on mavait prévenu que cétait un prof très serviable et
toujours là pour ses élèves. Il était venu me trouver en cours de sport, et mavait
demandé de venir chez lui. A cet effet, il mavait donné son adresse. D'habitude il
nacceptait aucun élève chez lui, car cétait contre le règlement de lécole, mais les
places pour le rattrapage étaient toutes prises et javais dénormes lacunes en
anglais, donc pour moi, il ferait une exception. Je le remerciai et lui promis dêtre
là vers 15h cet après-midi.
Promesse tenue ! Je me présentai à la porte de son appartement à 15h tapante. Il
mouvrit avec un grand sourire.
« Jétais justement en train de préparer des fiches techniques pour toi, Allan. Entre,
tu veux quelque chose à boire ? »
« Je veux bien un café, sil-vous-plaît »
« Tu peux me tutoyer, ce sera plus facile, mais à lécole, je veux que tu me vouvoies
»
« Pas de soucis, cest gentil », dis-je en regardant une photo qui était posée sur
létagère.
« Cest Jérôme et moi, je suis homo, ça ne te dérange pas, jespère ? »
« Non pas du tout, je le savais déjà, et puis je le suis aussi, donc je ne vois pas
pourquoi ça me dérangerait », dis-je en rougissant légèrement.
« Parfait alors », me dit-il en me tendant mon café.
Il me fit massoir sur le tabouret, et me tendit des fiches techniques quil venait de
me préparer. Il mexpliqua deux-trois choses, il sappuya sur moi afin de me montrer
des notes en rouge quil avait inscrites, il effleura ma main lorsquil voulut tourner
la feuille.
Il sarrêta, nous nous regardâmes, le temps sétait arrêté autour de nous, seuls nous
deux comptaient à cet instant précis.
Je plongeai sur ses lèvres douces et chaudes, puis, me rendant compte de ma connerie,
je me levai et pris mes affaires pour menfuir.
« Reste, ça fait un petit moment que je tai repéré, je sais que ça ne se fait pas
entre un professeur et son élève, mais tu ne me laisses pas indifférent », me dit-il,
« Depuis lannée dernière, tu me fais de leffet quand je te vois. Je suis content que
tu ais fait le premier pas
»
Il sapprocha de moi, me prit mon sac et membrassa. Nos corps sentrelaçaient, nos
mains couraient partout sur nos corps, nos langues dansaient ensemble, jétais
heureux. Je le renversai sur le canapé et me retrouvai couché sur lui. Toujours en
lembrassant, je fis quelques mouvements de bassin. Je pouvais sentir à travers nos
jeans une bosse, ce qui me fit sourire.
« Je vois que monsieur le professeur est très emballé par ce qui lattend », dis-je en
souriant.
« Tu ne mâches pas tes mots, jaime ça mon loulou, je vais tout faire pour que tu
noublies pas cet après-midi »
« Pareil, de ton côté, tu noublieras pas ce qui va se passer », dis-je en arrachant
sa chemise dun seul coup.
Je vis apparaître un torse assez bien bronzé et quelque peu musclé. Je mempressai de
lembrasser, de le lécher, de sucer ses tétons, de descendre toujours un peu plus bas
pour finir par me retrouver nez à nez avec cette bosse que je désirais plus que tout.
Je défis la boucle de sa ceinture, descendis dun coup son pantalon et son boxer et me
mis à renifler cette uvre dart. Une bite de 18 sur 4. Je commençai par la caresser,
elle était chaude et humide.
« Tu mouilles de la bite, mon cochon », dis-je, avant dengloutir cette sucette
délicieusement salée.
Il poussa un soupir lorsque je fis entrer cette pine dans ma bouche. Je passai ma
langue le long de sa bite chaude, suçai son gland. Je léchai ses boules, que je
prenais une par une, je le regardai droit dans les yeux, son regard en disait long sur
le plaisir que je lui procurais à cet instant.
Dun seul coup, sans prévenir, jengloutis sa pine et fis des va-et-vient, ce qui me
permit de lui soutirer quelques gémissements. Au bout de quelques minutes, il en
décida autrement et à laide de ses deux mains, il appuya sur ma tête afin de définir
le rythme à adopter. Il ne gémissait plus, il criait son plaisir. Sa bite devenait de
plus en plus grosse et de plus en plus dure, il mobligeait à faire des gorges
profondes.
« Vas-y, bouffe moi les boules maintenant, oh oui, cest bon ça, reviens sur mon pieu,
oh ouiiii, cest bon, continue, oui, oui, oui, je vais venir mon loulou, tu suces trop
bien, on dirait que tu as fait ça toute ta vie, oui, comme ça, plus vite, plus vite,
plus
Oui
Oui
Ouiiiiiiiii, je
eeeeeeeeeen
Jonathan venait datteindre lorgasme, il était au 7e ciel, il avait lâché toute sa
purée dans ma bouche, je navais pas trop eu le choix davaler, il tenait sa pine au
fond de celle-ci.
Après quelques secondes de spasmes, je pus me libérer afin de remonter lembrasser.
lui fis goûter son sperme chaud, il avait lair dapprécier. Il se redressa et me
déshabilla de la tête aux pieds, avec férocité, je compris que ça allait être mon
heure. Il me mit debout et membrassa en me serrant contre lui, sa queue était revenue
au garde à vous.
Il nous masturba tous les deux en même temps, ma queue était plus petite mais plus
large que la sienne, ce qui ne lui déplut absolument pas, bien au contraire.
Il se mit à genoux devant moi et lenfourna dans sa bouche. Sa langue chaude et humide
passait le long de ma pine, cest quil savait sy prendre, monsieur le professeur.
Il fit quelques va-et-vient, ce qui me fit quelque peu gémir. Plus il accélérait le
rythme et plus il serrait ma queue avec sa langue experte. Il sarrêta avant que je
néjacule, me fit monter sur le fauteuil, les mains plaquées au mur. A ce moment
précis, je sus ce qui allait se passer.
Jétais un peu pris de panique, car je navais encore jamais été passif, javais
toujours joué lactif.
« Ne tinquiète pas, loulou, jirai doucement pour commencer », dit-il en
membrassant.
Il prépara bien lentrée. Il commença tout dabord par me lécher la rondelle, javoue
que quelques gémissements se sont échappés de ma bouche.
Je cambrai les fesses au maximum afin quil puisse entrer plus loin sa langue, qui
faisait des cercles et appuyait afin de rentrer le plus loin possible à lintérieur de
moi. Je laidais comme je pouvais en écartant les fesses à laide de mes mains.
Il entra un doigt, puis deux, puis trois, et commença des va-et-vient, ce qui me fit
décrocher un petit cri.
« Ca va ? »
« Oui, continue », dis-je.
Il accéléra la cadence, tout en crachant sur ses doigts. Puis il sarrêta, jentendis
un emballage de préservatif se déchirer.
Bizarrement, jétais en confiance, je laimais plus que tout, il maimait, jessayais
de relativiser au maximum afin de me détendre le plus possible.
Il me fit me coucher sur le dos, mit mes jambes sur ses épaules et approcha sa queue
de mon trou. Le moment tant redouté était enfin arrivé
Je sentis quelque chose de dur
contre mon trou, il appuya doucement contre louverture, son gland passa, il sarrêta.
« Détends-toi, loulou, ça va bien se passer », me dit-il.
Il avança de plus en plus, je grimaçai, javais mal, je voulais quil sorte de moi. Je
le repoussai avec mes mains, mais il mattrapa les poignets et les coinça au dessus de
ma tête, puis il senfonça dun seul coup. Je pouvais sentir ses couilles contre mes
fesses. Je poussai un hurlement. Il membrassa afin de me faire taire, et attendit
quelques minutes que mon anus shabitue à sa présence.
Il osa enfin faire quelques mouvements, je grimaçai, je lui demandai darrêter, mais
il ne le voyait pas de cette manière, il continuait ses va-et-vient, et me décrocha un
gémissement au bout de dix minutes.
« Tu vois, je te lavais dis que tu allais aimer ça ma cochonne », dit-il en sortant
et me retournant sur le ventre et en entrant dun seul coup.
« Aaaaaah, je commence à y prendre goût », dis-je.
« Super alors, car cest trop lent pour moi, je pense que tu es prêt pour quon
accélère un peu tout ça », dit-il en me donnant une tape sur les fesses.
Il accéléra la cadence petit à petit, il aimait la vitesse, la dureté, dans ses
rapports sexuels. Il me traita de tous les noms, ce qui mexcita. Je me pris au jeu du
mec soumis face à une brute.
« Taime ça, hein mon bébé »
« Oui, oui, oui, plus fort »
« Je le savais, tu nes quune salope en fait, je tai vu au cours de gym, dans ta
tenue de sport, tu nas pas honte de thabiller si moulant ? Tu vas être puni pour ça
mon grand »
Il me fit mettre à quatre pattes à même le sol, et senfonça en moi violemment. Je
poussais des gémissements, jétais SA soumise, et pour une première, je dois avouer
que jadorais ça.
« Oui, plus vite »
« Cest moi qui impose la cadence, tu nas rien à dire », dit-il en me mettant la tête
dans un oreiller qui se trouvait sur le fauteuil, afin que je me taise.
« Oh putain, ton cul est bien serré, aaah oui »
Je poussai moi-même mes fesses contre son pieu afin quil rentre au maximum. Plus le
temps passait, plus les coups devenaient très violents. On entendait les couilles de
Jonathan taper contre mes fesses, ses mains les frapper. Je me touchai la queue, elle
était plus que gonflée, elle allait exploser.
« Ah oui, plus vite, ouiiii, ouii, je viens, ouiii »
Il prit ma queue dans sa main, accéléra ses coups de boutoir et me masturba
énergiquement. Je mabandonnai à lui, je tournais de lil. Jatteignis lorgasme, je
hurlai de plaisir, je cambrai mes fesses au maximum afin de le recevoir le plus
profond possible. Il me pinçait les tétons de son autre main, il membrassait le cou.
« Oui, eeeen, eeeen, ouiiii, aaaah, ouiiiiiii, eeeeeeeeeeeeeeeeeeeen »
Je fus pris de spasmes, trois longs jets de sperme vinrent sécraser, loin, sur le
sol, suivis par quatre autres petits jets. Jen pouvais plus, jétais épuisé. Je
repris connaissance quelques secondes après, jétais couché sur le dos, Jonathan était
entrain de baiser frénétiquement mon orifice, lui aussi allait atteindre le 7e ciel.
Il poussait des cris, respirait fort. Il sortit de mon trou, retira sa capote et
sapprocha de mon visage en se masturbant à toute allure.
« Eeen, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
. »
Les deux premiers jets vinrent sécraser sur mes yeux, les cinq autres vinrent dans ma
bouche. Il sécroula à côté de moi en venant membrasser, et me nettoya le visage.
« Merci monsieur le professeur », dis-je.
« De rien, mon loulou », dit-il en membrassant à pleine bouche, « Vachement doué pour
un débutant en soumission »
« Vous êtes un bon prof », dis-je.
Nous nous relevâmes quelques minutes après, afin de prendre une douche ensemble et se
faire une dernière fellation. Lorsque son homme rentra du travail, il me retrouva
assis à table avec mes livres danglais.
« Je pense que nous avons bien travaillé, noublie pas de revoir le chapitre 3, je te
poserai des questions dessus à linterro »
« Merci beaucoup monsieur »
« De rien, je te raccompagne à la porte »
Il me raccompagna, vérifia que son homme ne regardait pas par ici et membrassa une
dernière fois en me disant quil maimait, et il me laissa repartir chez moi à pieds,
le sourire aux lèvres
Une belle histoire damour commençait
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