Premier Massage Bissexuel

J’ai enfin osé franchir le pas du libertinage.
J’avais bien des fantasmes plein la tête, mais sans jamais oser en parler.
Puis un jour, je suivis une formation aux massages de relaxation, ce qui me fit
découvrir un univers de douceur et de sensualité.
Je massai alors régulièrement, des consœurs de travail. Parfois, mes doigts en
s’égarant, s’attardaient sur une zone érogène ou glissaient vers un repli intime.
Devant la réaction offerte de mes « patientes », j’allai jusqu’à les caresser
ouvertement et les amener au plaisir.
J’avais fait cela plusieurs fois avec une amie mariée et j’avais très envie d’aller
plus loin avec elle. Nous en parlâmes, mais elle me dit alors, ne pas encore se sentir
prête à se donner à moi.
Puis un jour, elle m’invita chez elle pour un massage et me promit une surprise !
Je me rendis chez elle, la tête tout excitée des fantasmes les plus fous.
Qu’allions nous faire tous les deux ?

Tous les deux ? Non, non ! Tous les trois !

En effet, à ma grande déception, ce fut son mari qui m’ouvrit la porte !
Il m’accueillit et me guida vers le salon. En chemin, il m’expliqua que sa femme lui
avait raconté combien je massais bien et qu’il comptait que je lui montre comment
faire.
Que lui avait-elle dit réellement ?
Lui avait-elle avoué mon exploration de son intimité ?

Elle nous attendait dans la pénombre du salon, en peignoir de satin blanc, largement
entrebâillé sur son corps nu.
Elle était vraiment superbe !
Je la voyais en effet pour la première fois nue, debout devant moi.
Elle laissa tomber le peignoir à ses pieds et se hissa sur la table de la salle à
manger, recouverte d’un drap de bain. Je me mis en tenue (en short et débardeur pour
être très à l’aise) et commençai mon massage très sensuel, mais tout de même sage : le
cou, puis le dos, les reins… Lorsque mes mains arrivèrent sur ses fesses, elle se
cambra en gémissant et me tendit sa croupe.

Jusque-là spectateur, son mari s’approcha et me demanda s’il pouvait participer.
Oui bien sûr !
Ses mains se posèrent directement sur les fesses de sa femme et l’une d’elle se glissa
dans sa moiteur intime. Elle gémit encore. Mes mains allaient remonter vers ses reins,
quand le monsieur posa sa main sur la mienne et la guida vers l’entrejambe de Madame.
Il me sourit et me dit en murmurant, « tu fais ça mieux que moi, parait-il ».
Plus de doute possible !
Je caressai alors Madame, mes doigts la pénétrante profondément.
Arrivé à son anus, la voyant s’offrir, j’y introduisis mon pouce. Elle se trémoussa de
plus en plus sous mes doigts.
Son mari rejoignit son visage et l’embrassa goulûment.
Elle se retourna alors. Je la caressai à nouveau et dans mon excitation, me plaçant
entre ses jambes, je vins lécher sa chatte ruisselante. Elle en cria son plaisir !
Elle resta pleine de spasmes sous mes caresses, qui redevenant tendres et douces, lui
permirent d’atterrir en douceur.
Je me doutai alors que nous n’en resterions pas là : son mari commençant en effet à se
déshabiller. Elle se redressa en douceur et quitta la table.
Me souriant puis m’embrassant à pleine bouche, sa main se glissa vers mon sexe bandé
dans mon short trop étroit.
Pendant ce bref instant, son mari s’était couché sur le dos à sa place, son sexe
dressé, « très présent ».
Elle me murmura à l’oreille,

- Maintenant, ça va être son tour. Caresse-le et fais-le jouir.

Un peu surpris, je posai mes mains sur son ventre et commençai un massage en rond de
ses abdos. Mais elle poussa mes mains vers ce sexe dur devant moi.
Partagé entre gène et excitation, je m’exécutai et commençai à le branler en douceur.
C’était la première fois que je faisais ça à un autre sexe que le mien.
Il ferma les yeux et se laissa faire.
Sous son encouragement, je m’appliquai alors à lui caresser les couilles et insister
sur son gland. Son sexe devint violet, se raidit entre mes doigts et grossit encore.
Visiblement, il appréciait.
À son premier gémissement, alors que j’accélérai les va-et-vient sur sa hampe, penché
en avant, sa femme me passa la main dans mes cheveux. Imperceptiblement, elle poussa
mon visage vers son gland, là juste devant moi. Je ne me défendis pas et descendis mes
lèvres pour le frôler.
Et sans m’en rendre compte, j’ouvris la bouche et l’y introduisis.
Elle rythma mon va-et-vient en appuyant d’une main sur ma tête. Rapidement, je le
caressai de la langue.
Passant alors derrière moi, elle sortit mon sexe de mon short et me caressa à son
tour. Je fus tellement excité que j’accélérai le rythme de ma succion.
Sans prévenir, il explosa dans ma bouche, au point que sa semence chaude et abondante
faillit m’.
Je continuai à le sucer. Son foutre coula aux coins de mes lèvres et je jouis à mon
tour dans la main de sa femme.

- T’es vraiment bon, me dit-il en se relevant et en me guidant vers la douche.

Je me suis relevé rouge de honte et de confusion :
à la fois excité par le plaisir pris et honteux de cet acte, que je n’imaginais jamais
réaliser !