Fantasme 1: La Voisine

J'étais seul chez mes parents, ce qui était très rare vu que je n'habite plus chez eux
depuis des années. Il faisait beau et chaud ce jour là et je portais le strict minimum
en terme de fringues: un short, un débardeur et une paire de tongs, rien d'autre.
M'ennuyant un peu, je suis sorti fumer une clope pour passer le temps et elle était
là. La voisine de chez mes parents est une petite femme d'environ trente ans. Elle est
brune, cheveux courts et surtout un peu ronde. Elle portait une petite jupe plissée
mettant en valeur son cul bien bombé ainsi qu'un décolleté profond montrant sa
poitrine extrêmement généreuse. Elle du ventre et des cuisses enveloppées mais elle
s'en fout, elle est comme elle est et elle assume. Cette femme m'a toujours fait
bander par ses rondeurs et par le fait qu'elle les assume. Nous ne nous étions jamais
parlé auparavant, échangeant à peine un bonjour ou un signe de tête pour se saluer
mais aujourd'hui c'est différent, je suis seul et elle aussi.

En me voyant, elle s'approcha de moi et nous avons discuté de diverses banalités au
dessus du petit muré qui sépare les deux jardins. Ne me demandé pas de quoi nous avons
parlé, je n'ai rien écouté, j'étais plus occupé à scruter ses courbes et à détailler
sa sublime paire d'obus pour être concentré. Elle du s'en apercevoir car elle me prit
par le menton pour que je la regarde dans les yeux. Elle me demanda se que je
regardais avec autant d'insistance et je ne pus lui répondre. Je devais rouge comme
une tomate d'avoir été pris par le fait comme ça mais elle me sourit, un sourire un
peu coquin soutenu par un regard qui pétillait d'envie. Elle n'en dit pas plus et
retira son maillot pour littéralement me jeter à la figure un 105E maintenu par un
soutien gorge rouge du plus bel effet. Je pris ça pour une invitation et je me mis à
la peloter sans retenue.

Quel sensation d'avoir ces deux seins entre les mains, un pur
bonheur que je voulus intensifier en lui enlevant sa lingerie. Elle se laissa faire et
m'encouragea même en m'embrassant avec passion.

Ensuite, tout alla très vite. Elle m'enleva mon short, libérant ma queue déjà raide et
se mit à genou devant moi. Elle commença à me sucer, ses seins lourd pendant un peu à
l'air libre. Elle s'y prenait comme une reine et alternait mouvements rapides et lents
pour éviter que je ne lui décharge tout dans la bouche. J'étais tellement excité que
je du lui arracher ma bite de sa bouche pour ne pas jouir trop vite. Je la fis
s'allonger sur l'herbe et lui enleva sa jupe. Elle avait un petit string qui se
perdait un peu entre ses rondeurs. Je trouvais ça super excitant et lui arracha
littéralement pour lui bouffer sa grosse chatte lisse et épilée. Elle mouillait
énormément ce qui donnait un goût enivrant à son clitoris. Ma langue jouait avec ce
dernier pendant que je la doigtais comme un fou. Ma main libre parcourais son ventre
rond, ses seins opulent et toutes les parties charnues et attrayantes de son corps. Je
m'arrêtais juste à temps pour ne pas la faire jouir. Elle me fit m'allonger et se
plaça au dessus de moi.

Sans préambule, elle s'empala sur mon membre dur et chaud n'attendant que ça. Elle
s'activa comme une folle pendant quelques instants avant de partir dans un orgasme
tonitruant. Je n'ai jamais entendu une fille jouir comme ça, elle hurlait de plaisir à
tel point qu'on a du l'entendre à l'autre bout de la France. Je fus tellement sidéré
par cette manifestation de plaisir que je n'ai pas pu jouir, je suis resté bloqué
comme un con. Comme je bandais toujours et qu'elle avait eu son compte de belle
manière, elle voulu me faire plaisir en se mettant à quatre pattes. J'allais lui
mettre dans la chatte quand elle me dirigea vers son cul en me disant d'y aller bien
fort. Il y faisait chaud et serré et chaque coup de butoir la faisait crier de
plaisir. Rarement j'avais eu l'occasion d'enculer une fille si serrée qui aimait
autant la bite et je suis venu au bout de quelques secondes seulement. Je lui ais
inondé le cul qui dégoulinait encore quand elle s'est relevée. Elle m'a embrassé, m'a
remercié puis elle s'est rhabillée avant de rentrer chez elle.

Bien sûr toute cette histoire n'est qu'un fantasme, jamais je n'ai pu la toucher ni la
baiser mais sa description est réelle ainsi que sa tenue vestimentaire. J'espère que
si elle me lit un jour, qu'elle me fasse un signe me disant qu'elle aimerait, elle
aussi, que cette histoire devienne réalité.