L'Anniversaire De Pauline
Ce samedi soir, je suis invité à la petite fête pour l'anniversaire de Pauline, la
seconde fille de mon amie Marion.
J'arrive vers 20 heures à l'appartement de mon amie, un bouquet de fleurs pour elle
et, un paquet dans lequel était bien caché le cadeau de Pauline, qui fête dix sept
ans.
Je sonne à la porte d'entrée. Quelques secondes plus tard, la porte s'ouvre et, là, ce
n'est pas la maîtresse de maison qui m'accueille, mais mon petit bout de choux de
Sandra. Sandra est la petite dernière et aussi ma filleule. Elle est folle de joie
daccueillir son tonton.
Bonjour mon tonton, tu sais, je suis contente que tu es venue.
Bonjour ma petite chérie. Alors, aujourd'hui, c'est la fête... ! Pauline est là ?
Oui. Elle est avec ses copines.
Vas me la chercher, que je lui donne son cadeau.
Sur ces quelques mots, j'entre dans le salon. Il y avait bien du monde. Amandine
l'aînée de la fratrie, Pauline et ses copines que je ne connaissait pas, évidemment.
Je salue tout le monde. Sur le fait, Marion sort de sa cuisine où elle était en train
de préparer en vue de festoyer un peu avec les amies de Pauline.
Là, Pauline nous rejoins. Je lui donne le paquet cadeau et, commence à l'ouvrir.
Dis moi tonton Régis, qu'est ce que tu m'as offert ?
Tu vas voir. Un cadeau, c'est aussi un secret. Alors, à toi de le découvrir.
Le paquet déchiré laisse apparaître une jolie petite boite avec plein de couleurs.
Elle ouvre la boite avec précipitation et, quelle surprise pour cette jolie demoiselle
qui fête son anniversaire.
Whaoo, merci beaucoup tonton. Je m'attendais pas à un aussi beau cadeau... !
Et bien, je suis très heureux que ça te plaise autant.
Avec ça, je vais pouvoir faire la belle quand je sortirai en ville.
L'instant passé, Sandra, qui regardait sa grande sur ouvrir son cadeau avec envie, se
retourne vers moi et me demande.
Et moi, tonton, tu m'as rien acheté ?
Et non, pas aujourd'hui. Mais tu sais que ton anniversaire c'est bientôt. Alors, ne
t'en fais pas . Tonton va te combler comme à chaque fois.
Pauline vient me faire un gros bisou pour me remercier, puis elle reprend ses
causeries avec ses amies. Là Sandra, me prend par la main et me demande de la suivre
dans sa chambre pour me faire voir ses derniers joujoux que le Père Noël lui avait
amené.
Je la suis sans poser de question. Nous prenons l'étroit couloir qui conduit aux
chambres. Lorsque nous arrivons à la hauteur de la salle de bains. La porte n'était
même pas fermée. Là, mon regard est attiré par une image plutôt surprenante mais, tout
aussi agréable à observer.
Devant le meuble vasque, une jolie demoiselle que je n'avais jamais vu, juste revêtu
d'un soutien gorge et d'un string, était en train de se faire, je ne sais quoi, devant
le miroir.
Cette image, m'a quelque peu troublé. Mais par politesse, j'accompagne ma choupette de
Sandra jusqu'à sa chambre. La voilà qui me montre ce que le père Noël lui avait amené.
Mais comme mon esprit était resté au niveau de la porte de la salle de bains, je
prétexte très vite une envie d'aller au toilette afin de retourner au plus vite voir
si la belle était encore bien là.
Je laisse ma filleule s'amuser dans sa chambre. Moi, toujours sous le charme de ce que
je venais d'observer, je ressors de la chambre et me dirige, à toute hâte, vers la
salle de bains. La porte était, cette fois, légèrement entrouverte. Mais suffisamment
pour que je puisse bien voir que cette belle créature était effectivement toujours là
et, toujours aussi légèrement vêtue.
Je m'arrête devant la porte et, passe la tête dans l'ouverture. Là, une voix s'adresse
à moi.
Coucou. Tu as besoin de la salle de bains ?
Alors, j'entre, en prenant bien soin de refermer la porte derrière moi et, je lui
répond.
Oui et non. Ça dépend de toi !!! est ce que je peux... ?
Oui. Bien sûr. Excuse moi. Je pensais être seule. Je suis presque nue, ça te dérange
pas ? Je finis de me démaquiller avant de prendre une petite douche... Mais si tu
veux, on peut parler un peu toi et moi pour faire connaissance. T'es d'accord ?
Oui. je pense même que c'est une excellente idée. Moi, c'est Régis. Je suis le parrain
de Sandra. Et toi ?
Moi je suis Charlotte, la copine d'Amandine la grande sur de Pauline et de Sandra.
Ah, je vois qu'Amandine a une copine très sympa et surtout très charmante. Si j'osai.
Je te dirai même que tu me plais beaucoup.
Merci bien. Mais moi, je savais pas que ma copine avait un tonton aussi jeune.
Enfin jeune. Faut pas exagérer.
Pourquoi tu dis ça. Moi, je te trouve très jeune et très séduisant. T'es mieux que nos
copains du lycée. Ils sont bêtes et en plus, la plupart sont des matchos pas possible!
Pour garder un peu de distance, par respect de cette jeune fille, j'étais resté près
de la porte pour lui faire la causette. Mais, mes yeux ne lâchaient pas d'un pouce
cette jolie créature. Tout en parlant, Charlotte se défait de ses deux bouts de tissus
qui la recouvraient. Là voilà, maintenant, nue comme un vers. Faisant mine de rien, je
me rapproche doucement d'elle. Et, à ce moment là, elle se retourne et offre à mon
regard son corps en entièrement dévêtu. Je dois dire que j'ai été agréablement
surpris. Charlotte est ce que l'on appelle une petite bombe. Un petit mètre cinquante
ou guère plus, des yeux de biche de couleur noisette tirant sur le vert. Les cheveux
longs liés en chignon, mais qui doivent lui descendre au moins à la moitié du dos. Une
bouche avec de belles lèvres pulpeuses en forme de cur. Une poitrine magnifique, deux
seins bien ronds et fermes, un bon bonnet C. Un ventre un tout petit peu arrondi sur
de très belles hanches.
un pubis totalement lisse laissant apparaître une fine fente que je m'imagine déjà
déguster avec ardeur.
Et là. La belle me dit avec une voix douce et un peu aguichante.
Alors. Comment tu me trouves.
Très bien, et même encore plus. Je te croquerai bien si tu m'y autorises... !
Je vois que tu comprends vite. T'es un tonton coquin, toi... !
Pourquoi tu dis ça ? Si je t'avais pas vu. Je serai pas là avec toi, dans cette salle
de bains, toute nue. Tu crois pas ?
D'accord. Je n'aurai peut être pas dû laisser la porte ouverte... ! Mais, après tout,
je regrette pas. Et puis, pour rien te cacher, maintenant que tu es là avec moi, j'ai
une envie. On va passer un bon moment toi et moi... ! Qu'est ce que tu en penses ?
Si tu le dis. C'est que tu as certainement une petite idée derrière la tête !!!
Oui, j'ai une grosse envie de faire un super câlin avec un homme. Un vrai... !
Merci, c'est gentil de ta part. Mais, tu sais, j'ai un peu d'expérience. En observant
ton manège, j'avais compris ce que tu voulais. Je pense même que ça va bien coller
entre nous. Tu vas voir. Je bien m'occuper de toi... !
Ça, j'en suis sûre... Bon. Je me jette vite sous la douche. Tu m'attends. J'en ai pas
pour longtemps.
OK. je t'attends et, même si tu veux, je viens te frotter le dos et le reste aussi. Si
tu es toujours d'accord.
Oui, avec plaisir. Comme ça, ça me va très bien.
Mademoiselle Charlotte rentre dans la baignoire et fait couler l'eau sur elle. Puis
commence à se passer le savon sur son corps de déesse. Les yeux grands ouverts, je
contemplais cette beauté en train de frotter ses merveilleux seins, puis son ventre.
Ensuite elle se retourne, les fesses dans ma direction et, se penche vers l'avant pour
savonner ses jolies jambes. Quelle vue d'un coup.
l'intimité de cette belle jeune fille qui est offerte à mon regard. Dans la seconde
qui suit, je sens dans mon caleçon une grosseur se profiler. Et là, je ne peux me
retenir plus longtemps.
Dis moi, ma belle, je peux venir te savonner le dos ?
Oh oui bien sûr.
Bon. Je me mets un peu plus à l'aise et je viens.
Je me débarrasse de mes vêtements. Je m'approche de la baignoire pour la rejoindre. Et
bien sûr, malgré moi, jexhibe mon sexe en érection. Là, Charlotte se retourne vers
moi et, constatant l'état de la situation me dit en riant... !
Je vois que t'es en forme !!! C'est moi qui t'excite comme ça ?
Il se pourrait bien... Car, je ne vois personne d'autre dans la pièce. Tu vois
quelqu'un d'autre, toi ?
Non. Allez viens vite, que je m'occupe de ça ? Je vais soigner très vite cette grosse
chose qui va me faire beaucoup de bien... !
Je rejoins, dans la baignoire, la demoiselle. Aussitôt à ses côtés elle s'accroupit et
prend mon sexe pour l'engloutir presque en entier dans sa bouche. Oh, quelle
habileté... Elle me suce comme une morte de faim. Il n'est plus question de lui laver
le dos ou quoique ce soit. La demoiselle s'affaire sur mon bâton à la vanille presque
à me faire gicler. En moi même, je me dis. C'est pas une bouche, mais un aspirateur
qu'elle a, cette fille. Qu'est ce que c'est bon. Voilà une petite nana, de tout juste
18 ans, qui se débrouille comme une vraie pro... Une fois cet instant passé, je lui
propose de lui rendre la monnaie de la pièce. Elle relâche l'instrument pour un court
instant. Jatt une sortie de bain, qui était accrochée juste à côté de la
baignoire. Je la met au sol et, m'y allonge, dessus, sur le dos. Ma belle partenaire
vient se mettre à cheval sur moi de façon que je puisse lui lécher sa fente brûlante
et, elle, reprendre le travail qu'elle avait si bien mené jusqu'à présent. Pas plus
tôt remis au boulot, la jeune fille se met rapidement à gémir sous l'effet de mes
coups de langue. Notre petit manège va nous emmener à une jouissance mutuelle. Pendant
que je lui déversais une grosse giclée dans la bouche, je me délectais de son jus qui
me dégoulinait dans la bouche. Dieu que c'était bon... !
Là, Charlotte me dit comme ça.
On va pas en rester là ? Moi, j'ai envie d'autre chose. Je veux te faire l'amour et
que tu me fasses jouir encore.
Oh, attends ma cocotte. Moi non plus, je ne veux pas rester sur ma faim. Là, on n'est
qu'à l'apéritif qu'est ce que tu crois ?
Ah, comme ça, ça va mieux. J'ai eu peur que tu me laisses sur ma faim, moi aussi.
Non pas question. Je te fais tout ce que tu voudras. On est tranquille là et, personne
va venir nous chercher ici. Tu crois pas ?
Si.
Enfermés dans notre salle de bains, nous entendions ça et là les échos de la fête qui
se déroulait au salon. Ça riait, ça criait, ça chantait aussi. Et, je pense que
personne ne s'était aperçu de notre absence. En tout cas, nous, ça ne nous dérangeait
pas le moins du monde.
Enfin, comme dit le forgeron, il faut battre le fer quand il est chaud. Alors, très
vite, nous avons repris notre activité. Après une mini toilette, sexuelle surtout,
nous voilà à nouveau en plein effort. Charlotte, elle, s'est chargé de remettre le
bâton debout et, moi, je me suis remis à lui déguster sa belle vulve toute lisse. Cela
dit, cela fait. La demoiselle prend appui sur la vasque, écarte largement ses jambes
et me dit d'un air décidé.
Maintenant, c'est à toi. Enfonce moi ta banane dans ma petite chatte et, fais moi
grimper au ciel.
A cette demande, je ne réponds pas. Je me contente, avec un immense plaisir,
dexécuter son désir.
Je présente le bout du marteau niqueur, oh pardon, piqueur à l'entrée de sa fente
toute dégoulinante de mouille et, hop, me voilà à l'intérieur d'une fournaise, d'un
volcan ou je ne sais pas comment appeler ce sexe, tellement c'est incroyablement
excitant. A peine ma verge avait commencer ses va et vient que la belle Charlotte
entame cette divine chanson dont les paroles ne sont que Ah, Oh, Hum c'est bon et
autre Oh my good ou encore vas y... ! Bref la demie heure qui suit n'est que du
bonheur, tant pour elle que pour moi. Même, après avoir passé en revue les principales
positions, à un moment, charlotte me demande.
Dis moi, j'ai envie de te donner ma virginité.
Surpris, après lui avoir limé pendant près d'une demie heure sa fente. Je lui répond.
Comment, ta virginité... ! Après ça, je pense pas que sois encore vierge, quand même.
Non gros bêta que tu es. Oh, excuses moi... ! T'as pas compris, ou je me suis mal
exprimée. C'est mon petit trou qui, lui, est encore vierge.
Alors là, je pars à rire et, je lui répond.
Ah OK, je n'étais pas connecté correctement. S'il n'y a que ça pour finir de te
combler. Il n'y a aucun problème.
Merci. Je savais que je pouvais compter sur ta gentillesse.
Alors, je ressors mon manche de pioche de la vallée des merveilles. Je lui prépare son
petit orifice en m'appliquant bien pour ne pas lui faire mal lors de la pénétration.
Et une fois bien dilaté, je lui propose cette délicate opération. Bien cambré sur les
jambes, les fesses largement ouvertes, il ne me reste plus qu'à frapper à la porte
pour pouvoir y entrer.
Tout en douceur, la grosse banane pénétra la petite rondelle étoilée. Et
insensiblement, elle s'enfonça dans l'inconnu de ce trou noir. Après une partie de va
et vient bien soutenu et de gémissements bien mérités, nous partons, Charlotte et moi,
dans une jouissance extrême. Je lui décharge, à nouveau, le flot de ma semence à
l'intérieur de son intimité.
Merci, tonton Régis. Je viens d'accomplir un fantasme que j'avais peur de réaliser
avec un jeune de mon age. Ils sont trop brute. Avec toi, ça a été fantastique. Merci
encore une fois.
Pour moi, Charlotte, ça a été même plus qu'un plaisir de faire l'amour avec toi. Et,
tu vois, si tu es d'accord, on pourrait se revoir souvent.
Bien sûr. C'est quand tu veux. On se donne nos téléphones.
Oui. On va retourner au salon et on va bien trouver de quoi écrire.
Bref, nous nous refaisons une beauté, surtout Charlotte, nous nous habillons et, nous
rejoignons tout le monde au salon encore en train de festoyer.
Pratiquement personne ne s'était aperçu de notre disparition si ce n'est Marion, qui,
discrètement est venue me demander où nous étions passés Charlotte et moi.
Ce à quoi, je lui est répondu.
Charlotte et moi. Nous nous sommes retrouvés dans la salle de bains. Et de fil en
aiguille, nous avons parlé et puis, les choses faisant, nous avons trouvé que nous
nous plaisions bien. Et qu'enfin, la température s'élevant beaucoup trop, nous nous
sommes mis à notre aise et puis, nous avons eu envie de faire l'amour ensemble.
Marion, n'a pu s'empêcher de partir dans un fou rire et, de finir par me répondre.
Et bien mon cochon. Je n'aurai jamais pensé qu'une aussi jeune fille t'aurait fait
basculer comme ça. Tu ne m'as jamais proposé ce genre de chose à moi... ! Mais
t'inquiètes, tu perds rien pour attendre. La prochaine fois que tu viens me rendre
visite, ce sera à mon tour.
Et bien tu vois, je ne savais pas comment aborder le sujet avec toi. Ça fait tellement
longtemps qu'on se connaît...
Donc, moralité de l'histoire. Les rencontres les plus improbables sont très souvent
les meilleures.
Zizou.
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