Camping Sauvage

Parler de soi est une chose difficile, je vais néanmoins tenter de raconter mon
histoire, notre histoire devrais-je dire puisque je suis marié, et que ma petite femme
a vécu avec moi cette merveilleuse aventure.

Avant toute chose, je voudrais commencer par nous présenter, je suis Laurent, trente-
quatre ans, et ma femme, Cécile a trente-trois ans. Nous nous sommes rencontrés il y a
de cela maintenant seize ans, dans la village où nous avons toujours vécus, elle est
secrétaire, moi employé. Notre rencontre est basée sur une véritable obstination de ma
part à réussir à la séduire, et tout ceci c’est transformé en un amour très fort et
durable, puisque nous sommes mariés depuis dix ans. De suite nous avons eu une très
grande complicité, et ce dans tous les domaines, aucun sujet n’étant pour nous tabou.
Nous avons donc construit une relation faite d’écoute, de respect, de compréhension,
dans le plus grand naturel. Bien sur il nous arrive d’avoir quelques tensions, dues au
stress de la vie quotidienne, comme chacun peut le ressentir dans nos sociétés
occidentales, mais elles ne sont pas très importantes et ne risquent jamais d’ébranler
les bases de notre amour. Nous avons compris que l’essentiel était notre relation, qui
est la base de notre épanouissement.

Bien entendu, notre vie sexuelle est aussi basée sur cette grande complicité, la
première fois que nous avons fait l’amour fut une chose inoubliable, que l’on se
remémore encore maintenant avec beaucoup de plaisir. L’entente fut immédiate, elle se
donna a moi totalement, nous étions d’ailleurs sur que cela ne pouvait être autrement,
et on savait l’un et l’autre que nous allions vivre ensemble.

Pour décrire Cécile, je ne dirais qu’une chose : elle est la plus belle fille que j’ai
jamais rencontré, depuis maintenant seize ans que l’on est ensemble, je la désire
toujours autant.

Elle n’est pas très grande, des petites fesses craquantes et
rebondies, des hanches parfaites, et je ne parle pas de ses seins qui sont d’une
rondeurs exquises, avec des petits tétons foncés… Je craque littéralement, et je pense
ne pas être le seul. Son visage est très doux, des cheveux longs et frisés, des yeux
d’un bleu étincelant et un sourire divin, qui rayonne la joie de vivre, quand elle me
regarde tendrement en me disant qu’elle m’aime, je ne peux que m’avouer vaincu!

Nous avons commencé à parler de nos fantasmes très tôt dans notre relation, parlant
librement de nos envies, sans chercher à se dissimuler, à mentir, ou à refouler nos
désirs. Nous étions d’accord que parler des fantasmes ne voulait pas dire ment
que nous les réaliserions, aussi avons-nous compris que nous pouvions tout nous dire
sans crainte du jugement de l’autre. Ma façon d’aborder les relations humaines est
très ouverte, en tout cas je tente toujours de comprendre la personne avec qui
j’établis un contact, en amitié, et envers ma femme bien entendu. Cécile m’a avoué
qu’elle rêvait de faire l’amour avec deux hommes. Je ne suis pas du genre à penser que
seul l’homme peut satisfaire ses envies de triolisme avec deux femmes. Il est pour moi
tout a fait légitime pour une femme de vouloir faire l’amour avec deux hommes. Ayant
moi même l’idée d’être entouré de deux femmes, je me suis toujours dit que l’inverse
devait être possible, en tout cas en fantasme. Nous avons donc « joué » avec cette
idée pendant longtemps, en faisant l’amour. Nous ne souhaitions pas du tout le
réaliser, encore moins avec un inconnu, ce qui n’est pas notre conception de la
complicité et de l’échange. Nous ne souhaitions pas, et Cécile encore moins, être
traitée sans respect et sans douceur, elle ne peut pas supporter la brutalité ni le
manque de tact… Nous avions donc l’habitude de parler de ça en faisant l’amour et
n’avions à aucun moment parlé de franchir le cap.


Je vais maintenant vous raconter ce qui nous est arrivé il y a quelques années, nous
avions un peu moins de dix-huit ans. Pour fêter les vacances et la fin des épreuves du
bac nous avions fait le choix de camper près d’une petite roche surplombant notre
village et Benoît un copain d’enfance était également de la partie. Après s’être
rejoint avec tout notre équipement sur la place du bourg, nous voila parti sans plus
attendre en direction du sentier de randonnée. Au bout de quelques kilomètres de
marche, le rythme donné par Benoît et moi même commence déjà à épuiser Cécile qui n’a
pas l’habitude de marcher à cette allure.

« Je suis morte de fatigue. »

Benoît est surpris.

« Déjà? On est presque arrivé. »
« Oui, mais moi j’ai des petites jambes, quant vous faites un pas, j’en fais deux... »

Je soutiens ma petite femme.
« Ok, et en plus, ça n’arrête pas de monter, on va ralentir un peu… »

Après quelques kilomètres, nous voici enfin arriver à notre destination, la paysage
est magnifique et il fait super chaud. Nous installons la tente quatre places sur le
seul petit coin d’herbe que nous trouvons à cette altitude. La nuit commence à tomber
et nous nous empressons de faire du feu, pas qu’il fasse froid mais pour pouvoir faire
à manger et surtout discuter à la lueur des flammes. Le repas expédié, nous discutons
des difficultés rencontrées lors des épreuves du Bac et ce n’est que vers 23h que nous
décidons qu’il est temps de nous coucher… La chaleur dans la tente est insupportable
et nous oblige à rester en petite tenue, Benoît et moi en caleçon et Cécile ma douce,
en petite culotte et tee-shirt long. A peine entré dans notre sac de couchage deux
places que Cécile retire son tee-shirt, il fait vraiment très chaud…

Le fait de sentir son corps presque nu contre moi m’excite au plus haut point et mes
mains de tarde pas à courir sur son corps, je caresse ses seins puis doucement je
descends, je glisse sur ses cuisses et remonte jusqu’à sentir la lisière son slip.
Je
suis surpris qu’elle ne me repousse pas étant donné la présence dans la tente de notre
ami, je m’empresse de lécher ses seins, d’embrasser, je suce son téton qui s’allonge
sous les caresses de ma langue. Elle ne perd pas non plus son temps et me branle à
travers mon caleçon. Mon sexe est dur et n’attend que sa libération, ce qui ne tarde
pas ; Cécile s’empare de mon dernier rempart et le descend le long de mes jambes, tout
ceci ne me semble pas très discret mais j’ai trop envie de prendre mon pied. Elle
s’empare de ma bite, elle la serre comme pour vérifier que je suis excité. Elle se
glisse entre mes jambes et sa bouche se pose sur mon gland tandis que ses mains
glissent sur ma hampe ; je jette la tête en arrière en fermant les yeux pour mieux
ressentir toutes les sensations qu’elle me procure, mais je ne veux pas jouir trop
vite et à ce rythme là, je ne tiendrai pas longtemps. Je me retire de sa bouche, la
couche sur le dos et je la saisis par les hanches et l’attire à moi, je plonge vers sa
chatte, à cette époque, Cécile ne se rasait pas encore les lèvres et une toison
entretenue recouvrait son pubis. Ma langue impatiente se met à la fouiller, écarte ses
lèvres, la pénètre, elle est chaude et mouillée. De temps à autre je prends son petit
bouton pour le sucer, le pincer avec mes lèvres, je l’écrase doucement avec ma langue,
le suce de nouveau. Je passe mes mains sur ses fesses que je pelote avec force pour
mieux la plaquer contre ma bouche. Ses mains sont posées sur ma tête et me guident en
appuyant ou en me repoussant au gré de ses frissons. Je la sens qui coule, elle
tremble sur ses jambes, pour moi c’est le signe d’une jouissance proche, alors
j’appuie mes caresses, ma langue la pénètre, la fouille avec plus de force et au
moment où je la sens prête à craquer, je saisis son clito entre mes lèvres et le suce
jusqu’à ce qu’elle tire mes cheveux avec forces, elle n’a laissé échapper aucun son et
cela a dû être très dure pour elle qui a l’habitude de crier son plaisir.
Pendant
quelques minutes elle reste ainsi avec de petits soubresauts.

Une fois ses esprits revenus elle me retourne, redescend sous le duvet et s’empare de
mon sexe et se met à le branler et recommence à me sucer. Je la laisserais bien aller
jusqu’au bout, mais je sais qu’une fois le plaisir passé, il va falloir attendre pour
que je me retrouve avec une telle érection. Elle pose ses doigts comme sur une flûte,
puis sa bouche happe ma bite, je glisse ma main droite sous le duvet et trouve de
nouveau son minou tout chaud, je la pénètre de deux doigts, je sens son souffle chaud,
sa langue joue avec le gland, puis mon gland disparaît entre ses lèvres pendant que
ses doigts font des allées et venues sur mon sexe. Cela m’assure un plaisir immense.
Cécile aime sucer et moi j’aime qu’elle me suce, elle a longtemps tardé à me faire ce
petit plaisir, mais depuis ce jour, cet acte fait partie intégrant de nos
préliminaires… Mon sexe palpite sous ses caresses, plusieurs fois je me crispe de peur
de jouir. Je n’en peux plus et lui fait comprendre d’arrêter si elle ne veut pas que
je lui jouisse dans sa bouche. Elle se relève sans bruit et se place au dessus de moi,
je la saisis par les hanches et l’attire à moi, je plonge dans sa chatte mon sexe
impatient, je me met à la fouiller, écarte ses lèvres, la pénètre, elle est chaude et
mouillée. Je passe mes mains sur ses fesses que je pelote avec force pour mieux la
plaquer contre mon sexe. Ses mains sont posées sur ma tête et son visage est collé au
mien, je sens sa respiration et je me demande comment Benoît ne peut entendre se que
nous sommes en train de faire à côté de lui, même pas 50 cm nous sépares… Cécile ne
semble plus avoir en tête que nous avons un témoin de nos ébats et elle ondule, joue
avec nos sexes, m’embrasse, nos langues s’unissent, se cherchent, se perdent, pour
mieux se retrouver. Avec tous nos mouvements, nous n’avons même pas réalisé que notre
duvet ne nous couvrait plus, elle est au bord de la délivrance, et moi je ne tiendrai
pas longtemps, elle a du le sentir car elle se redresse, se met à califourchon et me
chevauche avec vigueur, elle sait que j’adore cela. Elle accélère le mouvement pendant
quelques minutes mais brusquement…





…une lumière jaillit dans la tente, Benoît une lampe à la main, son sexe tendu dans
l’autre, découvre Cécile, assise sur mon sexe, les jambes écartées, les grandes lèvres
ouvertes, et pour ne rien arranger, le clitoris écrasé par deux de ses doigts… La
surprise déclenche chez ma douce un orgasme fulgurant et elle s’effondre sur moi. Moi
n’ayant pas jouit, je la positionne de côté et je continue mes vas et vient, ce qui
lui fait renaître un désir quasi instantané. Elle se redresse sur un coude, se
retourne vers moi et me demande de la défoncer. J’accélère le mouvement, elle se met à
gémir sans retenue et là sans que je puisse réagir, elle se saisit à pleine main du
sexe tendu de mon pote de toujours. Au début elle le branle lentement, la
lubrification de son gland montre qu’il n’a rien loupé de notre spectacle et qu’il a
dû se branler un bon moment en nous écoutant. Cela me trouble énormément de voir un
autre sexe que le mien dans la main de ma puce, il est légèrement plus court que le
mien, je dirais dans les seize centimètres environ, mais par contre beaucoup plus
épais et un gland très large, elle peine à en faire le tour avec ses petits doigts.
Les coups de rein que je lui inflige, ne doivent pas la laisser de marbre car elle
branle maintenant frénétiquement le sexe épais de Benoît. Pour lui faciliter la
manœuvre, je la bascule de son côté tout en continuant à la pénétrer. Elle le masturbe
sur toute la longueur, elle s’amuse à la décalotter et le re-calotter lentement. Cette
vision m’excite énormément et je ferme les yeux un instant afin de me calmer. Ce qui
se passe n’arrivera peut-être plus jamais et je compte bien en profiter un maximum. Je
ne suis pas le seul à penser cela car à mon grand étonnement, lorsque j’ouvre les
yeux, Cécile a pris en bouche ce sexe inconnu. Elle ne fait pas mine et je suis
presque jaloux de voir à quel point elle s’applique à faire ce qu’elle a eu temps de
mal à me faire découvrir. Elle lui procure une fellation sauvage, sa queue remplit sa
petite bouche et le spectacle est exceptionnel, j’ai l’impression qu’un film se
déroule devant moi, mais je connais les acteurs. Elle sort de temps en temps ce sexe
qui me parait énorme dans sa petite bouche, elle joue sur son gland avec sa langue et
l’embouche subitement. Je sens la jouissance arrivée au galop, je me retire rapidement
de sa petite chatte trempée et me répand sur sa toison noire. Je m’effondre sur le
matelas et m’assoupis quelques peu. J’entrouvre les yeux sans réellement savoir
combien de temps je me suis endormis, des gémissements me font sortir de ma léthargie.
Ce qui se passe à côté de moi me met « K.O. ». Cécile est couché sur le dos, les
jambes relevées et crie comme jamais sous les coups de rein que lui inflige Benoît, je
n’ai jamais vu le sexe de mon petit cœur aussi distendu, la bite de Benoît rentre et
sort à un rythme éfrenné et le spectacle me redonne un peu de vigueur. Après quelques
minutes de masturbation intense à regarder cette scène, je m’approche et tend ma main
vers les seins de Cécile, elle tourne la tête vers moi et les yeux embués de plaisir,
elle se saisit de mon sexe, m’attire à elle et le prend en bouche. Jamais elle ne m’a
sucé comme cela et la pénétration qu’elle subit actuellement par la grosse bite de
Benoît en est pour beaucoup. Je bande maintenant comme un âne et une idée me traverse
l’esprit. Je propose à Benoît que Cécile vienne sur lui et ils se retournent sans
arrêter leurs ébats, j’ai devant moi le sexe de mon pote qui défonce la chatte de ma
copine, et son petit cul me tend les bras… Je ne résiste pas à cet appel et je
commence à lui lécher la rondelle, elle dandine son postérieur me montrant que ma
petite langue lui plait, une fois bien lubrifié, un doigt débute la pénétration, c’est
la première fois que je lui fait cela. Ne voulant surtout pas lui faire mal et sentant
que son anus est bien serré, je plonge ma main vers son minou et la queue large de mon
pote a l’air de l’exciter, car son minou dégouline fortement. Je récolte un peu de
mouille sur son sexe et je lui étale sur son petit cul, je suis maintenant avec deux
doigts et le troisième débute les aller-retour. Ses gémissements s’accentuant, je me
décide à tenter la pénétration avec mon sexe, je n’ai pas besoin de forcer beaucoup
pour que mon gland rentre, et après quelques va et vient très cour et lent, je suis
presque entièrement rentré. J’entame des mouvements plus régulier et plus intenses, je
sent le sexe épais de Benoît de l’autre côté de ses chairs, nous réussissons à nous
coordonner et le rythme donné à nos mouvements arrache des cris à Cécile, jamais elle
n’a jouit de la sorte. Elle nous ordonne d’accélérer car elle sent qu’elle va tomber.
Nous obéissons à ses désires et après quelques secondes Benoît ne tient plus et il se
cale au fond et jouit longuement dans sa petit chatte. Je sent les jets puissants et …





…Cécile se contracte et a un orgasme intense, les palpitations de son vagin déclenche
ma jouissance, et elle s’effondre brusquement. On s’est ensuite endormi comme cela,
entremêlé et le réveille fut assez tardif, les regards étaient gênés et nous avons
jamais reparlé de tout ceci… cela reste une superbe expérience.

(Pour info, mes très chers lecteurs, la partie entre les deux séries de « … » n’est
que pure invention, cela reste un phantasme de ma douce, plus elle m’en parle et plus
cela devient mon phantasme également…
L’expérience réelle est en fait le récit sans cette partie là, il y avait bien un
copain avec nous dans la tente mais il n’a jamais rien fait même si nous étions pas
franchement discret… dommage qui sait ???)

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