La Secretaire
LA SECRETAIRE
Je mappelle Camille, jai 28 ans, célibataire et fière de lêtre, jaime vivre au
jour le jour. Petite brune, je peaufine mon côté sexy et féminin. Seule ou entre amis,
je sors le soir, drague ou me fait draguer sans chercher à me caser, je méclate voilà
tout.
Côté vie professionnelle, tout va bien aussi, je suis assistante administrative depuis
quelques mois dans une grande société pour un commercial qui se prénomme Sébastien. Je
me suis très bien intégrée dans cette entreprise, et je dois adapter mes horaires en
fonction de Sébastien. Suivant les rendez-vous quil a, il rentre plus ou moins tard,
et je dois toujours attendre son retour pour pouvoir dès le lendemain, moccuper des
commandes clients.
Je dois dire que ce nest pas une corvée de lattendre, il me fait craquer, dans ses
beaux costumes bien coupés, toujours rasé de près, et son parfum
Souvent, jessaye de
le deviner torse nu, dimaginer ses formes, son petit cul
Camille, reviens sur terre
! Mes tenues sexy sont aussi prévues pour lémoustiller mais il reste bien sage, quel
dommage ! Il va falloir que je passe la vitesse supérieure mais je ne veux pas être
vulgaire, rien de tel que la féminité.
Donc, un jeudi matin quand mon réveil sonne, et après une nuit de rêves très
érotiques, je décide donc de passer à laction. Après une bonne douche, jouvre mon
tiroir à sous-vêtements et choisis mon ensemble préféré, blanc, brodés de fils rose
pale, le soutien-gorge en balconnet remontant bien ma belle petite poitrine, et la
culotte, type boxer string, transparente à souhait, laisse paraître ma toison que je
tiens à ne pas raser comme un ticket de métro, mais juste ce quil faut, pour que peu
chose dépasse de mes sous-vêtements. Pour un mec voyeur, cest très excitant,
dapercevoir quelques petits poils sortir de la culotte.
couleur chair, ma minijupe noire fendue à souhait, qui moule mes belles fesses rondes
et fermes, ainsi que mon chemisier blanc qui se croise sur le devant et qui me fait
toujours un décolleté dans lequel les hommes ne peuvent sempêcher de plonger. Sans
oublier mes escarpins, une touche de parfum comme à mon habitude, reste mon manteau
que je laisse ouvert, et voilà, je suis prête !
Quand je me gare dans le parking souterrain, je vois avec plaisir que Sébastien vient
darriver aussi. En me voyant, il sapproche de ma voiture pour mattendre. Profitant
de lopportunité, je descends de la voiture en prenant soin de ne pas tenir ma jupe
qui sentrouvre laissant apparaître aux yeux de Sébastien, la bande de dentelle de mes
bas mais aussi mon large décolleté. En fermant ma voiture, je fais exprès de faire
tomber mes clés, sachant quil se baissera pour les ramasser. Ce quil fait
immédiatement, profitant bien sûr pour jeter un il indiscret, mais je fais celle qui
ne voit rien. Dans lascenseur bondé qui nous mène au 6ème étage, il est tout contre
moi, mais nose rien. Jaurai aimé quil glisse sa main sur ma jambe, glissant sur mon
bas, puis ma peau, remontant jusquà mon intimité, et sentir ses doigts chauds me
caresser à travers le fin tissu.
Mais lascenseur arrive, après avoir fait maintes salutations matinales, nous
rejoignons notre bureau. Jaccroche mon manteau, je sens quil ne me lâche pas des
yeux, et lui propose un café. Le matin, je prends place sur la table de travail pour
le classement des dossiers, je sais que cest lendroit idéal pour le chauffer. Assis
à son bureau, contactant ses clients, il regarde vers moi, je joue avec mes jambes,
tantôt les croisant, tantôt normales (je sais la vue quil a, ayant essayé devant ma
glace à la maison et javoue que, à cette idée, mon entrejambes shumidifie).
Jimagine ma main se poser sur son sexe tendu. Malheureusement cest lheure pour lui
de partir à ses rendez-vous clientèle. Trop excitée par mon petit jeu, je fais un saut
aux toilettes, soulevant ma jupe, je plonge ma main dans ma culotte pour madonner à
un petit plaisir solitaire, bougeant mes doigts, cherchant le plaisir, la jouissance,
pensant à Sébastien, imaginant son sexe rose et gonflé se frottant à moi. Ahhhhhhh !
La journée suit son cours, des idées sexuelles viennent toujours me perturber. Il est
dix-huit heures trente, il nest toujours pas revenu, les retardataires sont tous
partis, je suis donc seule dans lentreprise à attendre son retour. Je me dirige aux
toilettes et me refait une beauté, mon petit jeu allant bientôt reprendre.
Lorsque je reviens quelques minutes plus tard, la lumière de mon bureau est éteinte.
Pourtant, je suis persuadée davoir laissé ma lampe sur mon bureau allumée, jaime
travailler juste avec cette lueur quand il fait sombre dehors. Je mavance donc pour
la rallumer, on me saisit la main, quelle peur ! Le jour se fait, Sébastien est assis
sur mon siège, confus de mavoir fait peur, il profitait de mon absence pour se
relaxer un peu dans le noir. Il se lève et libère ma place, restant comme à son
habitude derrière moi pour me donner ses consignes.
Je le sens différent des autres soirs, sa respiration est plus forte, il se penche
plus vers moi, pour mexpliquer un dossier plus compliqué. Mon jeu aurait-il fait son
effet ? À un moment, je jette un regard en arrière et me rend compte que son pantalon
est tendu, il est vrai que je ne me suis pas gênée pour lui laisser entrevoir mes
jambes et les dentelles de mes bas. Puis sa main se pose sur son sexe quil caresse à
travers son pantalon mais, très vite, il baisse la braguette de son pantalon. Faisant
mine de ne rien remarquer, je continue à lobserver discrètement.
fois quil fait ça, nais-je jamais rien remarqué, où ais-je joué mon rôle à la
perfection ?
Je suis à la fois tendue et excitée, je le vois faire, il sort son sexe de son
pantalon, je ne vois pas bien car je regarde en arrière et que seule ma petite lampe
de bureau éclaire la pièce, mais je me rends compte que lécran éteint de lordinateur
me renvoie son image. À présent, il se caresse, tout en me parlant, je sens les
effluves de son sexe me caresser les narines, je ne sais que faire.
Mais ma pulsion est plus forte que la raison, je me tourne dun coup, le prenant sur
le fait, il a lair mal à laise. Innocente, je lâche un petit « Oh ! » le laissant
sans voix. Je décide donc de prendre les choses en mains (si on peut dire !). Quelle
nest pas sa surprise quand il se retrouve le pantalon et le caleçon en bas des jambes
! Je saisis alors son sexe dans ma main pour le guider jusquà ma bouche. Du bout de
ma langue très humide, je lui nettoie son membre viril sans oublier le moindre recoin,
la moindre petite parcelle de peau, mais en prenant bien soin de ne pas le décalotter.
Une fois bien propre, je me lève et lui ordonne de sasseoir à ma place, me mettant à
genoux par terre, la tête entre ses jambes, je sens ma culotte se mouiller de plus en
plus, tout en reprenant là où je me suis arrêter avant de le faire asseoir. Seulement
là, je lui enfile sa belle verge toute entière dans ma bouche, jouant avec ma langue,
mes lèvres et délicatement, mes dents. Je lui pompe le bout du gland, puis relâche.
Puis jembrasse du bout des lèvres sa pinne toute bandée jusquà sa base pour aller
goûter à ses deux trésors si fragiles, alors, mes baisers se font encore plus tendres,
ma langue plus douce, jaspire tout doucement la peau, profitant aussi du parfum
dégagé par son intimité. Ensuite mes lèvres prennent le chemin inverse, pour faire
totalement disparaître sa virilité dans ma bouche avec des allées et venues beaucoup
plus insistantes, je sens que son plaisir va bientôt venir me donner satisfaction et
titiller mes papilles, son sexe se tend de plus en plus avec des petits soubresauts,
linstant est proche.
continue encore un peu à le sucer, nettoyant les dernières goutes de sa jouissance. Je
me relève sans un mot et me dirige vers les toilettes. À mon retour, nous terminons
rapidement notre travail comme si rien ne cétait produit.
Le lendemain matin, pas de beau commercial en vue, je me pose des questions sur mes
actes, sans rien me reprocher bien sûr, car jy ai pris beaucoup de plaisir, et serait
prête à recommencer si loccasion se présentait. Midi, toujours pas de nouvelles de
lui, je commence à me poser des questions, je suis sure quil men veut, et à trouver
un moyen pour méviter, oh quelle gourde de fait.
17h, aucun appel de sa part, les autres employés administratif sen vont, cest le
week end, je reste seule, attendant mon collègue, comme dhabitude, on verra bien, il
finira bien par venir.
18h 15, il me passe un coup de téléphone me demandant daller durgence à lentrepôt
prendre le dernier listing des stocks, évidement, à mon arrivée, le dépôt venait de
fermer. Je reprends donc le chemin des bureaux.
Il faut vite que je le rappelle, je prends donc place sur mon siège, et tendant la
main vers le téléphone, je sens des caresses sur mes jambes, des mains retirer mes
escarpins, et caresser mes pieds, une bouche et des lèvres les embrasser et les goûter
à travers le nylon de mes bas, je me laisse partir en arrière dans mon fauteuil,
mabandonnant totalement à mon plaisir, ne cherchant même pas à savoir qui se cache
sous mon bureau, même si jen ai lidée. Ses mains parcourent mes pieds, mes mollets,
le creux de mes genoux, quel délice, elles remontent de plus en plus, et dun coup
repartent du point de départ, me faisant languir encore un peu plus. Je suis bien.
Quand, arrivés en haut de mes bas, ses doigts effleurent ma peau nue, un frisson me
parcourt tout le corps, jamais un homme ne mavait découvert de cette manière. Gagnant
du terrain sur mes jambes qui se terminent, je sais et attends avec impatience quil
pose ses doigts sur mon intimité qui doit être inondée de mon désir. Mais cest sa
bouche qui prend le relais, ses dents qui saisissent le haut de mes bas pour les
descendre le long de mes jambes, tout en sentant son souffle qui me parcourt en même
temps. Il se met à jouer avec eux, les glissant sur ma peau, me caressant avec. Il me
couvre de baisers tout en remontant jusquau bas de ma jupe quil relève pour se
cacher dessous et découvrir le petit bout de tissu en dentelle qui dissimule à demi ma
toison brune. Il sattarde un moment sur la fragrance de mon corps ou plus
particulièrement de mon sanctuaire. Je sens son souffle chaud sur ma peau, du bout de
ses lèvres, il pince le tissu, et en même temps effleure mes lèvres intimes, Oh ! Que
cest bon de se sentir désirée ainsi. Il masse mes petits poils pubiens à travers
létoffe, et ma cyprine coule à lhumidifier.
Pris dans un élan de désir, ses gestes jusqualors si délicats, se font alors plus
pressants, comme sil narrivait plus à retenir son envie (sans non plus être
violent), juste plus pressé, ivre de fantasmes, il glisse sa tête sous ma jupe.
Ses mains agrippent mon string pour enfin lui dévoiler lobjet tant convoité, la chose
qui va assouvir son appétit sexuel. Se sont dabord ses doigts, quil introduit
doucement, dans ma vallée, comme calmé davoir enfin vu mes trésors cachés, voyageant
dans tous les creux ou collines quil rencontre, baignant dans la rivière intarissable
de la gorge sacrée. Mes gémissements se font de plus en plus audibles, il profite de
ce moment pour aller goûter au fruit défendu, au petit téton très sensible et qui
bande quand il est sollicité. Sa langue, me déguste, savourant tous les arômes que mon
corps peut dégager.
Jusquà présent, jai réussi à résister, à retenir ma jouissance, mais le moment est
venu de me laisser aller à lextase maximale. Quel orgasme !
Le téléphone sonne, sans réfléchir, je décroche, le poste de garde mindique quun
client my attend. Sans prendre la peine de remettre ma culotte, je sors de mon bureau
pour rejoindre Monsieur Xeller, qui, à ma grande surprise, est en compagnie de
Sébastien
Vous ne vous sentez pas bien Mademoiselle me dit Monsieur Xeller
En effet, jai limpression davoir pris une douche froide.
Sébastien, tu es là depuis longtemps ?
Il est arrivé quand le vigile vous appelait.
Je sens le sol se dérober sous mes pieds
mais qui était sous le bureau alors ?
Ça na pas lair daller, tu ferais mieux de rentrer, on verra les dossiers lundi
matin, ne tinquiète pas, je moccupe de Monsieur Xeller
Daccord, mais je dois retourner bureau avant de partir, bon week-end, leur dis-je.
De retour dans mon bureau, mon mystérieux inconnu ne ma pas fait lhonneur de
mattendre et ma culotte a disparue. Je massois dans mon fauteuil en essayant de
comprendre lincompréhensible.
Sébastien me rejoint quelques minutes plus tard, lair inquiet.
Je suis désolé pour le retard, les bouchons du vendredi soir ! Je nai pas pu
tappeler de la journée, je nai fait que courir dun client à lautre. Jespère que
tu nas pas cru que je voulais téviter, bien au contraire, jai essayé de tout faire
pour revenir le plus vite possible. Pour me faire pardonner, je peux tinviter à
prendre un verre en ville.
Cest avec plaisir que, jaccepte son invitation, me voilà pour une chose soulagée, il
avait apprécié mon initiative de la veille.
Au cours de la soirée, je lui explique ce qui ma mise dans un tel état et sur un air
ironique il me dit :
Dommage que je ny ai pas pensé avant lui
Nous avons beaucoup ri.
Au diable de savoir qui était sous mon bureau, jy ai pris beaucoup du plaisir. Chaque
soir, avec Sébastien, nous trouvons toujours un prétexte pour nous toucher lun et
lautre, mais ne sommes pas encore passé à lacte, et nous concilions très bien le
travail et le sexe, cest même une très bonne motivation. Le week end, nous sortons
chacun de notre côté, ce qui nous fait un sujet de plus à se raconter, nos bons et
mauvais coups.
Par contre un mois après lhomme de ce fameux soir nest jamais réapparu
dommage
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