Ma Nouvelle Libraire
J'aime les livres de sexe: ce n'est pas ce qui manque ceux à lire avec la main gauche.
Je fréquente une librairie depuis plusieurs années. Le libraire laisse son magasin et
le vend à une jeune femme élégante, serviable, surtout très attirante pour moi en tout
cas. Elle ne connaît pas mes goûts. Je ne sais trop comment lui dire que je veux un
livre de cul. J'emploie des moyens détournés: je sais où l'ancien libraire mettait ces
ouvrages. Je me dirige cers l'endroit: ils ne sont plus là. Je suis donc obligé de
demander des livres "osés"; Elle me regarde en souriant un peu: je crois qu'elle a du
me classer comme obsédé. Elle me guide vers le nouvel endroit, me demande quel genre
me plait: elle me les cite. J'ai droit à un cours de déviances: sodomie, lesbianisme,
gays, hétéro, animalité. Je lui demande ce qu'elle lirait elle-même. A ma surprise,
elle me dit qu'elle est attiré par le lesbianisme, sans pour autant coucher avec
d'autres femmes: c'est son fantasme simplement
Je commence moi à avoir un nouveau fantasme: coucher avec elle. Je prends un des
livres; illustré en plus de façon très plausible et précise de femmes qui s'aiment. Je
le lui montre avec l'intention de l'exciter un tant soit peu. Nous regardons ensemble
les illustrations faites d'ailleurs par une femme. Je la regarde tourner les pages: un
peu de rouge vient sur ses joues. Il n'empêche qu'elle feuillette avec plaisir ce
livre. Finalement je lui demande si ce qu'elle vient de voir la conforme dans son
fantasme. Cette fois elle rougit carrément. Elle murmure que oui en plus elle en est
excitée.
Me dire ça à moi qui ferais bien mon quatre heures de cette nana. Je sais comment
fermer la porte pour que personne n'entre. Je n'hésite pas à le faire, elle me regarde
sans rien dire. Peut-être qu'elle aussi aurait fermer pour se caresser, je ne sais.
tout cas je reste près d'elle. Je lui fais deux doigts de cour: elle sait fort bien où
commence ce genre de conversation, il ne tient qu'à elle qu'elle se transforme en
quelque chose de plus
intime.
Il n'empêche que je continue mon baratin: elle est désirable, c'est vrai. Elle est
belle et me plait beaucoup: tout est vrai. Elle me regarde dans les yeux: elle boit
mes paroles. Je n'en peux plus, je pose mes lèvres sur les siennes: c'est elle qui
sort sa langue pour rentrer dans ma bouche. Je n'en suis qu'a moitié surpris. Ses
confidences l'ont excités comme moi. Elle me prend par la main pour aller dans la
réserve, hors de la vue de la vitrine.
Nous nous embrassons à nouveau. Je lui prends un sein, elle me met directement la main
sur la queue bien bandée. Elle cherche la fermeture éclair pour me la sortir. Le plus
fort est qu'elle y arrive facilement. Je ne sais si elle fait ainsi souvent ? Je ne
m'attendais pas à une telle furie. Elle me met à moitié nu. J'arrive péniblement à la
déshabiller. Je vois un corps d'une déesse grecque: une certaine fragilité alliée à un
port de reine.
Je la laisse prendre les initiatives: nous nous couchons sur un lit de camp très
étroit. Nous sommes collés l'un à l'autre. Elle a repris ma bite, me branle presque
immédiatement. Je ne sais qui lui a apprit à masturber un homme, je m'en fous. Elle
entoure ma pine entière dans sa main, la descend et monte sans arrêt. Je la préviens
de ma prochaine jouissance. Elle accélère ses mouvements: quand je jouis elle n'arrête
que quand la dernière goutte est partie. Je l'embrasse longuement.
Elle me demande de lui rendre la pareille. Je mets ma main entre ses jambes bien
ouvertes, avec l'une d'elle sur moi. Je ne cherche pas longtemps son bouton bien plus
grand que la moyenne. Je le mouille avec sa cyprine qui coule déjà de son con.
sais trop comment branler une telle excroissance: elle me guide pour que je la fasse
jouir.
Si en commençant j'avais la queue en berne, vers la fin de la masturbation, avec ses
petits cris, je bande encore. Elle me reprend la bite, non plus pour le branler: elle
me demande de la baiser. Le lit est trop étroit pour baiser confortablement: elle me
laisse toute la place, vient sur moi et mène la danse de l'amour. Elle baise fort
bien. Je suppose que son envie de baiser avec une fille est simplement une façon de
s'exciter pour se branler. Elle me donne un plaisir que je ne connaissais pas encore.
Elle arrive à fermer ou ouvrir son vagin comme pourrait le faire sa main quand elle me
branlait. Et que dire quand elle jouit: son con se ferme presque complètement. Il
m'enserre la pine totalement: je ne pourrais même pas la sortir facilement. Elle jouit
plusieurs fois quand elle m'a en elle.
Enfin elle arrête de me baiser: elle m'enjambe pour faire un 69. Décidément pour une
première fois c'est un véritable succès alors que trop souvent les premières fois son
ratées. J'ai son clitoris dans ma bouche. Je la lèche. Elle m'a pris la queue dans sa
bouche, me suce d'abord le gland et avec un art consommé me fait carrément une gorge
profonde. Même si je voulais sortir de sa bouche avant de jouir, je ne pourrai pas.
Elle me prend les couilles pour les caresser et trouve en plus le moyen de caresser
mon anus. Si elle jouit plusieurs fois encore, je ne peux pas résister à cette bouche.
Je la prévient: elle me garde en elle. Mon foutre part dans sa bouche. Elle se relève
un peu, me regarde et d'un seul coup, elle avale toute ma décharge.
Elle revient sur moi, m'embrasse avec le goût de mon sperme dans sa bouche. Nous
mélangeons nos goûts. Elle m'embrasse sans arrêt. Elle a repris ma bite dans sa main,
me caresse lentement, remet un doigt sur mon anus.
encore: elle se relève, me fait relever, se met en levrette pour que je vienne sur
elle. Je ne sais si elle veut que je la baise dans cette posture. Pour elle c'est au
tour du cul de jouir. Elle se mouille bien la rondelle, prend ma pine pour la poser
sur son cul. J'entre facilement dans son derrière: elle doit se faite mettre là
souvent. Quand je suis à la moitié de ma queue dans son cul, elle me demande de la lui
mettre à fond comme si ce n'était pas mon intention. Encore plusieurs jouissances. Je
me retire complètement ratatiné. Elle en veut encore: elle écarte ses jambes vient sur
ma tête pour que je la vois se branler.
La pudeur ne doit pas faire partie des ses vertus cardinales. Quand elle jouit, elle
vient se coucher sur moi. Nous nous embrassons longuement.
Je lui demande si elle a pensé un seul instant à une baise avec une autre fille. Pas
du tout, mais ce soir, en se couchant, quand elle se branlera avec son gode, elle en
rêvera. Et moi alors, Toi, se sera pour demain après midi.
Vous le croirez ou non, nous baisons ensemble depuis plus de 3 ans.
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