Mes Premiers Pas En Tant Que Candauliste ( Partie 2)
Depuis quelques matins maintenant ma chérie sapprête différemment et avec beaucoup plus de sensualité. Le sexe est plutôt conséquent entre nous depuis la visite de Gregory la semaine dernière. Ce matin-là elle me fait part du désir de le revoir un de ces jours car elle aimerait jouir comme lautre soir. Etonné, je lui dis quentre nous cest plutôt intense, mais elle sourit en me disant quelle aimera toujours le sexe et la vie avec moi, mais que selon son ressenti de cette première fois entre eux, il savère à ses yeux que je suis bien inférieur à lui en terme de capacité, de rudesse et de durée.
Bien que contrarié, je ne peux effectivement pas nier que plusieurs hommes lui feraient bien mieux et plus longtemps lamour que moi, selon leurs propos. Je la découvrais beaucoup plus ouverte et libre de sexprimer sur ses envies et désirs. Elle était très sensuelle avec cette facette.
Je la sentais frustrée ce matin de devoir se justifier et moi contrarié de devoir faire revenir ce mâle chez nous, car bien que jaime offrir ma femme, avec celui-là, ça va être une autre histoire. Elle me dit que si je ne suis pas ok elle ninsistera pas, mais quelle serait déçue de rester sur sa faim alors que ce fantasme était plutôt le mien. Je reste contrarié par son offre et excité en même temps.
Nous sommes donc restés un peu en froid toute la semaine. Stéphanie est sortie à deux reprises cette semaine-là. Je faisais bonne figure mais dès que nous nous retrouvions seuls, je faisais la gueule et on ne se parlait pas beaucoup. A la fin de la semaine, elle revint vers moi dans le lit. Une surprise car ce nétait jamais elle qui faisait le premier pas pour arranger les choses.
Elle mexpliqua quelle était allée trop vite dans ses envies, cest vrai, mais quelle avait vraiment apprécié Gregory sexuellement parlant. Et mon fantasme de candaulisme la travaillait encore car elle avait en plus du désir de recommencer, celui de me soumettre un peu.
Elle mexpliqua ensuite que son amant lui avait demandé de me dominer, et quelle aimait lidée. Je ne répondis rien mais je me fis la réflexion que lorsque cétait moi qui lui demandais, elle nétait pas plus encline que cela à le faire, mais que là avec son amant elle avait envie de le faire
Nous discutâmes pendant un petit quart dheure de cette situation est après la séance intense de sexe entre nous, elle me sentit détendue et ouvert à lidée dessayer, juste essayer. Elle trouvait que ce serait sexuellement plus torride entre nous daugmenter notre rayon daction. Alors finalement, elle lâcha :
Bon, tu es OK pour mobéir, alors ?
Oui de la tête fut ma seule réponse
Ok chéri, pour ce soir je vais te laisser tranquille. Mais si tu veux du sexe cette semaine avec ta chienne, tu devras te soumettre à moi. Demain soir, dès tu rentres je te veux nu avec ton collier dans le salon. OK ?
Le lendemain soir très excité quand même, je me tenais prêt depuis 45 mn, comme elle me lavait demandé, quand elle arriva. Elle me demanda gentiment de lui servir un verre dAmaretto et des cacahuètes, puis elle me fit mettre à quatre pattes devant elle, posa le verre de vin blanc et les cacahuètes sur mon dos en me demandant de ne rien faire tomber et alluma la télé
Elle se mit une série quelques minutes, puis un film porno ou une femme était prise par plusieurs hommes devant le mari passif. Je restai un bon quart dheure dans cette position ; cela mexcitait terriblement dêtre ainsi soumis et de visionner ce film ou ma foi cette femme pareillement baisé et dominant son mari, ne me laissait pas indifférent.
« Alors ça texcite ce genre de situation de femme au milieu de plusieurs hommes ? »
Tu as intérêt à débander très vite, sinon cela menverra un signal de tes désirs
. Puis elle posa ensuite ses jambes sur mon dos et passa un coup de téléphone :
Coucou ! Oui, cest moi [
] Oui, il est à quatre pattes, là [
] Non, il na rien dit [
] Oui, cest une bonne idée [
] Bisous. Je te rappelle.
Puis elle raccrocha et continua à regarder son film ainsi que ma queue gonflée à bloc, rien ny faisait. Voir cette femme remplie de plusieurs queues de mâles, suçant, malaxant et recevant pareil traitement me faisait bander ardemment.
Cinq minutes plus tard, je lui fis remarquer que je commençais à fatiguer. Elle répondit simplement :
Gregory veut que tu restes comme ça jusquà 22 h 15. Encore 15 minutes à tenir. Gregory, le revoilà avec ses ordres alors que je pensais faire le jeu de ma femme. Et il allait arriver et me voir comme ça, quelle gêne !
Elle reprit alors son téléphone et prit plusieurs photos de moi avec ses pieds posés sur mon dos, puis enchaîna :
Je trouve assez pathétique que tu bande depuis 20 mn devant ce film alors quau lit avec moi, tu tiens max dix minutes. Et aussi que tu appelles mon amant pour lui demander de ne plus me voir. Tu as donc si peu de fierté et de confiance en toi ? Tu aurais mieux fait de me demander directement.
« Le salop lui avait raconté »
Mon sang ne fit quun tour. Non seulement Gregory lui avait parlé de notre discussion, mais en plus il demandait à ma femme de me faire à moi, ce que jaurais aimé lui faire à elle. Jétais le dindon de la farce : ma femme était plus complice avec son amant quavec moi. Mais jarrivais enfin à vivre ce fantasme de domination, et la situation était tellement excitante que je gardai les yeux baissés.
Au bout de longues minutes interminables, elle me libéra enfin de ma position.
Gregory veut des preuves de ta soumission. Ne tétonne pas que je prenne des photos : cest pour lui envoyer.
Je lui fis remarquer que je ne voulais pas quelle prenne de photos de mon visage. Elle répondit :
Non, non, te ninquiète pas ; il sen fiche de ta tête.
Elle ne sortit pas cette semaine-là, mais tous les soirs elle me domina, me poussant à chaque fois plus loin. Le mercredi soir, elle sallongea sur le canapé avec obligation de la regarder se masturber et de la filmer avec son téléphone ou Gregory était en direct depuis chez lui et interdiction pour moi de me masturber.
Il donnait des ordres à ma femme qui me les répétaient. Rapproche-toi, gros plan, recule, mets-toi là, etc
Javais toujours mon collier autour du cou. Je me surprenais à lui obéir aussi aveuglément, dautant que toutes ces idées venaient de son amant. Mais je prenais un tel plaisir à être à ses pieds
Le vendredi soir, elle mannonça quelle partait jusquau samedi soir chez Gregory : Par respect pour moi, elle ne resterait pas tout le week-end end, car je restais son mari.
Je pense que tu as eu ta dose de soumission. À moi maintenant de pouvoir assouvir mes fantasmes. Tu as quelque chose à dire ?
Non, je navais rien à dire. Je me sentais bien et jétais aussi content de pouvoir me reposer, car même si javais pris un plaisir immense, le traitement de soumission me pesait un peu.
Très bien. Je rentre samedi vers 19 heures. Je veux que la maison soit impeccable. Et tu rangeras le garage car cest plus possible.
Elle me demanda également de lui préparer son sac en y mettant quelques affaires sexy. Jy ajoutai le caméscope en lui demandant si elle pouvait filmer un peu
Elle prit le sac et ne répondit rien.
Le vendredi soir et le samedi fut très long car je ne reçus pas un coup de fil, pas un texto, pas une nouvelle.
À son retour le lendemain soir, elle mexpliqua que Greg souhaitait lavoir pour lui tout seul : dorénavant, je naurais plus le droit de la pénétrer. Dautant plus difficile quand on dort dans le même lit. Je fantasmais depuis quelque temps sur lidée de porter une cage de chasteté, mais elle naborda pas le sujet. Cela faisait déjà plus de deux semaines que nous navions pas couché ensemble. Je lui demandai alors de me raconter le week-end dans le détail.
Non, je préfère garder ça pour moi, cest mon jardin secret
Mais je tai rapporté une surprise. Avant de te la donner, tu vas te mettre sur le dos, écarter tes cuisses et me présenter ton anus de cocu.
Pas besoin de me le dire deux fois. Elle commença à enfoncer ses doigts en moi, et en même temps elle sortit une capote remplie de sperme quelle agita au-dessus de mon nez
Je tai ramené un peu de semence pour mamuser avec toi. Cest un cadeau de Gregory et il a exigé que sa chienne ten fasse profiter. Sinon je serais punie.
Elle positionna le préservatif sur mon visage et commença à me mettre plusieurs doigts. Je criais mais elle continua, et en profita même pour mettre la capote dans ma bouche pour me la faire sucer. Elle senfonçait de plus en plus.
Je serrais les dents mais jessayais de me retenir car elle prenait un malin plaisir à mettre la capote entre mes dents, justement. Elle cherchait clairement à ce que je la déchire et que le sperme de son amant se répande dans ma bouche. Finalement je parvins à me maîtriser. Elle ne savoua pas vaincue ; attrapant des ciseaux, elle la découpa et déversa toute la semence sur mon visage. Une fois fait, comme une bonne épouse, elle me branla et je jouis instantanément.
Tu sais que je nai jamais aimé le goût du sperme (oui cétait lun de ses seuls tabous), mais Greg pense quun bon cocu doit connaître le goût du sperme de lamant de sa femme.
Un peu plus tard en mendormant, je me dis que ça commençait aller trop loin, mais tous ces petits jeux mexcitaient, et voir ma femme prendre plaisir à me dominer mexcitait encore plus.
Stéphanie était redescendue. Elle était au téléphone. Jentendis une bribe de conversation :
Non, elle na pas éclaté [
] Ben oui, cest dommage [
] OK, on fera comme ça.
Je me posais de plus en plus de questions. Je me disais aussi que je navais rencontré cet amant quune fois et que javais peut-être commis une erreur de jugement. Elle vint finalement se coucher. Quelques minutes plus tard, mon téléphone se mit à vibrer. Je lus sur lécran :
Quelle journée ! Je lui en ai mis plein le cul à ta femme. » Une photo accompagnait le message. On voyait son amant la prendre par derrière, en levrette. Je restai la bouche ouverte, ny croyant pas. Sa queue était rentrée aux trois-quarts dans son petit trou, et on sentait quil allait lui mettre un grand coup de reins pour la faire rentrer jusquaux couilles. La capote narrivait pas jusquà la base de son sexe, tellement il bandait.
À voir ta tête, tu as reçu la photo de Gregory, on dirait. Ça te plaît ? me demanda-t-elle.
Oui, marmonnai-je sans trop savoir quelle attitude adopter.
Tant mieux ; on va pouvoir bien dormir tous les deux.
Sur ces paroles, elle membrassa furtivement sur la bouche et se tourna sur le côté.
Il ta enculée combien de fois depuis hier soir? » demandai-je, curieux et encore sous le choc de cette photo.
Oh, je nai pas compté, mais cest vrai quil aime bien mon cul et me la mise plus souvent par-là que par-devant. Tant mieux, tu sais que je jouis plus par là.
Voyant que jallais reposer une question, elle prit les devants :
Bon, tu as ta photo, moi jai pris mon pied. Tout le monde est content, non ? Alors maintenant on dort. Bonne nuit.
Là-dessus elle éteignit la lumière et sendormit presque aussitôt.
Je me suis branlé quatre fois cette nuit en repensant à tout ça. Le lundi matin allait être difficile.
Le jeudi suivant, au travail, vers 15 heures je reçus un autre texto de son amant, précisant « Bon courage pour le travail. Je taurais bien passé ta femme, mais elle a la bouche pleine, là. Elle me fait te dire quelle ne pourra pas aller faire les courses et de ne pas lattendre ce soir, elle rentrera tard ». Comme pour le premier texto, je fus saisi dune excitation immédiate. Mais chaque message me provoquait un choc. Surpris, je lui renvoyai un SMS lui demandant où ils étaient.
Je reçus alors un message, de ma femme cette fois-ci, un quart dheure plus tard : « On ta dit quon était occupés, alors tu fais ce quon te dit et tu toccupes des courses. Et je tinterdis de répondre à Gregory. »
Je reçus une photo ce jeudi-là, vers 18 heures, pile alors que sortais du magasin, sans commentaire. Jy vis Stéphanie à genoux en train de le sucer, le regardant droit dans les yeux, ou plutôt dans lobjectif du smartphone. Son regard en disait long
Pendant environ un mois, ce petit jeu continua. Je recevais des photos tous les 3 ou 4 jours et me branlais très (trop ?) souvent. Les commentaires de son amant étaient de plus en plus vicieux, du genre « Tinquiète pas, ça reste ta femme, mais cest ma salope maintenant. » ou bien « Tu savais que ta femme était capable de jouir rien quen prenant mon foutre sur sa petite gueule dange ? » Je me rappelle dun message qui mavait particulièrement marqué : « Toujours aussi bon de baiser ta femme jusquà los. Elle en redemande. » Je ne parle pas des photos. Stéphanie navait déjà quasiment pas de tabous, alors là.
Une des photos qui mavait le plus excité présentait son magnifique cul avec écrit dessus au feutre « Ta femme, ma pute. »
Steph découchait toujours 2 ou 3 nuits par semaine. Elle continuait de me dominer régulièrement, mais elle navait pas beaucoup defforts à faire. Je devais moccuper des tâches ménagères
Un soir, elle me rapporta le linge de son amant.
Sa machine à laver est en panne. Merci de ten occuper au plus vite.
Jaurais dû trouver que cétait trop. Quil ne fallait pas accepter. Mais cette demande me provoqua au contraire une très grande excitation. Le coup de grâce, ce fut quand elle massena :
Attention, ce pull est très fragile. Il faut le laver à la main.
Jai fait la lessive immédiatement et lavé son pull dans une bassine. Une heure plus tard, je recevais un SMS de sa part : « Merci pour le linge. On se rend des services. Comme ça, ta femme a une vraie queue, et moi mon linge propre. Ses messages faisaient mouche à chaque fois. Il trouvait toujours la petite phrase avec le juste équilibre entre excitation et humiliation.
Stéphanie, de son côté, semblait beaucoup plus épanouie quavant, plus confiante. Toujours de bonne humeur, beaucoup plus sûre delle. Elle me narguait aussi et mhumiliait de plus en plus souvent, notamment quand je lui posais des questions. Ses réponses étaient du style « Évidemment que jaime baiser avec lui. Au moins ça ne dure pas quinze minutes. Et pourtant il me baise comme un vide-couilles. Il sait que jaime ça. Imagine, si jétais sa princesse
» Ses formules me faisaient à chaque fois plus deffet.
Puis après la période des photos, ce fut au tour des vidéos. La première que je reçus présentait Ma femme ou plutôt sa pute, en levrette en train de se faire prendre par derrière. Léquivalent de la première photo quil mavait envoyée. Mais là, il y avait le son. Jentrais dans une autre dimension.
Certes, la qualité de la vidéo était médiocre ; cétait filmé au téléphone portable, mais je voyais très bien quil se déchaînait sur elle. Javais même peur quil lui fasse mal tellement il la baisait fort. Stéphanie hurlait sous ses coups de bite. Ça, cétait pour le côté excitant. Pour laspect humiliation, il nétait pas en reste. Ses commentaires semblaient faire encore plus jouir ma femme : « Taimes ça, hein, ma salope ? Te la prendre dans le cul ! Regarde, je filme pour ton cocu. Il va être content. » Elle ne répondait pas, mais quand elle entendait ces mots elle gémissait (enfin, gémissait, hurlait plutôt) encore plus fort.
Sur les vidéos suivantes, il prenait un malin plaisir à la faire parler. Il la baisait par exemple en missionnaire en la filmant et lui disait : « Alors, cest autre chose quavec ton mari, hein ? Dis-le que cest bon. » Et de la voir, elle, le regard dans le vague, complètement en sueur lui répondant « Oui, cest bon. Vas-y, mets-la-moi bien au fond. »
Cela faisait maintenant trois mois que je navais plus pénétré ma femme. Javais juste eu le droit de la lécher 15 jours auparavant, mais ça avait été très rapide avec une rapide branlette de sa part. Il avait aussi pris son temps pour racheter une nouvelle machine.
Évidemment, javais matière à me branler pour les cinq années à venir avec toutes les photos et vidéos que javais reçues !
Nous avions trouvé une sorte déquilibre sans doute précaire, jen étais conscient mais dans notre vie quotidienne nos rapports sétaient améliorés. Seule ombre au tableau : je ne pouvais pas mettre sur mon blog les photos et les vidéos quil menvoyait ; on aurait pu les reconnaître trop facilement. Mais surtout, je navais rencontré quune seule fois son amant.
Un soir, profitant de lamélioration de nos rapports, je lui demandai si je pouvais venir avec elle chez lui. était le moment ou jamais. Elle fut un peu amusée de ma demande et me dit quelle y réfléchirait.
Trois jours plus tard, elle me dit que Gregory était daccord. Nous irions donc chez son amant le lendemain samedi vers 15 heures. Jétais évidemment aux anges, mais partagé entre excitation et appréhension. Le matin, je préparai mon appareil photo et mon caméscope. Stéphanie me regardait, amusée en levant les yeux au ciel.
En arrivant chez lui, un frisson me parcourut le dos : il nétait pas seul. Un ami était avec lui, en train de discuter devant sa voiture. Je me dis « Il na quand même pas prévu de la prendre avec son pote devant moi ? » Ma chérie semblait très calme et au courant. Mais ça nétait pas ment pour me rassurer. Je la sentais tout à fait capable de me faire un coup comme ça.
Il avait une maison avec un jardin. Une fois garés dans lallée, tout le monde se dit bonjour. Juste avant dentrer dans la maison, Steph me prit à part et me dit discrètement
Dis-moi, mon petit cocu, la voiture de Nicolas est très sale. Ça ne te dérange pas de la laver avant de rentrer dans la maison ? Regarde, il ta sorti le tuyau, une éponge et du produit. Tu fais ça bien, hein ? Après, tu auras le droit de venir nous voir.
Livide, je lui demandai :
Mais il y a son copain. Vous nallez quand même pas faire ça à trois pendant que je lave sa voiture ?
Elle me répondit simplement :
Qui sait ? Il est mignon, tu ne trouves pas ? De toute façon, tu nas rien à dire et moi non plus, cest le deal. Et il na jamais été question que je naie droit quà un amant. Allez, au boulot, et applique-toi. Sil reste des traces, je me ferai un plaisir de te corriger sévèrement !
Mon cur battait à cent à lheure. Je me jetai sur le tuyau darrosage pour commencer sans tarder. Je me disais que ce nétait pas possible. Heureusement, la voiture était garée juste à côté de la fenêtre du salon. Je pouvais donc les apercevoir. Je regardais toutes les 30 secondes pour vérifier quils nétaient pas en train de se la faire tous les deux. Mes craintes se dissipèrent quand je vis sortir son ami de la maison, cinq minutes plus tard. Il me fit un signe de la main pour me dire au revoir et me souhaita bon courage en rigolant. Après ce léger soulagement, je minquiétai à nouveau. Quavait-il pu dire à son ami ? « Oui, son mari lave ma voiture pendant que je baise sa femme. Ça vaut le coup, non ? »
Jen étais à ces réflexions quand je me rendis compte quils étaient tous les deux seuls désormais. Depuis au moins cinq minutes. En regardant par la fenêtre, je remarquai quils avaient disparu du salon. Je me dépêchais de passer léponge sur la carrosserie pour aller les retrouver. Finalement, ny tenant plus, je bâclai la tâche qui métait confiée pour aller les retrouver.
En entrant dans la maison, des bruits parvenaient de létage. Je montai les escaliers avec mon sac à dos. En entrouvrant la porte de la chambre, je découvris ma moitié en train de se faire prendre à quatre pattes sur le lit. Discrètement, je mempressai de sortir ma caméra pour immortaliser ce moment. Je réussis également à prendre quelques photos. Vu quils étaient de dos, je narrivais pas à voir sil la prenait par-devant ou par derrière. En tout cas il linsultait copieusement :
Ça te plaît, petite pute, de te faire baiser pendant que ton mari lave ma voiture ? Oh oui, je vais décharger !
Il lattrapa alors par les cheveux, la retourna, retira la capote et éjacula sur son visage. Il lui en envoya de longs et grands jets, très abondants. Ce nest que lorsquils sallongèrent sur le lit quils remarquèrent ma présence.
Tu es déjà là ? Tu as fait vite. Jespère que la voiture de mon amant est propre, me dit ma femme, le visage encore plein de sperme.
La voiture
je lavais complètement oubliée ! Elle se leva, enfila sa jupe et passa devant moi en récoltant un peu de semence sur ses lèvres pour me la coller sur le bout du nez avec son doigt. Arrivés en bas, le véhicule semblait propre. Je le leur fis remarquer.
Oui, à part là, ici, ici aussi, et encore là ! me rétorqua ma femme.
Elle me colla léponge dans les mains en me signifiant quil fallait recommencer, attrapa son amant par la main et lui dit :
Viens, jai envie que tu me prennes sous la douche.
Un quart dheure plus tard, la voiture était propre. Ma femme et son amant aussi. Quand je pénétrai à nouveau dans la maison, ils mattendaient dans le salon. Elle me fit un geste pour mindiquer que je devais mallonger sur ses genoux. Elle prit soin denlever ma ceinture et de baisser mon pantalon au préalable.
Tu as vu comment il devient obéissant avec son dressage ? Plus aucune protestation.
Effectivement, cest impressionnant ! répondit son amant, amusé.
Je tavais dit que si la voiture nétait pas propre, je te corrigerais moi-même, me lança-t-elle.
Sur ces mots, elle madministra une fessée retentissante. Oh, la douleur était à peu près supportable, mais le bruit des claques, et surtout le regard de son amant me pétrifièrent. Quand elle eut fini, elle menvoya au coin du salon, le pantalon toujours baissé, les fesses rouges, avec interdiction de me retourner. Javoue que je ne me rappelle pas vraiment de la suite de laprès-midi ; la honte était telle que ma mémoire préféra oublier leurs ébats.
Ce sentiment dura jusquau retour à la maison. Curieusement, la vie reprit son cours tout de suite et cet épisode seffaça dans la soirée. Jeus même le droit de la lécher et elle me mit un doigt ce soir-là.
Mais quinze jours plus tard elle mannonça quelle partait pour un week-end de trois jours avec lui au bord de la mer. Je fis des pieds et des mains pour venir, lui disant que je serais à leur service, que je ferais tout ce quils me demanderaient. Je ne voulais pas quelle me laisse seul. Bizarrement, quand elle allait chez lui, ça ne me dérangeait pas tant que ça. Mais le fait de les savoir en vacances et moi seul à la maison métait insupportable. Finalement, après nous être entretenus avec lui, ils acceptèrent. Mais sous certaines conditions, quelle ménonça :
Comme tu me las dit, tu seras à notre service, donc tu nous obéiras :
> Je dormirai avec Greg dans la chambre ; toi, tu auras le canapé ou la deuxième chambre, sil y en a une. Tu devras avoir le regard baissé en notre présence. Donc interdiction de nous regarder dans les yeux.
Nous voulons le petit déjeuner servi au lit samedi et dimanche matin, avec jus dorange pressé, café et croissant. Je tinterdis de te tripoter ou de sortir ta queue en notre présence, sauf si on te le demande.
Tu as interdiction de jouir pendant tout le week-end.
Cest Nicolas qui paiera pour la location, et toi qui paieras pour les sorties.
Nous partons avec ta voiture, et cest toi qui conduiras.
Cela me paraissait juste. Il ny avait que linterdiction de jouir qui me dérangeait ; mais comment le sauraient-ils, puisque je ne portais pas de cage de chasteté ? Je demandai à mon tour sils pouvaient laisser leur porte entrebâillée la nuit si jamais ne je désirais venir les regarder baiser. Elle éclata de rire et répondit :
Mon pauvre, tu en es rendu là ? Eh bien tu verras bien. Si elle est ouverte, tu auras le droit de regarder, et si cest fermé, il te restera tes oreilles
Mais noublie pas : interdiction de jouir de tout le week-end.
Le jour J arriva. Son amant avait loué un petit appartement sur la côte. Nous avions rendez-vous avec lui sur un parking de supermarché. Quand nous arrivâmes, Stéphanie sortit de la voiture et ils se roulèrent une pelle pendant au moins 15 secondes. Je priai pour ne reconnaître personne que je connaissais. Heureusement, jallais rarement dans ce secteur. Je lui serrai la main rapidement en lui disant bonjour. Il était tout sourire et très détendu.
Première surprise : Steph monta à larrière avec lui. Je pensais naïvement quelle ferait la route à côté de moi, et lui derrière. Il y avait environ une heure et demie de route.
Et évidemment, au bout de cinq minutes, il la pelotait dans tous les sens et enfonçait bien sa langue dans la bouche. Très vite, la contrainte de devoir suivre la route devint insoutenable, alors que le spectacle était derrière. Heureusement lautoroute arriva très vite. Au péage, au moment de prendre le ticket, il avait la main dans sa culotte (elle était pourtant en jeans) et le routier qui était dans le camion juste à côté nen perdait pas une miette. Ça ne les dérangeaient pas.
Un peu plus tard, cest elle qui ouvrit sa braguette pour commencer à le sucer. Je navais jamais bandé autant. Jessayais tant bien que mal de conserver le regard sur la route, mais toutes les cinq secondes il fallait que je regarde ma femme se délecter de son sexe. Elle le suçait avec application, essayant de lavaler entièrement en lui caressant les couilles. Au moment où il lattrapa par les cheveux pour lui enfoncer plus profondément, je ne pus mempêcher de rester à regarder. La voiture se déporta vers la gauche au moment où une voiture nous doublait.
Lamant me remit sèchement à ma place :
Dis donc, cocu, tas intérêt à te concentrer sur la route parce quon aimerait arriver entiers.
Voyant cela, sa chienne en rajouta une couche :
Je te préviens que sil y a une autre embardée, cest lui qui soccupera de te corriger, et il a beaucoup plus de force que moi.
Je répondis platement :
Je vous prie de mexcuser.
Ils se regardèrent en rigolant, et Steph détacha alors sa ceinture, se mit à genoux sur la banquette et continua à le sucer. Il passa alors sa main sur son cul, lui baissa le jeans et commença à lui caresser les fesses. Je me doutais quil enfonçait ses doigts, mais je narrivais pas à voir si cétait dans sa chatte ou son anus. Je me retins de demander, craignant de me faire envoyer balader une nouvelle fois
Quelques minutes plus tard, elle se mit à califourchon sur lui pour se frotter. Elle navait heureusement pas enlevé son jeans. Finalement, énervés par le bipbip de la ceinture de sécurité qui était enlevée, ils se rassirent normalement tous les deux.
Nous arrivâmes enfin à lappartement. Le propriétaire était là pour nous accueillir dans le hall de limmeuble. Nous avions dû nous garer un peu plus loin, le parking de la résidence étant plein.
Nous allons faire létat des lieux ? demanda-t-il.
Je commençai à le suivre mais elle me retint.
Nous venons avec vous tous les deux
Pendant ce temps-là, mon mari va aller chercher les bagages dans la voiture.
Je commençai donc à faire demi-tour pour aller chercher les affaires (ma femme emporte toujours une tonne de vêtements, même pour deux jours).
Cest au troisième étage, appartement 307. Attention, il ny a pas dascenseur. À tout à lheure, ajouta le proprio.
Je revins un bon quart dheure plus tard, essayant tant bien que mal de transporter les bagages en un seul voyage. Ils venaient de terminer létat des lieux et discutaient quand je posai les affaires dans lentrée. Voyant cela, ma femme me reprit et me dit assez sèchement en me montrant une porte du doigt :
Enfin, voyons, tu ne poses pas les affaires ici : tu vas les mettre dans notre chambre. Tu as de la chance : tu as également une chambre ; ça tévitera de dormir dans le canapé.
Elle avait décidé de faire comprendre au propriétaire que jétais un cocu complaisant et de mhumilier. Ils me regardèrent faire en souriant. En sortant de la chambre, le propriétaire partit en ajoutant « Bon, je vous laisse. Amusez-vous bien ! » en faisant un très large sourire.
Je restai là sans bouger, ne sachant pas trop quoi faire. Ma femme me sortit de ma torpeur :
Bon, tu ranges nos affaires dans les placards, tu passes un petit coup de serpillère ; tu sais comment je suis. Pendant ce temps-là, on va faire un petit tour sur la plage. À tout à lheure.
Ils revinrent deux heures plus tard et seffondrèrent sur le canapé. Il devait être 18 heures. Je massis sur le fauteuil en face pour me poser un peu avec eux. Elle me demanda daller leur chercher à boire. Je sortis la bouteille de champagne quils mavaient demandée, leur servis une coupe à chacun et commençai à me servir.
Non, pas dalcool pour toi ! répliqua-t-elle. Si nous sortons et quil faut prendre la voiture, cest toi le chauffeur, et un chauffeur ne boit pas.
Une fois servis, ils mautorisèrent à masseoir sur le fauteuil en face deux. Il y eut alors quelques secondes de flottement. Je la sentais un peu gênée, mais son amant trouva les mots pour dissiper ce malaise :
Alors, comment avance le dressage de ton mari ? lui demanda-t-il.
Oh, comme tu vois, ça commence à porter ses fruits. Il est déjà bien obéissant. Cest surtout grâce à toi : tu sais trouver de bonnes idées.
Il me porta un regard furtif et chuchota à loreille de ma femme. Elle ne put sempêcher de rire.
Oui, cest une bonne idée. Dailleurs, on va expérimenter tout de suite.
Elle se leva alors et sortit de la pièce. Deux minutes plus tard, elle mappela depuis les toilettes. Je frappai à la porte. Elle me dit alors :
Gregory a eu une très bonne idée, et en plus cest écologique. Plutôt que dutiliser du papier, je tappellerai pour que tu me nettoies avec la langue après avoir fait pipi. Allons, ne perds pas de temps. Allonge-toi sur le dos, ce sera plus facile.
Je nosais pas lavouer, mais cette demande mexcita. Je mexécutai et elle sassit carrément sur mon visage. Le petit manège dura environ trente secondes. Je sentais lodeur durine sur son sexe, mais très vite sa chatte fut toute propre. Nous revînmes ensuite dans le salon.
Encore une très bonne idée, mon chéri, et mon mari fait ça à la perfection.
Là-dessus, ils sembrassèrent en riant et il commença à la déshabiller.
Jétais toujours assis sur le canapé mais ils ne me calculaient plus du tout. En quelques secondes ils se retrouvèrent nus tous les deux. Elle se mit alors sur lui pendant quil enfilait une capote, attrapa sa queue et se lenfila très sensuellement. Cétait elle qui dirigeait le rythme et faisait les mouvements. Très vite il écarta ses fesses et commença à donner des coups de reins. Quand il lui mit deux doigts dans lanus, ny tenant plus, je me levai pour aller chercher lappareil photo. Je mattendais à me faire rembarrer mais je nexistais déjà plus pour eux. Jeus ainsi tout le loisir de prendre des photos. Ils changèrent ensuite de position. Elle sallongea sur le dos sur le canapé et lui chuchota à loreille :
Tu as envie de menculer ?
Sans même lui répondre il senfonça dans son petit trou. Jétais impressionné : sans préparation, il arrivait à senfoncer en elle sans problème. Stéphanie était dans tous ses états, elle criait fort, comme à chaque fois quelle se faisait prendre par derrière. Très vite elle lui dit :
Je suis ton vide-couilles, je suis à toi. Fais ce que tu veux de moi.
Il le prenait méticuleusement, lui donnant de grands coups de reins, très profonds, mais pas très rapidement. Puis il accéléra en linsultant :
Taimes ça, ma salope, te faire prendre par le cul
Tinquiète, tu vas en prendre tout le week-end
Il continua à la prendre par derrière pendant de longues minutes. Ma chérie hurlait. Elle devait en être à son troisième orgasme lorsquenfin il éjacula
Il se retira, fit un nud et me jeta le préservatif usagé à terre pour que je le ramasse. Je me disais intérieurement que son amant était vraiment endurant : moi, jaurais joui au bout de deux minutes, mais en regardant lhorloge je me rendis compte quil lavait prise pendant près dun quart dheure. Je me sentais vraiment inférieur, et curieusement cette sensation mexcita. Jen étais à ces réflexions en revenant dans le salon quand elle minterpella, toujours sur le dos, les cuisses écartées, un pied sur lépaule de son amant qui la caressait, lautre par terre sur le tapis.
Tu vois, mon petit cocu ; ça, cest un vrai mec, qui me prend le cul et qui sait y faire. Sa queue est toujours raide, et surtout il tient longtemps.
Je baissai les yeux en masseyant, conscient quelle avait raison
Tiens, passe-moi lappareil photo quon regarde les photos que tu as prises, me lança-t-elle.
En regardant les photos, Greg lui demanda lappareil et la fit mettre à quatre pattes.
Je vais en faire une autre qui va plaire à ton cocu ! dit-il.
Il lui demanda décarter ses fesses, et son trou béant souvrit. Il prit deux ou trois photos, puis me dit dun ton sec :
Allez, lèche-lui le cul !
Je mapprochai mais la vision de ce trou grand ouvert ne minspirait pas du tout.
Obéis, cocu, ou je te corrige ! insista-t-il.
Jobéis alors en entendant les clics de lappareil photo.
Enfonce ta langue ; je veux la voir rentrer en entier.
Elle était hilare. Cela lui plaisait quil mhumilie. Elle rajouta :
Et encore, il ny a pas de sperme. Il faudra vraiment quon pense à faire un test pour quil goûte ton foutre.
Finalement ils se levèrent, toujours nus, et allèrent dans leur chambre.
Tu vas préparer le repas ; on veut manger pour 21 heures, dit Jade.
Je filai à la cuisine ; il était 19 h 30. En préparant à manger, javais en tête toute la scène qui venait de se dérouler devant moi. Ma femme en train de se faire enculer et insulter. Cétait vraiment intense. Je narrêtais pas de regarder les photos. Jétais content car jallais pouvoir mettre ces photos sur notre blog. On ne pouvait reconnaître lendroit, et je navais quà flouter les visages. Après cette réjouissance (pathétique, je ladmets après coup en écrivant ces lignes), je me demandai ce quils fabriquaient tous les deux. Une fois que le plat était à mijoter, je mapprochai de leur chambre et maperçus que la porte était fermée. Je décidai donc daller dans ma chambre et mis mon oreille contre le mur.
Par chance, lappartement était très mal insonorisé. Malheureusement, je nentendais que le son de la télé. Déçu, je décidai de profiter de la vue du balcon. Cest en passant ma tête que je vis Stéphanie debout contre la rambarde, en train de se faire prendre. Elle essayait de se retenir de faire du bruit pour ne pas attirer lattention des passants dans la rue. Mais lui prenait un malin plaisir à la baiser de toutes ses forces. Je lentendis lui susurrer à loreille :
Tu te retiens de faire du bruit, salope ? Attends, je vais te faire couiner, moi
Sur ces mots il lui claqua les fesses et la pilonna comme jamais. Jeus à peine le temps de prendre la caméra et de filmer quelques secondes. À la fin, elle lui dit en lembrassant :
Humm, tu tes juste servi de moi pour te vider les couilles : jadooore !
Puis ils se rhabillèrent et me rejoignirent dans la cuisine. Le reste de la soirée se passa plus ou moins normalement
si lon considère que voir sa femme se faire peloter et embrasser toute la soirée est bien normale.
La nuit fut par contre très dure : de 23 h à 4 h du matin ils baisèrent au moins 5 ou 6 fois. Jétais réveillé toutes les heures et, ne pouvant rien voir, très frustré. Malgré linterdiction, je ne pus mempêcher de me branler ce soir-là, trois fois, tellement jétais excité.
Au petit matin, mon réveil sonna pour préparer le petit déjeuner comme ils mavaient demandé. Après avoir pressé les oranges et tout préparé, je frappai à la porte mais pas de réponse. Je décidai donc douvrir pour déposer le plateau. Évidemment, ils dormaient à poings fermés (après la nuit quils venaient de passer, tu métonnes
). Je déposai le plateau sur le bureau. Stéphanie émergea à ce moment-là.
Viens un peu par ici, me dit-elle. Baisse ton pantalon.
Je me dis quelle allait maccorder une faveur en me suçant pour me féliciter pour le petit déjeuner. Elle se contenta de sentir mon sexe de près.
Pouah ! Tu pues le sperme dici ! sagaça-t-elle. Je tavais pourtant interdit de te branler.
Mais je
Ne nie pas ! Greg, il sest branlé cette nuit ; jen étais sûre.
Son amant émergea et dit, encore endormi.
Dis-lui de sortir, on règlera ça après avoir déjeuné.
Tas entendu ? Sors dici, branleur. Ce nest pas étonnant que tu sois cocu : tu passes ton temps à te branler. Dégage, bande-mou !
Ils sortirent de la chambre une demi-heure plus tard. Elle était réellement mécontente. Elle mordonna de baisser mon pantalon et de me mettre à quatre pattes. Je mattendais à ce quelle me fesse. La présence de son amant, spectateur de la scène, mexcitait. Cest lorsquelle annonça que ça allait être lui qui allait me corriger que je pris peur. Avant que jaie le temps de réagir, elle ajouta :
Oui, je sais tu ne ty attendais pas, mais tu le mérites. Tu as trahi ma confiance, et je naurai aucune pitié.
Je sentis la première claque sabattre sur mes fesses alors quelle finissait sa phrase. Il était sportif et avait de la force, je le sentis tout de suite. Je nen tirai aucun plaisir. Javais vraiment limpression dêtre un puni. Jentendis alors le déclic de lappareil photo : Ma chérie immortalisait le moment. Étrangement, ce fait mexcita réellement et rendit la situation beaucoup plus supportable. Au bout de cinq bonnes minutes, javais les fesses en feu. Il tapait vraiment fort. Jade dit alors :
Encore dix claques, et tu vas compter.
Il avait pris de lassurance.
1, 2, 3
Arrivé à 7, je ne pus mempêcher de laisser échapper une larme. La douleur et lhumiliation, je ne savais plus où jen étais. Steph le remarqua.
Regarde, mon chéri, mon petit cocu est en train de pleurer : ça, cest une vraie punition. Allez, plus que trois.
Encore une fois, les mots de ma femme me rassurèrent, paradoxalement.
Maintenant tu files dans ta chambre ; on ne veut plus te voir. Nous on va faire un tour. On se retrouve à midi. Jespère que cette punition taura remis les idées en place.
Après leur départ, je me précipitai dans la salle de bain : mon cul était rouge vif. Heureusement, la douleur partit assez vite, mais pas la honte.
En les retrouvant à midi, ils virent que mon attitude avait changé : je baissais vraiment les yeux, et quand son amant madressait la parole, je répondais « Monsieur ».
Le soir, nous sommes sortis au restaurant. Elle alla aux toilettes juste avant les entrées. Deux minutes plus tard, il prétexta avoir un coup de fil à donner. Elle revint cinq minutes plus tard, réajustant sa robe : il lavait baisée dans les chiottes du restaurant !
La nuit fut sereine pour moi, car jétais épuisé. Hormis le déjeuner et la dernière visite de Gregory dans les trois orifices de ma femme, après le petit déjeuner et avant notre départ, rien dexceptionnels. Laprès-midi, le retour fut plutôt agréable et lors de notre retour à la maison, Stéphanie a exigé, sans discussion de ma part, que je mallonge sur le lit nu et lattende.
Elle est arrivée habillée en porte jarretelles, talon aiguille. Elle sest mise à me sucer et me branler tendrement. Puis voyant mon excitation, elle est venue sempaler sur ma verge puis en moins de 5 mn, a réussi à me faire jouir comme jamais.
Elle a tendrement déposé un baiser sur mes lèvres en me disant
« Merci mon chéri pour ces trois mois de soumissions. Cétait le deal avec Gregory, trois mois, pas un de plus. Je ne le reverrais plus. Je redeviendrais ton épouse, car tu restes lhomme de ma vie. Mais jai aimé te soumettre pareillement, alors ne doute pas de moi quand je te dis quil yaura dautres surprises »
Jétais aux anges car je récupérais ma femme, et malgré tout mélangé, car le regret de ne plus pouvoir être soumis et de ne plus la voir se faire baiser par dautres cohabitait avec le plaisir de la récupérer.
Tu sais, je nai pas oublié ton érection lors du visionnage du film porno le premier soir ou une femme baise avec plusieurs hommes, qui sait !! »
Quelle femme sublime, me voilà à nouveau habité par une nouvelle envie
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!