Je Fantasme Sur Ma Boss - Partie 1
Bip, bip. Je me réveille tant bien que mal, encore abruti par le sommeil, mes cheveux
blonds en bataille, comme si j'avais lutté une partie de la nuit. Je cherche à tâtons
mon téléphone, celui là même qui vient de briser mes illusions, m'extirpant d'un rêve
que je n'aurai voulu quitter pour rien au monde. Je m'accroche aux derniers souvenirs,
ces quelques brides volées à Morphée, avant que je ne m'éveille totalement, et
qu'elles finissent oubliées. Je sais qu'elle y était, cette fille, celle dont je suis
follement amoureux. Et je suis presque certain de l'avoir embrassé. Elle portait une
tenue très sexy - une robe noire fendue - qui mettait formidablement ses formes en
valeur, et si ce maudit réveil n'avait pas sonné, je suis sûr que j'aurai pu la
dénuder. Il était question d'une soirée, de jeux, de rires, d'un lit. A moins que je
n'ai inventé tout ceci à l'instant. Bien entendu je suis tout excité, et si j'avais un
peu plus de temps, je me serai déjà branlé en repensant à elle, à cette fiction qui
m'avait été accordé. Une poitrine si douce, des fesses si fermes, des jambes si
longues... Merde, ce n'est pas comme ça que j'allais calmer mon entrejambe. Après un
rapide coup dil à la montre accrochée au mur, je termine de m'habiller rapidement,
frustré de n'avoir pu laisser cours à mon imagination et mon envie de sexe matinale.
En arrivant au travail, je ralentis le pas. Peut-être que je pourrai la croiser et la
saluer, si la chance me sourie. Que portera-t-elle aujourd'hui ? Disons son tailleur
noir, avec sa chemise blanche. Cheveux relevés en chignon, lunettes carrés. Chaussures
à talons hauts, et sous-vêtements en dentelles. Oui, la parfaite petite patronne,
stricte et sévère, dominante à coup sûr. Mes pensées se bousculent, prennent de la
vitesse, sans que je n'arrive à les contrôler. Avant même d'avoir pu tenter de me
raisonner, je fantasme déjà sur elle pour la deuxième fois de la journée, et il n'est
même pas encore 8 heures.
apparaître dans l'encadrement de mon bureau. Elle porte effectivement son tailleur et
sa chemise, mais ses cheveux sont libres de toute attache, et je ne suis pas prêt de
savoir la couleur de sa culotte. Pas avec l'air ahuri que je venais d'adopter, et
l'assurance d'un manchot dans un stand de tir. Vous l'avez peut-être déjà compris,
mais cette femme est ma supérieure directe, et s'il n'est pas étonnant que les hommes
la trouve - pour rester poli - jolie, je n'en connais pas un qui ai réussis à
l'inviter en dehors du cadre professionnel.
" Bonjour. "
Alors qu'elle me salue, je sens mon sexe gonfler légèrement. Je repense à mon rêve, et
mes pensées perverses reprennent de plus belles. L'idée qu'elle puisse s'offrir à moi
commence à me germer, et mon esprit malin me dit que je pourrai tout autant la violer
tout de suite. La proposition est alléchante, mais la réalité me ratt,
impitoyable.
" 'Jour... " Seule syllabe que je finis par réussir à articuler. Il m'est difficile de
la regarder dans les yeux, mais j'ai peur qu'elle pense que je regarde sa poitrine, si
je viens à baisser le regard.
" Vous semblez encore endormi ce matin..."
Elle me dévisage, croise les bras, chose qui renforce encore un peu l'attraction de
mon regard vers ses seins. Mon cerveau embrumé cherchait encore une répartie efficace,
un mot à la fois drôle et léger, quand je m'entends dire bêtement :
" Si seulement... "
" Ah bon ? "
Ses phrases sont incisives, son ton froid. Elle me dévisage, m'observe sous toutes les
coutures. Elle ne semble pas décidée à s'en aller, et comme une bête prise au piège,
je sais que je ne pourrai me soustraire à son interrogatoire. J'essaye de prendre un
air détaché, mais qui sonne horriblement faux.
" Oh oui vous savez, les rêves sont toujours agréables.
Des flashs illuminent mon cerveau. Son sexe, un gémissement, un râle. Je bande encore
un peu plus. Je ne pense pas qu'elle puisse le remarquer, pas encore. Elle répond
quelque chose, mais tout ça me parait sans intérêt, à côté de mes fabulations. Cette
mystérieuse femme à l'allure de mannequin me fait tellement envie...
" On dirait que ce que je vous dit ne vous passionne guère. Mais vu l'état de votre
pantalon, cela ne m'étonne guère. Vous devriez vous trouver une femme. "
Je baisse les yeux vers mon entrejambe, et effectivement, une bosse sérieuse a
commencé à se former. Je déglutis et cherche avec peine de quoi répondre, hésitant
entre nier en bloc, et inventer une maladie.
" A moins que vous ne préfériez que je ne m'en occupe. "
Mon sang ne fait qu'un tour. Ma bouche s'ouvre et se referme telle une carpe, alors
que mon esprit s'en est allé à des kilomètres. J'ai probablement du imaginer cette
phrase finis-je par raisonner, mais au même instant, elle me pousse avec force dans
bureau, qu'elle verrouille immédiatement, stores baissés. Elle s'avance, et m'embrasse
avec force, sa langue jouant farouchement avec la mienne, mêlant sa salive à la
mienne. Le reste de mon corps ne m'obéit plus. D'une poigne ferme, elle m'emmène
jusqu'à son fauteuil, et sans avoir pu esquisser le moindre geste, s'accroupit devant
moi. Elle déboutonne mon pantalon d'une main experte, en sort ma queue totalement
excitée, et se jette sur elle. Elle me suce, une main à la base de mon sexe, le reste
entre ses lèvres. Je sens sa langue autour de mon gland, sa bouche qui exerce quelques
pressions, ses doigts qui se serrent et se desserrent. Continuant son va-et-vient,
elle déboutonne son haut et laisse apparaître sa sublime poitrine, dans son soutien-
gorge rouge. Elle ne tarde pas à me branler avec, ses tétons pointant vers moi, sa
langue léchant ce qu'elle peut encore atteindre de mon sexe entre ses seins.
pouvoir la toucher aussi, malaxer, pincer, ses énormes mamelles, déchirer ses
vêtements et la pénétrer avec force, mais c'est elle qui mène la danse, et de peur de
la voir arrêter, je préfère m'abstenir.
" Hmmm <3 "
Elle pousse un drôle de bruit, à mi chemin entre un miaulement et un orgasme. Mon sexe
se dresse fièrement vers elle, elle le regarde, semble prendre du plaisir à me voir
aussi excité, aussi gros. Si je m'étais douté d'une telle situation ce matin ! Elle
replonge rapidement sur mon gland, le suce de plus en plus vite, de plus en plus loin.
Ses bruits son irrésistibles, et je sens ma queue trembler en elle, tant elle me fait
du bien. Je sais que je ne vais pas pouvoir tenir encore longtemps, je décide alors
dagripper ses cheveux derrière la tête, et m'enfonce jusque dans sa gorge. Je jouis.
Mon sperme inonde sa bouche, ses lèvres, ses seins nus. Surprise, elle avale une
partie, en recrache une autre, m'observe, étonnée.
" Ne pense pas que j'en ai terminé avec toi. Pas après ce que tu viens de faire. "
Elle avait repris sa voix normale, mais m'avait jeté son string à la figure...
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