Weekend A La Plage
Bref, nous étions en train de nous poser la question. Que va t'on et surtout où allons
nous, ce week-end, aller pour le temps, et se sortir de Douala???
Prudence, elle, nous dit qu'elle ne sera pas là, puisqu'elle va se rendre au village
voir sa grand mère qui est bien fatiguée et qu'elle n'a pas vu depuis bien longtemps.
De ce fait, nous devrions, Myrice et moi, nous retrouver tous les deux à la maison.
Pour ma part, je n'ai pas envie de passer le week-end enfermé et devant la télé. Pas
très marrant...!
Le samedi matin, Prudence partie pour quelques jours chez sa mère-grand, Myrice et
moi, nous essayons, toujours, de trouver une solution pour se sortir un peu de la
ville. Du côté de ma belle sur, point trop d'idées. Puis, au fil de notre réflexion,
une idée me vient à l'esprit.
Et, si nous allions passer ces deux jours au bord de l'océan???
Ah oui, c'est super ça. Régis, comment tu fais pour avoir toujours la bonne idée au
bon moment???
Ça, c'est un secret. Je te raconterai un jour.
Alors, où tu vas m'emmener?
Je crois qu'on va aller à Kribi. J'avais vu quelque chose dintéressant sur internet.
Je vais téléphoner à l'hôtel pour réserver une chambre. Ça te va???
Oui, je suis d'accord. Et puis c'est un plaisir d'être avec toi, tu le sais... !
Bon, une fois la réservation faite, nous prenons le stricte minimum, nous montons dans
la voiture et nous voilà partis pour la côte. Deux petites heures de trajet, nous
arrivons à l'hôtel. Nous prenons les clefs à la réception, puis nous nous installons
dans notre petite chambre.
Cela fait, nous partons vite vers la plage de sable blond au bord de l'Atlantique. Pas
vraiment beaucoup de baigneurs. Que cela importe, nous n'attendons pas une seconde
pour nous jeter à l'eau.
Comme des gamins, nous jouons à nous sauter, à passer par dessous l'un l'autre etc.
Bref des jeux qui à force prennent une tournure plus sensuelle. Nous nous frôlons,
nous nous touchons et l'envie, une nouvelle fois, d'aller plus loin se présente à nous
au point que nous sortons de l'eau en quatrième vitesse.
Ma belle sur pointe ses yeux sur mon caleçon de bain et me dit.
Et bien dit donc, tu as encore un sacré mandrin. C'est moi qui ait provoqué ça ?
Je crois bien que oui. Et maintenant, il va falloir faire quelque chose pour faire
dégonfler la bosse, tu crois pas !!!
Bon, je suis désolée de t'avoir mis dans cet état. Mais je vais réparer ça tout de
suite.
A quelques pas de là, un peu en retrait de la plage se trouvait un espace avec de la
végétation, quelques herbes hautes et des palmiers. Nous nous y rendons à toute
vitesse et nous trouvons un petit coin qui fait notre bonheur. On dit toujours que le
bonheur est dans le prés. On ne peut pas mieux dire.
Nous nous jetons sur le sable à l'ombre d'un palmier géant, et ma belle sur préférée
m'arrache mon caleçon et prend sans attendre les choses en mains et surtout en bouche.
Elle est toujours comme ça. La voilà qui s'active sur mon mandrin comme une femme qui
manque de sexe et qui n'a pas fait l'amour depuis trop longtemps. Je vais vous dire,
ce n'est pas pour me déplaire. Et j'avoue humblement que j'affectionne
particulièrement sa façon de pratiquer. Ma belle sur, qui me connaît assez bien
maintenant, sait exactement ce qu'elle doit et surtout comment faire pour me rendre
fou amoureux d'elle.
Du temps qu'elle aspire ardemment ma verge, je commence à lui ôter son soutien gorge
pour caresser ses superbes seins ronds et bien lourds. Il faut dire qu'elle possède
une superbe poitrine, un bon 90 C ou peut être D.
Après avoir enlever le petit bout de tissus qui lui servait de string, elle se met à
califourchon sur moi, m'offrant sa fente délicieuse et ses superbes fesses.
dis pas quel bonheur pour moi. Faire un 69... avec Mimi, c'est un moment dans la
préparation à l'amour que je ne peux pas négliger. C'est le moment magique ou les
partenaires se donnent simultanément du plaisir. Mais, avec elle, c'est pire, c'est le
sommet de la jouissance.
Du temps que Mimi suce son gros bâton, pas à la vanille, avec un appétit féroce,
j'enfouis ma tête entre ses fesses et lui déguste sa fente brûlante, sans oublier son
bouton d'amour. En quelques coups de langues, la voilà qui commence à soupirer.
Cette fois c'est Mimi, qui lâchant mon sexe, me dit.
Cette fois, c'est bien parti. Je jouis. Prends moi s'il te plaît.
Attend encore un peu, je vais te rejoindre.
Non, j'en peux plus, prends moi maintenant s'il te plaît.
OK.
A ces mots, j'abandonne mon travail. Ma belle partenaire se lève et vient se mettre à
cheval sur moi. Elle se laisse glisser lentement sur mon pénis pour s'y empaler. Elle
ne perdit pas une seconde. Aussitôt embrochée, elle commence à monter et descendre sur
ma verge raide comme un manche de pioche.
Dans l'instant qui suit, la belle commence à chanter sa chanson, rythmée par les aller
retour.
Ah c'est bon monsieur, tu me fais du bien. Je suis au ciel. Fais moi encore jouir.
Mais oui, ma belle dame, je suis là pour ça. Et puis, tu l'aimes bien ma grosse
banane. Elle te fais du bien ???
Oui. Elle me manque ta banane. Il faudrait que tu me la donnes plus souvent.
Oui, je sais bien. C'est compliqué, mais on va trouver une solution à ça.
Bref, cette petite discution terminée, nous nous recentrons sur notre divertissement.
Après le califourchon et quelques autres positions, je demande à ma belle sur de se
mettre à quatre pattes. Je me positionne derrière elle, et ma verge vient s'enfouir à
nouveau dans sa chatte brûlante et dégoulinante de désir.
de plus en plus intenses, et les gémissements de Myrice aussi.
A force de regarder son petit trou plissé, l'envie de lui demander de la sodomiser me
vient encore une fois, et je ne peux m'empêcher de lui en faire part.
Mimi, serais tu d'accord que je te prenne encore ton petit trou?
Heum, je crois que oui. La dernière fois, tu m'as tellement régalée. Je me suis
envolée au septième ciel. Que c'était bon. Oui bien sûr, transperce le moi encore.
J'aime trop quand tu me sodomises.
Je retire délicatement ma verge encore bien raide de sa délicieuse fente brûlante. Je
lui humidifie encore une fois son petit trou, et approche avec délicatesse jusqu'à
bout touchant mon pistolet à moustaches. Une fois en position, la rondelle étoilée, de
la belle demoiselle, bien dilatée s'ouvre pour accueillir le visiteur. Elle est
tellement excitée que je n'ai pas un gros effort à fournir pour que la pénétration
s'effectue.
A cet instant, ma charmante belle sur poussa un petit cri de satisfaction et
sexclama.
Oh mon cochon, que c'est bon. Tu me combles.
Et puis, elle poursuit.
Vas y maintenant, fourre la moi tout au fond de moi.
Ce à quoi, je lui réponds avec empressement.
Y a pas de soucis. Si tu te régales, moi aussi. On va jouir tous les deux ensemble.
Nous reprenons notre petit jeu, et ça dure plusieurs minutes. Le chanson de Mimi
recommence de plus belle sous mes coups de boutoirs. Et au bord de l'épuisement mutuel
je lui décharge un flot de sperme chaud tout au fond de ses entrailles.
Après quelques instants de récupération, bous rentrons à l'hôtel où nous prenons une
bonne douche et nous buvons un bon coup bien frais afin de nous remettre d'aplomb. Il
est tard. C'est l'heure de passer à table. Nous nous asseyons à la terrasse du
restaurant, commandons de quoi nous rassasier et, ce n'est pas trop après un tel
exercice.
Après le repas, nous rejoignons le cabaret qui se trouve juste à côté du restaurant.
Car, les sons qui s'échappaient de l'établissement, nous ont donné l'envie d'aller se
bouger un peu. Nous y sommes restés jusqu'à tard dans la nuit. Mais, lorsque nous
sommes rentrés à la chambre, malgré la fatigue, une nouvelle envie irrésistible de
faire l'amour nous a pris.
Dans un élan commun, nous nous sommes retrouvés à poils en moins de temps qu'il faut
pour un éléphant et, comme des morts de faim, nous nous sommes jetés l'un sur
l'autre pour recommencer un nouveau match à plusieurs mi-temps.
La plage, l'amour, la plage, l'amour, ça a été comme ça pendant ces deux jours que
nous avons passé à Kribi.
Voilà, c'est comme ça que l'on passe un bon week-end au bord d'une plage au Cameroun.
Mais, les meilleures choses ont aussi une fin. Nous avons dû rentrer à la maison. Car
le lundi matin, il fallait aller bosser... !
Zizoulabellequeue.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!