Leslie Se03

Leslie SE03 - Seule, aventures d’un soir

La sortie effectuée l’autre jour m’avait redonné l’envie de retourner dans des bars,
dit branchés de la capitale, comme pour renouer avec mes anciens endroits de jeunesse.
En sortant du boulot ce soir-là du mois de juin, je me suis dit qu’en allant dans ce
bar près de la place des innocents je savais que je trouverais si jamais je cherchais,
l’autre jour j’avais fait des rencontres, alors pourquoi pas ce soir…
Je me suis rendue dans ce bar où j’allais par le passé, connue de tous les marginaux
du sexe, c’est un endroit de rendez-vous où toutes les rencontres sont possibles,
gays, homosexuels des deux sexes et autres créatures ambiguës comme moi.
Habillée d’un petit top noir, seins nus, avec un tailleur mini-jupe gris perle et mes
escarpins à hauts talons, je pouvais faire de l’effet aux éventuels protagonistes
désirant faire une rencontre sans lendemain.
Je me suis installée à une table au fond de la salle, sur la banquette, et j’ai
commandé un gin-fizz.
Je ne me suis même pas donnée la peine de chercher, elle est arrivée quelques minutes
après, créature de rêve pour certains ou de fantasmes pour d’autres, un être à la
recherche d’une aventure d’un soir pour moi.
Perchée dans des escarpins aux talons de quinze centimètres, les jambes magnifiquement
moulées par un legging noirs qui se meure en dentelles au-dessus des chevilles, une
mini-jupe en cuir noir et sur ses hanches une large ceinture noire portée basse, un
corset blanc au col roulé suffisamment court pour laisser apparaître un nombril percé
ornée d’un rubis, elle est rentrée et les regards se sont détournés un instant.

Nous n’avions pas rendez-vous, mais nous nous sommes reconnues, deux être du même
sexe, celui des transexuelles, elle s’est approchée de ma table et m’a demandé, avec
sa voix légèrement cassée et une respiration trouble :
- Puis-je vous tenir compagnie ?
- Oui tu peux, lui dis-je.


- Trans ?
- Oui. Comme toi ?
- Oui.
- Moi, c’est Leslie.
- Moi, Patty.
Les présentations étaient faites, en deux mots nous savions qui nous étions et il
n’était pas nécessaire de préciser ce que nous faisions ici, Patty cherchait du sexe
et moi je pouvais lui en donner. Elle s’est installée en face de moi sur une chaise et
à commander.

Légèrement écartées de la foule, assises à notre table nous avons conversées en buvant
un verre, puis un autre, au troisième, Patty s’est installée à côtés de moi sur la
banquette et a posé sa main sur ma cuisse, dénudée par ma mini-jupe qui était remontée
assez haut sur mes cuisses.
Sa main douce sur ma peau dénudée me fit frémir, elle me proposa ses lèvres que
j’embrassais aussitôt.

Ensuite, nous nous sommes embrassées profondément, sans équivoque sur nos désirs,
d’autant plus que remontant sa main sur ma cuisse, Passy m’a caressé le sexe en disant
:
- Que tu es belle et comme j’ai envie de toi !

Je passe ma main entre ses jambes, pour constater que sa bite est aussi raide que la
mienne, je la sens frémir sous ma caresse et pousser un petit :
- Ohhh !
Elle me regarde dans les yeux, les siens brillent d’envie, nous n’allons pas tenir
très longtemps, Patty envoie un SMS, nous réglons nos consommations et Patty
m’entraine au dehors de ce bar.
La nuit est tombée et la nuit noire nous cache des regards indiscrets sous les arcades
de la place des innocents.
Remplie de désir, comme moi, de sucer, Patty m’entraine sous un porche et
s’agenouillant à mes pieds, rapidement elle me prend en bouche. Je suis un peu gêné de
me faire sucer dans cet endroit où nous pouvons nous faire surprendre à tout moment,
mais enchantée d’être entre ses lèvres, mais me laissant aller, je pense que je
préfère l’enchantement à la gêne.

Puis elle se relève et retourne à mes lèvres pour m’embrasser, encore toute aromatisée
par les saveurs de mon sexe.

Puis ses lèvres contre mon oreille elle me dit à voix basse, comme dans un souffle :
- Viens, suit-moi !
On marche rapidement, et nous rentrons dans un hall d’immeuble, elle appelle
l’ascenseur en me disant :
- J’habite au huitième et dernier étage.
On monte dans l’ascenseur et là, une fois dans l’ascenseur, elle se retourne dos à
moi, remonte sa jupe sur ses reins, baisse son legging, écarte son string, se cambre
et me présente son anus écarquillé, paré d’un rubis anal.
J’ôte le bijou et rentre mon majeur dans la chaleur de son ventre et, un deuxième la
pénètre. Elle est prête !
Je prends, ses épaules entre mes mains, elle se cambre dans l’invite à la baiser, je
place mon gland sur son anus frémissant et la pénètre d’un coup vif. Elle lève la tête
et pousse un râle suivi d’un oui essoufflé, avouant sa satisfaction, je vais et je
viens, la caressant de toutes parts et la comblant de baisers vertigineux.
En plein enculage la porte de l’ascenseur s’ouvre, nous sommes arrivés à son étage, et
comme chien et chienne accouplés, mon sexe dardé encore en elle, nous sortons de la
cabine.
Elle plaque ses mains contre le mur d’en face, elle se penche et se cambre pour que je
continue de lui péter le cul dans le couloir de son étage.
Je lui perfore le cul à grands coups de queue, la faisant gémir et ses gémissements
remplissent le couloir tandis que nous ne faisons plus qu’un, en sueur nous sommes
deux êtres emboîtés et inséparables, copulant dans le couloir d’un huitième étage.

Puis nous nous séparons, et elle me conduit chez elle, un petit deux pièces divinement
agencé, simple et fonctionnel,
Une fois rentrés, elle se fout à poil et fébrilement me dépoile complètement, la bite
dressée à mes yeux, elle est prête à se faire enculer pendant des heures.
Je m’accroupis et je me mets à la sucer, comme j’en rêvais de le faire un peu plus tôt
dans le bar.
Tout d’abord les longs coups de langues, puis le gland entre mes lèvres…
La sentir rentrer doucement dans ma bouche, entière et raide, la tête contre son
ventre, c’est un moment que j’adore, puis ses mouvements lents et profonds entre mes
lèvres gourmandes, le moment est magique.
Sa main qui m’appuie doucement sur la tête et l’entendre dire :
- Suce !
Cet ordre me fait bander et je commence à avoir le désir de ce membre en moi.
Puis je me redresse et je l’embrasse, laissant ma belle amante le membre palpitant.
Sans perdre un instant, elle m’att par les hanches, m’embrasse en me palpant le
cul et la queue.

Soudain on frappe à la porte, elle ouvre aussitôt en me disant :
- Avant de quitter le bar, j’ai demandé par SMS à ma copine Sonia de nous
rejoindre !
Très naturellement je me dirige vers la copine, une transexuelle, et en lui saisissant
très naturellement le paquet au travers de son short moulant, je dépose un baiser sur
les lèvres, en guise de bienvenue.
Elle répond à mon baiser en y ajoutant sa langue.
La copine est jeune, tout au plus dix-neuf ans et d’après ce que j’ai entre les mains
elle est aussi bien membré que la première, voire mieux. Quitte à me faire enculer, je
préfère celle-là.
Alors je me cambre, les mains contre le mur, et en la fixant que je lui fais
comprendre que je suis prête. La demoiselle comprend très vite, le temps de baisser
son short, je la sens me pénétrer par à-coups, à en croire sa méthode, et malgré sa
jeunesse, ce n’est pas la première fois qu’elle encule…
Ça promet un rodéo d’enfer !

Elle me rentre la moitié de son membre d’un coup sec, c’est douloureux trois secondes
mais après c’est le paradis !
Dès qu’elle sort un peu, je m’empresse de l’enfoncer au maximum en roulant des reins.
C’est bon, je me suis habituée à mon hôtesse, c’est dans ce genre de situation que
j’aime et qui me font hurler :
- Vas-y, baise-moi !
Et elle obéit sans problème, mais à me voir me faire tamponner ainsi, ma première
chérie demande à participer.
Et me voici, maintenant, prise en levrette sur le lit,
une queue dans la bouche et une deuxième dans le cul.
Puis la jeune jouit au fond de mon ventre, tandis que l’autre jouit entre mes lèvres,
excitée comme une puce.
Puis c’est à mon tour d’enculer Sonia, son petit cul est serré, c’est trop bon, Patty
elle en profite pour me prendre le cul à son tour.
Je jouis rapidement dans ce petit cul offert et je regarde la pendule de l’appartement
de Patty, il est deux heures du matin, il faut que je rentre.
Je me rajuste en disant :
- A bientôt !
Elles m’embrassent en disant :
- Merci, reviens quand tu veux.
Je quitte Patty et Sonia en sachant que nous ne nous reverrons jamais, enfin peut-
être…
Je sais maintenant que Patty et Sonia sont des habitués du bar et qui sait si un jour
de manque je n’y retournerais pas, surtout pour Sonia pour qui j’ai le plus flashée.

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!