Petits Flirts Entre Amis Chapitre 13

Le feu crépite dans la cheminée.
Le sexe de Stephen m'emplit la bouche, me bloque la gorge, m'étouffe.
Je le suce en y mettant tout mon coeur, toute mon âme, mais je ne peux pas l'avaler
entier, il est trop massif, trop gonflé de désir.
Sa langue plonge en moi.
C'est moi qui suis dessus, mes genoux pliés autour de sa tête, qu'il lève pour me
téter pendant que je m'enfonce sur sa hampe dressée. Un "69" improvisé, je n'aime pas
ça d'habitude, j'ai du mal à me concentrer sur mon plaisir lorsque j'essaye d'en
prodiguer... mais pas là.
Nous nous comprenons.
Je sais quand je dois faire une légère pause, quand il va venir, je le mène au bord de
l'explosion, puis le laisse battre au creux de ma main avant de revenir à la fellation
avec une douceur infinie, de le porter à nouveau aux nues, et de le libérer encore
pour que la jouissance presque atteinte reflue sous mes doigts immobiles.
Quand cela arrive, il plaque sa bouche contre mon con, les muscles en tension, et sa
langue fourrage mon intimité avec une intensité redoublée.
Il est nu.
Je suis toujours habillée. Il a juste ouvert les boutons du bas de mon body, qui lui
donnent un accès VIP à ma moussette, sans ôter le charme de la lingerie, de mes bas
noir, de ma robe légère et sexy. Il me caresse les fesses, le dos, essaye de trouver
mes seins sous ma petite robe, ses mains sont chaudes, je le revois couper les buches
à la hache, je le suce plus fort, le mordille, joue de son plaisir qui menace de
déborder trop vite.
Mon téléphone a sonné, tout à l'heure, annonçant un sms.
Je n'ai pas regardé le message.
Probablement la réponse d'Alain.
ça ne m'inquiète pas.
Les doigts de Stephen m'enserrent l'épaule.
- Attention...
Il a chuchoté, mais je sens l'urgence dans sa voix. Perdue dans mon excitation, dans
mon impatience, je l'ai mené une nouvelle fois tout près de la crue .

Je garde sa
colonne délicieuse sur ma langue, mais je ne bouge plus. L'abandon est proche. Il
suffirait que je le masturbe encore une fois pour qu'il m'emplisse la gorge de son
jus. Il bat dans ma gorge étroite. Longuement. Il souffle comme une femme enceinte. Je
souris intérieurement. Soufflez, Monsieur, je vois le sperme. Il se détend enfin, sans
décrisper les doigts, puis les relâche dans un dernier gémissement.
- C'est pas passé loin.
Je sais. Je le branle rapidement, langue tirée, puis je m'arrête soudain.
- Ourgh...
Tendu à se rompre.
Il couine, serre les fesses, les couilles, se retient. Une goutte transparente
s'échappe du méat frémissant. Je la lèche, l'avale. Il gémit, ses abdominaux se
contractent. Tout son corps tremble. Je souffle sur la queue en feu. Il halète, mais
parvient à contenir les flots. Il ouvre les poings, essoufflé, un marathon couru à la
force de ses tripes.
- Tu es vraiment une garce...
Je ris.
- Tu aimes que je sois une garce ?
Sans répondre, il plaque sa bouche contre ma moussette et me lime de sa langue, me
titille le bouton, entre et sort de ma vulve trempée, se régale de mes grandes lèvres,
fait la cour à mes petites, me dévore l'abricot. Je me tends à mon tour, portée par le
concert de sensations soudaines, je presse son manche épais au creux de mes petites
mains et l'agite de manière incontrôlée, incohérente. Il s'enfonce plus loin, son nez
entre dans mes fesses, s’introduit juste au bord de ma rondelle tendre, il me pignoche
puis me fouille, il sonde mes recoins cachés, les fait vibrer, se joue de mes émois,
de mes émotions, repousse mes sens dans leurs retranchements. Je geins, je gémis, je
crie mon plaisir, il ne faiblit pas, ne me laisse pas respirer, il veut mener au bout
cette exquise revanche.
Je m'avoue vaincue, je colle ma tête contre son pubis et dans une dernière tension
enivrée, je m'arc-boute et jouis, cuisses serrées contre ses joues, dans une étreinte
telle qu'il ne peut plus bouger que la langue dans mon hymen étroit.

Je me détends enfin, je m’étale en flaque molle sur sa bouche toujours active, il me
flatte la croupe un long moment, avant de me retourner sur le petit plaid que nous
avons mis au sol, juste devant la cheminée qui diffuse une chaleur toute bienvenue.
Il s’étend à me côtés.
Il est beau.
Je repousse une mèche de ses cheveux blonds, et le regarde sérieusement.
- Je t’aime.
Il hoche la tête, une expression de bonheur intense sur le visage.
- Moi aussi.
Sa main passe sur mes seins, par-dessus la robe. J’inspire pour les rendre plus gros,
plus ronds, plus présents sous ses doigts.
- Déshabille-moi.
Il sourit et m’embrasse longuement.
J’aime ces baisers…
Il s’agenouille entre mes cuisses écartées.
Sa queue frotte ma moussette, en caresse les plis, sans forcer, tandis qu’il
déboutonne ma robe lentement. Il me regarde, il m’admire, je me sens belle. La robe
tombe en corolle autour de moi, je suis le pistil, il est le bourdon qui va me
butiner… Mes seins débordent de mon soutien-gorge, il passe ses mains dans mon dos
pour le dégrafer, je me cambre, ma moussette se plaque contre sa tige épaisse, je la
masse en ondulant le bassin, sa respiration devient plus profonde, il a envie, moi
aussi.
Il contemple mes seins dressés, en goûte les petites pointes noires, les titille, les
pinces de ses lèvres, je me tords pour accen la pression de mon chaton trempé sur
son sexe érigé,
Mes mains descendent d’elles-mêmes, se saisissent de la bête énorme et la plantent
dans mon désir. La pénétration est brutale, totale, rapide, il a compris mon
impatience, il me prend sans fausse modestie, sans honte, sans timidité, il s’enfonce
en moi jusqu’à la garde, je l’accueille au creux de mon étamine en balbutiant des
remerciements murmurés, je ne sais pas s’il entend dans le frisson de nos respirations
emmêlées, de nos halètements urgents, de nos essoufflements pantelants.

Il me possède enfin, totalement, tambourine en moi sans retenue, son long aiguillon
s’abandonne dans cette alvéole qu’il a tant voulu remplir de ses sucs mielleux… Ses
bras sont tendus, il me toise de toute sa hauteur et me pénètre sans merci, encore et
encore, je me mords la lèvre inférieure, tourne la tête d’un côté puis de l’autre, je
me saoule de son vit, du plaisir prodigué, de ses ahanements et de ses feulements, il
s’enhardit en entendant l’écho de mes couinements, la force de mes gémissements, la
puissance de mon amour pour lui.
Un second orgasme me surprend en plein cris, je serre les cuisses, il ne bouge plus,
se terre au fond de moi, je viens en vagues brûlantes, j’inonde de mes nectars intimes
son dard palpitant, il se baisse et me couvre de baisers, sans que je puisse les lui
rendre, je suis tétanisée par l’intensité qui me secoue encore.
Je me détends enfin, je me laisse porter par ses mains. Il me retourne au sol, soulève
mon bassin et me prend sans attendre, en levrette, l’une de mes positions favorites.
Je n’ai plus la force de faire un geste, il me lime en rythme, il construit ma
jouissance sans le savoir, mon ventre bout à nouveau, je suis prête à venir sous ses
coups de reins pour la troisième fois, je l’encourage en marmonnant, il me comprend,
accélère, vire, dé, me reprend, s’enfonce, revient, il me caresse, ma robe n’est
plus là, mon soutif a disparu, mon body gode autour de ma taille, il me laboure, je
l’absorbe, il me domine, je le contient, il me baise, je l’accueille, il grogne, je
gémis.
La jouissance revient, plus forte et massive que les deux premières fois, je me plaque
contre son pubis, je sens toute la longueur de son sexe au fond de moi, je geins
misérablement, consciente de la lubricité que mes feulements de chatte satisfaite
évoquent.
Il rit, essoufflé, il me relève et me serre contre lui, je tourne la tête en arrière
et l’embrasse, sauvage, il rit encore, je pleure et je pouffe en même temps, je suis
en nage, lui aussi, ses cheveux blonds sont trempés, son corps luit d’une
transpiration fine, nous glissons l’un contre l’autre, et je réalise que je veux lui
offrir plus que mes gémissements, plus que mon abandon.

Olivia doit bien le faire avec lui.
Et si elle ne le fait pas… il n’en prendra que plus de plaisir avec moi.
Ma voix est presque implorante quand je lui demande :
- Prends-moi… prends-moi ici.
Je porte une de ses mains jusqu’entre mes fesses, et lui fait presser ma fleur
secrète. Il écarquille les yeux, il est beau, et il est à moi aujourd’hui. Son sourire
se fait rêveur. Il appuie un peu plus sur le petit diamant brut aux bords si doux.
- Tu es sûre ?
Je l’embrasse à nouveau et réponds dans un murmure sans le quitter des yeux.
- Oui. Viens en moi. Doucement. Je ne l’ai fait qu’une fois. Viens.
Je m’écarte, me place à quatre pattes sur le plaid et me cambre dans une position
suggestive. Mes bras tremblent un peu, ces orgasmes m’ont vidée, mais l’excitation à
l’idée de lui donner le trésor convoité par tous les hommes me redonne un peu de
forces.
- Alain a eu cette chance, finalement ?
Je secoue la tête, coquine.
- Pas Alain. Laurent.
Il ne cache pas son étonnement, ni son amusement.
- Oh. Garce jusqu’au bout, alors.
Je m’arc-boute et ondule les hanches au contact de son sexe sur le petit anneau si peu
expérimenté.
- Mmm… je ne veux rien tant que d’être ta petite garce personnelle. Viens…
Je ne vois rien venir. Je suis tellement détendue par nos ébats que je sens à peine
éclore mon bulbe délicat, qui engloutit le gland massif et une partie de la hampe
veineuse avant de m’en rendre vraiment compte. Stephen ne respire plus, il est
suspendu, hors du temps, en apesanteur, il remonte de son exploration un court instant
et fouille à nouveau mes entrailles de sa tête fouisseuse, j’ai soudain conscience de
ce dragon qui bat dans mon canal étroit, qui se love dans mon ventre, qui m’empale
avec douceur, je n’ai pas vraiment mal, un peu peut-être, si un voile plaintif
s’échappe de ma gorge, c’est un voile de sensations contradictoire, un voile de
douleur, un voile de bonheur.
Je n’ai pas longtemps à souffrir avant que Stephen ne se cale complètement dans mes
abysses les plus intimes, ma fleur s’est ouverte comme jamais pour la trompe du
bourdon butineur, il se baigne dans mes liquides, s’en humecte lentement, et, par à-
coups prudents, il entame sa danse des reins, les mains fermement accrochées à mes
hanches, de peur que je ne m’échappe, de peur que je ne m’éjecte, de peur que je ne
fuie le serpent dressé.
- Oh… oui…
Je me mords jusqu’au sang. J’ai parlé pour le rassurer, j’ai gémi pour lui dire que je
l’aime, pour lui dire que je ne fuirai pas, il comprend, il me baise enfin, il me
saute, me sodomise (m’encule) comme la garce que je suis pour ses beaux yeux, pour son
beau corps, pour le goût délicieux de sa queue si tendre, si longue, si désirable.
Je sens son pubis contre mon cul et je sais qu’il est au plus profond, je souris dans
la petite douleur que je ressens encore, je glisse une main sous moi et me frotte la
moussette avec ses couilles épilées, il me pilonne bientôt, me lime, me ramone le
conduit, je mouille abondamment, la brûlure des débuts devient une chaleur
bienfaisante, je sais que je pourrais jouir à nouveau s’il allait plus vite, s’il
venait plus fort, s’il me montait sans me ménager.
- Viens… oh… plus vite, Stephen… s’il-te-plaît…
Pourquoi faut-il toujours dire aux hommes comment se comporter ? Ne peuvent-ils pas
lire dans nos réactions ce dont nous avons besoin ?
- Plus vite ! han ! Plus vite ! han ! Encore , bordel !
Cette fois, il a compris, il se laisse aller, enfonce sa bite en moi sans se soucier
de ma féminité, de ma délicatesse, il me prend, sauvagement, comme j’ai besoin qu’il
me prenne. Ses couilles échappent de mes mains tant l’amplitude de ses coups de reins
s’est accentuées, j’introduis trois doigts dans ma fente trempée, et me branle comme
une adolescente en manque, perdue dans le concert de sensations inconnues qui irradie
dans mon ventre, dans mon cul cambré.…
Je me crispe sur la queue, terrassée par une jouissance extrême et inattendue, je sens
Stephen se tendre, il gémit, les dents serrées, se plante tout au fond de ma fleur
écartelée et décharge ses spasmes de plaisir qui se mêlent au mien, dans des remous
délicieux nos humeurs se mélangent, je serre les fesses autour de son vit, extatique.
Le sperme chaud et abondant déborde bien vite et coule librement sur la couverture
chiffonnée.
Après un dernier tressautement, Stephen sort de mon jardin secret et s’affale sur moi,
la queue au creux de mon dos. Je glisse jusqu’au sol, le corps tremblant, je me
retourne et l’étreint de toute mon âme.
J’ai enfin eu ce que je voulais depuis ce premier soir où Stephen m’a embrassée.
Et je sais déjà que je voudrais recommencer.
Que je VEUX recommencer.
Qui sait ? Peut-être qu’Olivia l’acceptera encore…

***

Le feu crépite toujours intensément.
Je ne sais pas quelle heure il est, mais la nuit est bien avancée maintenant.
Je suis à genoux. Je ne porte aucun vêtement. Lui non plus.
La queue de Stephen m’étouffe. Encore. Elle est si grosse. Je l’adore. Le bonheur
d’avoir une colonne de chair si massive rien que pour soi est tellement EXCITANT…
Je le branle avec mes seins tout en le suçant de plus en plus vite. Il apprécie, je le
sens bien, il…
Le jet de sa jouissance me prend par surprise, je hoquète, je l’éjecte de ma bouche en
toussant du sperme par le nez. Je continue de le masturber en essayant de retrouver
mon souffle, et le finis sur mes seins,
Il rit à mesure qu’il me couvre de son liquide clairet qui coule en gouttes grasses
sur mon corps nu.
Je le reprends dans ma bouche.
La nuit n’est pas finie.

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