Leslie Se06

Leslie SE06 – Seule, le vigile, suite

Puis il m’a allongée sur le lit, en me faisant écarter largement les jambes, puis il
se rapproche de moi et je sens son sexe venir frotter contre ma rondelle et entame un
lent va-et-vient de frottement contre mon anneau plissé, humidifiant son anus avec les
sécrétions de son sexe, avant de s’enfoncer d’un coup sec jusqu’au fond de mon cul !
Bien que je sois complètement ouverte, cette pénétration brutale m’arrache un cri.
Je sens son sexe qui me remplit complètement et m’écarte l’anus, puis Benoit me
défonce à grands coups de bite, et une onde de plaisir qui augmente à chaque coup de
queue monte en moi.
Après quelques minutes Benoit se retire pour me retourner et me prendre en levrette et
ses pénétrations n’en deviennent que plus violentes accompagnées de grandes claques
sur mes fesses.
A mon tour, je hurle mon plaisir et on doit m’entendre dans tout l’immeuble.
Et ce n’est que des hurlements de plaisir alors que l’orgasme s’empare de moi au
moment même où j’entends Benoit pousser des grognements bestiaux et que je sens son
foutre chaud se répandre dans mes entrailles.
Il me faut quelques minutes pour me permettre de reprendre mes esprits après ce
puissant orgasme.
Benoit se retire et me propose de nous rhabiller et d’aller boire un verre.

Une fois rhabillés, Benoit ouvre la porte et m’accompagne pour redescendre au club et
boire un verre au bar, devant barman qui n’hésite pas à me faire un grand sourire
vicieux.
Avant de nous quitter, Benoit me propose d’aller dormir chez lui et de finir la nuit
en nous donnant du plaisir, mais je lui dis que demain est une journée importante,
alors il me raccompagne à mon hôtel.
En nous quittant, il m’embrasse en me disant :
- Quand tu veux ma chérie, reviens me voir.

Arrivée dans ma chambre d'hôtel, après m’être déshabillée, nue je me suis précipitée
sous la douche, la chaleur de l’eau chaude sur mon corps me décontracta, mais en
pensant à cette soirée, et la silhouette de Benoit revenant dans ma mémoire me
submergea, me faisant bander comme une folle.


En me glissant nue dans les draps, malgré la fatigue, je ne pouvais m’empêcher de
continuer de penser à cette soirée et à Benoît, mais je devais absolument dormir car
une dure journée le lendemain m'attendait.
C'est donc, une fois rentrée dans ma chambre d’hôtel, qu’en masturbant doucement mon
sexe raide, d'envie et de désirs, que j'ai lentement sombré dans les bras de
Morphée...

Quand l'alarme de mon téléphone a retentit au petit matin, j’ai sursauté !
Encore dans mes rêves, ces rêves qui toute la nuit m’avaient enveloppés dans le doux
mélange du corps de Benoît et du mien, lui en moi ou moi en lui et ce dans toutes les
combinaisons que l'on peut imaginer...
Il fallait maintenant que je me prépare pour rejoindre Michel et Sandra pour notre
retour sur la capitale et cette dernière journée de travail bien chargée.
Une fois prête, je descendis à la salle des petits déjeuners de l'hôtel où, mon patron
et sa maîtresse venaient tout juste de commencer.

- Bonjour Leslie... tu as des petits yeux, la soirée aurait-elle été mouvementée
? s'amusa de me demander Michel en souriant.
- Disons qu'elle a été des plus qu'agréable, lui répondis-je.
Durant tout le breakfast, seul Michel et Sandra conversaient, moi, j'étais dans mes
pensées, je replongeais dans mes rêves de la nuit, et surtout dans mes souvenirs
d'hier soir, qui eux étaient bel et bien réels.
Il fallait que je fasse quelque chose, je ne pouvais pas rester sur cet instant de pur
bonheur avec Benoît dont j'avais été la dépuceleuse anale. Après tout, Laure était
toujours aux States, et j'étais seule ce week-end...
L’idée me vint en finissant ma tasse de café, c’était décidé, j’appellerais Benoît
pendant le voyage en train vers Paris.

Après la réunion de travail, avec nos clients, où je fus plus spectatrice
qu’animatrice, un déjeuner prit rapidement, à quatorze heures trente nous montions
tous les trois dans le train, comme dans un autre monde je me laissais guider sans
savoir ce qui m’arrivais, toujours plongée dans mes pensées, cela ne m’arrivait jamais
d'habitude.

Silencieuse, je calculais tout dans ma tête.
Départ quatorze heures trente-deux, arrivée quinze heure cinquante-trois, arrivée au
bureau vers seize heures, réunion de débriefing, fin du boulot à dix-sept ou dix-huit
heures, reprendre un train pour Epernay arrivée à...
Mais je suis folle ! Je suis en train de faire des plans sur la comète... Mais si
benoit n'était pas libre ce soir et ce week-end ou même, s’il ne voulait pas me revoir
?
Le mieux c'est que je l’appelle...

- Leslie ? Tu m’écoutes ?
Je sursaute... Michel était en train de me parler du travail et je ne l’entendais même
pas.

- Oui Michel... Excuses-moi, tu disais ?
- C'est bien ce que je pensais, tu as la tête ailleurs...
- Euh, oui, enfin non, je...
- Bon, laisses tomber. Quand on arrive au bureau, tu mets Sandra et Yves au
courant de la journée et du boulot à produire et tu pars en week-end.
- Mais, Michel, je…
- Non, n’insiste pas, continu Michel, dans l’état dans lequel tu es, tu n’es pas
en mesure d’assurer, casses-toi en week-end…
- Oh, merci Michel, lui dis-je dans un cri du cœur.
- Ne me remercie pas, je te connais et je ne sais pas qui t’a mise dans cet
état, mais je préfère que tu prolonges ton état d'extase actuelle et que tu reviennes
lundi en forme et maintenant vas téléphoner à ton ou ta conquête.
- Euh, oui merci quand même, dis-je en lui faisant un sourire.

J'ai dit cela, mi confuse d'être démasquée mi rouge de honte, mais Michel me connais
si bien. Je me suis levée aussitôt pour aller m’isoler un peu pour appeler Benoit...
C’est fébrile que je me suis isolée sur la plateforme entre deux wagons pour
téléphoner.

Je compose le numéro de Benoit, à la première sonnerie, la voix de Benoit résonne dans
mon oreille :
- Allo.
- Benoit, c’est Leslie.
- Oui, ma chérie, que se passe-t-il ? Demande Benoit inquiet.

- Euhh… Rien, simplement je voulais te poser une question.
- Je voulais savoir si tu pouvais m’accueillir pour le week-end.
- Waouh, bien-sûr sans problème…
- Je règle quelques problèmes et je saute dans le train pour venir te retrouver.
- Super à quelle heure tu arrives. Ce soir, dix-neuf heures cinquante-sept en
gare d’Epernay.
- Super, je viens te chercher.
- A plus, mon chéri.
- A tout à l’heure.
Il est libre, c’est super, nous allons passer un week-end de folie.

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!