Gare Aux Fantasmes

Ce texte a été écrit avant mes aventures avec Marianna (qui furent nombreuses et que je vous relate sur cette page) et n’est que pure fiction. Je l’ai trouvé drôle après relecture, j’ai donc voulu le partager aux lecteurs d’HDS.

« Méfie-toi de ce que tu souhaites », m’avait un jour lancé une de mes conquêtes dans le confort de notre lit froissé après l’amour, « il se peut qu’un fantasme se transforme en cauchemar. » Elle rirait bien si elle me voyait aujourd’hui, encagé et l’anus douloureux, distendu à son maximum.

Tout avait commencé le jour où ma femme Miel, avec qui je tentais d’échanger au sujet de nos désirs respectifs, a finalement accepté de parler de ses fantasmes. Bien qu’elle se montre généreuse en amour – elle est une amante remarquable – son éducation ne lui permettait pas, du moins le croyait-elle, de discuter de ces choses. Pour la énième fois, je tentai donc de percer le secret de ses pensées salaces, alors qu’un verre à la main, nous discutions sur la terrasse un soir d’été.

- Quel est ton plus grand fantasme, osais-je?
- Encore? Je te l’ai dit 100 fois, je ne sais pas, je ne suis pas comme toi, je ne passe pas mon temps à penser au sexe.
- Tu dois surement en avoir. Est-ce que tu aimerais te retrouver dans une situation de pouvoir ou de soumission? Que préfèrerais-tu?
- De pouvoir, fustigea-t-elle, agacée par mes questions.
- Bien! Je n’aurais pas cru. Mais encore? Dis m’en plus s’il te plait.

Je me faisais suppliant alors que jamais auparavant, n’eussé-je réussi à lui extirper la moindre confession.

- Et bien, reprit-elle, j’accepterai par exemple de baiser un inconnu, comme dans tes fantasmes, si tu faisais tout ce que je voulais.
- Wow! Super. Et que voudrais-tu?
- Que tu m’attendes bien sagement à la maison pendant que je te trompe avec un, ou plusieurs hommes.

L’érection fut immédiate. Je lui demandais s’il était possible d’envisager de prendre des photos, de m’appeler, de tout me raconter à son retour et elle me coupa net.



- Non. Tu fais ce que je dis, c’est tout. Je ne commencerais pas à m’occuper de toi alors que je m’occupe d’autres hommes. D’ailleurs, il se peut que le fait d’être soumise à ces messieurs m’excite également, pendant que toi, tu te soumets à moi.
- Putain! T’as fumé quoi ce soir? Tu avais ces idées depuis tout ce temps?
- Je te parle si je veux. Maintenant, laisse-moi tranquille.

J’étais partagé entre l’envie d’envoyer valser ma chaise et celle de la baiser sur-le-champ. Je décidai de faire mine d’être au-dessus de tout ça.

Le vendredi soir suivant, je reçus un message texte de mon épouse pour me dire qu’elle sortait avec une de ses copines et que je devrai faire tout ce qu’elle m’ordonne de faire. Je compris tout de suite que quoi il s’agissait et l’érection, une fois encore, fut immédiate.

- Les s sont chez mes parents. Je leur ai dit que nous prenions la soirée pour nous. Je vais passer à la maison me changer. Tu dois y être à 17h pile. Tu me laveras, me raseras le sexe et me choisiras la tenue la plus provocante de ma garde-robe. Ensuite… tu verras bien.

J’étais en transe. Impossible de me concentrer sur mes dossiers. À 17h pile, je passai le seuil d’entrée. Ma belle coquine était là, avec son amie. Elles riaient toutes les deux en me voyant arriver, ce qui me vexa quelque peu.

- Romane sait tout. Je lui ai dit que tu voulais être cocu et que tu allais te plier à toutes mes demandes. Elle assistera ce soir à ta préparation. Ensuite, nous irons danser dans un club où elle a ses habitudes.
- Et ses habitués, ajouta la nouvelle complice de ma femme en riant.

Après l’avoir soigneusement baignée et avoir rasé son intimité, je me mis à chercher la tenue dans laquelle ma femme serait la plus sexy. J’optai tout de suite pour sa petite robe grise très moulante dans laquelle ses fesses ressortent magnifiquement et les pointes de ses seins dardent de façon arrogante. Il lui était possible de la porter très courte, en la retroussant quelque peu, ou de la descendre à mi-cuisse.
Je lui conseillai de ne pas porter de petites culottes, à moins d’envisager que son amant du soir - ou ses, on peut rêver – ne la prenne sans protection et jouisse en elle. Dans ce cas, lui expliquais-je, le sous-vêtement permettrait de garder sur sa vulve le sperme de ses amants, dont je rêvais depuis des années.

- Avec, dit-elle

Re érection immédiate.

- Bien, maintenant, à ton tour, lança Miel. Je t’ai réservé quelque chose de spécial.

Elle me demanda de m’assoir et sortit d’un sac en plastique deux boites sous le regard amusé de sa complice. L’une d’entre elles contenait un plug en silicone d’une taille surprenante et l’autre, une sorte de petite cage en métal.

- Tu vas m’attendre toute la soirée avec cet énorme chibre dans ton cul. Défense de l’enlever. De toute façon, il sera attaché à ta cage dont je garde la clé.
- La cage?
- Oui, celle dans laquelle tu vas plonger ton pénis. Ça t’empêchera de bander et de te branler et la bite dans ton cul calmera ta frustration.
- Whoo! Minute! Je n’ai pas voulu ça. Je n’ai jamais…
- Ta gueule! Tu fais ce que je dis ou tu ne me parles plus jamais de sexe et de tes fantasmes de petit cocu. Et ne compte plus sur moi pour sortir habillée comme une pute afin d’assouvir tes bas instincts. On est d’accord? Ah, oui. Je me dois de te confier mon fantasme, après tout, c’est bien ce que tu voulais. Et bien, après m’être fait baiser comme une salope, je fantasme sur l’idée de te fister le cul jusqu’au coude. En échange, j’accepterai de partager la semence de mes amants avec toi. Mais tu devras tout nettoyer avec ta langue, petit cocu.

Je nageais en plein délire. La copine de ma femme ne cachait pas son plaisir de me voir ainsi humilié. Elle sembla même en jouir. Ce qui se confirma lorsque ma femme plongea sa main dans un pot de crème censée faciliter l’intromission de cet engin démesuré dans mon sphincter. Les doigts de ma femme, l’un après l’autre, pénétrèrent mon cul serré.
Elle les fit tourner par des mouvements langoureux avant de rentrer, à l’exception de son pouce, toute sa main dans mon tréfonds. Elle perçut mon érection et m’ordonna illico d’enfiler ma cage de chasteté. Ce que je fis sans protester; allez savoir pourquoi. Après s’être assurée que l’outil de serrait parfaitement ma verge, elle replongea sa main dans mon cul qui s’était un peu assoupli depuis la dernière saillie. Enfin, avec un sourire amoureux, elle fit rentrer l’énorme pieu dans mon cul qui m’arracha un cri de douleur. Sa salope de copine ne perdait pas une miette du spectacle et rappela à mon épouse de fixer l’engin à la cage pour que je ne puisse pas me libérer de cet intrus pour le moins encombrant.

- Très bien, maintenant, tu t’habilles et tu vas faire la vaisselle. Ton épouse, elle, va se faire baiser.

Sur quoi, elle tourna les talons et partit en gloussant avec sa partenaire de crime.

L’attente fut interminable. J’espérais chaque seconde recevoir un message texte ou un appel de ma femme, sortie dans l’unique but de baiser le premier venu qu’elle estimerait assez bien pour elle. Ne pouvant pas me satisfaire, je décidais d’écouter la télé. Demeurer assis avec ce truc dans le cul relevait de l’exploit. Je fis des recherches en ligne pour tenter de comprendre ce délire et me rendis vite compte que je n’étais pas le seul à souffrir pareil traitement; qui semblait même être la norme dans le monde du cocu consentant.

Je reçus enfin un message.

- Ça y est, tu es cocu…
- Raconte stp!!!!
- J’adore ça! J’aurais dû m’y mettre avant.
- Raconte!
- Quoi? Tu veux que je te dise que tous les mecs présents ont compris mon petit jeu? Que je leur ai fait savoir que je suis en chaleur? Que les plus entreprenants pourront me baiser? Ça m’excite!!! Même les hommes moins séduisants me plaisent ce soir.
- Tu t’es fait baiser?
- Oui. J’ai accepté de suivre un des amis de Romane dans les toilettes pour hommes.
Je l’ai d’abord sucé avant de lui présenter ma croupe. Il a écarté mon string et m’a pénétrée sans mal, j’étais trempée. Sa queue était courte, mais beaucoup plus large que la tienne. Je lui ai demandé de jouir en moi étant donné qu’il n’avait pas mis de capote.
- Wow! T’as aimé? C’était bon? Réponds stp!
- Oui. J’ai aimé être baisée comme une pute pendant que mon mari m’attendait à la maison, encagé, avec un chibre dans le cul en faisant la vaisselle, c’est vrai. Mais j’aime encore plus savoir que le mot s’est passé et que je ne vais pas tarder à renouveler l’expérience. Combien veux-tu que j’en prenne?
Merde, la vaisselle!
- Autant que tu veux ma reine!
- Alors d’accord. Je vais opter pour le parking cette fois-ci. Il y a plus de place.

Une heure plus tard, la cuisine était étincelante. Mon téléphone sonna, c’était elle.

- Pis????
- Juste deux mecs dans le parking. Un dans ma bouche et l’autre dans mon cul. Ça m’a fait penser à toi. Romane m’a invitée à la suivre chez un de ses réguliers pour terminer la soirée. Qu’en dis-tu? Je peux m’en tenir là si tu préfères.

La voilà revenue à de bons sentiments. Ça fait du bien.

- Mais je crois que je vais y aller, après tout, dans tes fantasmes, je me fais prendre par des tas d’hommes, n’est-ce pas? Et quatre copains de l’amant en question nous accompagnent. Ce qui fait cinq hommes de plus pour moi. Ne m’attends pas tout de suite.

Tentative d’érection immédiate.

- Putain de cage à la con! Ça fait mal, merde!
- Lol!

Sur quoi, la salope raccrocha.

- Salope.

À 5h du matin, elle passa enfin la porte de notre domicile conjugal. Elle semblait épuisée et m’embrassa langoureusement. Sa bouche était imprégnée d’une odeur de sexe et d’alcool. Ses vêtements étaient dans un sal état. Elle se contenta de me regarder en souriant.

- Allonge-toi!

Elle retira sa petite culotte trempée et me la mit dans la bouche. Ensuite, elle vint s’assoir sur mon visage et m’intima l’ordre de tout lécher. Sa chatte était gluante, comme dans mes fantasmes, mais en pire. Je n’avais jamais gouté de sperme avant. Ça m’a un peu dégouté, mais elle serrait ses cuisses autour de mon visage en riant, me forçant à avaler l’âpre nectar.

- Allez, petit cocu, lèche et avale!
- Enlève-moi la cage stp!!
- Non, et tu vas garder le gode dans ton cul. Je suis trop fatiguée pour te fister ce soir. Demain matin.

Sur quoi, elle se leva et alla se coucher sans même prendre le temps de se laver.

Je ne pus dormir. J’avais mal au cul et ma bite était sur le point d’exploser. Je sortis tôt pour faire des commissions en m’efforçant de marcher normalement, ce qui était loin d’être évident. Si les gens savaient… je me sentais complètement nu.

Une fois rentré, je me dirigeai vers la chambre où Miel dormait encore. Elle se réveilla à mon approche et m’ordonna à nouveau de lui lécher le sexe, ce que je fis sans attendre. Il était toujours aussi gluant. L’odeur était plus prononcée et le gout plus salé.

- Je t’ai donné ce que tu voulais, maintenant, à moi!

Elle mis la main sur la clé et libéra mon cul, enfin! Je sentais l’air pénétrer mes entrailles. Elle m’intima l’ordre d’aller me laver et de revenir illico. Ce que je fis. Une fois fait, elle me fit me mettre à quatre pattes et commença son mouvement de va-et-vient avec ses doigts. Je ne ressentais presque rien jusqu’à ce que sa main complète déchire à nouveau mon cul. Elle rentrait sa main le plus profondément possible et semblait prendre un malin plaisir à me faire souffrir. Estimant que mes gémissements n’étaient pas assez forts, elle entreprit d’y aller avec son point. Elle se mit à boxer mon anus; déculant et m’enculant de nouveau. Elle réussit à introduire son avant-bras jusqu’au coude tout en se masturbant et se mit à jouir très fort. Après être sortie de mes entrailles, elle me libéra enfin de cette maudite cage.

- Maintenant, tu vas me baiser. Je veux que tu sentes à quel point mes orifices sont ouverts et englués de sperme. J’espère sincèrement que tu ne sentiras rien. Ça te permettra de réaliser que je n’ai plus besoin de ta queue, tellement les autres me baisent mieux. Allez, pénètre-moi!

Elle avait raison. Son sexe était béant et je m’y noyais complètement. Je passai vite à son cul qui n’était guère plus serré. Je jouis tout de même tant la situation m’excitait. Le simple fait de savoir qu’elle s’était donnée à d’autres hommes pour que ses orifices soient usés par tous ces mâles m’exaltait. Je continuai donc à la besogner le temps que mon membre se durcisse à nouveau et je jouis une deuxième fois dans son cul.

- Bien. Maintenant, tu vas nettoyer mes trous et avaler tout le sperme qui s’y trouve. Pendant ce temps, je vais te raconter ma soirée. Mais je ne suis pas certaine que ça te plaira.

Tandis que ma langue pénétrait son anus, elle se mit à me caresser les cuisses tendrement et s’excusa de m’avoir infligé pareil traitement. Surpris, je la regardais d’un œil nouveau, et me rendis compte que cette fameuse soirée ne serait peut-être pas coutume, ce qui me rassura quelque peu.

- Je me suis laissée entrainer par Romane, je suis désolée. Je ne pense pas que j’aurais eu la force de faire ce que j’ai fait hier sans cet aspect pervers de domination que j’ai exercé sur toi. J’avais besoin que tu sentes chaque seconde mon emprise pendant que je me résignais à me donner comme une vulgaire catin. Que tu souffres toi aussi pour m’avoir traité de la sorte.
- Mais, je t’aime. Je n’ai pas voulu te faire de mal. Je pensais que…
- Laisse-moi finir. Tu avais raison, gouter à d’autres hommes, se sentir désirée ainsi toute la nuit par des dizaines de mecs est effectivement enivrant. J’ai aimé, voir adoré ça. Et je ne croyais pas cela possible.
- Des dizaines?
- Oui. Plusieurs dizaines. J’ai été une vraie pute. Je t’ai menti. Je ne suis pas allée chez l’amant de Romane. Il y a bien eu les toilettes avec le premier et le parking après. D’ailleurs, ils étaient beaucoup plus que deux, mais j’ai perdu le fil après six mecs. En réalité, Romane nous a emmenés dans un club échangiste. Le thème était couples et célibataires, ce qui signifie, je le sais maintenant, une poignée de femmes pour des dizaines d’hommes. Il n’y avait que deux couples. Avec Romane et moi, ça faisait quatre femmes. L’une d’entre elles a d’ailleurs tenu à baiser tous les mecs présents. Ils l’ont gardée après la fermeture pour les habitués. De mon côté, j’ai été prise à la chaine et en double dans chacun de mes trous. J’ai avalé une quantité incroyable de foutre. Certains portaient des capotes, d’autres pas. J’ai perdu le contrôle et cette salope de Romane me vendait aux mecs présents comme étant une petite bourgeoise mariée à un petit cocu soumis pour qui il s’agissait de la première nuit de débauche… J’ai été baisée comme une pute toute la nuit, mon chéri. Et ce qui me perturbe le plus, c’est que j’ai aimé ça et que je mouille à l’idée de recommencer.

Nouvelle érection instantanée fulgurante.

- Heu… ça veut dire que je devrai encore porter cette saloperie de cage?
- Non, mon ange. Tu sauras où je suis cette fois. Je t’enculerai peut-être à mon retour, car j’ai beaucoup aimé, mais je ne te forcerai plus cette fois.
- Est-ce que je pourrais t’accompagner?
- Je ne pense pas que tu sois prêt à me voir et je ne voudrais pas que tu fasses fuir les hommes. Je veux me donner sans retenue. Je veux qu’ils sachent que je suis libre. Moi aussi j’aimerais, comme cette autre femme, me faire baiser par tous les mecs présents. Arriver tôt et repartir la dernière… Remarque, son mari était présent et ne l’a pas empêchée de faire quoi que ce soit.
- Ce sera comme tu voudras, ma reine. Sache seulement que tu ferais de moi un cocu heureux si tu me laissais assister à ces séances de baise à la chaine. Si tu veux, je pourrai nettoyer ton sexe avec ma bouche entre tes amants.
- Tu es mignon. Peut-être, alors. Qui sait? En tous cas, je ne crois pas pouvoir ressortir prendre un verre sans tenter de me faire prendre comme une salope dans les toilettes. J’ai vraiment adoré!

Durcissement douloureux de l’érection fulgurante.

- Mais j’angoisse sérieusement à l’idée d’avoir choppé une maladie…
- Ne t’inquiète pas, nous irons passer des tests demain matin. Les résultats arrivent rapidement maintenant. Ne crois-tu pas que pour ce genre de rapport nous devrions opter pour des évènements plus encadrés? J’ai vu un blogue à ce sujet. Un organisateur qui propose ce type de soirée. Je pourrai lui écrire. Il s’arrange pour réaliser les envies de femmes comme toi. Combien voudrais-tu d’hommes? Membrés ou normaux? Avec ou sans condoms? Il s’arrange pour combler les dames insatiables…
- Ha ha! Je ne risque pas de m’arrêter avec un mari pareil… Disons, une trentaine d’hommes, les mieux membrés qu’il a en réserve et sans capotes; pour qu’ils éjaculent en moi et que tu t’occupes avec ta langue de me garder propre pour les suivants.

Re durcissement douloureux de l’érection toujours en cours.

- Alors d’accord, ma reine. Je te serai fidèle et dévoué pour que tu plonges au plus profond de tes désirs inavouables. Je me plierai à ta volonté pour que tu puisses devenir la salope que tu rêves d’être.
- La salope de tes rêves, tu veux dire? Très bien. Je vais commencer par aller me doucher, à moins que tu préfères récolter encore un peu du nectar de mes amants qui doit encore tapisser mon con…

Je pris le temps cette fois de plonger ma langue dans ses orifices souillés et distendus pour récolter le plus de jus que je pouvais. Je goutais avec délectation à l’intimité d’une femme infidèle et dépravée, et je bandais de savoir qu’il s’agissait de la mienne. Je tentais de percevoir les différences de fragrances qui occupaient le vagin de ma femme. Les hommes goutent-ils tous la même chose? Je l’ignorais alors, mais j’appris par la suite à distinguer le sperme de ses amants réguliers. Me faire gouter son sexe fraichement baisé et me laisser deviner qui venait de la prendre est d’ailleurs un jeu qu’elle affectionne particulièrement. Nous avons beaucoup de chance. Les tests n’ont rien révélé d’anormal, mais nous prenons soin depuis de sélectionner pour elle des hommes testés régulièrement. Concernant les nuits de baise à la chaine, elle continue à se rendre au club une fois par mois, mais sans moi. Elle est devenue suffisamment aguerrie pour être en mesure d’imposer aux queutards de porter une capote et exige d’eux qu’ils éjaculent sur ses seins et ses fesses. Je devrais être autorisé à l’accompagner sous peu. Entre temps, je serai avec elle pour son premier gangbang avec éjaculations internes officiel, uniquement avec des hommes testés et triés sur le volet. L’organisateur susmentionné est parvenu à rassembler 24 mecs hyper membrés pour ma coquine en rut. Elle m’a confié avoir très hâte de réaliser ce nouveau fantasme, qui est de m’utiliser comme nettoyeur à chaque deux ou trois amants. Je ne ferai pas de zèle, car je sais que les hommes qui participent à ce genre de peloton de pénétrations affectionnent le fait de plonger leurs bites tendues dans un « vagin tapissé de foutre », comme le décrit si bien Catherine M.. De plus, je serai l’heureux élu pour la dernière salve et je tiens également à ce qu’elle soit la plus pleine possible. À suivre…


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