Le Piège D'Audrey

Cette histoire se passe dans le nord de la France, je m’appele Audrey, j’ai 35 ans, je suis brune aux yeux clairs, je mesure 1.70 mètres. Mon mari, qui aime les jeux d’argent a décidé de jouer au poker avec deux étrangers, un malien de taille et de corpulence moyenne et un magrebin à la barbe mal rasé et aux cheveux grisonnent, la scène se déroule dans notre appartement.
La partie est déjà bien engagé est mon mari jean a déjà perdu beaucoup d’argent.
Il me regarde, et étant sûr de se refaire, il propose à ses deux partenaires de me jouer contre la totalité des gains, les deux hommes, existés par mon physique acceptent.
La partie commence, et très vite je vois à la tête de Jean que cette dernière est mal engagé, les deux hommes sourit en me regarde avec envie. Mon mari étale ses cartes, ses deux adversaires aussi, maintenant on est fixé, le pari est perdu et je vais devoir m’exécuter.
Les deux hommes attachent Jean avec une paire de menotte dans le salon pendant qu’ils m’emmènent dans la chambre, ils laissent la porte de cette dernière ouverte en précisent « nous voulons que ton mec t’entende jouir pendant que nous te baiseront ».
Arrivée dans la chambre Hamid le magrebin glisse sa main sous ma robe et fait glisser délicatement sa main le long de ma cuisse jusqu’à atteindre ma culotte, il enfile deux de ses doigts dans mon vagin et commence à me malaxer vigoureusement le sexe pendant que l’autre homme manipule une camera vidéos.
Hamid me dit : « tu vas voir, Mohamed et moi on n’en a des grosses, on est en France depuis un mois, tu vas être notre première blanche ».
Hamid arrache ma robe est me poussent sur le lit, Mohamed arrive, écarte ma culotte et commence à me lécher langoureuse la chatte, à ce moment je rensent du dégoût.
Sa langue se promène de bas en haut et de haut en bas le long de mon sexe qui commence à s’humidifier, puis c’est à pleine bouche maintenant qu’il me laboure l’orifice.

Cela fait plus de dix minutes maintenant qu’il s’affaire et je commence à ressentir une chaleur montée le long de mes reins et envahir tous mon corps, d’un coup je me surprends à jouir et à gémir de plaisir. Jamais je n’avais ressenti une telle chose avec mon mari.
Hamid qui était en train de filmer la scène sans en perdre une miette se dirigea vers le salon et dit à Jean « tu as une belle salope là, elle a l’air d’apprécier ».
Hamid revient dans la chambre, retire son pantalon et laisse apparaître un sexe d’une bonne vingtaine de centimètre au moins.
Mohamed me dit : « au bled, c’était un combattant, il avait pour tradition de baisé les femmes des adversaires qu’il avait vaincu et ça le jour même ».
Hamid rajoute : « parfois jusque 10 par jour et toujours avec la même virulence ».
Un mélange de stresse et d’envie envahies mon corps, Hamid arrache ma culotte et approche son sexe bien bandé de ma chatte, il me la frotte lentement à l’entrée du vagin pendant quelques secondes puis me pénètre violemment.
Mohamed se saisit de la caméra pour continuer la vidéo pendant qu’Hamid me donne de grand coup de butoir, je jouis, je crie un coup un oui un coup un non, j’attends Jean dans pièce à coté qui demande ce qui me demande si tout va bien.
Hamid répond « je baise ta femme comme jamais elle a été baisé, elle aime ça, elle jouit et elle en redemande ».
Mohamed va chercher Jean et le ramène dans la chambre, tu veux voir, tu vas voir dit t-il en jetant mon mari au sol.
Mohamed nous rejoint sur le lit et fourre sa grande queue noire à l’intérieur de ma bouche, pendant qu’Hamid continu de me ramoner la chatte, après quelques minutes ils se retirent tous les deux de mes deux orifices et envoie leur semence sur mon corps et mon visage.
Hamid me dit : « on vit dans un camp avec plein de gars comme nous, regarde la petite vidéo qu’on a tourné, si tu ne veux pas qu’on la montre à ta famille, tes amis et même à ton boss, il va falloir que tu nous rendes visite dés qu’on te le demandera ». Il se saisit de mon téléphone portable et entra son numéro dedans en disant : « quand tu verrais Hamid s’inscrire dessus, tu mettras des dessous sexy et une jupe courte et tu nous rejoindras à l’adresse indiqué.
Une vision d’horreur traverse mon esprit, en pensant à tous ces types chevauchant mon corps. Jean, me regarda avec un air coupable et compatissant.
Suite au prochain numéro.