Leslie Se08

Leslie SE08 – Seule, le vigile, suite

Benoit, comme je l’avais pressentie, aussitôt le petit-déjeuner terminé, me proposa de
retourner nous allonger et de se donner à nouveau du plaisir, je n’étais pas contre et
nous nous sommes retrouvés dans les draps encore chauds de notre nuit.
Nous nous sommes embrassés, caressés, branlés et doigtés, jusqu'à ne plus pouvoir
tenir plus longtemps après ces préliminaires quelque peu torrides.
Benoit s’est mis en levrette pour me faire comprendre qu’il avait envie d’être
sodomisé, écartant ses fesses dans une invite indécente, il me dit :
- Leslie, j’en ai tellement envie !
J’ai plongé ma tête entre ses deux fesses pour lui administrer un cunnilingus, ma
langue parcourant sa raie sur toute sa longueur, l’a fait gémir de bonheur. Puis quand
elle s’est posé sur son intimité pour parcourir son anneau plissé, il a feulé comme un
gamin réclamant son jouet, mais quand ma langue s’est introduite dans sa chaude
intimité, violant la dernière barrière de son sphincter fermé, c’est un cri qu’il a
poussé.
Longuement je l’ai laissé ainsi dans l’attente de la pénétration qu’il désirait tant,
lui branlant doucement le sexe pour le maintenir dans un état de plaisir complet.
Puis le sentant disponible de me recevoir, je lui ai doigté le trou de deux doigts, il
hurlait sans discontinué en disant :
- Ohhh, chérie, prends-moi, sodomises-moi !
Il était maintenant bien ouvert, je me suis placé derrière lui entre ses cuisses
ouvertes et après avoir positionné mon gland sur son œillet, je l’ai pénétré lentement
par petits coups, lui arrachant des hurlements de démence.

Complètement enfoncée en lui je lui ai pris le sexe de ma main pour le branler pendant
que je le sodomisais et pendant de longues minutes je l’ai sodomisé comme une folle.
Plus rien ne comptais que de lui arracher des cris et des hurlements de plaisir, comme
si je voulais imprimer dans son corps le souvenir indélébile de cette sodomie dont il
avait tant rêvé.


Le souffle court, haletant et hurlant de bonheur, il me dit :
- Ohhh, je jouis du cul, remplit moi ma chérie de ta semence d’amour, je suis à
toi pour toujours.
J’ai jouis en lui, déversant des flots de semence, tétanisé par son plaisir et son
corps envahit par les soubresauts de se jouissance, il a jouit de ma main en se
rependant sur les draps et m’inondant la main. Puis s’est écroulé sur le lit mon sexe
toujours enfoncé au plus profond de ses entrailles.
Avant de me retirer, je lui ai fait lécher ma main pour gouter sa propre liqueur.
Quand je me suis retiré, j’ai vu son petit trou complètement ouvert d’où s’échappait,
déjà, ma jouissance que je lui avais donné.

Plus tard il m’a remercié de lui donner tant d’amour et de lui faire réaliser un vieux
fantasme, mais il me demanda encore plus, alors que nous reposions côte à côte dans le
lit, tendrement enlacés.
Leslie chérie, me dit-il, je voudrais te demander une chose.
- Oui, dit-moi.
- J’aimerais faire un trio ave une autre fille comme toi.
- Tu veux faire un trio avec moi et une copine transexuelle ?
- Oui, si tu pouvais…
Je réfléchis un instant en essayant de voir qui voudrait et serait disponible pour
nous rejoindre et participer à un trio ce soir. Aussitôt, j’ai pensé à Lilou, cette
petite transexuelle, rencontrée deux ans auparavant et avec qui j’étais resté en
contact.
Souvent elle me demandait de nous revoir, d’aller en club ou même de participer à des
partouzes avec elle, je n’avais jamais donné suite, mais là, l’occasion était trop
belle.
- Je vais voir, dis-je en me levant…
- Super, me dit Benoit.
- Mais à charge de revanche un jour !
- Sans problème.

Après une douche, assise nue sur le lit, j’ai téléphoné à Lilou, il était dix heures,
après avoir composé son numéro, deux sonneries plus tard, j’entends la voix de Lilou
dans le combiné.

- Allo ?
- Lilou, c’est Leslie.
- Ohhh, Leslie, depuis le temps comment vas-tu ?
- Bien et toi ?
- Super, c’est le bonheur.
- Que puis-je pour toi, me demanda Lilou.
- T’es disponible ce soir ?
- Euhh... Oui je n’ai rien de prévu, mais pourquoi ?
- Il y a un petit trio à faire avec un ami à Epernay, j’ai pensé à toi et si ça
te dis viens nous rejoindre, il est sympa et mignon comme tout, en plus te revoir me
ferais plaisir.
- Attends, Epernay, c’est à quoi de Paris, une heure et demie par le train, il
est dix heures, j’ai deux trois bricoles à faire et le temps de me préparer, je peux
être à la gare vers seize heures, disons dix-huit heures à Epernay, ça te va ?
- Super, voyage léger.
- T’inquiètes, j’ai l’habitude de ce genre de plan, me dit Lilou.
- A plus.
- Bisous chérie.

J’ai annoncé la nouvelle à Benoit quand il est sorti de la douche et il s’est mis à
bander en disant :
- Super, Merci ma chérie.
Il m’a sauté dessus, le sexe érigé près à faire son office, il voulait m’enculer, avec
le regard lubrique d’un homme en rut, mais entant une certaine résistance de ma part
il s’est contenté que je lui taille une pipe en éructant comme un forcené.
Pour lui faire plaisir je l’ai laissé joui dans ma bouche pour son plus grand plaisir.
Puis nous nous sommes habillés et nous sommes partis en moto pour visiter les
alentours.

Recouverte de mon spencer fermé sur mon corsage, les seins nus dessous, ma mini-jupe
en cuir, en string et porte-jarretelles retenant mes bas et mes bottines à talons
hauts, je n’avais pas tout à fait la tenue pour faire de la moto, mais Benoit me dit :
- Tu es superbe et ce que tu ne peux cacher, ça va en exciter plus d’un.
Effectivement en montant sur la moto, ma mini-jupe est remontée très haut, découvrant
les attaches de mon porte-jarretelle, ainsi que la lisière de mes bas et un peu de
peau de nue de mes cuisses.

- Tu me fais bander, me dit Benoit en me regardant.
Nous sommes partis, et avons roulés dans la campagne champenoise au-travers des
vignes, l’air entrant sous ma mini-jupe venait caressée la peau nue de mes cuisses et
s’engouffrait vers mon sexe que mon string protégeait à peine.
Dans ces conditions je ne fus pas longues à réagir, d’autant que les vibrations
venaient accentuées les effets sur mon sexe et dans mon cul, je me suis mise à bander
et j’ai entendu Benoit, se retournant rapidement, me dire :
- T’es incroyable, petite coquine !

A suivre…

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