Envie De Star : 1° Partie

Je reçois une bonne dose de foutre sur mon visage. L’homme que je suçais jouit en
sortant de ma bouche. J’en ai même qui vient sur un œil. Je n’attends pas longtemps
pour que celui qui m’enculait jouisse aussi. J’ai de la semence entre mes fesses et
sur mon dos. Couper, disait le réalisateur du film porno. Nous reprendrons pour finir
demain matin à 9 heures.
Comment j’en suis arrivée à 25 ans à ce stade.

Comme toutes mes copines, au début de l’adolescence j’ai senti mon corps pour
découvrir les secrets de ma chatte. Nous en parlions entre nous sans trop nous cacher,
sauf si les parents pouvaient nous entendre. Nous nous inventions même des aventures
avec les garçons. Au lycée j’ai rencontré mon premier amour, Lucien. Il était beau, me
faisait rire souvent. Après mon premier baiser sur la bouche, avec la langue, nous
avons jouer à touche pipi. Il me faisait jouir ainsi quand de ma part je lui caressais
maladroitement la queue.
Un jour, profitant de l’absence de ses parents, il m’a emmené dans sa chambre. Nous
nous sommes mis nus. Je voyais sa bite bandée en entier, lui voyait sa première
chatte. Nous étions enfin couchés, enlacées quand j’ai pris sa pine dans une main pour
la mener vers le vagin. Il ne refusait surtout pas l’occasion. Il est entré dans mon
ventre presque trop vite. J’étais quand même bien mouillée. J’ai poussé un cri quand
il m’a rendu femme. Sans trop s’occuper de moi, il a commencé à aller et venir. Je
commençais à sentir un bien être au moment où il jouissait. Nous avons attendu qu’il
bande à nouveau. J’espérais qu’il me donne le grand frisson. Il est revenu sur moi,
j’ai senti sa queue entrer encore, j’ai senti le début du plaisir qu’il jouissait
encore. Les quelques mois de notre liaison, il n’avait jamais réussi à me faire jouir
sinon qu’en me masturbant.


En faculté je trouvais presque dès le premier jour un gars mignon, blondinet,
charmant. Nous n’avons pas tardé à nous retrouver dans le même lit. J’espérais enfin
jouir avec un sexe emboité dans le mien. Paul me déshabillait, je lui rendais la même
chose. Enfin il me couchait, m’embrassait partout, me pelotait, me suçait les seins,
posait sa tête entre mes jambes : je recevais enfin un excellent cunnilingus. Après
avoir joui, le voulais lui rendre la politesse. J’arrivais à le prendre en bouche. Je
trouvais agréable d’avoir sa queue chaude dans ma bouche. Sans expérience, j’arrivait
quand même à le faire juter. Je recevais son sperme dans la bouche. Le gout un peu
salé me plaisait. Je gardais sa semence pour l’avaler.
Nous étions enlacés quand il bandait à nouveau. Il me tournait en levrette. Je sentais
sa queue entre mes fesses. Je ne voulais surtout pas qu’il m’encule, ça fait mal. Il
allait simplement me baiser. Mais quel plaisir dès le premier coup de bite. Je
bougeais autant que lui pour notre plaisir, en réalité pour le mien. Je jouissais
plusieurs fois, la dernière quand Paul déchargeait.
Puis, il fallait quand même que je travaille un peu, j’arrivais difficilement à passer
ma première année. Paul m’avait beaucoup aidé. Dès les vacances je sortais encore
plus. Je trouvais même un remplaçant provisoire à Paul qui travaillait pour payer ses
études. C’était un grand antillais, foncé de couleur, muni d’une belle bite accompagné
d’une paire de couilles qui me plaisaient beaucoup. Il me baisait à sa façon un peu
brutale, qui collait parfaitement à mes désirs du moment. Bien sur Paul l’a appris par
un âme généreuse : nous avons rompu.
Par hasard je rencontrais Piotr, un descendant de russe. Il était sans doute slave. Il
travaillait m’avait-il dit dans le cinéma comme assistant réalisateur. Il ne voulait
pas me donner les titres des films pour lesquels il avait travaillé.
Par contre au
lit, c’était un as, un type qui savait tout faire pour le plaisir des filles.
C’est lui qui un jour, après une baise extraordinaire pour moi, m’a convaincu de me
faire enculer. Sa queue entrait sans dommage pour moi, il m’a fait jouir presque de
suite. Je me traitais de tous les noms de ne pas m’être faite sodomiser plus tôt. Je
sentais bien sa queue qui défonçait mon cul qui allait et venait dans mon rectum. Je
sentais surtout ce nouveau plaisir dans le ventre. J’arrivais même sur ses conseils à
me branler en même temps.
J’en arrivais même à ne pas aller en fac rien que pour que nous fassions l’amour.
Pour épicer nos embrasements un jour il me proposait de nous filmer avec un caméra HD
amateur. J’étais excitée de la chose, j’acceptais. Le lendemain il me montrait notre
œuvre.
Je voyais notre couple baisant, je voyais la queue de Piotr enter et sortir de mon
cul. Nous en étions excités au point de commencer une autre séance de baise. Je
commençais par lui faire un fellation comme il aimait. J’aimais avoir sa queue dans la
bouche, j’aimais la lui lécher. Il trouvait le moyen de venir lui aussi me sucer. En
69 nous nous faisions du bien. Il mettait deux doigts dans mon cul. Je lui rendais la
pareille. Nous étions au point où je jouissais deux fois pendant la moindre caresse,
masturbation, cunnilingus ou enculade, sans parler d’une baise normale.
Je devenais une folle de sexe. Il continuait à nous filmer. Un jour, il m’a demandé de
me masturber sur le fauteuil les jambes posées sur les accoudoirs. Je commençais comme
d’habitude à écarter mes lèvres pour faire ressortir le clitoris que je branlais comme
une folle. Je jouissais encore plusieurs fois d’affilé. Quand je finissais lui se
branlait fortement. Il me montrait le film dès que j’avais repris connaissance
normalement.
J’étais étonnée de me voir jouir, mon vagin et mon cul avaient des spasme réguliers
pendant ma jouissance.
Lui bandait encore. Il me la mise par devant.
Le lendemain en revenant de la fac il m’annonçait une nouvelle. Il avait édité sur un
site porno la vidéo en enlevant simplement les premières images où je montrais mon
visage. Il ouvrait l’ordinateur sur le site. J’étais là, devant moi, ma main sur mon
sexe, avec l’orgasme. Dans un angle de l’écran il y avait le nombre de connections :
déjà 2.000 à peu de chose près: je devait exciter une foule de personnes, des hommes
je pense qui devaient se branler en me regardant.
Même moi, en regardant encore mes images, je ne tenais plus: je me masturbais encore.
Si tu veux, je peux nous faire filmer par l’opérateur avec lequel je travaille. Je
faisais la fine bouche avant d’accepter. Tout c’est fait facilement : un coup de fil
et le lendemain son copain était là avec sa caméra.
J’hésitais encore pour baiser devant un tiers. Piotr en bandait tellement que j’ai
voulu le soulager en sortant sa bite. Nous avons fini au lit, la caméra oubliée pour
notre plaisir. Cette baise était une de nos meilleures. Elle était spectaculaire quand
nous l’avons vu sur le CD fait par son camarade. C’était bien un pro habitué à filmer
les baises. Il zoumait sur ma bouche quand je suçais, sur la bite quand elle entrait
dans mon cul, sur ma cyprine qui coulait après l’orgasme.
J’en était encore excitée. Il me proposait de faire une bout d’essai pour savoir
comment je me comporterais en studio avec les techniciens hommes ou femmes.
J’hésitais longuement. Je « continuais » mes études, j’étais fauchée, je vivais avec
un amant qui me faisait jouir, que chercher d’autre. Par contre si j’acceptais
j’allais baiser avec des inconnus, avec des femmes sans doute, avec plusieurs
partenaires certainement. Tout ça en prenant du plaisir et du blé.

Couper le son, regardez les images à suivre

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